Quand il s’agit d’installer le système d’exploitation Windows, vous avez toujours deux choix : soit acheter une licence Windows authentique ou installer une version crackée de Windows 10. Le piratage n’est pas une chose à encourager, surtout au vu des prix bas auxquels on peut trouver des licences Windows 10 ainsi que la suite Office. Pourquoi alors ne pas acheter une licence authentique pour encourager les développeurs ? Voyons comment avoir Windows 10 Pro authentique à moins de 10 € et d’autres logiciels comme Office.
Combien coûte une licence Windows 10 ?
Windows 10 est le dernier système d’exploitation Microsoft pour ordinateurs personnels, tablettes et périphériques intégrés. Jusque-là, nous ne vous apprenons rien. Il combine les meilleurs aspects de Windows 7 et Windows 8. Avec la mise à jour d’avril 2018, Microsoft s’est concentré sur l’objectif d’aider les utilisateurs à tirer le meilleur parti de leur temps.
Microsoft facture environ 200 € pour une clé d’activation du produit Windows 10 Pro, mais avec une recherche rapide en ligne, vous pouvez trouver des sites qui proposent des licences Windows 10 pas chères jusqu’à moins de 10 €, mais aussi des clés Office 2016 à moins de 24 €. C’est le cas de Goodoffer24.com.
Goodoffer24.com est une plateforme en ligne fiable et en pleine croissance vendant des licences logicielles, des clés de jeu et des cartes de jeu à des prix imbattables avec une livraison rapide par e-mail. Nous l’avons testé à plusieurs reprises, et nous n’avons jamais rencontré de problèmes. Avec plus de dix ans d’expérience, un support client de qualité et d’excellents retours d’expérience des utilisateurs (consultez les avis sur leur page Trustpilot), GoodOffer24 continue de se développer sur ce marché vraiment concurrentiel que nous avons aujourd’hui.
Si vous avez déjà fait des achats avec eux, vous savez déjà de quoi nous parlons et nous aimerions profiter de cette occasion pour vous montrer quelques-uns de leurs derniers produits actuellement en promotion.
Les licences sont-elles vraiment moins chères ?
Oui, ce sont vraiment des licences bon marché sur GoodOffer24. Utilisez simplement le code promotionnel exclusif à Vonguru, « XMidyear25 » dans le panier et obtenez un rabais supplémentaire de 25% sur les logiciels les plus populaires tels que :
La boutique offre une livraison rapide par e-mail. Les clés (ou licences) et les liens de téléchargement de votre produit d’achat seront généralement envoyés ensemble.
N’oubliez pas de télécharger d’abord les versions correctes du logiciel sur votre PC, puis activez-les avec les clés reçues.
En cas de problème avec une commande, n’hésitez pas à les ontacter par mail info@goodoffer24.com.
Optimiser sa connexion Adsl voilà une préoccupation de tous ceux qui n’ont pas la fibre…
Etant moi même connecté à internet via l’ADSL, je peux témoigner de la frustration que procurent les montée excessives de ping pendant un téléchargement…
Pour vous situer, voici mes débits montant et descendant:
Cependant, à l’aide du logiciel NetLimiter, j’arrive à jouer, à télécharger un film et à écouter de la musique sur Deezer sans problème!
Cliquez simplement sur « Begin Test » et attendez la fin des mesures.
Ensuite notez les trois valeurs qui s’affichent: le Ping (le temps qu’il faut pour une requête pour faire l’aller-retour entre vous et le serveur), le Download Speed (débit de téléchargement) et Upload Speed.
A partir de maintenant, votre meilleur ami ne sera plus votre bon vieux pote que vous conaissez depuis votre plus jeune enfance, ni votre chien ou je ne sais quoi. Maintenant, ce sera NetLimiter votre meilleur ami et vous comprendrez vite pourquoi…
Dans un premier temps, rendez vous sur le site de NetLimiter (https://www.netlimiter.com/download) et téléchargez la version qui convient pour votre OS et veuillez cependant à sélectionner la version « Stable » et non les version bêta. « Malheureusement » pas de version pour OSX, quel dommage!
Ensuite, installez simplement le logiciel, cochez la case « I agree to the License terms and conditions. » et laissez l’installation se faire.
Notez cependant que la version de NL que vous utiliserez sera une version complète mais qui ne durera que 1 mois après lequel toutes les fonction seront désactivées. Mais comme je dis souvent, « Sur internet, tout est gratuit » Mais je vous conseille fortement d’acheter la licence pour 30€, le logiciel en vaut vraiment le coup!
Dans un premier temps, vérifiez que la liste des application est bien mise en mode « Online » ce qui vous permettra de n’afficher que les applications qui utilisent de la bande passante.
Nous allons maintenant nous intéresser à la colonne « DL limit ». C’est elle qui va nous permette de restreindre la bande passante maximum que chaque application peut utiliser.
Portez ici votre attention sur l’application Google Chrome, je suis actuellement en train de regarder une vidéo sur YouTube et toute ma bande passante est donc utilisée pour télécharger la vidéo. Pour restreindre la Bande Passante de l’application, double cliquez sur la case DL limit de cette dernière. Ensuite, une fenêtre « RuleEditor » devrait normalement s’ouvrir.
Portez votre attention sur la partie « Value ». Dans cette dernière, je vais d’abord définir l’unité, je vais ici mettre Mbit/s pour des raisons de cohérence avec les résultats du SpeedTest. Etant donné que je dispose de 8Mbit/s je veux que Chrome n’ait le droit d’utiliser que 50% de ma bande passante et donc 4Mbit/s. Ensuite, cliquer sur « Save » et normalement, vous devriez voir l’utilisation de la BP par chrome diminuer jusqu’à la valeur définie.
Et voilà! Ce tutoriel est terminé! Bien sûr, les manipulations que j’ai fait sur Google Chrome sont valables pour toutes les applications, même les jeux ou encore les Mise à jour Windows! Je vous souhaite donc un bon paramétrage et si vous rencontrez le moindre problème, n’hésitez pas à me Twitter à @Matception ou à me le faire savoir dans les commentaires de cet article.
Cette année encore, le CES de Las Vegas a frappé les esprits par son gigantisme.
Un seul chiffre va vous donner une idée : 235 000 M2 c’est la surface totale couverte par les stands et exposants en 2016…il faut comparer aux 55 000M2 de la Paris Games Week 2015, intégrant scènes, gradins et larges allées de dégagement; ce qui n’est évidemment pas le cas pour le CES.
On ne manquera pas non plus de noter que le CES est un salon professionnel dont l’entrée est uniquement réservée à la presse et aux acteurs reconnus du secteur…par opposition à la PGW ouverte à tous, y compris au grand public.
Et encore, tous ces chiffres ne donnent qu’une vague idée de ce qui se passe en parallèle du CES, dans les hôtels où de nombreuses marques louent des suites pour recevoir quelques invités, hors du tourbillon du salon classique.
Bref, le CES devient chaque année plus grand comme pour coller à la démesure de sa ville hôte Las Vegas.
Le revers de la médaille c’est que les thématiques couvertes par le CES sont de plus en plus vastes voir même différentes.
Du robot aspirateur à la voiture connectée en passant par la VR et les drones, les domaines sont de plus en plus larges.
Le CES devient donc un indicateur de tendances…tendances que les marques tentent d’imposer. Ainsi cette année, on a bien compris que la VR était un enjeu majeur pour 2016…elle était partout sans que l’on puisse réellement, encore une fois,en percevoir totalement son potentiel ludique ou même commercial.
Ensuite, il y a eu une véritable orgie de drones. Il y en avait de toutes les sortes, de toutes les tailles et les fabricants se sont multipliés pour démontrer les prouesses ( bientôt de plus en plus réglementées ) de leurs engins.
En visitant EVGA dans sa loge du Bellagio sur ce CES2016, j’ai pu découvrir de superbes produits dont personne ne parle pour le moment.
Je reviendrai plus tard sur le portable SC17 dont beaucoup d’articles « clonés » sont sortis sur le web ces dernières heures.
Mais il y avait aussi deux belles surprises chez EVGA : un boitier vraiment canon mais encore au stade de prototype et surtout un watercooling vraiment intéressant.
Au premier regard, ce watercolling ressemblait comme deux gouttes d’eau ( mauvais jeu de mots ) au kit AIO de chez EK.
En poussant un peu mes hôtes, j’apprends qu’on est en présence d’un système complet de watercooling développé en interne. L’expérience des cartes hybrides de la marque ayant permis de capitaliser dans le domaine, EVGA a décidé de mettre en route son propre kit.
Un kit bien conçu à première vu et qui va disposer de multiples options.
Tout d’abord il y aura une base avec un radiateur de 120 ( cpu only donc ) puis la possibilité d’ugrader en 240, voir en 360.
Là où ça devient intéressant c’est quand on s’attarde sur le système de connexion / déconnexion des éléments qui se rapproche vraiment de celui d’EK.
EVGA nous apprend que les éléments pour l’upgrade seront livrés pré-remplis permettant ainsi à n’importe qui de passer d’une configuration CPU seule à un système CPU + GPU.
Mieux encore, une autre configuration un peu plus loin dans la suite EVGA était tout simplement équipée d’un quad SLI de la marque, le tout watercoolé par le système disposant cette fois d’un radiateur de 360.
Le tout fonctionne parfaitement après une bonne journée et un petit occt lancé vite fait…des t° excellentes obtenues il est vrai avec un châssis ( le fameux prototype EVGA ) super ventilé.
C’est pourquoi le système est évidemment conçu pour fonctionner avec des cartes graphiques de la marque utilisant évidemment un waterblock intégrant une pompe. Toutefois, l’évolution vers des cartes d’autres marques semblent envisageable, Asetek ayant des kits permettant de monter des AIO watercooling sur tout type de GPU.
Pour le moment aucun prix n’est communiqué et le produit devrait voir le jour au Computex 2016.
Tout le monde s’accorde à dire que le véritable décollage de la VR devrait avoir lieu en 2016…enfin tout le monde l’espère en fait.
Si les premiers produits devraient commencer leurs carrières commerciales sur 2016, c’est toute l’industrie du PC qui espère un engouement pour la VR.
Tout comme le jeu 4K, la VR intéresse les constructeurs pour les ressources qu’elle demande…plus que pour les prouesses qu’elle apporte réellement à l’utilisateur final.
Evidemment, l’effet nouveauté, quelques démos whaoous permettent aujourd’hui de masquer l’absence d’un contenu dédié, de jeux vraiment spécifiques mais aussi les problèmes de l’adaptabilité de certaines personnes à cette technologie.
Si je reste globalement dubitatif sur l’avènement de la VR ( surtout en 2016 ) c’est essentiellement car les contenus ne m’ont pas convaincu. Evidemment, la démo technique est bluffante, l’immersion est probante mais l’enfermement, le confort et surtout le titre/jeu capable de transformer un délire technologique en « must have » ne sont pas encore là.
Et c’est bien le piquant de cette addition qui fait saliver les constructeurs.
En premier lieu Nvidia, qui n’est évidemment pas là pour faire de la philanthropie, vient tout simplement de s’inquiéter publiquement du parc PC mondial au regard de la VR. Comme pour le contrôle technique d’une vulgaire bagnole, la majorité de la plèbe mondiale roulerait sur de véritables poubelles technologiques, incapables de pouvoir accepter le miracle de la VR.
Ce constat a du torturer longuement les gens de Nvidia qui ont pu constater que l’adoption par les développeurs de jeux de la technologie Nvidia GameWorks VR rendrait la VR plus efficiente et étendrait immédiatement ce parc de 13 millions à 25 millions sans toucher au hardware.
Au delà de l’empathie provoquée par ces chiffres pour les pauvres possesseurs d’un PC famélique, c’est surtout les $ qui ont remplacé les étoiles dans les yeux de la direction de Nvidia.
Upgrader un tel parc c’est faire péter tous les records et à cet instant, seule la VR semble demander autant de puissance…peu importe donc que ça soit vraiment cool, bien, innovant et que ça apporte quelque chose de vraiment indispensable.
Alors évidemment, Nvidia n’est pas le méchant de l’histoire car il propose des solutions pour le monde PC depuis longtemps et qu’il a été longtemps seul à soutenir le gaming PC.
AMD a essayé lui aussi de capter les frémissements de ce marché en nouant des partenariats.
Clairement, si la VR venait à décoller, c’est toute l’industrie du hardware PC qui reprendrait des couleurs. On comprend donc pourquoi tout le monde trouve ça génial même si on peut sortir avec de fortes nausées d’une démo de EVE: Valkyrie.
Sortons du cynisme quelques instants : si l’enthousiasme surjoué des acteurs du hardware PC ressemble fortement à ce que l’on avait véculors de la laborieuse approche des Steam Machinesil n’en reste pas moins que seule la VR semble potentiellement apte à secouer le marché.
Nvidia ( toujours eux ) continue dans son descriptif apocalyptique en disant que la puissance des PC devrait être multipliée par 7 …Ben mon garçon, il va falloir s’y mettre alors pour aller chercher tout ça !
Booster la puissance d’un PC qui fait du jeu 1080P honnêtement à un tel niveau c’est sans doute secouer profondément l’industrie. Si AMD et Nvidia semblent dans cette voie avec des gains importants sur les générations à venir, il serait temps qu’Intel commence à se remettre au travail car les GPU ne pourront pas tout faire seuls…
Alors je ne suis toujours par un adorateur de la VR mais je crois qu’effectivement seul son succès pourrait relancer l’industrie PC et au passage sans doute condamner définitivement la console comme on la connait aujourd’hui.
Donc je vais continuer à observer tout ça, à sourire en entendant les qualificatifs élogieux, l’optimisme démesuré des acteurs du marché…en leur faisant un petit clin d’oeil : « on y croit nous aussi les gars ! »
Je vous ai fait un retour récemment sur le OnePlus 2. Un bon téléphone sur le papier mais une déception globalement pour moi. Autant dire que quand j’ai reçu le OnePlus X, la cote de popularité de OnePlus était quand même un peu érodé chez moi.
Avec le X, OnePlus a adopté une autre stratégie. Pas question ici de se revendiquer comme un « flagship killer » mais comme le téléphone trendy, disposant de bonnes caractéristiques et d’un look soigné.
Les caractéristiques
A 299€ on dispose d’un écran 5″ Amoled 1080p( une première chez OnePlus ), d’un processeur Snapdragon 801 quadcore qui ma foi se comporte plutôt pas mal accompagné de 3Gb de Ram et de 16Gb de stockage.
Rien de bien excitant mais il faut cependant reconnaître que le téléphone se comporte merveilleusement bien. La fluidité de son OxygenOS ( qui est vraiment très proche de l’android 5.1.1 pure ) est sans doute pour beaucoup dans ce constat. A noter qu’une mise à jour devrait arriver courant du premier trimestre pour disposer de la version OxygenOS calquée sur android 6.0.
La partie image se résume elle à ses éléments :
Un APN principal de 13 MP, f/2.2, un autofocus « phase detection », LED flash
le tout accompagné des Geo-tagging, touch focus, face detection, panorama, HDR
La vidéo elle permet de faire 1080p@30fps, 720p@120fps
La caméra faciale dispose elle de 8 MP, f/2.4.
Enfin, la batterie dispose d’une capacité 2560 mAh.
Concernant la partie téléphonique, le OnePlus X est un double SIM même s’il faut bien noter que le second slot SIM et aussi…le slot pour la microSD. Il faudra donc choisir…
Design et Qualité de fabrication.
C’est le gros point fort de ce OnePlus X. Soyons sincère : c’est une petite merveille.
Les finitions sont irréprochables et l’utilisation du verre pour le dos du téléphone fait tout de suite son petit effet. Le cerclage alu texturé rajoute à cette impression de haute qualité difficile à retrouver sur un produit de cette gamme de prix.
Evidemment, la magnifique robe du X ne résiste pas longtemps à l’apposition de nos doigts mais qu’importe, l’effet recherché est là : l’impression de qualité est indiscutable et sortir son OnePlus X face à un iPhone ne dénotera absolument pas, bien au contraire !
Performances et utilisations.
En utilisation quotidienne, malgré une sollicitation qu’on pourra qualifier « d’au dessus de la norme » quand j’utilise un smartphone, je n’ai jamais senti une quelconque faiblesse du OnePlus X.
L’effet de séduction continua avec son écran vraiment très agréable, contrastant fortement avec celui du OnePlus 2. L’utilisation d’une dalle Amoled avec une couverture de surface maximale renforce donc encore la perception de qualité et cette sensation de disposer d’un smartphone vraiment haut de gamme.
J’ai cependant commencer à toucher les limites du X sur la partie « optique ». L’APN est relativement décevant ( en comparaison il est vrai du « 2 » ou du S5 ou S6 Samsung ). L’enregistrement vidéo se limite à du 1080P…et zoom et déclenchement, quand ils sollicitent la puissance de ce bon vieux Snapdragon 801…trahissent son age avancé. Je ne suis pas arrivé par contre à prendre en défaut l’autofocus.
L’accroche du GPS m’a semblé aussi un poil plus longue que sur les derniers flagships du marché..mais quoi de plus normal au regard de son prix ?
Autonomie
L’autonomie du OnePlus X n’est pas catastrophique comme j’ai pu le lire à droite et à gauche. La batterie m’a toujours autorisée une utilisation intensive pendant plus d’une journée.
Cependant, j’ai pu constater un effondrement durant la lecture des vidéos et sur les jeux 3D…sur les forums OnePlus, ces incohérences sont relevées à plusieurs reprises en rapport avec la capacité de la batterie mais aussi le recul du SoC Snapdragon. Il semble donc fort probable que cette faiblesse provienne d’une mauvaise optimisation de la couche logicielle. Un problème qui pourrait donc se régler par une simple mise à jour.
J’ai à ce sujet pu apprécier le fait que le OnePlus X dispose d’un connecteur USB « classique » permettant de trouver facilement une source énergétique…L’avènement du connecteur USB Type C représente sans aucun doute un grand progrès ( surtout pour ceux qui font encore des transferts par câble ) mais c’est surtout une source de stress pour ceux qui voyagent et qui ont oublié leur cordon !
Conclusion
Ce OnePlus X est vraiment un excellent téléphone. Ne disposant pas de tous les derniers raffinements technologiques, il joue dans une autre cour.
C’est un produit classieux et performant mais c’est surtout un produit HOMOGÈNE.
C’est pour moi ce qui fait la différence et qui permet d’apprécier à sa juste valeur ce OnePlus X. Contrairement au OnePlus 2 où on avait clairement la sensation d’être privé de désert car on avait pris du fromage…on a là un produit cohérent qui est en plus extrêmement plaisant à utiliser. Pour 299€ que demander de plus ?
Si on écoute Intel, la très forte demande sur les versions K de ses nouveaux Skylake explique la forte et régulière hausse des prix qui s’est amorcée dés le mois d’octobre. Ce constat est valable pour le i7 6700K et pour le i5 6600K.
En ce début d’année, le prix du i7 6700K semble légèrement fléchir mais cette tendance risque d’être très temporaire car on constate une reprise de la hausse aux US.
Entre le début du mois d’octobre et le 31 décembre de cette année, le processeur vedette de chez Intel s’est apprécié de plus de 100€ ! On est passé d’un prix public moyen de 346.3€ à 449€ la veille de Noël…
La relative chute qu’on constate en ce début 2016 ( 399.9€ ) ne devrait pas durer si on se rapporte aux évolutions sur le marché US qui est traditionnellement un bon indicateur.
Lorsque nos amis d’Anantech ont demandé directement à Intel une explication sur cette forte hausse du 6700K comme du 6600K, le fondeur a insisté sur le fait qu’il n’avait absolument pas touché aux prix de ces processeurs…
Le sous-entendu est simple à comprendre : si une hausse des prix est constatée sur les processeurs K, Intel n’en est pas à l’origine et seul le circuit de distribution est « coupable », jouant avec les problèmes de disponibilités.
Il ne faut cependant pas oublier qu’Intel avait admis que le passage en 14nm n’allait pas immédiatement augmenter les marges de l’entreprises, au contraire. En effet, le rendement du process 14nm serait bien inférieur à l’ancienne production. Indirectement, en jouant sur la production, Intel favoriserait alors une hausse des prix…dans le même temps, le i7 5820K ou du 4790K continuent de baisser…
Dans la gamme des GTX 980Ti custom, PNY tente d’exister avec une référence « poussée », la GTX 980Tioc XLR8.
Sans faire trop de bruit dans le domaine des cartes graphiques, PNY est sur la place depuis un moment et est un des plus gros « faiseur » en volume chez Nvidia. Souvent visible avec des cartes répondant au design de référence avec une tarification agressive, la marque tente maintenant de s’imposer sur des niches avec plus de valeur : l’o/c et le gaming.
La PNY GTX 980Tioc XLR8 est positionnée comme l’une des plus agressives 980Ti custom avec un prix un poil supérieur à 700€ là où une MSi Gaming 6G sera 10 à 12% plus chère.
On se retrouve donc avec une version custom pour le prix d’un « reference design ». Intéressant de prime abord, ce résultat s’obtient néanmoins au prix de quelques concessions.
[cfield « pricemesh_1 »]
Avec un design agressif, la carte de chez PNY apparaît immédiatement comme massive. Un constat validé par les chiffres : dépassant d’un poil les 30 cm, la taille de la XLR8 sera à prendre en considération suivant les configurations.
Le refroidissement de la carte est responsable de son allongement. Il est composé de 3 ventilateurs dont un central de 85mm et de deux ventilateurs latéraux de 75mm.
Ces moulins s’occupent de refroidir 4 caloducs qui viennent dissiper la chaleur du refroidisseur principal en alu.
La mémoire et les VRM disposent d’une dissipation séparée tout a fait identique à celle qu’on retrouve sur un design de référence d’une 980Ti classique.
Le design de l’ensemble est plutôt agréable et contrairement à ce qui semble tourner sur certains tests, la version que j’avais en mains disposait d’une backplate arrière améliorant l’aspect global à défaut d’avoir un impact significatif sur la dissipation thermique.
Pour arriver à un prix agressif, il y a toujours quelques astuces. La qualité de fabrication en est une. On ne peut pas dire que cette GTX 980Ti soit catastrophique, loin de là mais il est évident que la différence au niveau de la qualité d’assemblage, du PCB…est flagrante par rapport à ce que l’on retrouve sur du MSI Gaming ou du Asus Strix, des gammes cependant au moins 10% plus chères.
Le dissipateur, certes volumineux, ne semble pas bénéficier non plus de ce que l’on retrouve dans les gammes supérieures et le système de ventilation semble nous plonger quelques mois en arrière, bien loin de ce qui est devenu maintenant une exigence pour le silence.
Enfin, l’inflation constatée sur la longueur de la carte semble uniquement s’expliquer par un système de refroidissement pas vraiment étudié à 100% pour le PCB de la carte.
[cfield « pricemesh_2 »]
Je dois dire qu’après ces premières analyses, j’étais relativement sceptique sur les performances de cette 980Ti.
Sceptique car le PCB et surtout la partie alimentation, ne semblait pas vraiment disposer d’un potentiel important, son design se calquant intégralement sur une version « référence ».
J’avais une simple sensation de me retrouver avec un produit classique sur lequel on aurait greffé un système de ventilation massif et visiblement pas vraiment dédié, et une petite piqûre de fréquences pour justifier le terme « OC ».
Je suis donc partie de la petite brochette de 980Ti que j’ai testé : de la version standard en passant par la gaming 6G de MSI, la Strix d’Asus et des meilleurs. Pour ceux qui veulent impérativement du benchs et des graphiques, je les invite à se rendre ici.
Pour commencer, prenons en compte les caractéristiques techniques de cette 980Ti PNY :
Si l’on doit comparer ces chiffres avec la MSI 980Ti Gaming 6G par exemple, on constate :
MSI GPU Speed
1178 Mhz
PNY GPU Speed
1165 Mhz
MSI Boost Speed
1279 Mhz
PNY Boost Speed
1266 Mhz
MSI Memory Speed
7100 Mhz
PNY Memory Speed
7000 Mhz
Sur le papier la MSI semble plus performante dés la sortie de boite; c’est vrai sur tous les secteurs y compris sur la ram où nous avions remarqué que cette partie, comme la partie alimentation, se calquées intégralement sur une carte d’origine.
La mise en service de la PNY GTX 980Tioc XLR8 a confirmé mes craintes en ce qui concerne le bruit. Incontestablement, la version livrée par PNY est bien au dessus de ses concurrentes custom en matière de nuisance sonore.
La mesure montre un delta de 3db avec la MSI en utilisation classique mais l’écarte monte à 6dB lorsque le stress test Furmark est lancé ( 33db pour la MSI contre 39db pour la PNY )
Au delà des chiffres, l’écart est réellement significatif à oreille.
Pourtant, si on remet une 980Ti Reference design livrée par MSI et sous clockée par rapport à nos deux cartes en piste, on est quasiment à l’équivalence ( +1dB pour la PNY sous Furmark ).
Tout cela amène clairement à relativiser : la PNY est certes une carte bruyante mais les possesseurs d’une ancienne génération type Geforce 770 ou 780 voir GeForce 6xx économiseront tout de même leurs oreilles et gagneront en confort.
La bonne surprise vient des performances et je dois dire que je ne m’attendez pas à cela. J’ai du refaire à plusieurs reprises les tests mais cette PNY colle aux fesses de la MSI et de l’Asus à la virgule près.
Sur les premiers tests, les résultats obtenus sont de l’ordre de 0.5 à 1% en dessous de la MSI Gaming 6G.
C’est un excellent résultat et cela place la PNY entre 10 et 12% au dessus d’une Titan X sur 3D Mark Fire Strike et entre 8 et 10% sous Fire Strike Ultra (4K ).
La partie devient plus difficile en matière d’overclocking. Je suis cependant arrivé à monter à un maximum de 1400Mhz en boost. Même si au sein d’une même référence des cartes peuvent être plus propice à l’O/C que d’autres, les concurrentes MSI Gaming 6G et Asus Strix offrent plus de flexibilité sur le sujet.
On touche là aussi les limites de la partie alimentation et mémoire de la carte qui disposent d’un refroidissement « classique » et d’une conception standard pour l’alimentation.
Reste qu’à ce niveau de prix, cette PNY GTX 980Tioc XLR8 est clairement surprenante. Si on souhaite une carte agressive en terme de prix et disposant de hautes performances, elle n’a absolument pas à rougir face à des concurrentes dont les prix sont au minimum 10% plus élevés.
Clairement, l’utilisateur souhaitant une carte au top en sortie de boite, avec un budget contrôlé et se souciant peu de l’o/c : la PNY lui donnera des tops performances pour le prix d’une carte 980Ti « Reference Design ».
Comme je l’avais fait pour le OnePlus One, je vous propose un petit retour d’expérience après quelques semaines de vie commune avec le OnePlus Two.
Vendu lui aussi sur invitation, le OnePlus Two a suscité moins d’enthousiasme que son grand frère. Même si les réservations ont dépassé les 3 millions d’unités dés le lancement, l’effet de surprise et l’engouement enclenché par le premier modèle du petit constructeur hongkongais n’ont pas été reproduits à l’identique.
Pour expliquer cela, il faut nous attarder tout d’abord sur l’évolution du marché depuis 18 mois et le lancement du OnePlus One. En premier lieu, OnePlus lance son « Two » à un prix plus élevé que le « One », il faudra ainsi débourser plus de 400€ ( en intégrant le port ) pour se procurer la version 64Go équipée de 4Go de ram.
Et c’est bien là que commence le souci. Contrairement à son grand frère, le « Two » n’arrive pas sur un terrain vierge. Depuis quelques mois de nombreux constructeurs ont décidé de venir bousculer le marché dans cette gamme de prix. Il y a évidemment les agressifs constructeurs chinois mais aussi des marques reconnues qui veulent s’installer dans la téléphonie, on pensera en premier lieu à Asus et son ZenPhone.
Dans ces conditions, la partition s’annonçait plus serrée pour ce smartphone. L’effet de surprise du « one » passé, le potentiel d’indulgence pour le second bébé de la marque n’était donc pas au plus haut.
Le OnePlus Two ne surprend pas vraiment par son design. Très proche de son grand frère, il reprend quasiment les mêmes dimensions ( écran 5.5″ oblige ) .
On retrouve le même dos granuleux mais on constate assez rapidement que le téléphone est esthétiquement plus lourd. La face arrière bombée attise la curiosité mais n’apporte pas grand chose, au final, le Two est plus épais que le modèle précédent.
Autre déception, malgré une volonté de monter en qualité, la perception est moins bonne…Le constructeur à pourtant utilisé des matériaux plus nobles et on remarque tout de suite le cerclage en aluminium mais cela ne change pas le constat. Il faut tout simplement le dire : depuis le premier produit de OnePlus, les autres ont progressé et la qualité des produits positionnés autour des 400€ a fait un bond en avant ( cf Asus ).
Si globalement le OnePlus Two n’a pas un mauvais design, il ne marque pas les esprits et ne flatte pas spécialement…en fait, il rentre tout simplement dans la norme.
Design et qualité…si le design suivait le grand frère, la qualité a été sensiblement améliorée par le choix des matériaux même si, comme je le disais, cela ne saute pas vraiment aux yeux.
Le cerclage aluminium est la première manifestation de cette montée en qualité mais cela se fait malheureusement au détriment de la finesse du OnePlus 2.
Mais restons objectif, le design de ce OnePlus 2 est tout à fait correct et même satisfaisant pour un produit de ce prix, il ne prend simplement pas le dessus sur des concurrents situés au même niveau.
Le OnePlus Two est annoncé comme un flagship killer. Je l’ai donc pris en main après avoir abandonné de longues semaines d’utilisation d’un Samsung Note 4.
Ma première inquiétude a été l’abandon du stylet…qui en réalité ne m’a jamais manqué, confirmant ainsi les changements de positionnement qu’a opéré Samsung sur ces phablettes ne sont pas si stupides ( arrivée du S6+ )
L’autre inquiétude fut immédiatement l’écran par sa taille inférieure ( 5.5″ contre 5.7 pour le Note ).
Je dois dire qu’en fait, là non plus, malgré une utilisation ultra intensive des emails, web…je n’ai jamais regretté sur ce plan le note 4.
Par contre, la supériorité de la qualité d’affichage du Samsung est indéniable. Il y a évidemment une résolution supérieure sur le Note 4 ( 1440 x 2560 contre 1080 x 1920 pour le « Two » ) mais c’est surtout au niveau de la luminosité que la différence est énorme.
Le Super Amoled de Samsung est vraiment au dessus du lot et le Two souffre de la comparaison, d’autant plus qu’il n’a rien amélioré par rapport à son grand frère ( même écran ) alors que chez Samsung on continue à appuyer dans ce domaine.
En confort d’utilisation, en extérieur, en lecture emails ou même films, la différence est vraiment importante. Ramené à son prix, on va se répéter en disant que le « Two » est tout a fait correct mais si on le compare au haut du panier, lui qui se revendique « Flagship killer »…le bilan n’est pas bon.
C’est le seul endroit où j’ai pu, par moment regretter mon ancien Note 4. pour le reste, le OnePlus Two s’est acquitté sans broncher de toutes les taches les plus variées, avec mon utilisation intensive habituelle.
A aucun moment je n’ai pu constater une vraie différence avec le flagship Samsung. Tout juste l’échauffement du processeur Snapdragon 810 m’a rappelé tout le mal que les critiques pensaient de ce SoC sans pour autant m’en faire un défaut rédhibitoire comme certains le disent.
J’ai apprécié la rapidité d’accroche réseau, la rapidité d’accroche et de réponse du GPS tout comme la fluidité de l’OS dégagé de toute surcouche à l’inverse de la majorité de ses concurrents. Un vrai plus.
Photos, vidéos : n’étant pas spécialement accro sur ces domaines, je n’ai pas constaté de différence énorme avec le Samsung. La vidéo est plutôt de bonne qualité, la qualité des photos est au rendez-vous avec un rendu plus sombre toutefois. La réactivité est aussi en retrait.
Alors qu’avec une batterie de 3300 mAh et un écran, à priori, moins vorace que le super Amoled, je m’attendais à une autonomie record, je n’ai pas vu de différence avec le Note 4…aucun gain donc, la faute sans doute à ce bouillant snapdragon 810 qui transpire trop souvent.
Bref, une bonne journée en usage intensif viendra mettre en berne la batterie. Là encore, c’est dans la norme, un bon résultat pour un produit à 350-400€ mais pas de quoi inquiéter un flagship. Le S6 Edge+ est au dessus par exemple.
Mon agacement principal viendra de la connectique du OnePlus 2, l’USB-C qui doit devenir un standard mais qui ne l’est pas encore, ce qui provoque souvent quelques soucis pour trouver un chargeur dans une voiture, en déplacement…
Enfin, le temps de charge est particulièrement long alors que les dernières générations de smartphones disposant de cette connectique sont sensés apporter un plus sur ce domaine.
Conclusion :
Avec tout la stratégie marketing du hongkongais et l’excellente surprise du « One », on a sans doute trop demandé à ce OnePlus Two.
Ce téléphone est bon voir très bon. En réalité, il ne fait que rentrer dans le rang. Rien ne le distingue véritablement des concurrents sérieux sur ce segment comme Asus. Là où le « Two » nous propose un SoC puissant, le retour de balancier se fait sur l’écran ou encore l’autonomie.
C’est là tout le problème de ce téléphone : à aucun moment je ne l’ai pris en défaut flagrant dans une utilisation intensive comme je le fais pour un Note 4 ou encore un S6+…mais on attendait tellement de lui qu’on oublie son prix pour l’étalonner sur des concurrents deux fois plus chers.
Bref OnePlus est victime de son succès et condamné à surprendre compte tenu de son modèle de commercialisation. Le OnePlus X dont je parlerais bientôt a suivi une voie différente, bénéficiant sans doute des enseignements du lancement du Two.
Reste que l’exercice va devenir de plus en plus difficile pour OnePlus dans l’avenir et qu’un autre lancement « mitigé » ne sera pas pardonné à la jeune marque.
UPDATE : Attention, comme une vulgaire bagnole, les Predator 240 et 360 Rev 1.0 sont rappelés par la marque pour un défaut de conception. Cela ne remet pas en question les qualités mesurées et encore vérifiées du produit et confirme le sérieux de la marque qui entend conserver son image.
Tester un watercooling AIO n’est pas évident. On peut mesurer ses performances, sa capacité de refroidissement, son bruit…tout dépendra encore de pas mal d’autres paramètres.
Je vais donc tâcher de me concentrer sur mon ressenti après l’installation de ce kit sur une configuration à base de 6700K.
NOTE AUX LECTEURS : Cet article ne sera pas une orgie de chiffres, tableaux et autres benchs plus ou moins farfelus. Pourquoi ? Premièrement parce que d’autres le font depuis des années et que je ne souhaite pas leur gâcher se plaisir particulier, ensuite car je crois que même si la performance est un critère important dans le choix d’un kit AIO, les acheteurs qui vont se diriger vers un produit qui tape les 200€ attendent autre chose que des comparatifs au 1/2 degré. Enfin, les experts voir les acharnés de la performances…les VRAIS ne se tourneront pas vers un AIO de ce prix.
Tout d’abord EK a un positionnement élitiste pour tous ses produits, le Predator 240 ne déroge pas à cette règle.
[cfield « pricemesh_1 »]
Ce kit AIO est un véritable petit bijou. De l’assemblage des divers composants en passant par les finitions, le fossé avec ses concurrents Corsair, CoolerMaster et autres est énorme.
Alors évidemment, il ne faut pas perdre de l’esprit que le prix demandé par EK est lui aussi « hors norme », ce Predator 240 se retrouvant entre 199 et 249€ ces derniers temps…lourd pour un simple kit.
Oui mais voilà, ce Predator est un assemblage de composants exceptionnels. Tout d’abord un VRAI waterblock seul ( n’intégrant pas une mini pompe ) et permettant un assemblage plus facile.
Ce waterblock n’est autre que le Supremacy MX, réputée et coûtant à lui seul le prix d’un petit AIO 120…
Avec son top en PVC et sa base en cuivre poli, l’effet est immédiat et on sort clairement de l’image de produit gadget de certains AIO.
Le reste des composants est dans la même veine :
Deux EK-VARDAR F4-120ER qui fonctionnent en aspiration et peuvent monter jusqu’à 2200tpm…dans un silence remarquable.
Un radiateur EK-CoolStream PE intégralement en cuivre ( à l’exception du cadre qui est lui en aluminium )
Une pompe DDC de 6W qui promet un débit important et donc une circulation du liquide entre 2 et 3x plus importante que les autres AIO.
Un petit réservoir, monté à côté de la pompe dans un cadre PVC anti-vibration.
Un plateau de connectiques, à l’opposée de la pompe.
Il faut remarquer que cet AIO est en réalité un assemblage intégral de composants « classiques » de watercooling. Comme il sera possible de vidanger le circuit grâce au réservoir accessible, une évolution du kit par un changement de waterblock, le rajout d’un élément…est donc totalement envisageable.
L’installation du AIO EK Predator 240 ne devrait pas amener à se creuser la tête plus que ça. Cependant, il ne faut pas négliger quelques éléments fondamentaux.
Le Kit EK est, à cet instant, un kit INTEL Only. Pas de support AMD.
Le système de fixation du waterblock implique l’adaptation d’une plaque spécifique comme sur la plupart des systèmes élaborés. Attention au serrage de celui-ci avec les CPU Skylake qui semblent particulièrement fragiles.
Les dimensions de l’ensemble radiateur / Pompe-réservoir sont supérieures à un AIO classique, tous les boîtiers disposants d’un emplacement 240 ne seront pas forcément adaptés.
Dans mon cas, je n’ai pas opté pour la facilité…en prenant un superbe CoolerMaster MasterCase 5, on aurait pu croire que l’installation se serait déroulée comme sur des roulettes…ça n’a pas vraiment été le cas même si tout s’est au final bien passé.
Il est donc important de prendre en compte le gabarit de cet AIO qui n’est pas classique du point de vue de son radiateur.
Si mon montage en face avant est moyennement conventionnel, il permet de monter le kit de manière esthétique et efficace. Le montage en haut, même avec le kit qu’on peut trouver en option, aurait été délicat.
Néanmoins, en découvrant le boitier et ce kit AIO, j’ai pu là encore apprécier la qualité de l’ensemble EK : les tuyaux résistants sans aucun problèmes aux nombreuses torsions et surtout le filetage du radiateur se pliant sans broncher aux multiples montages / démontages…ce que peu de kits peuvent encaisser.
Prétendre que ce kit EK écrase tout sur son passage serait exagéré. Il est évidemment très clairement dans le haut du panier au niveau des résultats obtenus. Ne vous attendez pas à exploser tout les résultats, ce n’est de toute façon pas ce que l’on cherche avec une solution AIO, soyons objectifs.
Les chiffres communiqués par le constructeur se confirment en utilisation réelle. Un à deux degrés par rapport à une Corsair H110 qui se paie 145€…6 degrés sur un Nepton 240M qu’on trouve autour de 115€ avec un 4770K poussé.
Sur le 6700K en question, là encore, la différence est au minimum de 2° et jusqu’à 8° ( en utilisant le même positionnement ).
Encore une fois, le prix du EK est largement au dessus mais on arrive tout de même aux limites d’un kit AIO.
Ce qui m’a le plus frappé c’est le silence de fonctionnement par rapport à ces deux là.
Globalement c’est sur ce terrain que le produit EK impressionne le plus même si les performances sont aussi pour lui.
Ce kit EK est clairement destiné au marché haut de gamme, son prix nous l’indique et la qualité perçue nous le confirme.
L’intérêt principale dans la proposition faite par EK est de disposer d’éléments qui existent déjà et qui sont, la plupart du temps des références ( on pensera notamment au waterblock Supremacy MX ), le tout assemblé dans un ensemble prêt à fonctionner. C’est un gage de qualité et de performances compte tenu de la banque d’organes dont dispose EK.
Evidemment, les arguments de l’évolutivité et de la pérennité sont incontournables. Si l’évolutivité du kit 240 pour ajouter un waterblock GPU est techniquement possible compte tenu du débit et de la puissance de la pompe livrée, j’attends avec impatience d’avoir le Predator 360 entre les mains. Ce dernier dispose d’autres arguments et surtout de plus de coffre pour un refroidissement CPU + 2x GPU par exemple.
Enfin, la pérennité est importante car nombreux sont les kit AIO qui vieillissent mal. La pompe intégrée au WB empêche toute intervention et évidemment le circuit fermé condamne toute maintenance.
Bref, à 200€ la note et salée mais justifiée. Sur le terrain des performances, le produit EK est devant, sur le silence il est remarquable. Mais sa qualité générale, le sérieux de sa construction sont des éléments qui apportent des garanties indiscutables sur la durée de vie de ce kit, au delà de vos changements de plateformes.
Reste maintenant à attendre l’intégration du Predator 360…pendant les vacances.
Le gaming devient de plus en plus un business sérieux. On a parlé il y a quelques jours du rachat de Func par Fnatic, l’opération que s’apprêtent à démarrer Razer et Lenovo est d’une toute autre nature.
C’est une ligne complète de PC gaming co-brandés qui va voir le jour, associant la puissance de frappe du plus gros faiseur mondial d’ordinateurs, toutes catégories confondues avec l’une des marques de périphériques gaming la plus appréciée.
La première production de cette association est exhibée en ce moment à la DreamHack Winter.
Pour le moment, ce premier PC s’articule autour du châssis Y de la marque chinoise, la présence de la touche Razer est pour le moment purement esthétique. Il ne faut pas oublier cependant que Razer a poussé son expertise ces derniers temps dans les logiciels autour du gaming mais aussi dans les châssis avec quelques collaborations ( on pense à NZXT notamment )
Cependant, la montée en puissance devrait être rapide en 2016 et les deux nouveaux partenaires auront pas mal de choses à montrer pour le CES en Janvier.
Il faut noter que Lenovo tente de pénétrer le marché du gaming depuis un moment. Son image « pro » lui collant quand même pas mal à la peau, le géant chinois s’est penché sur d’autres solutions. Il y a quelques temps en effet, des rumeurs sur une éventuelle acquisition de la branche « gaming » de MSI avait été évoquées.
La stratégie du co-branding a le mérite de ne pas éparpiller la force de frappe de Lenovo en se récupérant une nouvelle marque ( le portefeuille commençant à devenir un peu trop épais ).
Le desktop est la première étape mais il y a fort à parier que très rapidement les portables gaming vont devenir un sujet de préoccupations majeurs chez les deux associes.
Un bon clavier, ce n‘est pas facile à trouver surtout quand on voit le nombre de références sur le marché. Cherry MX a essayé de sortir du lot avec leur nouveau MX Board 6.0, un bloc d’acier de 1.6Kg vendu 200€ et qui se veut le clavier le plus rapide au monde.
[cfield « pricemesh_1 »]
Cherry a joué la carte de la sobriété et c’est vraiment une réussite : une boîtenoir, rouge et blanche ne laissera pas indifférent les amateurs des trois couleurs les plus répandues dans le Gaming.
Sur ce MX Board 6.0, on aurait pu attendre un bundle un minimum complet, ici on se limite au clavier en lui même, au repose poignet, un guide d’utilisation rapide et…. c’est tout. Légère frustration lors du déballage mais lorsque l’on sort le clavier de sa petite housse, cette frustration disparaît pour laisser place à une impression de qualité.
La première chose qui impressionne sur ce clavier est sa qualité de finition.
En effet, ce clavier est conçu quasiment entièrement en aluminium brossé d’environ 1.5mm d’épaisseur.
La typographie des keycaps est vraiment très réussie et donne un côté « Gamer » à ce clavier tout en lui gardant un style sobre et classieux. Pour ce qui est des autres points notables sur ce dernier, les keycapslowprofile font que le clavier parait beaucoup plus sage qu’un K70 ou un K95 pour ne citer qu’eux.
Pour finir l’aluminium est vraiment de bonne qualité et cela rendvraiment vraiment bien. Le fait que l’aluminium soit dans sa couleur naturelle ajoute clairement un élément différenciant fort à ce produit.
Retournons maintenant ce Cherry pour voir se qui se cache dessous:
Les deux passe-câbles sont vraiment très utiles et très faciles à installer. J’apprécie vraiment cette attention apportée au cable management, un point très simple mais que l‘on ne retrouve pas forcément sur les autres claviers de la même gamme.
Je reste cependant un peu déçu du système de surélévation du produit, des patins en caoutchouc sont, à mon avis, beaucoup plus résistants sur le long terme, surtout lorsque vous avez tendance à vous énerver en jeu…
Pour continuer ce tour du propriétaire, parlons du système de fixation du repose poignet. Ce système est vraiment, vraiment très agréable pour moi qui alterne souvent entre « avec » et « sans » repose-poignet.
Faites toute fois attention à ne pas mettre des objets qui craignent les aimants comme des montres par exemple.
Bonne transition pour parler du repose poignet en lui-même, ce « petit » accessoire n’est pas uniquement là pour faire joli…il se révèle au quotidien très appréciable.
Sa surface est en caoutchouc, imprimée avec le logo « MX » qui couvre l’intégralité de la surface de ce repose-poignet. Le seul point négatif notable est sa texture très (très) salissante qui se nettoie seulement en la passant sous l’eau.
Le câble de 2 mètres quant à lui est de bonne qualité, tressé et qui ne donne pas une impression « cheap« . À noter que le clavier ne se branche qu’avec un seul port USB mais qu’il ne comporte pas de Hub.
Pour finir, le rétroéclairage est vraiment très puissant et peut être dérangeant si vous utilisez le clavier dans une pièce non éclairée. Heureusement, Cherrya pensé à mettre différents boutons de fonction sur les touches F5/6/7/8/9.
F5 et F6 servent à augmenter ou à diminuer le rétroéclairage de 1% (oui oui, 1%), F7 et F8 servent quant à eux à faire varier de 10% et pour finir F9 sert à couper ou à allumer le rétroéclairage avec une transition de fondu.
Cherry a décidé sur son MX Board 6.0 de ne pas créer de logiciel afin de paramétrer le rétroéclairage ou je ne sais quelle macro, mais de laisser l’essentiel à portée de main et sur le clavier.Les seules fonctions présentes sur ce clavier sont citées précédemment lors du passage sur le rétroéclairage et mais vous pourrez toutefois noter qu’il est possible de verrouiller la touche FN (Fonction) en appuyant sur CTRL+FN. Le rétroéclairage de la touche passera alors de rouge à bleu et idem sur les touches CapsLock, VerrNum et Arrêt Defil.
Point intéressant pour les gamers, il est possible de désactiver la touche Windows en appuyant sur la touche « cherry » situé au-dessus du pavé numérique. Cette touche permet aussi de verrouiller les combinaisons CTRL+ALT+SUPPR, Windows+Tab, etc.... Pour finir, ce clavier est disponible avec des switchs MX Red uniquement.
Realkey N’Key Rollover:
Cette technologiecrée par cherry permet tout simplement de faire une détection analogique et non numérique de l’activation de chaque touche. Elle permet donc de créer un anti ghosting complet et de faire de ce clavier LE clavier le plus rapide au monde. Couplé au keycapslowprofile, la rapidité de ce clavier est encore accrue et le temps de réponse de ce clavier est « seulement » de 1ms. Idéal pour les gamers en soi.
Vendu 200€, ce bloc d’aluminium vaut le détour, si vous êtes un joueur exigeant, vous trouverez votre bonheur avec ce clavier. Son temps de réponse ridiculement rapide pourrait être vu comme inutile pour certaines personnes, maisrappelez vous que c’est grâce à ce genre d’amélioration et d’optimisations que l’on fait avancer la technologie.
Je suis conscient que 200€ est une somme, mais si vous cherchez un bon clavier pour jouer à haut niveau ou simplement pour vous faire plaisir, ce bijou est fait pour vous. Pour ma part, c’est un coup de cœur, son design, sa qualité de finition et son ergonomie en font un clavier quasi idéal. Mais si vous ne pouvez vous passer de touche macro le K95 RGB de chez Corsair, vous attend les bras ouverts. 1ms out de même, bravo cherry…
Beaucoup de réponse pour cette édition de la config du mois ( plus de 200 ! )
Il fallait faire un tri et nous en avons retenu 5. Par avance, nous sommes conscient que ce tri violent va générer des frustrations et déceptions. Nous allons donc modifier le système pour la prochaine fois afin que toutes les propositions soient accessibles.
En attendant, il fallait choisir pour clarifier et c’est à vous maintenant d’avoir la main parmi ces 5 configurations, laquelle est la plus pertinente ?
Nous vous rappelons donc les bases : un PC seul, sans OS mais monté et expédié pour moins de 1000€.
Evidemment les machines ici croisent entre 980 et 999€ !
La configuration finale retenue se retrouvera entièrement détaillée avec les optimisations éventuelles apportées par la communauté.
[supsystic-price-table id=5]
Pour commencer la machine Shockwave mise directement sur du Skylake en version K avec un chipset Z170.
Cette année, pas besoin d’attendre Noël pour se faire plaisir ! Avec le Shockwave X1, vos désirs prennent réalité : un pc abordable aux caractéristiques alléchantes.
Le boitier Corsair Carbide SPEC-01 propose une tour moyenne à petit prix, tout en gardant suffisamment d’espace pour faire rentrer vos composants sans encombre et avec style. Pour l’alimentation, on reste dans la marque aux 3 Mats, reconnu pour sa fiabilité et sa durabilité.
La Corsair CX600M est une alimentation semi-modulaire de 600 Watt. Son gros plus est la certification 80PLUS Bronze qui vous assure un rendement d’énergie supérieure à 80%, c’est votre facture EDF et l’environnement qui vous seront reconnaissant !
Côté stockage, on peut toujours faire confiance à Western Digital et leurs séries Caviar Blue : Rapide, solide et économique.
Pour la carte mère, nous nous tournons naturellement vers ASUS, le numéro un des fabricants de cartes mères dans le monde. La Z170-K sera parfaite pour recevoir toute la puissance que vous allez lui offrir ! Elle dispose de Slots mémoire DDR4 ainsi que des ports USB 3.0 et un USB 3.1 type C (deux fois plus rapide que le 3.0 et surtout… SURTOUT… ce port est réversible donc facilite d’autant plus le branchement des autres périphériques,, magie !!) et accessoirement tout ce qu’il faut pour le reste de la config.
L’Intel Core i5-6600K va venir s’accoupler avec la mère ASUS pour des performances de pointe, notamment grâce à sa fréquence de 3.5Ghz de base et 3.9Ghz en mode turbo ! Un coût légèrement plus haut pour des prouesses supérieures au modèle précédent, nous disons oui. Le Cooler Master Hyper TX3 EVO sera responsable de garder votre bête au frais. Un prix risible comparé à sa qualité de refroidissement !
Le bateau pirate revient pour vous fournir un kit de 2 x 4Go DDR4 2400Mhz pour une rapidité absolue et un prix abordable. Avec ça, vous n’aurez plus le droit de sortir l’excuse « »je rame » » si vous vous faites tuer par un noob sur Battlefied 4.
Le clou du spectacle : La GTX 960 de Gainward. Cette carte graphique vous permettra de profiter des joies en Full HD de la maison close sur The Witcher 3. Ce beau parallélépipède rectangle noir aura la puissance nécessaire pour faire tourner n’importe quel jeu : pour le plus grand plaisir de vos rétines, avec un rapport qualité/prix excellent : pour le plus grand plaisir de votre porte-monnaie.
Pour résumer, cet ordinateur apportera toutes les garanties qu’un gamer est en droit de réclamer. Sa fluidité et ses performances ne vous laisseront qu’une seule interrogation : pourquoi ce pc était si peu cher ? »
La machine YOSUGA444 est, elle aussi en skylake mais son concepteur a décidé de gratter un peu partout afin de mettre le paquet sur la carte graphique.
Ainsi, une B150 suffira et on se passera du lecteur optique. En Cherchant bien, notre ami arrive donc à nous caler une GTX 970 dans sa config…qui se veut néanmoins, sans SSD, orientée vraiment gaming.
Voici ses explications.
Processeur : efficace, consommation réduite, moins besoin de refroidir.
Carte mère : Chipset B150 mais pas besoin de plus, capable de faire évoluer la config, bon rapport qualité/prix. La Gigabyte GA-B150M-D3H est donc le choix sur ce PC…mais on restera sur du MicroATX
Refroidissement : Le Hyper 212 Evo est pas cher, efficace, silencieux, facile à monter, je continue 😉
Ram : De la DDR4 à petit prix provenant d’un grand constructeur.
Carte graphique : une 970 « pas chère » en attendant les nvidia pascal…il faut donc se servir chez inno3D pour bénéficier d’u bon prix sur la GeForce GTX 970 4GB OC.
Stockage 1 : un grand classique en plus un taux de retour des composants le plus faible de la catégorie : le Western 1To 7200t.
Stockage 2 : pas de SSD de base mais facile à rajouter plus tard.
Lecteur Optique : Franchement, pourquoi faire ? au pire un lecteur DVD externe…
Boitier : Design sobre, filtre anti poussière avant et dessous lavable facilement, silencieux, bon prix, le Cooler Master Silencio 352 fera l’affaire.
Alimentation : avec une base Seasonic et un rapport qualité/prix imbattable, l’alimentation LDLC est effectivement un choix judicieux.
Le concepteur de la config Sev a lui décidé de rester sur du Haswell.
Pour le couple carte mere /CPU, j’ai choisi un i5 4690 couple a une MSI H97 Gaming 3, ce qui suffit largement pour du jeu, l’overclocking étant une option qui coûte assez cher, et qui n’est que rarement utilisée
Pour refroidir tout ça, on rajoute un Cooler Master Hyper T4, qui suffit largement vu que le processeur ne sera pas overclocké.
Afin de jouer dans de bonnes conditions, j’ai pris une MSI R9 380 Gaming 4Go. Les 4Go de VRAM éviteront d’être bloqué sur de gros jeux, et DX12 apportera un gain de puissance non négligeable pour les GPU AMD
Pour la RAM, j’ai pris 2x4Go en DDR3, ce qui suffit largement pour la plupart des gros jeux, mais surtout avec en CAS9.
Pour le stockage, j’ai choisi un Kingston HyperX Fury de 120Go en tant que stockage principal, ayant eu de bons retours sur ce dernier, et surtout ayant des débits tout a fait corrects.
120Go suffisent largement pour installer Windows, et meme rajouter un ou deux gros jeux dessus.
J’ai mis à cote un Western Digital Blue 1To, utilisant ce modèle depuis longtemps, j’en suis particulièrement ravi.
Les 1To permettront d’installer sa bibliothèque steam sans trop craindre d’être a court de place, et même de stocker quelques séries ou films
pour l’alimentation, j’ai pris une Cooler Master G550M, tout d’abord car elle fait 550W, ce qui suffit pour alimenter l’ensemble (AMD recommandant d’avoir une alim 500W pour la 380), ensuite car elle est certifiée 80+ Bronze, et enfin car elle est semi-modulaire, ce qui pour moi est une obligation dans une config a 1000€, car cela permet d’avoir un câble management correct, et donc un meilleur flux d’air.
Pour le boitier, j’ai choisi un Corsair Carbide Spec 01, déjà pour son look, qui permet d’avoir une config avec un aspect gamer, mais sans tomber dans le tuning comme avec le Z11+, et ensuite car ayant déjà monté quelques configs dans ce boitier, j’ai trouve le câble management très bon pour un boitier a ce prix.
La machine Waxou repose elle aussi sur du Skylake, homogène, c’est cependant sa petite alim de 430W qui interpelle…
Boîtier Corsair Carbide 200R choisi car meilleur rapport qualité montage/prix + côté sobre très intéressant pour une config type.
Carte mère Gigabyte GA-Z170-HD3P pour les fonctionnalités BIOS au complet, la robustesse et le SAV de la marque.
Intel Core i5-6400 pour être sur une configuration musclée de dernière génération, accompagné par un BeQuiet Pure Rock qui est le meilleur ventirad de sa catégorie en rapport perfs/silence/qualité/prix.
8 Go (2×4 Go) de RAM DDR4 Kingston pour la fiabilité de leurs RAM et la qualité de fabrication. Carte graphique MSI Radeon R9 380 OC 2Go choisie car sa tranche tarifaire est intéressante par rapport à la concurrence et cela permet d’axer cette config type vers du gaming sérieux à moins de 1000 €.
Disque SSD Kingston HyperX Fury car son prix est vraiment intéressant. 120 Go de quoi installer quelques applications lourdes et des jeux. Seagate 1 To pour le stockage des données, une valeur sûre. Graveur DVD Samsung entrée de gamme qui rentre tout juste dans le budget ! A 25 cts près. Pour alimenter le tout, une BeQuiet Pure Power modulaire de 430W de bonne facture, non surdimensionnée pour la config. Montage intégral chez le revendeur à 49,95 € + 27,95 € de livraison. Total de 998,75 € sans OS.
Lorax tape fort en proposant un i7 Skylake et en plus le 6700.
J’ai voulu faire une configuration moderne disposant d’une base solide pour évoluer et surtout pour s’inscrire dans la durée.
Pour la carte mère, on est sur une excellente Gigabyte H170-HD3 qui permet de disposer de l’essentiel et plus encore.
Le refroidissement sera confié au Be Quiet ! Pure Rock qui est sans conteste le meilleur rapport qualité prix du moment.
Pour le stockage on retrouvera un SSD 120Go Kingston Now V300 couplé à un disque mécanique Western 1To…un bon équilibre.
La partie graphique sera confiée à une MSI R9 380 Gaming 4Go bien plus à l’aise qu’une GTX960
Enfin l’aspect esthétique sera confié à un sobre ( simple ? ) Cooler Master Elite 310 et une Fortron Hyper 600W qui dépasse les 80% d’efficacité…et dispose de 5 ans de garantie.
C’est donc avec une configuration très homogène que nous terminons cette sélection de machines.
Le nouveau châssis de MSI fait des merveilles sur le refroidissement permet d’encaisser de la puissance sans sourcilier.
La version que j’ai à ma disposition est une mise à jour musclée du GT 72.
Si par rapport à la version testée il y a maintenant presque une année, la GTX980M est toujours là, la qualité de l’affichage se retrouve renforcée par la présence de la technologie G-Sync de Nivida et par un processeur Broadwell-M, gravé en 14nm, le i7 5950HQ.
En l’état, ce processeur i7 5950HQ permet d’obtenir d’excellentes performances sur un PC portable. En effet, sans bricolage ni optimisation, on est quasiment au niveau d’un i7 4770K desktop.
Même si une autre génération de CPU pointe déjà le bout de son nez, il est intéressant de remarquer le bond en avant effectué en terme de performances. Le tout combiné à l’excellente GTX 980M permet d’installer le GT72 comme une solution incontournable pour les joueurs exigeants.
Le gain de performances est significatif mais ce qui est bien plus frappant c’est le dégagement thermique de l’ensemble. En sollicitant le CPU et le GPU, je ne suis pas arrivé à dépasser les 60°c sur l’un des deux composants…même durant de bonnes cessions OCCT ou autres.
Le confort d’utilisation fait clairement un bond puisque le niveau sonore en pleine charge est tout a fait raisonnable compte tenu de la puissance.
On profite là de l’excellente propension du châssis GT72 à dissiper la chaleur et évidemment de la baisse de température du Broadwell-M.
Un autre atout de ce GT72 est apporté par Nvidia avec son G-Sync.
Le G-Sync sur portable a d’abord fait l’objet de quelques polémiques; certains bidouilleurs arrivant à l’activer sur une série Asus…l’idée était de démontrer que le G-Sync sur PC portable n’était qu’une simple astuce software.
Nvidia n’a jamais prétendu que son G-sync mobile impliqué un composant hardware contrairement à ce que l’on retrouve sur les moniteurs. Le G-Sync est ainsi la combinaison d’un GPU optimisé, des drivers avec des fonctionnalités spécifiques et d’une dalle sélectionnée.
En embarquant G-Sync sur ce GT72, la promesse faite aux joueurs est d’éviter à la fois le déchirement et de réduir les chances d’observer des saccades. Si sur les écrans PC, Nvidia a introduit un scaler maison, sur portable, la recette est donc différente.
On a donc bien compris que tout est dans la dalle et la validation de Nvidia pour activer G-Sync implique donc l’utilisation de dalles capables d’afficher 75 images par seconde.
Dans la réalité, G-Sync semble encore plus bénéfique aux PC Portables qu’il ne l’est aux PC desktop. Un vrai confort d’usage est constaté immédiatement dans les jeux et pour quelqu’un qui investit une grosse somme sur un portable pour jour, cette technologie me semble incontournable…j’insiste, encore plus que pour un moniteur de PC fixe.
Mais l’autre qualité de se GT72 se situe dans ses entrailles. L’évolutivité, la maintenance, voilà des mots qui engendre la grimace normalement quand on parle de pc portable…le GT72 limite tout ça.
Comme pour l’ensemble des déclinaisons, le châssis haut de gamme de MSI permet d’avoir accès rapidement aux éléments clés du PC.
Le système de refroidissement du GT72 peut se démonter intégralement en 5 minutes. Pour un simple nettoyage, les deux ventilateurs sont déposés en moins de 30 secondes.
Reste l’évolutivité, notre version est équipée de 16Go d’origine mais laisse disponible deux emplacements pour doubler la quantité de DDR3…
Côté stockage, on remarque le double emplacement pour disques 2.5″ et le système pour le Raid SSD.
Une autre curiosité de ce GT72 est le « berceau » utilisé pour le raid de SSD ( en port M.2 ).
La carte fille permet de recevoir 4 SSD mais les performances avec l’équipement d’origine sont déjà excellentes avec des débits en lecture supérieurs à 1000Mo/s.
Globalement, la version de ce m’a conforté dans plusieurs impressions :
Le châssis MSI est particulièrement bien né et l’arrivée des nouveaux CPU va encore lui profiter en terme de ventilation mais aussi d’O/C comme cela sera possible avec les i7 de 6ème génération.
La technologie Nvidia G-Sync est vraiment un gros plus pour un portable gaming. Cependant, son surcoût est, à cet instant, non négligeable.
Tout d’abord car l’effort de montée en qualité de MSI sur ses gammes est vraiment constant et cela se fait avec chaque fois des gains palpables pour le client final ( intégration rapide des nouvelles technologie, gros efforts sur la qualité perçue..)
Enfin, si Asus a pendant longtemps était incontournable sur le portable gaming, aujourd’hui les solutions proposées par MSI n’ont absolument rien à lui envier.
Gageons en conclusion qu’avec un châssis qui est maintenant à maturité, MSI va pouvoir balayer une large palette de prix pour la fin de l’année, là où son concurrent devrait arriver…au mieux à la bourre, au pire avec une gamme clairsemée.
Faire original avec un boitier est à la fois simple et complexe. Bitfenix se débrouille plutôt bien avec cet exercice qui consiste à apporter de l’originalité en ce qui concerne le design et continuer à améliorer les fonctionnalités d’un châssis pour en faciliter l’utilisation et étendre ses possibilités.
Le Bitfenix AEGIS est un Micro ATX qui se veut ainsi original et innovant en ce qui concerne son aménagement intérieur et ses capacités d’évolutions.
Affiché au dessus des 100€, le BitFenix AEGIS n’est pas un boitier bon marché, regardons déjà si, une fois son carton enlevé, il est capable de nous séduire.
[cfield « pricemesh_1 »]
La première surprise avec ce boitier c’est sa taille. Pour un micro ATX il se retrouve avec les mêmes dimensions que certains ATX. On se retrouve quasiment sur les cotes du Corsair 330R .
Deuxième surprise : la façade du Bitfenix AEGIS ne permet pas de loger un lecteur optique. Pas vraiment un drame de nos jours mais les constructeurs « osant » supprimer cet accessoire antédiluvien se font rares…
Une fois ces deux surprises passées, il nous faut nous prononcer sur l’esthétique de ce boitier. Une nouvelle fois BitFenix ne se contente pas de copier ou de suivre des voies classiques, il faut bien le reconnaître.
La façade « miroir » de l’AEGIS donne un côté futuriste au châssis. Les lignes restent cependant épurées et on remarque tout de même rapidement que de nombreuses possibilités de refroidissement s’offrent à la personne qui porte son choix sur l’AEGIS pour monter son PC.
C’est sans doute le premier constat sur ce boitier : malgré une capacité limitée aux cartes mères MicroATX, les possibilités de ventilations, de logements de disques, de greffes d’une solution watercooling ( AIO ou complète ) sont énormes.
Le fait que Bitfenix propose son AEGIS en plusieurs déclinaisons de couleurs est clairement un bon point qui contribue à positionner son boitier comme une solution originale d’intégration.
Maintenant, une fois ce constat fait, une fois la large fenêtre plexi du panneau latéral appréciée, il n’en reste pas moins que nous sommes sur un boitier en acier avec beaucoup d’habillage plastique…là encore, sur une prix au dessus des 100€ la comparaison avec le Carbide 330R de Corsair est délicate.
Sans être catastrophique, la qualité perçue n’est pas à l’avantage du BitFenix ici.
On rentre là dans un constat délicat : la qualité de fabrication de ce BitFenix AEGIS ne souffre d’aucun défaut rédhibitoire MAIS compte tenu du prix demandé, on est en attente de plus.
Car oui, la qualité perçue c’est une histoire de choix de matériaux ( ici de l’acier et du plastique ) et il faut le reconnaître, les nombreux plastiques et une peinture type carrosserie auto sont pour moi des éléments en contradiction avec le prix demandé.
Il est vrai néanmoins que cette tendance se généralise et le AEGIS malgré l’utilisation d’acier et de plastique à gogo, n’est pas un « viol » au regard de ses concurrents. L’Aerocool XPredator Cube ou encore le Cooler Master CM 690 III ( Full ATX ) ne proposent pas une qualité de fabrication supérieure.
Sans doute les couleurs et le plastique me posent un problème…pourtant, je n’avais pas eu ce feeling avec l’Aerocool DS Cube Orange que j’ai monté. Ce dernier malgré des couleurs pétantes au catalogue, dispose de panneaux recouverts de soft touch qui contribuent à donner une sensation de qualité que l’on ne ressent pas pour l’AEGIS.
Le point fort de ce BitFenix AEGIS c’est bien l’ensemble de ses fonctionnalités.
Tout d’abord l’essentiel : le montage du boitier est extrêmement facile et simplifié par les nombreuses possibilités d’accroches et les solutions proposées pour le refroidissement.
Le AEGIS permet ainsi d’embraquer une grand quantité de disques…logés dans de multiples endroits.
Les possibilités de dégagement afin de réaliser un montage propre sont nombreuses .
Mais c’est clairement quand on veut installer un watercooling que le AEGIS dévoile tout son potentiel.
Un radiateur de 360 est ainsi acceptée sur le dessus même si la découpe de l’ouverture n’est pas optimale.
Il en va de même sur la face avant.
Par contre, les connecteurs de l’écran LCD ICON de la face avant sont pénalisant pour l’installation du ventilateur du haut…il faut même objectivement oublier ce montage.
[cfield « pricemesh_2 »]
Un seul ventilateur de 120mm livré avec l’AEGIS mais tellement de possibilités… Evidemment le châssis permet d’équiper son PC d’un watercooling AIO de 240 mm sans problème mais il ouvre surtout la porte à des solutions plus élaborées.
Dans les accessoires livrés, on reconnait la visserie traditionnelle et les glissières pour HD mais on constate aussi que le nécessaire est là pour fixer une pompe, un réservoir…le tout permettant d’envisager un watercooling complet de la machine.
Enfin, il reste l’écran ICON de la face avant qui vient rendre intéressante la façade plastique laquée, aimant la poussière et les empreintes digitales.
Le principal attrait de ce gadget vient du fait que sa programmation est open source…ce qui pourrait, sur le papier, donner autre chose que des changements de logos.
On peut donc envisager des remontées d’informations en provenance de la carte mère par exemple, qui s’afficheraient sur cet écran LCD… Pour le moment néanmoins, pas grand chose mais BitFenix a décidé de placer un écran dans le même esprit sur son Pandora donc il est envisageable de voir quelques développement autour de ça.
Le BitFenix AEGIS est un boitier exclusif.
Cela peut sembler paradoxal mais c’est clairement le cas. Si son design peut perturber, cela ne remet pas en cause sa qualité de fabrication ni l’originalité que la marque s’attache à appliquer à chacun de ses produits.
Cependant, avec un prix juste au dessus de 100€ pour un châssis micro atx, l’AEGIS a une sacrée concurrence en face de lui.
Son design tranché, son gabarit imposant ne font pas de lui un produit consensuel comme on en retrouve chez d’autres marques.
Par contre, à partir du moment où vous vous orientez vers un PC qui va être watercoolé et dont l’objectif est d’exploiter des composants tournés vers la performances, alors l’AEGIS devient incontournable.
Les petits budgets s’orientant sur un AIO pour watercooler leur CPU pourront renforcer facilement l’ensemble avec des ventilateurs performants à monter sur la face avant et les amateurs de refroidissement liquide intégral pourront s’en donner à cœur joie avec des radiateurs importants.
Dans ces conditions, l’AEGIS est un choix quasi sans concurrence pour du Micro ATX.
Nvidia a mené un petit meeting, en comité restreint il y a quelques jours.
On sait que la roadmap des verts va essentiellement concerner Shield sur la fin d’année mais il semble cependant que la famille des GTX va s’élargir dans les prochains jours.
En effet, d’après plusieurs sources, Nvidia va lancer très prochainement une nouvelle carte sur le marché. A cet instant, on pense à une réponse à la prochaines Fury X2.
Nvidia serait donc sur le point de replonger dans la carte dual GPU. Un dual Maxwell pour couper l’herbe sous le pied à AMD.
On pense donc à une nouvelle Titan qui serait équipée d’un double GM200 et 8Gb de Vram.
Logitech commence le renouvellement de sa gamme de casques.
Avec le Logitech G633 Artemis Spectrum, le renouvellement se fait par le haut car, jusque là, on ne trouvait pas dans la gamme du constructeur, un casque gaming filaire à plus de 160€…
160€, le chiffre est lâché et, il faut bien le reconnaître, la pilule est difficile à avaler comme ça, à chaud…Avec ce niveau de tarif, Logitech se place en face des StellSeries 9H, Roccat XTD 5.1…et surtout Sennheiser G4ME ONE qui apporte à son acquéreur éventuel certaines garanties en terme de qualité de son.
Logitech est donc ambitieux et visiblement pleinement conscient de cette concurrence. Si l’approche gaming de la gamme G est globalement une réussite depuis quelques mois, c’est avec l’argument de la qualité d’écoute que ce G633 veut convaincre.
Nous allons donc nous attarder sur ce nouveau casque, tout en le comparant évidemment à ses petits camarades qui s’étripent autour des 160€, en rappelant les principaux atouts que Logitech souhaite mettre en avant :
Un son surround Dolby 7.1 et une qualité audio supérieure
Rétro-éclairage personnalisable avec une palette de 16.8 millions de couleurs
Trois touches G programmables
Mixage multi-source
Microphone anti-parasite rétractable
Compatible PC, PS4 et Xbox One
[cfield « pricemesh_1 »]
Cohérence sera sans doute le mot le plus utilisé dans ce petit tout d’ensemble du G633. On va donc commencer à l’utiliser pour le design.
Design
Pas de grosse évolution par rapport à la gamme qu’on connait tous. Pour ma part je vois une certaine évolution mais pas une rupture par rapport au G930 que j’utilise avec satisfaction depuis maintenant un petit moment.
Je dois cependant reconnaître que je trouve le G633 plus « lourd » esthétiquement, sans que cela ne soit nécessairement choquant.
L’autre élément différent est bien entendu la présence des panneaux latéraux amovibles et des leds RGB permettant une « customisation » importante du G633.
Ces petits panneaux sont fixés par des aimants et se démontent ( perdent ? ) facilement. Il existe déjà sur internet des plans pour réaliser des « implants » à l’imprimante 3D afin de remplacer ces derniers et donner une touche personnelle à son casque.
Le rétroéclairage led étant dans l’autre partie du casque, cette petite customisation ouvre la voie à pas mal de possibilités pour jouer avec la lumière et la matière des capots « maisons ».
Evidemment, la customisation led se fera par le logiciel GS de Logitech. Comme on dispose de leds RGB, toutes les combinaisons sont possibles.
Qualité de fabrication
Fidèle à sa réputation, le G633 est bien conçu. Cependant, en comparaison de celui qu’il doit remplacer, le G35, je ne peux m’empêcher d’être un poil déçu.
Le G633 est entièrement en plastique y compris pour son armature. C’est léger à tous les sens du terme. Au regard du G35 plus vieux et que l’on trouve encore sur le marché pour 30 à 40€ de moins, on a clairement une impression de régression en matière de qualité.
Bref, j’attendais mieux au niveau de la qualité et il faudra voir comment se comporte ce G633 dans la durée.
Le choix d’une structure 100% plastique était dans mon esprit un calcul uniquement destiné à privilégier le confort de l’ensemble.
Si au niveau de la légèreté il y a un tout petit mieux, je reste perplexe en ce qui concerne les écouteurs et la pression qu’exercent ces derniers sur les oreilles. Cette sensation dépendra évidemment de la forme de la tête de l’utilisateur final mais clairement, je constate un net recule en matière de confort par rapport au G35 ou au G930.
Il en va de même concernant les mousses qui semblent d’une qualité inférieure. Le contact avec celles-ci est moins « feutré ».
Enfin, le design de l’arceau du casque avec ce décroché qui plonge les écouteurs vers l’arrière, ne facilite pas le confort…là encore, rapporté à la forme de ma tête évidemment.
Par rapport à la concurrence et surtout à l’ancienne génération, c’est une vraie déception. Porter le G633 ne sera évidemment pas une torture chinoise mais il est évident qu’un essai s’impose et que la contrainte exercé par l’arceau est à prendre en compte…notamment par ceux qui portent des lunettes.
[cfield « pricemesh_2 »]
Je suis équipé depuis de longues années en AKG. Attention, je parle d’AKG pour l’écoute musicale. Je suis un fan d’audio mais je ne me définirais pas comme un audiophile. J’aime la musique, je sais différencier mon installation « Home Cinéma » de celle destinée à l’écoute audio. Un dernier point, je ne suis pas fan de rap et autres bruits de fond, ce qui ne fait pas de moi non plus un adorateur de l’Opéra.
Bref, ce tableau étant posé, il est évident que je constate clairement que les casques gaming sont rarement bons pour l’écoute audio, le rendu cinéma…
La promesse de Logitech est de rompre avec ce constat que n’importe quelle oreille qui n’a pas été nourrie au 100% rap et autres peut faire.
Avec ses transducteurs audio Pro-G, Logitech annonce avoir trouvé la solution. Si au début la marque parlait d’une cible audiophile, la communication finale est plus nuancée et tourne autour de la qualité cinéma, du 7.1 et DTS X…
Et c’est clairement une réussite. La qualité d’écoute est excellente, se rapprochant de casques audio dépassant les 200€. Si les basses s’échappent un peu compte tenu de l’architecture du casque, les aiguës et medium disposent d’un rendu excellent. La virtualisation du 7.1 est satisfaisante et globalement, le G633 procurera une restitution sonore au dessus du lot dans tous les compartiments d’utilisation.
Jeux, cinéma et écoute, le G633 permet une polyvalence que les autres, au même niveau de prix, n’ont pas.
Le micro est presque difficile à trouver…si on ne sait pas que c’est un casque gaming, on viendrait presque à oublier qu’il existe.
Replié et entièrement caché, il se fait discret mais est d’une excellente qualité : conversations skype, jeux ou même conversations téléphoniques , le rendu est excellent avec une réduction des bruits parasites relativement exceptionnelle.
Le micro peut se déplier et ainsi s’adapter facilement. Le fait de le replier coupe le son, comme chez ses prédécesseurs.
Le logiciel Gaming System de Logitech s’améliore à chaque sortie. Pour ce qui est de la reconnaissance du casque : aucun problème particulier. Mais avec le GS, le G633 devient personnalisable à tous les niveaux : son, fonctionnalités et esthétique.
Tout d’abord, l’éclairage RGB des leds permet d’utiliser une palette de 16.8 millions de couleurs et de faire varier les manières dont les couleurs s’allument ( affichage fixe, clignotement, « pulsation »…tout est possible ).
Les 3 touches programmables permettent d’assigner des macros ou encore des profils audio différents. Profils audio qui peuvent aussi, par l’intermédiaire du logiciel, être fixés par rapport au jeu en cours. Ainsi, on pourra définir des réglages propres à un jeu, avec tous les paramétrages de mixage possibles et les assigner automatiquement au G633 lors du lancement du titre en question.
Mais l’autre point fort du G633 c’est de pouvoir s’adapter à toutes les plateformes : PC, Xbox one ou PS4 en passant aussi par le téléphone portable…permettant ainsi de prendre une conversation tout en restant dans sa partie.
Vous l’aurez compris que Logitech G633 n’est pas un casque parfait.
Compte tenu de son prix, sa faiblesse au niveau du confort pourrait se révéler problématique pour certains. C’est donc un casque a essayer avant d’acheter.
Une fois cette réserve intégrée, sans être parfait, le Logitech G633 se place au dessus de la concurrence tout simplement par sa cohérence.
Un achat de raison en fait. Un produit polyvalent, conservant les qualités qu’on connaissait chez ses grands frères et rajoutant une large palette d’utilisation.
L’écoute audio est sans aucun doute le grand bond en avant. Sans révolutionner le genre et bousculer des solutions audiophiles ( plus chères il est vrai ), le G633 apporte une qualité d’écoute que n’ont pas ses petits camarades qui se battent entre 150 et 200€.
Face au Razer Tiamat 7.1, le G633 se détachera par la qualité de son micro et un son plus clair et homogène. Si on lui oppose le Sennheiser G4ME One, il péchera sur le confort mais se rattrapera sur le terrain de la connectivité multi-plateformes, sera au moins aussi bien sur le rendu…et plus efficace en environnement bruyant ( Lan.)
On savait qu’Acer avait misé gros sur le gaming pour cette année 2015.
Un exercice difficile car la marque, malgré des produits aux atouts indiscutables comme le fabuleux 28″ Predator XB280HK, n’est pas franchement attendu avec des fleurs par la communautés des joueurs.
La faute sans doute à une longue présence sur les rayons de nos grandes surfaces, le moyen à coup sur de se coller une image low cost et pas vraiment au niveau d’un Asus, Alienware ou encore MSI.
Acer a bien conscience de tout ça et accélère le mouvement.
Au delà des produits « traditionnels » de la marque, la gamme gaming de la marque est tout simplement exceptionnelle. Il est effectivement rare de voir un constructeur déployer en quelques mois une gamme d’une telle profondeur.
Tablette Predator 8 GT-810
Tout d’abord, nous avons le droit à la tablette Predator 8 GT-810 ; elle fait partie des dernières nouveautés de la série Acer Predator Sous son mince capot en aluminium brossé, la GT-810 animée par le tout récent processeur Intel® Atom™ x7, tourne sous Android 5.1 et offre la technologie sans fil de pointe MIMO 2×2 MIMO. Cette tablette 8″ vient donc se placer en face de la Shield de Nvidia.
Avec ses quatre haut-parleurs frontaux « Predator Quadio » et sa dalle IPS épaulée par un système de retour de force, c’est un produit ultra agressif en terme de look et qui dispose de quelques arguments.
Avec un prix TTC conseillé 349€ et son look accrocheur, cette tablette pourrait trouver sa place. Reste à connaitre son autonomie; la tablette arrivera chez nous en Octobre.
Une gamme qui s’étoffe sur les moniteurs.
Acer avait déjà ouvert le terrain et la marque accélère là aussi avec l’arrivée de deux nouvelles séries au sein de sa gamme de moniteurs gaming Predator avec technologie NVIDIA® G-SYNC™, les Predator incurvés série Z, ainsi que la série Predator XB1 à dalle plane.
Le Predator Z35 est un 35″ Curved avec une résolution de 2560 x 1080 pouvant disposer d’un refresh jusqu’à 200Hz. Très esthétique, il est aussi équipé de hauts-parleurs performants…néanmoins la résolution proposée me laisse sceptique.
La série Predator XB1 revient elle à des dalles planes de 27 à 28″, toujours en G-Sync, les de 27 pouces (XB271HK / XB271HU) comportent tous une structure sans cadre ZeroFrame encadrant une dalle IPS de résolution UHD 4K (3840 x 2160) ou WQHD (2560 x 1440) . En outre, le XB271HU accepte des fréquences de rafraîchissement jusqu’à 144 Hz. Le modèle de 28 pouces (XB281HK) se compose d’une dalle UHD 4K avec un temps de réponse GTG (gris à gris) n’excédant pas 1 ms.
Predator G3 et G6
Les desktops Predator G3 et G6 avec leur châssis en forme d’armure sont connus mais la gamme s’étoffe là aussi. Nous en avions déjà parlé ici.
Le gros morceau reste néanmoins la gamme de PC portables qui affiche vraiment quelques belles bêtes capables de rivaliser, d’un point de vue esthétique tout du moins, avec les ténors du marché.
Les portables Predator 15 et 17
Equipés de la nouvelle génération de CPU Intel, ces portables sont évidemment positionnés sur le haut de gamme. On voit ainsi apparaitre un i7-6700HQ épaulé par de la DDR4 et une GTX980M.
Les châssis présentent eux aussi leur lot de technos exclusives comme le Predator FrostCore, une conception exclusive à trois ventilateurs pour évacuer la chaleur et assurer fraicheur et silence.
On remarque aussi la présence d’USB 3.1 Type C ainsi que de la technologie Killer DoubleShot Pro permettant de combiner wifi et Ethernet.
Enfin, les dalles sont aussi à la fête avec du 4K, du G-Sync et…du 1080P évidemment.
Cette gamme semble particulièrement séduisante avec de jolies bêtes en 17″ entre 1500 et 1799€.
Avec l’AOC G2460PG, on va dire que les choses se simplifient un poil. Cet écran est dédié aux joueurs d’abord et nous allons voir pourquoi.
Équipé de la puce G-Sync qu’on commence à voir de plus en plus, AOC arrive avec une solution économiquement plus douce que le Acer Predator XB280HK que nous avions testé.
Avec une diagonale de 24″ et une résolution qui se limite au 1080P, le AOC G2460PG s’adresse donc à un public plus large.
Voici une petite synthèse de sa fiche technique :
La dalle est matte avec une pellicule anti-reflet et le moniteur reprend ce que l’on trouve sur les produits concurrents à savoir un pied articulé avec de nombreuses possibilités pour le réglage en hauteur, la rotation…on trouve là les mêmes facilités que sur la série XL de BenQ et c’est un point positif.
Enfin, il faut aussi remarquer que malgré ce pied articulé, le AOC G2460PG peut être fixé en VESA.
Si la taille 24″ pouvait laisser espérer une compatibilité avec les consoles pour les joueurs compétitifs de FPS, nous sommes malheureusement là sur la première génération G-Sync qui ne permet qu’un raccordement au moyen d’un Display Port. Il faut comprendre que cette limitation est plus de l’ordre commerciale ( Nvidia voulant restreindre le G-Sync à une certaines catégories de cartes ) que technique.
Pour qu’il ne soit pas seul, le connecteur DisplayPort est accompagné d’un HUB USB 3.0 4 ports dont un permettant la recharge rapide d’appareils Usb.
[cfield « pricemesh_1 »]
AOC n’est pas la marque à laquelle on pense quand on parle de design…c’est un jugement un peu rapide car le constructeur dispose de produits aux designs sobres et élégants. Pour ce G2460PG, AOC n’a cependant pas fait d’effort particulier. Sobre lui aussi, il bénéficie d’un liseré vert pour rompre avec une ligne (trop ?) classique pas franchement « gaming ».
Qu’importe, à moins de 370€, ce 24″ ne dénotera sur aucun bureau et de toute façon, il dispose d’autres arguments beaucoup plus convainquant.
Qualité de fabrication.
Rien à dire sur l’AOC G2460PG en ce qui concerne sa qualité de fabrication. les matériaux utilisés sont en rapport avec le prix et la qualité des plastiques n’amène pas de commentaire particulier. On notera que la marque n’a pas cédé au noir brillant pour le plus grand bonheur de ceux qui manipulent régulièrement les réglages de leur moniteur.
On regrettera cependant le bloc d’alimentation externe toujours pénible et inesthétique mais qui permet néanmoins de se rassurer en cas de surtension ou autres problèmes électriques en envisageant un simple changement de cet élément.
L’ergonomie de cet écran est excellente. On doit ce constat tout d’abord à son pied multi-positions permettant le mode portrait et toutes les orientations possibles et imaginables. Il faut noter que la mise en oeuvre de cet AOC G2460PG se fait en quelques secondes. Au déballage, une simple vis sous le socle et l’écran est utilisable immédiatement.
Le mécanisme d’articulation est fluide et inspire confiance, la base de l’écran est stable ne procurant ainsi aucune inquiétude quand on bascule l’écran pour accéder, par exemple, aux ports USB.
En ce qui concerne les boutons de réglages, on fait là aussi dans l’efficace. L’accessibilité est parfaite et on va très vite à l’essentiel sans être pollué par des sous menus gadgets. Le mode Ultra Low Motion Blur ne nécessite pas, par exemple, d’appuyer 20 fois pour être opérationnel : un simple bouton permet d’activer cette fonctionnalité qui permet d’apprécier clairement ce qu’apporte G-Sync à votre moniteur.
En plus du G-Sync, la fiche technique de l’AOCG2460PG annonce clairement la tendance : la réactivité sera son argument n°1.
Et c’est clairement le cas: de tous les écrans testés depuis plus d’un an, je pense que c’est celui qui dispose de la meilleure réactivité. Même en s’usant les yeux , pas moyen de traquer le moindre reverse ghosting ou encore un petit décalage…diagnostique confirmé par des joueurs FPS compétitifs.
L’autre point fort de cet écran se retrouve dans une utilisation plus conventionnelle. En sortie de carton, le confort procuré par les réglages d’origines est tout simplement excellent. Traditionnellement les écrans gaming ne sont pas à la fête pour le rendu des couleurs, en comparaison de produits similaires pourtant plus chers, notre AOC s’en sort particulièrement bien.
Evidemment, pour exploiter pleinement cet écran, il faudra une carte Nvidia et une dernière génération ( avec du Display Port évidemment ). Si vous faites abstraction de cette contrainte, cet AOC est un excellent choix.
Avec un prix bien positionné, un design sobre et une réactivité très au dessus du lot, les joueurs se régaleront. Les extrémistes du FPS regarderont sa résolution full HD en 144Hz alors que ceux qui connaissent un peu plus la techno, apprécieront sa puce G-Sync et le confort qu’elle procure.
L’autre point important se révèle dans une utilisation plus conventionnelle où la dalle du AOC G2460PG est particulièrement fidèle dans sa restitution des couleurs même en comparaison d’écrans beaucoup plus typés « image ».
Là aussi, comme sur la réactivité, l’AOC G2460PG est au-dessus du lot et permet d’envisager une bonne polyvalence.
Au fil de l’utilisation de cet AOC G2460PG, c’est devenu presque une évidence : il est à cet instant un des meilleurs choix de moniteurs « gaming » dans sa catégorie.
Dénichable à moins de 370€ avec 3 ans de garantie, voilà une référence à considérer si vous devez vous offrir un nouvel écran.
Il y a une dizaine d’années, tout le monde possédait un bel écran carré, sans trop se poser de questions sur les formats. De nos jours, beaucoup de paramètres peuvent jouer dans le choix d’un écran et c’est pour cela que je vous aide aujourd’hui à choisir votre type d’écran idéal en fonction de vos besoins, de vos activités et de vos attentes.
4/3, 16/9, 16/10, 21/9 Ca veut dire quoi ?
Pour expliquer ces fractions, prenons l’exemple du 16/9, le format le plus utilisé. La fraction 16/9 représente le rapport entre la hauteur et la largeur de l’écran. Vous pourrez aussi trouver ce même format écrit sous une autre forme : 1,77 :1. Cela indique que la largeur de l’écran est 1,77 fois plus grande que la hauteur. Cette explication s’applique donc à tous les formats d’écran
Le 16:9, un format incoutournable!
Quel ratio d’écran pour mon usage ?
Le choix du ratio de votre écran peut paraître simple au premier abord, mais est source de beaucoup de compromis…il faut donc faire des choix !
Sachez tout d’abord que le ratio 16/9 est le format universel, c’est le plus répandu et donc vous le retrouverez partout : sur les vidéos YouTube, sur les vidéos prises avec votre caméra, etc.… il conviendra à une grande majorité du fait du fait de son bon compromis entre un écran très large et un écran carré.
Le 21/9 (2,33:1) quant à lui, est un format beaucoup plus large, c’est le ratio utilisé dans les films et ce sera donc celui qui vous donnera la plus grande immersion lors de vos soirées à regarder vos films préférés. C’est aussi le format qui vous donnera la plus grande immersion dans les jeux tels que Battlefield, COD, Far Cry, bref, tous les jeux à la première personne grâce à son format ultralarge. Dans les FPS, ce type d’écran vous sera utile, car vous visualiserez moins de ciel et de sol mais beaucoup plus de terrain et vous aurez donc plus de chances de voir vos ennemies avant qu’ils vous voient.
Il existe beaucoup d’autres formats d’écrans comme le 4/3 (1,33:1), celui de vos vieux écrans quasiment carrés. Le 19/10 (1,9:1) de la True 4K quand à lui est à mi-chemin entre le 16/9 et le 21/9. Les personnes qui passent leurs journées sur Exel trouveront leur bonheur dans le ratio 1/1 (totalement carré) de chez EIZO. Enfin, le format 16/10 (1,6:1), (un peu moins large que le 16/9) qui n’a plus aucune utilité de nos jours (n’est-ce pas Apple?) car totalement remplacé par les écrans 16/9.
1400€ et vos vidéos ne s'affichent pas en plein écran... GG
Comment choisir la résolution de mon écran?
Pour cela, regardez d’abord votre configuration : Avec un I5/FX 8xxx et une R9 280X/GTX 970, vous pourriez animer tous vos jeux en 1080p/60 Fps dans leur qualité maximale (même s’il faudra parfois se limiter à un MSAA X4 comme dans GTA V par exemple). Avec une 290X/ 980 vous pourrez monter la résolution de votre écran à 1440p en gardant des paramètres graphiques extrêmes. La monstrueuse « 4K » (2160p) sera par contre réservée à des configurations multi-GPU. Pour jouer correctement en 4K, un SLI de 970 s’avère être le minimum vital. En Mono-GPU, une TITAN X/ 980Ti restent des cartes très compétitives dans les très hautes résolutions. Et si vous utilisiez l’IGP de votre CPU, orientez-vous vers un écran 900/720p.
La 1080p vous dites? Has Been!
IPS, TN, AMVA+, OLED?
Ces noms vous disent sûrement quelque chose mais par contre vous n’avez qu’une vague idée de leurs significations…
Pour faire simple le type de dalle est la technologie d’affichage. La dalle TN est là plus répandue, c’est aussi la moins chère et c’est celle qui a le meilleur temps de réponse (pour faire simple, le temps de réponse est le temps de latence entre le moment où votre GPU envoie une image et le moment ou cette dernière s’affiche). Ce sera donc le type de dalle le plus adapté pour enchaîner les Headshots grâce à votre superbe écran 1ms (pour les meilleurs écrans TN) !
Cependant, la dalle TN dispose d’une assez mauvaise reproduction des couleurs et d’un contraste parfois limite.
À l’inverse, la dalle IPS est une dalle plus onéreuse, avec une excellente reproduction des couleurs, mais qui a, par contre, un temps de réponse plus élevé. Si vous faites souvent du graphisme/montage vidéo, ce sera cette dalle qui sera la plus adapté.
La technologie AMVA elle, dispose d’un bon contraste, de bons angles de vision, des couleurs fidèles mais un temps de réponse beaucoup trop élevé pour pouvoir jouer avec. C’est pour cela qu’il est surtout réservé au domaine de la Télévision.
Et pour finir en beauté: les Ecrans OLED. Ce sont les plus performants du marché: un excellent contraste, d’excellents angles de vision, un temps de réponse pouvant descendre en dessous de 0,1ms mais ils sont aussi un excellent prétexte pour hypothéquer la maison de votre belle-mère en raison d’un prix prohibitif pour le moment !
Fréquence de rafraîchissement:
La fréquence de rafraîchissement correspond au nombre de fois que votre écran actualise l’image par seconde. Un écran 60hz affichera donc 60 images par secondes (voyez-y IPS ou FPS en anglais). Plus la fréquence est élevée plus l’affichage sera fluide. Pour la grande majorité des personnes, 60hz suffisent largement mais pour les plus exigeants, des modèles 144hz (voir 240hz!) existent. Les joueurs pros de FPS notamment ne jurent que par le 144hz.
A vous de voir si vous en avez vraiment besoin…
Un ou plusieurs écrans?
N’avez-vous jamais eu ce problème lorsque vous faites plusieurs choses à la fois de ne pas avoir assez de place sur un seul écran? La solution est simple, prenez en deux ! Même le vieil écran de votre grand-mère en 4:3 fera l’affaire mais si vous le pouvez, prenez-vous un écran de bonne qualité. Et puis ce qu’il vaut mieux trop que pas assez et si vous disposez d’un PC puissant pour de la 4K, pourquoi ne pas essayer les jeux sur trois écrans?
Des technologies chez AMD et Nvidia existent pour vous faciliter la mise en place d’un point de vue logiciel. Chez AMD, cette technologie s’appelle Eyefinity, elle permet de faire de vos trois écrans un seul écran ultra large mais si ce mode ne vous convient pas, d’autres modes existent qui permettent d’activer cette fonction seulement quand une application est en plein écran. Chez Nvidia, on appelle cette technologie Nvidia Surround. Notez toutefois que si vous voulez jouer sur trois écrans, mieux vaut que les écrans soient tous les mêmes. Un petit conseil : pour moi, évitez de jouer sur deux écrans, vous comprendrez assez rapidement qu’avoir le viseur à cheval sur les deux écrans n’est pas très agréable…
Il existe beaucoup de technologies qui peuvent rendre plus agréable votre expérience de jeu. Commençons par la plus impressionnante, le G-Sync. Cette technologie, nous vous en parlions dans le test de l’Acer Predator XB280H, mais pour faire bref, cette technologie sert à synchroniser la fréquence d’image entre votre carte graphique Nvidia et votre écran. Cela a pour effet de grandement fluidifier le rendu final de l’image même si la frame rate affiché est en dessous de 60 FPS. AMD a aussi développé sa technique similaire appeléeFreeSync quoi que un peu moins efficace. Sur certains écrans, L’ULMB (Ultra Low Motion Blur) est aussi de la partie, cette technologie réduit efficacement le flou de mouvement dans les jeux en intercalant une image noireentre deux images. Malheureusement, cette option assombrit énormément l’image et peut procurer chez certaines personnes des maux de tête. La 3D vision de Nvidia qui vous permet comme son nom l’indique de jouer en 3D active mais pour cela, il vous faut un écran compatible et acheter les lunettes (vendues 100€!). Cette technologie n’a pas beaucoup d’intérêt car en dehors de l’effet waw! des premières secondes, elle n’est pas très agréable après quelques heures passées à jouer, mais de toute façon le gain efficacité dans les jeux n’est pas énorme…. Et pour ce qui est des écrans incurvés, si vous souhaitez faire de la bureautique, prenez-vous un deuxième écran, car l’incurvation de l’écran déforme les lignes, ce qui rend très pénible d’utiliser des logiciels comme Excel.
Hum, soooo curved!
Après avoir lu toutes ces lignes, vous vous demandez sûrement quel modèle prendre. Heureusement, j’ai pensé à tout et je vous ai donc fait une sélection d’écrans en fonction de vos usages!
Le moins cher:
ACER K222HQLBD 21,5″ 1920x1080p 109,95€
Avec un 21,5″ Full HD disposant d’un port DVI et d’un port VGA sur une dalle TN, difficile d’être exigeant! Il conviendra parfaitement pour de la bureautique et du jeu occasionnel. Mais à 110€, il faut faire des concessions: des angles de visions un peu limites et l’absence d’entrée HDMI . Si un 21″ est trop petit pour vous, le AOC E2470SWDA est un modèle identique en 23,6″.
Pour le graphisme:
ASUS MX239H 23″ 1920×1080p 219.90 €
Si vous êtes graphiste et/ou que vous cherchez un écran avec de bonnes couleurs, orientez vous vers ce modèle de chez ASUS. Grâce à sa dalle IPS, les couleurs seront très fidèles et son temps de réponse de 5m vous permettra même de jouer dans de bonnes conditions. . Sa connectique est bonne, mais il manqueraitpeutêtre une entrée DVI.
Le plus beau rendu:
ASUS PB258Q 25″ 2560x1440p 5ms 440€
Si vous n’êtes pas très exigeant au niveau du temps de réponse et que vous cherchiez les plus beaux graphismes possibles, cet écran est fait pour vous. Du 1440p en 25″ sur une dalle IPS vous garantira le rendu le plus fidèle possible. Pour couronner le tout, l’écran est pilotable dans tous les sens et dispose de bord ultra fin qui vous permettra de jouer sur trois écrans sans aucun gène. De tous les écrans que je vous ai présentés, c’est celui-ci que j’aimerais le plus avoir sur mon bureau!
Pour jouer sans se ruiner:
AOC E247VWM6 24″ 1920x1080p 140€
Si vous voulez jouer mais que vous voulez préserver votre porte-monnaie, c’est cet écran qui vous conviendra. Il vous permettra de jouer à tous les jeux même les plus nerveux sans problème de latence. Il intègre aussi un mode de réduction de la teinte bleue des écrans pour un meilleur confort lors de sessions de jeux prolongées.
Le plus rapide:
AOC G2460PG 24″ 1920x1080p 369€
Si vous passez votre temps sur des FPS nerveux, vous
trouverez votre bonheur dans cet écran. 1ms, 144Hz, G-Sync, 3D Vision, tout y passe ! Son seul (gros) défaut est la présence d’un seul Display Port mais la présence de son hub de 2 USB 2.0 et 2 USB 3.0 peut faire oublier ce défaut. Hormis sa couleur verte un peu trop prononcée, il s’adaptera à toutes les situations et à toutes les configurations grâce au support de la technologie G-Sync.
Le plus extrême:
Acer Predator XB280HK 3840x2160p 28″ 650€
4K, G-Sync, 1ms, que demander de plus pour 650€? Cet écran que nous avions testé ici conviendra aux plus exigeant qui cherchent un faible temps de réponse même en 4K.
Le volant Logitech G27 fait sans doute partie des périphériques ayant une longévité commerciale record. Mais pour cette rentrée 2015, voici donc arriver le Logitech G29 qui va avoir la lourde tâche de remplacer une star qui n’a été contestée que ces derniers temps, avec le poids des années.
Le G29 est donc la version « PS4 » ( PS3 aussi et surtout officieusement PC ), il sera disponible au début de ce mois d’août. Un Logitech G920 devrait voir le jour mi Octobre pour la Xbox One, à part les boutons, il reprendra l’intégralité des caractéristiques du G29.
Dans les faits, je m’amuse avec le G29 depuis plus d’un mois et je retrouve autant de plaisir qu’avec le G25 ou le G27. Le design n’a pas franchement été bouleversé, juste une petite cure de jouvence pour reprendre les codes esthétiques actuels du sport automobile.
Sur ce point justement, les nostalgiques des R8 gordini et autres 205 Turbo 16 se plaindront de l’absence de la boite de vitesses manuelle…qui est une option à 60€ mais qui ne vous empêche nullement de jouer des palettes pour changer les vitesses de votre bolide moderne.
Qualité de fabrication
Premier constat : on est pas déçu sur la qualité, on retrouve bien la griffe Logitech.
La taille du volant me surprend un peu ( 28cm de diamètre ) mais immédiatement on est à l’aise.
Le système de fixation du volant à une table ou un playseat est parfait, par contre la multitude de câbles et un particulier le bloc d’alimentation, est un vrai problème de confort et d’esthétique. Mais pourquoi donc le bloc d’alimentation ne peut-il pas s’intégrer dans le pédalier ou même le volant ?
Au volant, de la PS4 au PC.
Si on veut faire rapide, la PS4 propose Drive Club qui permet de prendre un premier contact avec le volant. C’est cependant sur Project Cars que j’ai passé l’essentiel de mon temps.
Sur PC, les possibilités sont multiples et je dois dire que le bond par rapport au G27 est énorme. La précision est meilleure mais c’est clairement le retour de force qui est impressionnant.
Celui-ci évolue avec le choix du véhicule et lorsqu’on commence à piloter du gros, ça devient clairement physique : il faut vraiment se battre avec le volant pour tenir la voiture et on se prend toutes les aspérités de la piste dans les avant bras…c’est énorme !
Le pédalier est aussi un changement majeur par rapport à l’ancienne génération, les pédales répondent mieux, la sensation de dureté évolue bien par rapport au véhicule et on se rapproche de sensations réelles alors que c’était jusque là un point faible.
Concernant les inquiets du réglage, tout est possible par l’intermédiaire du soft Logitech mais de toute façon, Project Cars donne énormément de possibilité.
Conclusion
Il est très difficile de donner un avis plus détaillé sur ce G29 sachant que je l’ai exclusivement utilisé sur Project Cars…néanmoins les brefs passages en mode « arcade » sur Drive Club n’ont pas livrés de mauvaise surprise.
Au bilan, sortant d’un G27 et d’un Fanatec, je suis clairement convaincu par le G29.
Sa précision, la puissance du retour de force et les progrès concernant le feeling du pédalier font pour moi la différence avec les autres.
Reste la surdose de câbles et l’alimentation externe qui empêchent d’avoir une installation clean et contribue à amplifier les foudres de Madame…Je regrette aussi un aspect un poil « jouet » ( mais c’est subjectif ) par rapport à un Thrustmaster…
Asus décline vraiment toutes ses gammes autour du gaming. La gamme Strix, logiquement en retrait par rapport à la série ROG, dispose cependant de quelques petites pépites en son sein.
L’Asus Strix 7.1 Gaming Headset en fait partie. Un design particulier mais surtout une originalité technique presque rare : un « vrai » 7.1 physique.
Le Strix 7.1 est un modèle circum-aural qui embarque pas moins de 5 hp par oreille.
Imposant par sa taille, le Strix 7.1 dispose donc de vrais atouts que nous allons découvrir en détails.
La même esthétique que l’on commence à connaitre et à apprécier maintenant comme sa grande soeur en X99.
La carte intègre un Digi+ VRM avec 18 phases et peut encaisser 64Gb de ram DDR4 ( 4 slots ), 3 ports PCI-e 3.0 slots (x16/x8/x8) , 4 PCI-e 3.0 x1 slots et un seul petit M.2 Ultra slot. Niveau stockage ASUS a intégré 8 ports SATA III 6 GB/s et un SATA Express 16 GB/s.
Pour la connectique externe, on trouvera 5 USB 3.1 (Type-A), 1 USB 3.0, 1 USB 3.1 (Type-C), Gigabit Ethernet LAN, 6 channel audio jack, 1x SPDI/F, HDMI et Display port.
ASUS Z170 ROG Maximus VIII Hero / Prix public 234.90€
On rentre dans la gamme ROG avec la MAximus Hero qui intègre un DIGI+ VRM avec 10 phases. Elle accepte aussi 64Gb de DDR4 grâce à 4 slots.
La carte dispose de 3 ports PCI-e 3.0 x16 (x16/x8/x8 electrical), 3 ports PCI-e 3.0 x1 et encore 1 seul slot M.2. On pourra compter sur 8 x SATA III 6 GB/s et 2x SATA Express à 16 GB/s. 2 USB 3.0 et 2x USB 2.0 pour la façade sont disponibles sur la carte. On a aussi le Supreme FX 7.1 et ses jacks, USB 3.1 Type-C ports, 6 x USB 3.0, 2x USB 2.0, HDMI 2.0, Display port et un port LAN.
ASUS Z170 ROG Maximus VIII Gene / Prix public 229.90€
La ROG Maximus VIII Ranger est en quelque sorte l’entrée de gamme de la série Maximus. Sous les 200€ elle dispose d’une gestion d’alimentation 10 phases. Le reste en détail : 3x PCI-e 3.0 x16 (x16/x8/x8), 2x PCI-e 3.0 et x1 M.2 SSD slot. 6 SATA III 6 GB/s pour le stockage. connectique interne sur la carte mère 2x USB 3.0 et 1x USB 2.0. Face arrière 6x USB 3.0, 1xUSB 3.1 (Type-C) et connectique 7.1.
On sort de la gamme ROG mais cette Z170 Pro Gaming et pourtant particulièrement intéressante. Déjà, c’est la première carte mère de la série ASUS Pro Gaming ce qui implique que d’autres déclinaisons arriveront.
Particulièrement bien équipée, on y retrouve le SupremeFX, le Sonic Radar II, un controleur Intel Gigabit Ethernet, LANGuard, GameFirstet RAMCache pour profiter de vos jeux et logiciels.Conçue pour performer, elle intègre aussi le 5-Way Optimization, T-Topology seconde génération et la technologie Pro Clock pour de nouvelles possibilités d’overclocking.
Pour les plus pointilleux, vous profiterez de la seconde génération de T-Topology, permettant d’overclocker la DDR4 jusqu’à 3466MHz et ceux avec quatre barrettes de mémoire vive. Grâce à un aménagement personnalisé des pistes sur le PCB,la seconde génération T-Topology réduit le crosstalk et le couplage de bruit, assurant un transfert optimalpour améliorer la stabilité et la compatibilité.
La Z170 Pro Gaming inclut la technologie Clock Pro, il s’agit d’un générateur dédié de fréquence du BCLK conçu pour la 6ème génération de processeurs Intel qui permet d’overclocker le BCLK jusqu’à 400 MHz. Cette solution personnalisée fonctionne en tandem avec ASUS TPU pour améliorer le contrôle de la tension (Vcore) et de la fréquence de base (BCLK). Les temps de démarrage (boot) sont raccourcis, les variations de tension sont réduites et la stabilité est accrue lors d’un overclocking.
On pourrait presque croire que cette carte est une cousine de la Deluxe. Le carénage blanc est trompeur à ce sujet. Pourtant c’est là encore une belle bête capable de recevoir 64Gb avec un o/c à 3400. On a donc 3xPCI-e 3.0 x16 (x16/x8/x8), 3x PCI-e 3.0 x1 et 1x Slot PCI legacy. Pour le stockage 6 SATA III ports. Sur la carte on a accès à 2x USB 3.0 et 2xUSB 2.0. A l’arrière, un seul USB 3.1 (Type-C) et un USB 3.1 (Type-A). Les classiques : 2x USB 3.0, 2x USB 2.0, DVI, VGA, HDMI, Display port, Gigabit Ethernet LAN et les 7.1 Channel audio jack.
Mars Gaming voilà une marque dont on commence à entendre parler à droite et à gauche mais qu’on ne voit pas encore beaucoup chez nous.
Le postulat de Mars Gaming : des périphériques pour les joueurs de qualité avec un positionnement prix ultra agressif. Si d’autres se sont essayés à cet exercice, Mars Gaming ne sort pas de nul part et arrive avec quelques arguments dans la besace.
Nous allons donc nous intéresser à cette souris Mars Gaming MM5 qui dispose d’un positionnement tarifaire relativement agressif : 39€…une gamme de prix où la nouvelle venue ne sera pas seule cependant.
Cette Mars Gaming MM5 a un fort accent espagnol et est en réalité une marque fille de TACENS, bien connue dans le monde de l’intégration PC, pour ses alimentations et autres boîtiers et ses produits qui flattent l’œil.
Pour le lancement de cette gamme, Tacens est donc parti de son pays d’origine, l’Espagne, en s’entourant de nombreux acteurs du Esport pour faire la promotion de ses produits.
Difficile à trouver en France pour le moment, la gamme Mars Gaming devrait vite attirer les distributeurs.
Nous allons donc, comme pour l’ensemble des souris que nous testons, commencer avec l’ergonomie et les premiers feeling sur cette nouvelle venue.
Autant le dire tout de suite, on ne s’attend pas à trouver un produit qui semble aussi abouti pour 39€.
On est sur un gabarit de souris relativement important, qui se rapproche de ce que l’on trouve chez Logitech avec sa G502. Sans égaler cette dernière en ce qui concerne la prise en main, il faut reconnaître que cette Mars Gaming MM5 est particulièrement agréable à manipuler.
Même si la multitude de boutons ( 13 au total ) laisse perplexe, là aussi il faut s’incliner devant l’ergonomie générale et le positionnement de ces derniers qui tombent facilement sous les doigts…d’un droitier exclusivement. Ces boutons, tous construit avec des commutateurs Omron, procurent d’excellentes sensations même après de nombreuses sollicitations. Il est est de même pour la molette.
Très clairement, le premier contact avec cette souris est excellent. Ma seule réserve concernera le soft touch utilisé sur le corps de cette MM5. Si là encore, le premier contact est excellent avec une sensation de douceur particulière, après un moment, on constate, par une forte journée d’été notamment, que la matière employée a de moins bonnes qualités hydrophobes que ses concurrentes beaucoup plus haut de gamme il est vrai.
Soyons limpide : rien de dramatique dans ce constat qui se fait face à une G502 et une Tyon sur mon bureau…la Mars Gaming MM5 est naturellement en dessous sur ce point…il faut tout de même lui trouver quelques faiblesses.
Avec un corps inférieur en acier brossé, un poids lestable, un câble tressé et une prise en main quasi parfaite, on ne peut être que satisfait de son investissement.
Difficile effectivement de trouver une telle finition chez les concurrents à ce niveau de prix.
Le reste du corps de cette MM5 ne souffre d’aucun défaut, les boutons respirent la qualité comme on l’a évoqué plus haut.
La partie inférieure de la MM5 est en acier brossé : c’est beau, c’est qualitatif mais c’est aussi du poids en plus : la MM5 et son câble dépassent ainsi les 200Gr sans les lests.
Même si on peut regretter que le pilote de cette MM5 ne soit exploitable qu’en Anglais, celui-ci s’avère néanmoins, là aussi, très complet…tout du moins au premier contact.
Effectivement, là aussi le premier contact a été soigné et l’aspect « riche » du logiciel est visible au premier lancement. Reste qu’une fois qu’on rentre dans la bestiole, la frustration arrive vite.
Ce petit logiciel n’est pas vraiment le point fort de la MM5. Entendons nous bien : tout y est, du réglages des DPI aux macros en passant par les jeux de lumières sur les LED ( seul la LED « Mars Gaming » peut bénéficier de changements de couleurs ).
Néanmoins, l’ergonomie n’est pas le point fort de ce driver et si l’illusion de disposer d’un maximum de possibilités est là aux premiers démarrages, on comprend vite que les possibilités sont limitées.
Les 13 boutons programmables sont cependant facilement définissables et les modifications sur le capteur Avago se font aussi relativement aisément.
On pourra aussi définir 5 profils activables directement avec la souris.
Donc sur ce point, on a bien l’essentiel et bien plus même que ce que l’on pourrait avoir sur une souris de ce prix mais il faut cependant constater que la séduction n’opère pas malgré une interface clinquante…mais une ergonomie pas vraiment élaborée.
La lecture des caractéristiques techniques de cette MM5 épate là encore. Un capteur Laser AVAGO capable de délivrer une résolution jusqu’à 16400 DPI et des accélérations de 30G !
Les 13 boutons programmables sont aussi des arguments forts pour une souris qui joue évidemment la carte de la polyvalence à l’instar d’une Logitech G502.
Il faut reconnaître que si la résolution de 16400 DPI semble inexploitable sur cette souris comme sur d’autres, la polyvalence de cette MM5 est remarquable.
La qualité de glisse est excellente et bénéficie de 4 larges surfaces de teflon mais le capteur est capable de s’adapter et d’être performant aussi bien sur des MMO que sur des FPS. Dans ce dernier cas, on appréciera la possibilité d’alléger au maximum la souris en lui enlevant tous ses lests.
Encore une fois, on est obligé de revenir à la proposition de valeur apportée par Mars Gaming et il faut encore s’incliner devant le tour de force réalisé. Si le capteur de sa MM5 n’a pas la tolérance de surface d’une Proteus Core, une nouvelle fois, comment peut-on faire la fine bouche à 39€ ?
Autant de choses pour 39€, on se pince pour le croire.
Jusqu’à présent, les marques qui s’aventuraient sur ces segments proposaient du low cost où le plumage flatteur était là pour cacher un produit sans vraie qualité. De nombreux sous produits chinois sont ainsi là pour surfer sur la mode du gaming en tentant, par un habillage agressif, de capter un client au budget réduit.
Les marques A ne s’aventurent pas aussi bas. Si on trouve des modèles aux alentours de 40€ chez ces dernières, c’est souvent au détriment des performances ou alors en cantonnant leur modèle à une utilisation spécifique ( FPS…).
La polyvalence de cette Mars Gaming MM5 pourra donc séduire les joueurs qui ne veulent pas mettre 80€ dans une souris.
Pour 39€ ils disposeront d’un capteur très performant, d’une excellente ergonomie et d’une qualité de fabrication qui pourrait en faire rougir certains.
Evidemment tout n’est pas rose et… heureusement pour les autres.
En premier lieu, les économies sur les matériaux se sentent dans le poids de la souris avec un bon 200 Gr. L’ergonomie du driver est aussi limitée sans parler de la customisation des Led si tenté que cet aspect soit un argument décisif.
Reste l’essentiel : pour 39€ vous disposez d’une souris performante et polyvalente avec une ergonomie remarquable…à cet instant c’est déjà beaucoup.
Il y a quelques mois nous avions réalisé un comparatif des meilleures tablettes de l’époque. Aujourd’hui nous sommes de retour avec un best-of absolu des meilleures tablettes disponibles sur le marché, et force est de remarquer que seules 2 d’entre elles datent de 2015…
Les paramètres qui seront ici pris en compte sont en premier lieu la qualité globale du produit, puis son prix par rapport à ce qu’il propose et enfin sa « future-proof-ness » c’est à dire si l’achat vaut encore le coup alors que de nouveaux modèles sortiront dans les semaines/mois à venir. Notez qu’il ne s’agit pas d’un classements mais d’une liste des meilleurs produits par catégorie (la diagonale d’écran pour cet article)
1. Tablettes 7″ à 9″
Asus Nexus 7 (2013)
Android 5.0–Qualcomm Snapdragon S4 Pro 32 Bits, 2Go RAM–écran 7 pouces IPS–1920 x 1200 pixels–micro USB, Jack 3.5–stockage non extensible (16Go)–WiFi seulement
Mise à jour du modèle 2012, la Nexus 7 2013 demeure une petite tablette réactive et dotée d’un superbe écran idéal pour les contenus multimédias. Elle pèche uniquement sur la photo et sur son stockage trop limité par l’absence de port d’extension micro-SD. 230€
Nvidia Shield Tablet (2014)
Android 5.1–Nvidia Tegra K1 Quad-Core [Logan] 32 Bits, 2Go RAM–écran 8 pouces IPS Full HD–micro USB, Jack 3.5, micro-SD–WiFi/4G LTE
La première tablette vraiment conçue pour les joueurs dispose d’un écran de bonne facture et d’un stylet très précis. Mais son principal atout se trouve dans son processeur maison : le tegra K1, qui fait péter les benchmarks et se joue des jeux les plus exigeants (en mode yolo sur les jeux de mots). 299€ (WiFi 16Go) 399€ (LTE 32Go)
Sony Xperia Z3 tablet compact (2014)
Android 5.0–Qualcomm Snapdragon 801 32 Bits, 3Go RAM–écran 8 pouces 1920×1200–micro USB, jack 3.5, étanche–stockage non extensible (16Go)–WiFi/4G LTE
Une belle tablette de chez Sony qui allie légèreté, qualité des matériaux, puissance et étanchéité. On peut arguer que l’interface n’est pas la plus belle mais le vrai gros point faible de cette tablette concerne son stockage encore une fois verrouillé par l’absence de slot micro-SD. Quoi qu’il en soit c’est l’une des tablettes compactes les plus attractives actuellement sur le marché. 400€ WiFi 450-500€ LTE
Apple iPad Mini Retina (2014)
iOS 8.4–Apple A7+M7 64bits, 1Go RAM–écran Retina IPS 2048×1536–Lightning, Jack 3.5–stockage non extensible (16Go,32Go,64Go,128Go)–WiFi MIMO/4G LTE
L’iPad Mini 3 est une blague, une bourde dans la trajectoire de la pomme. Proposer une « nouvelle » tablettes 100€ plus cher pour un capteur d’empreinte et une nouvelle couleur or ? Ils l’ont fait. Mais ce sont les mêmes guignols qui ont pondu l’iPad Mini 2 (Mini Retina de son vrai nom), et là, on ne comprend plus. 100€ de moins qu’un iPad Air pour le même écran Retina, la même puce A7 et la même autonomie, que demande le peuple ? C’est donc l’un des meilleurs rapports qualité/prix du moment, d’autant que la puissance du processeur 64bits ne semble pas encore totalement exploitée. à partir de 299€ (16Go WiFi)
Avec la Microsoft Surface Pro 3, la Galaxy Tab S 10.5 possède le meilleur écran de tablette à ce jour, les contrastes sont infinis grâce à la technologie Super AMOLED et l’écran est relayé par un processeur Octo-Coeur maison qui n’a rien à envier à ses concurrents de chez Apple ou Qualcomm. On peut pester contre l’interface touchwiz lente et surchargée mais nul doute que des mise à jour viendront palier à ce problème. à partir de 399€
Microsoft Surface 3 (2015)
Microsoft Windows 8.1–Intel Atom X7, 2/4Go RAM–écran 10,8 pouces 1920×1280 IPS–micro USB, Jack 3.5, Clavier magnétique–micro-SDHC–64Go stockage minimum–WIFI/4G LTE
L’hybride de Microsoft a bien des arguments à faire valoir : un écran parfait sur tous les points (notamment la colorimétrie), un processeur de portable capable de faire tourner la version complète de Windows 8.1, en attendant Windows 10 qui améliorera l’expérience tablette entre autres, un stylet (en option malheureusement) ultra-précis, de même qu’une qualité de fabrication exemplaire et un stockage extensible. Le seul point faible ? Le prix. à partir de 549€
La petite dernière à arriver est une ardoise de 10 pouces surpuissante dopée par une puce 64 Bits et nous faisant saliver avec un écran triluminos à la résolution hallucinante. Cerise sur le gâteau : un port micro-SD, et l’étanchéité à l’eau et à la poussière (idéal pour la plage…quoique l’eau salée…)
iPad Air et iPad Air 2 (2013/2014)
iOS 8.4–Apple A7+M7 64 Bits, 1Go RAM–écran Retina 2048×1536 IPS–Lightning, Jack 3.5, stockage non extensible (16 à 128Go)–WiFi MIMO/4G LTE
iOS 8.4–Apple A8X+M8 64 Bits, 1Go RAM–écran Retina 2048×1536 IPS–TouchID–Lightning, Jack 3.5, stockage non extensible (16 à 128Go)–WiFi MIMO/4G LTE
Au choix : l’un représente un rapport qualité/prix imbattable tandis que l’autre représente le meilleur d’Apple…au prix fort. A vous de voir si les ajouts du capteur TouchID et d’un processeur entre 15 et 50% plus performant justifient un tarif nettement plus salé. iPad Air à partir de 399€ iPad Air 2 à partir de 599€
HTC Nexus 9 (2014)
Android 5.1–Nvidia Tegra K1 64 Bits [Denver], 2Go RAM–écran IPS 2048×1536–micro USB, Jack 3.5–stockage non extensible (16Go, 32Go)–WiFi/4GLTE
SI vous détestez les surcouches logiciel ajoutées par les constructeur, la Nexus 9 est le parfait compromis ; Android Lollipop est fluide comme jamais dans sa version « stock » grâce au SoC 64 Bits Tegra K1 de Nvidia qui en fait également une console portable. L’écran n’est pas le meilleur mais il fait le job sans niquer les yeux. Les matériaux choisis sont dorénavant plus solides que lors du lancement de la tablette qui présentait des défauts de fabrication assez gênants. à partir de 249€ chez les revendeurs.
3. Tablettes 10″ et plus
Microsoft Surface Pro 3 (2014)
Microsoft Windows 8.1 Pro–Intel Core i3/i5/i7, 4/8Go RAM–écran S-IPS 2160×1440–USB 2.0, mini DisplayPort, Jack 3.5, charge port magnétique–micro SDXC–64 à 512Go–WiFi
Depuis sa sortie en 2014, la Surface Pro 3 dope les ventes de Microsoft et corrige le tir après 2 ans d’errance et d’échecs commerciaux. Nous l’avons testée et aussitôt adoptée. Cet article par exemple est rédigé dessus. Ses caractéristiques sont dignes d’un puissant portable pour peu que l’on y mette suffisamment de moyens car si l’engin reste une merveille d’ingénierie (on parle de la Pro 3 hein !), ses tarifs piquent carrément dès que la configuration passe sur le core i5. Mais il faut identifier la cible de ce type de produit qui n’est pas voué au multimédia comme un iPad mais se destine à une utilisation à la fois flexible et professionnelle. à partir de 899€
Samsung Galaxy Note Pro 12.2
Android 4.4–Qualcomm Snapdragon 800 32 Bits, 3Go RAM–écran 12,2 pouces Super LCD IPS 2560×1600–micro USB, Jack 3.5–micro-SDHC–32Go de base–Stylet Wacom–4G LTE
Un produit spécial de chez Samsung mais plutôt cohérent. C’est en somme une alternative aux Surface 3 et Pro 3 de Microsoft. Bien que dénuée de la polyvalence de Windows pour les tâches professionnelles, cette tablette est tout de même dotée de fonctionnalités intéressantes comme le multi-window et un multitâche avancé. Le processeur peut paraître un peu dépassé pour les jeux, surtout vu la définition de l’écran, mais ce produit ne s’adresse pas à un public gamer. à partir de 549€
Voilà pour ce best-of made in Vonguru édition 2015 😉
Contrairement à nos tests habituels, le LG G4 sera le cobaye d’un nouveau type d’article prenant en compte la durée d’utilisation de l’appareil. En effet, j’ai utilisé ce téléphone depuis 1 mois afin de vous apporter mon ressenti sur ce qu’il propose, tout en posant le cadre d’une utilisation quotidienne.
Avant de continuer, voici un petit rappel sur l’objet en question. Le LG G4 a été lancé en France et dans le reste du monde le 29 Avril. D’après LG, ce smartphone doit se démarquer de la concurrence en proposant une expérience différente du point de vue des matériaux choisis, de l’APN et de l’écran.
L’accent a été mis sur le cuir pour certaines versions (une version plastique existe également). L’APN offre 16 mégapixels avec l’ouverture (« aperture ») la plus grande à ce jour sur un smartphone mainstream : f1.8, et l’écran arbore une dalle Quad HD IPS remaniée par rapport au G3 avec la technologie Quantum Display censée augmenter le taux de contraste, la fidélité des couleurs et leur saturation.
A l’intérieur, le Qualcomm Snapdragon 808 a été préféré au plus haut de gamme 810, sans doute pour éviter les problèmes liés à la surchauffe de ce dernier (ArsTechnica a publié de nombreux articles sur ce sujet), il est accompagné de 3Go de RAM LPDR3 à 933MHz. Le stockage est assuré par 32Go, et est extensible (merci LG !) via micro-SD.
La batterie enfin propose 3000mAh et est amovible.
Une esthétique classe
L’extérieur du smartphone est assez simple, mais dénote tout de même un souci du détail. On remarquera à ce titre la légère courbure de l’écran de 5.5 pouces, discrète mais malgré tout efficace. Ici, pas du métal mais du plastique dur de bonne qualité. Cette version est équipée d’une coque en cuir noir du plus bel effet, renforçant le côté premium du G4. Au dos, les traditionnels boutons de volume et d’allumage de LG, qui permettent de laisser les tranches du téléphone totalement « nues ». La caméra imposante est entourée du capteur autofocus à télémétrie laser à gauche, tandis qu’à droite on retrouve le flash et le capteur de spectre des couleurs.
Globalement, ce LG G4 laisse une première impression de qualité. A noter d’ailleurs que si l’on opte pour la version cuir, LG livre celle-ci avec une coque supplémentaire dorée un poil trop « bling bling » pour moi.
Mais pour parfaire ce point du test, quand est-il de son utilisation au quotidien ? Le téléphone ne glisse pas et semble « solide ». Il m’est arrivé lors d’une soirée, de le faire tomber sur le sol, et à ma grande surprise, aucun dommage de la vitre ou de l’écran n’était à déplorer. On constate seulement quelques petits dégâts sur les coins du smartphone, mais rien de très gênant.
Pour les plus narcissiques, le G4 en cuir vous donne une petite touche d’originalité classe qui saura faire son petit effet…
Ecran : Quantum Beauty !
Qu’en est-il de la dalle imposante qu’LG a casé dans son nouveau flagship ?
Tout d’abord celui-ci occupe 70% de la face avant, soit 2% de moins que sur le G3, mais cela reste toujours aussi impressionnant. L’écran en lui-même est absolument magnifique à l’utilisation, la définition Quad HD n’est plus une nouveauté comme elle l’était en 2014, mais cette fois-ci LG utilise sa technologie « Quantum ». Le résultat : une dalle lumineuse, très contrastée, qui se rapproche des AMOLED sans un rendu aussi artificiel que les écrans Samsung. Pour un IPS LCD, c’est une petite prouesse qui mérite d’être soulignée.
Quant aux couleurs elles peuvent parfois paraître un peu froides. Personnellement, l’écran du G4 me rappelle celui du Galaxy Note 4, mais c’est une opinion, à vous de vous forger la vôtre si vous pouvez accéder au terminal.
La courbure n’apporte rien d’autre qu’une esthétique plaisante, mais au moins cela protège l’écran des rayures lorsqu’il est posé sur une table par exemple.
LG a réussi à améliorer le déjà excellent écran du G3, bravo !
De la puissance, toujours plus !
Les entrailles du G4 cachent un petit bijou. A côté des huit cœurs du Snapdragon 810 et son Adreno 430, les six cœurs du 808 du G4 et son GPU Adreno 418 peuvent paraître un peu faiblards. En fait LG pourrait bien avoir fait un très bon choix : pas de surchauffe (donc pas de baisse de la fréquence et donc des perfs), et une optimisation Android aux petits oignons.
Pour s’en rendre compte, il suffit de faire tourner un benchmark sur un terminal en 810 à côté d’un G4 : sur le premier « round », le 810 dépasse (de peu) le 808, mais après plusieurs tests successifs, le G4 affiche le même résultat quand ceux du 810 s’effondrent purement et simplement…bravo Qualcomm…(voir les multiples articles d’ArsTechnica).
Petite parenthèse, les cœurs Cortex A57 utilisés dans le 808 sont la version r1p2, ce qui signifie concrètement qu’il s’agit d’une version révisée des A57 r1p1 présents dans le 810 par exemple.
Les 3Go de RAM LPDDR3 offrent bien assez pour exécuter des dizaines d’applications en même temps, sans devoir les charger à nouveau (vérifiable sur les onglets chrome en particulier). De plus, Android 5.1 réduit à néant le nombre de saccades présentes sur le G3 après sa mise à jour lollipop; plus de lag, plus de bugs de l’interface, LG a fait un travail d’optimisation réussi après les quelques petites bourdes de l’époque des G2 et G3.
Un capteur digne d’un reflex
L’appareil photo est sans aucun doute le point le plus impressionnant de ce smartphone. 16 megapixels, une ouverture de f1/8, un capteur de couleurs, les caractéristiques impressionnent, et les clichés obtenus également. L’interface offre à l’utilisateur le choix entre un mode automatique simple, comparable à toutes les autres interfaces, un mode simplifié à l’extrême où une simple pression du doigt capture la photo, et enfin, un mode manuel très sophistiqué, où l’on peut régler l’ISO, la balance des blancs, le focus, la température ainsi que la vitesse d’obturation du capteur.
Ce mode manuel est assez similaire au mode « pro » sur le Samsung Galaxy S6 et S6 Edge. Pour le plaisir des mirettes, voici des échantillons de photos du G4 dans diverses conditions (cliquez pour accéder aux clichés haute résolution).
Tout ça c’est cool mais au bout d’un mois ça donne quoi ?
Entre les performances d’une F1 et un « mini-reflex » dans le dos, le G4 se laisse apprivoiser excessivement facilement. Son autonomie ne m’a encore jamais pris au dépourvu pendant les grosses journées. Par rapport au G3 que j’ai possédé pendant près d’un an, le G4 tient bien 2 à 3 heures de plus. C’est sans doute grâce au snapdragon 808 qui arrive a gérer l’écran surdéfini du G4, là où le 801 du G3 provoquait quelques petites saccades et des ralentissements dû à la surchauffe en jeu.
A qui ce smartphone s’adresse-t-il ? Au « power users » qui cherchent un appareil capable de tenir en utilisation intensive, sans sacrifier le fait de posséder une coque amovible dévoilant une batterie elle-même amovible et un port d’extension via carte micro-sd. A ceux qui cherchent un smartphone élégant posant une alternative aux flagships de Samsung et HTC.
Le Corsair Carbide 330R n’est pas un nouveau boitier, présenté en 2013 il représente la gamme « silencieuse » des boîtiers de la marque. C’est l’Edition Titanium que nous avons entre les mains et sur laquelle nous allons nous attarder.
Ces derniers temps Corsair nous a montré un profond changement dans l’esthétique de ses boîtiers avec un modification relativement radicale de sa philosophie. La sobriété qui était jadis la patte de Corsair ( certains diront « banalité » ) , s’estompe progressivement et nous avons vu apparaître des produits avec un design de plus en plus affirmé voir agressif. Intelligemment, Corsair garde à son catalogue des séries comme la gamme Carbide ou Obsidian, gardant cette sobriété qui a ses fidèles.
Le Corsair Carbide 330R se retrouve concrètement en face de boitiers comme le CoolerMaster Silencio 550, le NZXT H230 voir même le LDLC QT01 solidement installés depuis un petit moment sur une gamme de prix inférieure.
Alors Corsair peut-il justifier encre un positionnement tarifaire supérieure comme il le fait depuis des années en s’appuyant sur la qualité de son matériel ?
[cfield « pricemesh_1 »]
Subtilité, subjectivité…avant d’aborder ce point qui restera toujours polémique car de nature personnel, je vais planter le décors…
Sincèrement, j’adore le design du Corsair Carbide 330R donc sa déclinaison « Titanium » ne fait que renforcer ce sentiment.
Les lignes sobres de la série Carbide ( quelque peu torturées par des références comme les SPEC malgré tout ) sont, de mon point de vue, une référence. Il est important pour moi de vous dévoiler et d’assumer ce « feeling » car la sobriété d’un boitier est, pour certains, synonyme de banalité…ce n’est pas mon cas.
La porte avec son placage alu ( Titanium ) apporte un petit plus en renforçant la qualité perçue du boitier. Enfin, nous détaillerons plus loin, mais compte tenu de ses capacités, ce châssis reste malgré tout d’une taille modérée.
L’aspect esthétique étant abordé, il nous faut maintenant rentrer un peu plus dans les détails et voir si ce Corsair Carbide 330R justifie son prix en ce qui concerne sa qualité de fabrication.
[cfield « pricemesh_2 »]
A peine le Corsair Carbide 330R saisi pour l’extraire de son carton, on constate que son poids est clairement plus élevé qu’un châssis classique moyen tour classique : premier contact positif…
Si la peinture de l’ensemble du boitier ne souffre d’aucun défaut : elle resistera sans aucun problème à de multiples manipulations; comme sur l’ensemble des autres boîtiers, dés les premières manipulations, les multiples traces de doigts témoigneront de vos efforts pour monter votre machine…il faudra jouer de la chiffonnette pour redonner un aspect présentable une fois votre PC terminé.
Reste que le démontage des parois latérales permet de confirmer notre premier constat : la structure de ce 330R est de grande qualité : tôle épaisse, pliages parfaits et soudures invisibles.
On retrouve ce soin apporté aux détails jusque dans le placage du revêtement acoustique, parfaitement assemblé et surtout couvrant une surface très importante du boitier, y compris là où l’œil ne va pas chercher. Il n’est pas rare en effet de retrouver un collage « marketing » de panneaux acoustiques uniquement pour justifier un prix plus élevé…ce n’est clairement pas le cas ici.
La connectique est parfaite, la disposition des câbles permettant de masquer sans problème les éléments non utilisés.
Reste un dernier point non négligeable : la présence de filtres facilement démontables pour un entretient rapide.
Le Corsair Carbide 330R Titanium Edition permet d’envisager un montage de configurations diverses y compris les plus musclées.
Montage et accessibilité
Le premier constat sur ce point est la facilité de mise en oeuvre de ce châssis. Malgré une taille contenue, il permet de travailler avec les deux mains et regorges de petites « astuces » destinées à faciliter la vie de celui qui va assembler son PC.
En premier lieu, on évoquera un grand classique : l’espace de dégagement permettant de réaliser un câblage esthétique mais aussi efficace pour la dissipation thermique.
L’espace disponible entre le panneau latéral droite et le berceau de la carte mère est largement suffisant pour acheminer proprement tous les câbles. Les découpes disponibles permettent de faire cheminer ces derniers comme on veut ( peut ? ) et de fixer le tout derrière pour retrouver un peu d’harmonie…
Un autre point positif est le dégagement disponible sous le panneau supérieur du Carbide 330R. Si le boitier, comme d’autres, est conçu pour accepter un radiateur de 240, on se retrouve souvent gêné par l’épaisseur de ce dernier venant toucher la partie supérieure de la carte mère ( on pensera par exemple à l’ASUS X99 Deluxe ). Ce n’est pas le cas ici.
Refroidissement d’origine
Comme vous l’avez constaté le boitier dispose de deux ventilateurs.; un 140mm à l’avant et un 120 à l’arrière. Cette ventilation d’origine, relativement efficace, bénéficie d’un régulateur discret mais…efficace ( c’est la différence majeure avec la version « classique » du 330R )
En position « max », le système de ventilation livré par Corsair est audible même avec la porte avant fermée. La bonne nouvelle c’est que la position « medium » permet de faire fonctionner les deux ventilateurs de manière totalement inaudible.
Le capot supérieur dispose d’un carter magnétique permettant de maintenir une bonne insonorisation si vous n’employer pas de refroidissement liquide.
Tout s’enlève et se remet avec une grande facilité, vous remarquez au passage les rondelles anti-vibration installées d’origine pour le montage du radiateur.
La ventilation peut être considérablement renforcée puisque un second ventilo de 140mm et de 120mm peuvent être rajoutés pour porter le total à 4.
Le Corsair Carbide 330R Titanium Edition est un produit complet dés sa sortie de boite. Ne vous attendez donc pas à récupérer un max de visserie, berceaux et autres : tout est dedans d’origine.
Les 4 berceaux pour les HD / SSD en 3.5″/2.5″ sont montés, comme les filtres anti-poussière mais aussi les supports de fixations de la carte mère : simplicité, efficacité et rapidité de montage.
Les baies 5.25″ supérieures disposent elles d’un système de fixation rapide permettant là aussi de limiter la visserie et d’accélérer le montage.
Malgré tout, on dispose du nécessaire pour faire un montage propre : visserie et attaches.
Les plus inquiets auront même droit à une notice…
Le tout permettant de réaliser un montage propre et efficace :
Vous l’avez bien compris j’ai un gros faible pour ce Corsair Carbide 330R Titanium Edition. Si le design est une chose sur laquelle chacun peut avoir son avis, le reste de la prestation délivrée par Corsair sur ce boitier mérite des éloges.
Alors évidemment, ce châssis est plus cher que sa concurrence directe; mais une somme de petits détails vient faire la différence.
La qualité d’ensemble tout d’abord, sans enfoncer la concurrence ( je pense notamment à Cooler Master ) est au dessus.
L’insonorisation et la manière dont le revêtement acoustique couvre l’ensemble est là encore particulièrement bien pensée. Le carter supérieur destiné à « masquer » la découpe du radiateur 240mm en est l’illustration parfaite.
Pas de surprise, le Corsair Carbide 330R Titanium Edition est un excellent boitier. En configuration classique ( sans watercooling ) son équipement d’origine permettra déjà à une grosse config de fonctionner avec un refroidissement performant et un excellent niveau de silence.
Les plus exigeants pourront monter un radiateur de 240mm et renforcer la ventilation de la face avant avec un autre 140mm…une config SLI composée des plus grosses cartes du moment se logera parfaitement dans cet excellent châssis.
Polyvalent le Carbide 330R Titanium Edition l’est clairement tout en continuant à porter l’ADN originel de Corsair : qualité et sobriété.
Avec l’arrivée attendue de la Radeon Fury, on avait lâché les versions customs de la dernière puce Nvidia. L’arrivée sur la marché de la MSIGTX980Ti GAMING 6G va nous permettre de constater qu’AMD va devoir revoir sérieusement sa stratégie pour imposer sa Fury X.
En effet, avec un prix public annoncé à 799€ TTC, la version musclée de MSI se retrouve 50€ au dessus de la Radeon Fury X de la même marque.
Avant de parler performances, parlons d’un aspect pratique. Cette MSI GTX980Ti Gaming 6G arrive avec le traditionnel système TwinFrozr V et le mode ZERO FROZR propre à la série Maxwel chez MSI. Autant le dire tout de suite, le gain en terme de confort de fonctionnement est significatif par rapport à la version « stock » de la Nvidia GTX 980Ti que nous avions eu dans les mains.
Malgré des fréquences de fonctionnement à la hausse, la carte est particulièrement silencieuse, preuve de la maîtrise qu’affiche MSI depuis quelques années dans la réalisation de cartes haut de gamme.
Comme nous l’avons annoncé en préambule, les performances de cette MSI GTX980Ti Gaming 6G sont excellentes. Evidemment, elles sont au dessus de la déjà très performante version classique que l’on trouve chez les constructeurs. Cependant, je ne m’attendais pas à des résultats aussi conséquents sur cette MSI.
Si les versiosn customs ne sont pas encore très nombreuses, j’avais en référence la EVGA GTX 980Ti Superclocked utilisée notamment par hardware.fr pour challenger la Fury X. Si la plateforme de tests n’est pas la même ( un Intel Core i7 3960X 6 Cores à 4Ghz sur une Asus P9X79 WS et Windows 7 ) que la mienne, les résultats obtenus sont d’autant plus flatteurs pour la carte MSI.
La plateforme que j’utilise se compose d’un « modeste » i7 4790 / 8go sur une Asus Maximus VII Formula…et sous Windows 8.1 Pro.
L’EVGA est aussi légèrement moins « clockée » que notre MSI (1190 vs 1279 pour la MSI ).
Nous avons utilisé la carte sans aucune modification dans un premier temps puis avec un O/C tout a fait simple, poussant simplement la fréquence GPU à 1380, le tout dans la plus grande facilité.
Les résultats sont excellents et la capacité de la carte à accepter un boost sur la fréquence en dit long sur le potentiel de la carte…
Cela tombe bien, puisque MSI va sans doute nous gratifier d’une version watercoolée durant l’été, qui ne sera pas une Lightning mais une carte développée en collaboration avec Corsair, dans le même esprit que la Matrix ou la Poseidon chez Asus : des performances extrêmes et un focus total sur l’overclocking.
Il n’en reste pas moins qu’à cet instant, la MSI GTX980Ti Gaming 6G est LA carte de choix pour ceux qui ont le budget évidemment.
La qualité de fabrication et les performances délivrées sont tout simplement exceptionnelles.
A cet instant, la MSI GTX980Ti Gaming 6G fait figure de référence.
J’attends évidemment les autres versions customs des constructeurs concurrents et d’autres tests sont à suivre mais il me parait difficile de pouvoir considérer ( à mon grand regret ) la solution AMD FURY X compte tenu des résultats délivrés.
Hier, AMD a dévoilé une toute nouvelle gamme de cartes graphiques Radeon : les R9 3X et les Fury X, Fury et Fury Nano. Si les trois dernières citées sont effectivement des nouvelles cartes, les R9 3X ne sont une fois de plus qu’un simple rennomage des R9 2X qui ont maintenant 2 ans d’existence.
R9 3X : la coupe est pleine
En 2013, les R9 2X reprenaient déjà une partie de la série HD 7X pour proposer au consommateur des « nouveaux produits ». Si le simple renommage avait déjà été pointé du doigt et critiqué par la presse, cette fois-ci, AMD semble se moquer de tout le monde en renommant ses R9 2X en R9 300 series. Bien sûr sans oublier de mentionner que cette gamme factice est « le futur du jeu video »… Cruel désespoir pour nous, mais aveu de faiblesse pour AMD qui, en plus de ses difficultés financières, se retrouve à devoir jouer sur l’argument du prix pour imposer ses cartes sur le marché, quand Nvidia, pourtant elle aussi critiquée pour ses renommages, développait il y a quelque mois sa gamme Maxwell en innovant et en inondant le marché de ses GTX 900 disponibles à grande échelle et sur toutes les tranches de prix. Pour terminer, le caméléon osait montrer sa TITAN X, aussi puissante que chère, et essayait de faire passer la pilule avec sa GTX 980Ti, simple TITAN X amputée d’une partie des unités de calcul de son GPU GM200. AMD se devait de répondre sur le haut de gamme.
AMD FURY : chant du signe ou coup de poker sur l’avenir ?
Et ainsi naquirent les Fury X, Fury et Fury Nano, des cartes toutes nouvelles garanties 100% non renommées et à base de la fameuse mémoire HBM (High Memory Bandwith) qui promettent d’envoyer du pâté, et pas que. La Fury X et son GPU Fidji XT est le mastodonte de la nouvelle gamme, près de 9 milliards (!) de transistors accouplés à 4Go de mémoire HBM sur une interface 4096 bits, de quoi proposer une bande passante 60% supérieure à la GDDR5 actuelle, avec en prime un refroidissement liquide sur l’ensemble de la carte (pas comme cette horreur de R9 295X2 et son petit ventilateur strident pour refroidir les VRM…beurk) Fury, c’est une sorte de GTX 980Ti pour AMD, un GPU Fidji XT tronqué pour donner le Fidji Pro, un prix moins salé et un refroidissement classique à air. La petite dernière, Fury Nano, se présente comme une carte 1/2 : la moitié du prix pour la moitié de la puissance et un encombrement divisé par 2.
Alors ces nouvelles cartes sont elles aussi alléchantes que leurs fiches techniques ?
Pour un gamer avide des dernières technologies jouant sur un moniteur 4K qui lui déjà coûte bonbon, et, il faut le dire, pété de thunes, alors la réponse est oui, 100 fois oui, les Fury sont pour lui comme un messie. Pour un gamer un poil plus répandu, c’est à dire celui qui ne gouverne pas un émirat et qui a une salle de bain qui n’est pas plaquée or et doté d’un « vulgaire » moniteur 1080p, la réponse est clairement négative.
Et c’est là qu’AMD aurait dû étendre son offensive au lieu de rebadger sa gamme existante : le segment du milieu de gamme, l’équivalent des GTX 960 et 750Ti de Nvidia. Cette contre attaque à haute fréquence est belle en soi pour les amoureux du hardware que nous sommes, et certains craqueront sur la Fury X, mais en étirant sa gamme aux deux extrêmes avec des R9 3X basées sur des GPU affamés d’électrons, chauffant comme des théières dopées aux hormones, AMD prouve ici tout le paradoxe de sa situation ;
Oui, AMD est encore capable de développer des produits innovants, mais manque de réalisme sur l’état actuel du marché, et surtout sur ce que les consommateurs attendent. Nvidia l’a compris, Intel aussi et AMD n’a plus qu’à se forcer à le comprendre pour éviter de chuter comme 3D FX ou matrox (:P). La prise de risque est belle, mais démesurée.
Il y a quelques temps de cela nous vous avions proposé un article « 100€ pour upgrade son PC » (ici). Cette fois ci on va reprendre le même principe, mais avec quelques petits changements. Pour cette fois nous nous fixons un budget de 50€, et uniquement des produits neufs. Ne vous inquiétez pas il y aura surement d’autre dossiers sur le même thème mais avec des budget différents !
« Upgrader » son PC ne veut pas dire forcément, dans notre esprit, en améliorer les performances. En effet améliorer le confort d’utilisation peut-être aussi un bon moyen de redécouvrir son PC. Ici les upgrades seront principalement axés sur le confort d’utilisation et l’augmentation indirecte des performances.
Et comme l’été arrive cela veut dire… longues sessions de jeu et fortes chaleurs ! De ce fait j’ai décidé de mettre l’accent sur les upgrades liés à la ventilation
BOITIER
Le boitier est souvent un aspect très sous estimé. Pourtant c’est un élément important du PC. Même s’il n’a pas d’impact direct sur les performances il joue un rôle important dans l’ergonomie générale de notre machine. Il peut nous apporter de meilleurs performances de ventilation, une meilleure isolation, un design sympa ou encore un agencement différent pour s’adapter à vos différents besoins.
– Mini ITX :
Cooler Master Elite 110
Le tout petit boitier de chez Cooler Master sera parfait pour upgrade une configuration mini ITX. Idéal pour un serveur, un PC de salon ou plus simplement pour les petits espaces
Cooler Master Elite 130
Dans le même registre que le Elite 110 mais en un peu plus spacieux, le 130 vous permet d’upgrader votre tour mini ITX vers une base plus solide et « futurproof », en effet le Elite 130 accepte d’assez grosses carte graphiques et même de petits watercoolings ! Parfait pour les LAN.
– ATX
Cooler Master N400
Un boitier sobre, simple et efficace qui conviendra à la plupart des utilisations. Très bien pour upgrader votre PC si vous en avez marre de votre alimentation placée dans le haut et de votre cable management immonde.
XIGMATEK Alfar (ici en version window)
Beaucoup moins sobre que le N400, le Alfar propose un design très sympa et surtout une très belle qualité de finition et de fabrication. Ici en version windows sachez qu’il est aussi dispo sans fenêtre, en blanc et en fullblack. De plus, bien ventilé, il conviendra aux gamers.
ZALMAN Z3/Z3 PLUS (ici Z3 Plus)
La série Z de Zalman a déjà grandement fait ses preuves depuis quelques années. Une très bonne ventilation (4ventilo inclus), une finition et une qualité de fabrication plus que correct, évolutif…que demander de plus ? Parfait pour les Gamers souhaitant faire évoluer leurs vieilles machines qui se sont transformées en four.
[cfield « pricemesh_1 »]
ALIMENTATION
A l’image du boitier, l’alimentation est trop souvent négligée, pourtant c’est elle qui est en charge de toute l’alimentation électrique du PC. De ce fait, si celle-ci est défaillante cela peut engendrer de gros problèmes. Il est donc important de choisir une bonne alimentation pour plus de « sécurité ». De plus les alimentations de marques sérieuses sont en général moins bruyantes et chauffent moins.
BeQuiet! Pure Power L8 300w
Une petite alim de 300w qui conviendra parfaitement aux petits PC de salon, aux PC home cinéma, aux petits serveurs domestiques ou plus simplement aux PC bureautiques. Cette alimentation est très silencieuse et est surtout très fiable.
EVGA 500w
Une alimentation de « seulement » 500w mais qui conviendra néanmoins à la majorité des PC, même un PC gamer entrée/milieu de gamme. Elle dispose de 2×6(+2) Pin ce qui permet d’alimenter un grand nombre de cartes graphiques. EVGA étant une marque de confiance, vous n’aurez pas peur que l’alim vous pète dans les doigts.
[cfield « pricemesh_2 »]
VENTIRAD
Un bon ventirad peut jouer sur deux aspects; les performances et le confort d’utilisation. Si vous possédez un CPU overclocable mais que vous avec un ventirad de bases, vous ne pourrez pas OC, ainsi un bon ventirad permet d’augmenter indirectement les performances. De plus un ventirad de qualité est beaucoup plus silencieux.
Cooler Master Seidon 120 v2
Bon ici on triche un peu car on est plus proche des 55€… Néanmoins c’est un watercooling entré de gamme qui vous permettra d’OC votre processeur sans crainte de surchauffer. De plus le v2 dispose du dernier ventilo de chez CM qui est bien plus silencieux.
Thermalright Macho Rev.B
Si vous êtes allergique au watercooling mais que vous cherchez quand même un ventirad très performant le Macho est fait pour vous. Très performant il vous permettra d’OC sans soucis et de refroidir de gros processeurs.
BeQuiet! Pure Rock
Un de mes gros coup de coeur du moment. Même si il n’est pas conçut pour l’OC il est capable de refroidir la grande majorité des processeurs sans aucuns soucis et tout ça en restant relativement silencieux ! Probablement un des meilleur de sa catégorie.
NOCTUA NH-L9
Un tout petit ventirad destiné aux processeurs de faibles puissances, et plus particulièrement aux tout petits boitier. Il rentre dans absolument tous les boitier et est compatible avec toutes les RAM. Il sera parfait pour un PC Home cinéma par exemple.
[cfield « pricemesh_3 »]
VENTILATEURS
Que ce soit pour augmenter les performances de ventilation dans le cadre d’une configuration musclé, pour réduire les nuisances sonores, ou plus simplement pour avoir un desgin sympa, le choix de nouveaux ventilos apportent pas mal de nouveaux avantages.
NOCTUA NF-12P
On ne présente plus Noctua qui a très largement fait ses armes dans le domaine de la ventilation. Ici je vous propose un modèle particulier qui a pour caractéristique de fournir une grande pression statique, c’est à dire qu’il est adapté aux radiateurs de aircooling ou de watercooling
COOLER MASTER SILENCIO FP 120
On reprend les même caractéristiques que le Noctua NF-12P, c’est à dire une forte pression statique, mais cooler master nous propose un produit bien moins cher.
BeQuiet! Pure Wings 2
Le Pure Wings est un ventilateur qui fournit un grand débit d’air, il va donc être adapté à l’installation dans les boitier pour générer un bon flux d’air et refroidir l’ensemble de la configuration, de plus les nuisances sonores sont modérées
COOLER MASTER JET FLOW
Pour apporter un peu de couleurs dans votre PC il sera parfait ! Dispo en plusieurs couleurs. Les caractéristiques sont plus que correctes avec un débit d’air max de 95CFM ! Mais attention à pleine puissance il est assez bruyant.
NOISEBLOCKER BLACKSILENT PRO PL-1
Un ventilateur très silencieux, voir quasiment inaudible ! Mais il arrive néanmoins à fournir un très bon débit d’air, des caractéristiques impressionnantes pour moins de 12€ !
[cfield « pricemesh_4 »]
SSD
C’est probablement le composant qui transfigure le plus votre PC. Le SSD permet de démarrer votre PC en claquement de doigt et donne plus de réactivité à l’ensemble de votre système.
CORSAIR FORCE LS 60Go
Ce n’est certainement pas le plus puissant des SSD mais si vous êtes actuellement sur un DD classique le petit LS va vous changer la vie ! Il sera parfait pour installer votre OS et donner un bon coup de fouet à votre PC.
C’est une conférence relativement dense qu’a tenu Oculus ce 11/06 en préambule à l’ouverture de l’E3. L’Oculus Rift va continuer encore à faire parler de lui pendant un petit moment !
Le Rift est donc construit autour de deux écrans OLED, peut être utilisé avec une paire de lunettes et le « casque » audio intégré peut se retirer pour utiliser un autre modèle classique.
Partenariat avec Microsoft
Mais Oculus ne s’est pas arrêté là et l’autre nouvelle de la soirée à été la collaboration avec Microsoft en général et Xbox / Windows 10 en particulier.
Le gros morceau reste néanmoins l’annonce par Phil Spencer de la possibilité de streamer les jeux Xbox One directement sur l’Oculus Rift. Une courte vidéo a été lancée pour constater le fonctionnement du système.
Oculus Touch
Le contrôleur Xbox one rend le Rift immédiatement exploitable mais pour aller plus loin Palmer Luckey est venu présenter les manettes Oculus Touch.
L’oculus Touch est évidemment bien plus qu’une manette, c’est tout d’abord un contrôleur de mouvement de type gyroscopique, doté de retours de forces mais aussi d’une surface capable de reproduire la sensation du toucher. Bref, c’est clairement le second étage dans l’immersion que propose Oculus.
Dans les prochaines heures Oculus va continuer à faire quelques annonces et surtout il profitera de l’E3 pour faire la démonstration de ses contrôleurs Touch.
Une chose est cependant certaine, Oculus a frappé un grand coup ce soir et va clairement capter l’attention de tout le monde durant cet E3.
On l’attendait pour le Computex, voilà que cette GTX 980Ti est déjà dans nos mains et disponible chez nos amis commerçants.
On l’attendait à 900€, le prix officiel de la version « référence » de cette nouvelle GTX 980Ti est à 749€…ce qui est une excellent nouvelle !
Nvidia a donc décidé de nous surprendre en mettant sur le marché sa nouvelle bombe.
Tout d’abord il nous faut rapidement préciser que nous avons là entre les mains une carte transmise par Nvidia et qui reprend le design « classique » avec la même ventilation qu’on retrouve sur la Titan X ou sur les versions classiques des 970 et 980 par exemple.
Les constructeurs comme MSI et Asus vont rapidement s’en donner à cœur joie pour nous sortir de la GTX 980Ti Gaming 6Go de la Strix…voir de la Matrix. Au delà du système de ventilation c’est aux performances que vont s’attaquer nos amis et nous allons voir que sur ce point Nvidia leur a livré un bel outil.
Cet article ne sera pas un test très détaillé mais un premier contact avec la carte, rapidement nous publierons un dossier plus complet avec les versions custom des marques.
Cependant, à la lecture de cette petite contribution, vous aurez un avis suffisamment précis sur la valeur de cette nouvelle carte GTX 980Ti.
Tout d’abord, commençons par un état du haut de gamme de Nvidia avec l’arrivée de cette carte qui va aussi redistribuer les strates tarifaires :
Rien de bien nouveau car ces éléments ont filtré depuis quelques jours maintenant. On constate cependant que le TDP de la 980Ti est identique à la Titan X…rien de plus logique en réalité mais on fait quand même un saut important par rapport à la 980 « classique ».
La GTX 980Ti est une bonne surprise en terme de prix, elle est aussi une bonne surprise en terme de performances.
En réalité, cette version Référence est là où on l’attendait : entre la GTX 980 et la Titan X…tout prés de cette dernière quand les résolutions augmentent et qu’on s’achemine vers la 4K.
Passons maintenant aux Fire Strike en comparant MSI GTX 980 Gaming 4G / GTX TITAN X / notre GTX 980Ti référence et la même carte avec un léger O/C ( 1150 / 7100 )
Sur les Fire Strike Ultra ( 4K ), le petit O/C permet à la 980Ti de prendre l’avantage sur la Titan X sans pour autant altérer sa stabilité ni augmenter sa température de fonctionnement.
C’est clairement sur les très hautes résolutions que la petite dernière semble le plus apte à faire les différences.
Sur les derniers titres en 4K, les chiffres sont frappants si on compare la 980Ti à une bonne vieille GTX 680 :
Quelques jeux pour ce donner une idée : 2560 x 1600 , plateforme = I7 4790 – 16Go Ram – Win 8.1 Pro
en Y le nombre de FPS.
On se retrouve quasi tout le temps identique à la Titan X et 30-35% au dessus de la GTX 980.
On est donc sur une excellente carte et ce premier contact avec la nouvelle GTX 980Ti est plus que positif car nous avons dans les mains une carte quasi équivalente à la Titan X et qui la dépasse relativement facilement avec un simple O/C…Les versions custom devraient sans aucun souci dépasser la Titan X et battre quelques records.
Reste maintenant à se préoccuper d’AMD : la 390X, on le sait ne sera qu’un Hawaii sans doute un poil gonflé mais très proche de que l’on trouve déjà sur une MSI 290X 8Go par exemple, bien loin derrière en terme de performances ( -30 à – 35% ).
On attendra donc Fiji et la Radeon Fury qui, sur le papier, peut faire des misère à Nvidia. Cependant en positionnant sa GTX 980Ti à 749€, Nvidia vient de compliquer sacrément la tâche à AMD…
Nous compléterons avec un dossier dans les prochains jours.
Mettre 600€ pour un écran peut paraître fou pour une grande majorité. Pourtant cet écran Acer Predator XB280HK est, sur le papier, ultra compétitif.
Rendez-vous bien compte : une dalle TN 1ms, 4K, équipée d’une puce G-Sync, le tout articulé et pivotable…c’est juste une excellente affaire et il est difficile de combiner autant de fonctionnalités sur un écran sous les 1000€.
Alors évidemment, cet écran se destine aux gamers ce qui implique une dalle réactive et quelques autres contraintes.
Nous allons mettre tout ça bout à bout et voir si cet Acer vaut le détour.
[cfield « pricemesh_1 »]
Il ne faut pas se le cacher, Acer traîne une sale réputation et se retrouve la plupart du temps, associé à une image « low cost ». C’est très injuste quand on regarde les dernières productions de la marque.
Acer produit depuis un long moment des écrans et les réalisations de la marque n’ont jamais affiché de défaut majeur. En se positionnant sur le gaming, le niveau d’exigence du consommateur va s’élever.
Avec cet écran Predator XB280HK, on n’a pas vraiment de surprise au niveau design. C’est presque une déception au regard de ce que fait BenQ notamment avec sa gamme XL.
La dalle est habillée par un plastique noir laqué, classique et évidemment sensible aux traces de doigts. Les bords sont minces et la qualité perçue au déballage est bonne mais pas d’effet « whaoouu » comme on pourrait s’y attendre sur un produit « gaming ».
Ce manque de fantaisie dans le design ne conditionne absolument pas la qualité d’ensemble. les assemblages de plastiques sont bons, le pied dispose d’un pivot, permet de régler l’écran en hauteur et permet aussi une rotation pour obtenir un mode portrait.
Toute la mécanique de l’ensemble articulé respire la solidité et à aucun moment, malgré de multiples sollicitations, la fluidité de l’ensemble n’a été compromise. J’utilise des écrans DELL disposant d’une articulation identique; bien que positionnés plus chers, je n’ai pas constaté de différence à l’usage.
Vous l’aurez compris, cet écran Acer Predator XB280HK est d’une grande sobriété et ne marque pas les esprit par un design audacieux.
Disposant d’une bonne qualité générale, c’est essentiellement sur la fiche technique qu’Acer a mis le paquet…
28″ ça commence à faire gros sur un bureau. Si nous avons vu que le pied du Acer Predator XB280HK fait beaucoup pour son ergonomie, nous allons maintenant nous attarder aux réglages et à la connectivité du produit.
C’est du classique là encore puisque c’est avec le lot habituel de boutons en bas à droite du cadre.Il est ainsi possible d’agir sur la correction gamma, la luminosité, le contraste et la température des couleurs, ce qui est plutôt rare sur un écran dédié aux joueurs.
En ce qui concerne la connectique, on va pouvoir aller vite. Si un hub USB 3.0 est intégré avec 2 ports sur le côté et deux ports derrière, on s’arrête là.
En effet, puce G-Sync oblige, l’unique connexion à votre PC se fera par un DisplayPort. Cet écran est donc uniquement dédié à un univers PC, oubliez le branchement à une console, en tout cas sans bricolage.
Soyons honnêtes, la qualité du rendu de ce Predator XB280HK est excellente sans avoir à bricoler dans les réglages. Ceux qui cherchent à élargir la palette d’utilisation de l’écran Acer en l’afférant à des tâches graphiques pourront cependant obtenir des résultats très convaincants en calibrant la dalle d’une manière plus pointue. Le réglage de la température des couleurs étant disponible, tout devient possible.
C’est évidemment sur le domaine de la réactivité qu’on attend cet écran en premier lieu. Le Predator dispose d’un mode Overdrive avec 3 positions ( off/on/extrême ). En utilisation normale, c’est la dalle UHD la plus réactive sur le marché à cet instant.
Sur la fluidité, l’implantation de G-Sync prend sur cet écran tout son sens. Avec un rafraîchissement de 60Hz on aurait ainsi pu craindre pour les performances de cet écran : il n’en est rien, bien au contraire.
Aucun phénomène de tearing même ( surtout ) en 4K où le « scaler » de Nvidia se plie au signal délivré par la carte graphique ( qui sera obligatoirement une Nvidia ).Dans un jeu 4K où obtenir du 60FPS est complexe même avec des grosses cartes, l’apport du G-Sync est phénoménal : sous les 60 FPS, la fluidité est fabuleuse sur le Prédator alors que la même séquence devient problématique avec le ASUS PB279Q travaillant pourtant à la même fréquence, même résolution.
Pour un joueur, investir dans un écran 4K sans disposer de cette technologie serait une erreur majeure.
Conclusion
C’est sur cet argument principal que je ferais ma conclusion. La proposition de valeur faite par cet écran Acer Predator XB280HK est tout simplement remarquable. On peut effectivement ergoter sur le design mais les performances obtenues ainsi que le rendu permettent d’effacer tous les arguments ( pourtant mineurs ) évoqués au début de ce test.
On arrive à trouver le Predator sous les 600€ quand le ASUS MG279Q certes plus polyvalent au niveau de la connectique, arrive à plus de 650€ en 1440P avec un Freesync peu exploitable…
Le Predator XB280HL peut ainsi s’envisager comme un investissement sur le long terme, intégrant toutes les bonnes technologies et disposant d’une qualité d’image capable de satisfaire un public plus large que celui des joueurs.
L’avènement du SSD a incontestablement bouleversé la manière dont nous utilisons notre PC. Au delà de l’aspect « performances », c’est tout le confort global de nos machines qui a été modifié.
Aujourd’hui, l’évolution de la technologie permet de franchir régulièrement de nouvelles étapes et c’est tout ce qui accompagne le SSD ( contrôleur, connectique…) qui doit se mettre au diapason. L’HyperX Predator 480GB M.2 en est l’exemple.
C’est le Sata qui rend les armes en ce moment. Pourtant, il a permis aux possesseurs de SSD de découvrir les joie d’un OS qui se charge en un clin d’oeil et des applications qui démarre sur un simple clic…oui mais voilà, le potentiel du SSD et son exploitation commerciale amplifiée par la chute des prix, permettent une course totalement bénéfique à l’utilisateur.
L’arrivée des SSD sur port PCIex 2.0 permet ainsi de franchir une nouvelle limite. La technique n’est pas nouvelle mais elle est amplifiée par l’adoption massive du port M.2 destiné à l’origine aux portables. Le port M.2 est le remplaçant « physique » du mSata , il est l’exploitation miniaturisée du port Sata Express (qui permet d’obtenir du PCI Express 3.0 et du SATA 3.0) .
Le plus important à retenir dans notre cas présent c’est que le port M.2 donne accès à 4 lignes Pciex…d’où l’intérêt, pour ceux qui ne disposent pas d’un port M.2, de passer par la carte livrée avec l’HyperX Predator.
[cfield « pricemesh_1 »]
Depuis que Kingston a décidé de faire vivre de façon « autonome » sa marque HyperX ( du moins d’un point de vue commercial ), on ne peut que constater la montée en gamme de ses produits. La montée en gamme technique n’est pas vraiment la chose la plus flagrante, Kingston fait d’excellents produits depuis des années, mais le positionnement très généraliste de la marque avait sans doute pour conséquence de noyer dans la masse les produits au dessus du lot. Mettre en avant ces produits « ultimes » c’était aussi le risque pour la marque, de fausser la perception « prix » du client final en donnant à l’ensemble de la gamme un positionnement élitiste alors que Kingston revendique un positionnement généraliste.
Avec la gamme HyperX, le positionnement « power user » est entièrement assumé. La gamme de produits est ainsi clairement positionnée sur ce terrain. Emballage classieux, produit complet mais dédié à une clientèle exigeante. Ce HyperX Predator ne déroge pas à la règle.
Basé sur le contrôleur pour bus Pcie 4 lignes Marvell 88SS9293 “AltaPlus” , ce SSD permet, sur le papier de délivrer des performances qui ne peuvent être encaissées par un bus SATA.
Kingston livre donc un produit parfait que vous utiliserez aussi bien en version PCIe ( qui n’est en fait qu’un simple « adaptateur » ) qu’en version M.2 ( sans l’adaptateur ). Le produit est totalement identique évidement et procure exactement le même niveau de performances.
Pour cet HyperX Predator Kingston utilise 4 puces NAND Toshiba A19 de 64GB sur chaque face de la carte combinées à 2 modules de DDR3-1600 pour le cache ( 1 module par face ).
Pour les plus exigeants, ce SSD HyperX Predator supporte nativement le NCQ, le TRIM et les commandes SMART. A cet instant, le controleur Marvell ne supporte par l’HCI NVM-Express mais nous y reviendront plus tard.
D’un point de vue tarifaire, la solution Predator est clairement bien au dessus de ce que l’on trouve, à volume équivalent, en format classique sur port Sata.
La plateforme de tests utilisées est composée d’une carte mère Asus Maximus VII, d’un CPU I7 4790 et de 2x4Go de HyperX Fury.
Nous sommes sous Windows Pro 8.1 64 bits.
Autant le dire tout de suite, les résultats, dans les chiffres comme en perception globale, sont impressionnants.
Notre séquence de tests va solliciter les supports suivants :
SSD HyperX 480GB 3K
RAID 0 2x240GO CORSAIR Neutron GTX
HyperX Predator 480GB M.2 PCIe
Evidemment, dans tous les cas, les 3 supports sont clonés à l’identique pour lancer les tests.
On le voit clairement, l’HyperX Predator est vraiment performant. Si la vitesse de lecture est impressionnante, c’est surtout l’écriture qui est remarquable.
Un petit peu dépassé par le RAID 0 dans les lectures séquentielles et 4K, les performances en écriture ne laissent aucune chance aux autres solutions.
A l’utilisation, là encore le sentiment global est excellent, y compris face à une solution RAID SSD mais c’est clairement l’écriture qui permet d’avoir une sensation immédiatement palpable du gain procuré par le Predator. En acquisition vidéo par exemple, c’est juste sans comparaison.
Tout au long des séquences de tests, les résultats obtenus par l’HyperX Predator ont constamment été au-dessus des 1400MB/s en lecture et des 1000 MB/s en écriture. Ces résultats ont été confirmés par l’utilisation d’autres solutions de benchmarks comme ATTO DB.
Que l’on parle de la version installée directement sur un port M.2 ou de la version utilisée au travers d’un adaptateur PCIe, l’HyperX Predator est vraiment un produit Plug n Play.
L’installation se fait sans aucun souci, aucun problème à régler, manipulation dans le bios. Sur trois plateformes différentes ( Z97, H67 et X99 ), le Predator a démarré immédiatement sans aucune complication.
Si l’on rajoute à cela le fait que Kingston a eu la bonne idée de fournir avec son produit une licence de l’excellent Acronis True Image HD, le transfert de votre système vers la solution Predator devient un jeu d’enfant et surtout une opération se gérant en très peu de temps.
La carte au format M.2 est évidemment démontable et pourra venir s’intégrer, si vous changer de matériel, au sein des cartes disposant d’un port M.2 dédié.
Enfin, si on veut pinailler, la carte « mère » du SSD Predator peut recevoir un bracket Low Profile en cas d’intégration dans un serveur ou certaines solutions mini-ITX.
Le rapport Qualité/Prix est sans doute le talon d’Achille de la solution HyperX.
Si, comme nous l’avons remarqué, aucun reproche ne peut être fait sur la qualité du produit délivré par Kingston, son prix est, à cet instant, un sacré frein.
Solution élitiste pour ceux qui regardent plus les performances que le porte monnaie, il n’y a là rien d’anormal. On remarque cependant qu’à plus de 500€ les 480GB, des solutions RAID à base de Samsung 850 EVO se rapprochent en terme de performances tout étant 30 à 40% moins coûteuses…
Reste que le segment du SSD classique ( entendons sur port Sata ) est en pleine guerre des prix. Depuis presque un an, seule la hausse du dollar a partiellement ralenti la chute des prix.
Il faudra aussi ajouter l’absence, à cet instant, de prise en charge du protocole NVM Espress destiné à remplacer l’AHCI pour les SSD PCIe et augmentant le rendement et la stabilité des performances.
Le bios du Predator étant upgradable, cette situation n’est peut-être pas définitive. Le NVMe est aujourd’hui l’avenir pour passer encore un autre cap en terme de performances et notamment dépasser toutes les contraintes de latences. Les solutions Intel et Samsung existent déjà et son commercialisées depuis le milieu de l’année dernière, sans toutefois viser le grand public.
Conclusion
L’HyperX Predator apporte des performances décoiffantes, le tout dans une facilité de mise en oeuvre déconcertante. Si le produit de Kingston apporte un confort d’utilisation vraiment incomparable, l’addition est cependant lourde. Devant la chute des prix des SSD classiques ce Predator est donc incontestablement une solution pour les utilisateurs extrêmes. Il n’en reste pas moins que les gains apportés par l’utilisation du support M.2 laissent penser qu’une montée en volume des ventes de ces solutions est à envisager rapidement…ce qui impactera évidemment le prix à la baisse.
C’est le site chinois Benchlife.info qui nous apprend que le remplacement de Broadwell va se faire à marche forcée…et qu’on va manger du Skylake à toutes les sauces.
En effet, dès septembre c’est un nombre conséquent de références Skylake qui se retrouvera sur le marché.
Intel va ainsi procéder à une mise à jour massive de sa gamme de processeurs, de la série desktop jusqu’aux processeurs mobiles.
On découvre ainsi avec les fuites relayées par Benchlife toutes les déclinaisons à venir de Skylake.
Cette gamme pourra accepter la DDR3L 1600 et la DDR4 2133. Typiquement, on est censé avoir de la DDR4 sur les chipset type Z170 et de la DDR3L sur toutes les solutions mini ITX et autres NUCs.
Intel Skylake-H
Cette gamme est orientée mobilité et performances avec l’apparition d’une série Xeon Mobile. On trouvera dans cette sous famille les Core i7-6920HQ, Core i7-6820HQ, Core i7-6280HK, Core i7-6700HQ, Core i5-6300HQ, Core i5-6440HQ et Core i3-6100H. Pour ces fameux Xeon on aura au début le Xeon E3-1535M v5 et le Xeon E3-1505M V5.
Intel Skylake-U
C’est la série qui vient remplacer les Broadwell-U comme l’actuel Core i7-5500U.
Intel Skylake-Y
C’est la série dédiée à l’ultra mobilité qui vient remplacer le Broadwell Core M ( TPD 4.5W / CPU Fanless ). Elle devrait arriver un peu plus tard avec les Core M-6Y75, Core M-6Y54 et Core M-6Y30 qui n’auront pas nécessairement un TDP plus faible mais une hausse substantielle de performances.
Dans quelques jours, le Computex ouvrira ses portes ( du 2 au 6 juin ). En ce moment tout le monde parle de l’arrivée des R9 390X mais le calendrier Nvidia semble déjà prêt.
S’il ne fait plus aucun doute qu’un re-calibrage tarifaire va s’effectuer pour contrer AMD, notamment avec une action sur les GTX 960 et 980, l’arrivée d’une GTX 980Ti n’est plus un secret pour personne non plus.
Justement, on en sait beaucoup plus maintenant sur la 980Ti et notamment le fait qu’elle sera officiellement de sortie au Computex…et coupera donc l’herbe sous le pied à la 390X.
L’autre info c’est que la GTX 980Ti pourra bénéficier d’un design custom de la part des constructeurs.
Nous savons déjà que la GTX 980Ti embarquera un GPU GM200-310 et non pas le GM200-400 de la Titan X. Sa ram sera ramenée à 6Go de GDDR5.
Les desgins « maisons » vont donc permettre d’améliorer les performances avec des modifications du PCB mais aussi du système de refroidissement, permettant ainsi d’augmenter les fréquences.
Il se murmure aisi qu’une version « Lightning » de la GTX 980Ti serait déjà dans les cartons et que plusieurs records vont être cassés durant le Computex.
Dans cette configuration, une GTX 980Ti Custom serait capable d’égaler voir même de dépasser les performances d’une Titan X.
Logitech a présenté une nouvelle souris : la MX MASTER. Après avoir déroulé une roadmap ultra dense sur sa gamme G, Logitech sort un produit très haut de gamme n’ayant évidemment rien à voir avec l’univers du gaming.
Si la MX MASTER est là pour prendre la relève de la Performance MX dans le catalogue de la marque, chez moi elle vient mettre à la retraite la besogneuse MX Revolution, une souris qui date de 2006 et qui pourtant fonctionne encore sur une de mes configs. Il y a 9 ans, cette même MX Revolution sortait à 99€ et semblait horriblement chère.
Affichée aujourd’hui au même prix, la MX MASTER est certes un produit très haut de gamme mais on voit déjà depuis un petit moment beaucoup de références venir croiser dans ces niveaux de prix.
Toute la question est de savoir si cette MX MASTER est, elle aussi, au sommet de la qualité, comme ont pu le rester une grande quantité de produits Logitech depuis des années.
[cfield « pricemesh_1 »]
C’est de toute évidence le point fort de la MX MASTER. La taille imposante de la souris permet une prise en main immédiatement confortable. Evidemment, les gauchers auront remarqué que cette souris ne s’adresse pas à eux. Sa surface bombée et large perturbera aussi les petites mains mais pour les autres, c’est un vrai régal.
La main se positionne immédiatement et la surface destinée à reposer le pouce permet de se sentir tout de suite en quasi fusion avec la souris. La prise en main est totale et parfaite, sans effort, sans contrainte, la souris reste parfaitement maîtrisée quelques soient les mouvements.
L’autre point fort est la combinaison de matières utilisée pour la réalisation de la surface supérieure de la souris. Si la plus grande partie est composée d’une traditionnelle matière hydrophobe granuleuse, c’est évidemment les deux surfaces latérales qui attirent la curiosité. D’un genre nouveau, c’est une matière différente mais surtout texturée avec une accumulation de petites facettes. C’est déjà très esthétique mais c’est surtout très confortable, constamment « frais » après de longues heures d’utilisations et évidemment très appréciable en ce qui concerne la préhension de la souris.
Le positionnement des boutons est particulièrement réussi lui aussi. Outre le confort traditionnel de la molette supérieure, elle est discrète et précise et permet d’être débrayée avec le bouton situé juste au dessus.
Les fonctionnalités à disposition du pouce ont été particulièrement travaillées. On pensera à cette inédite molette qui permet de faire du scroll horizontal, une fonction bienvenue pour les utilisateurs de grands écrans et de tableaux XLS sans fin…
Clairement, la MX Master est massive. Donc si vous êtes fan de micro souris, évidemment, vous pouvez passer votre chemin. Pour les autres, le premier constat c’est que la MX MASTER est un produit statutaire qui produit son effet sur un bureau !
Au delà de ces considérations, le choix des textures et le mariage des couleurs permet à Logitech de nous proposer un produit clairement classieux et original notamment grâce à la bande couleur bronze qui ceinture la souris : magnifique.
Concernant la qualité de fabrication, rien à dire, presque comme d’habitude, avec Logitech. Le corps de la souris est solide et les assemblages de matériaux sont de grande qualité; difficile par exemple de percevoir que la surface supérieure et la surface latérale sont en fait deux éléments différents : aucune rupture, nervure : la fabrication est parfaite sur ce point.
Les deux boutons principaux, en plastique classique respirent eux aussi la solidité avec une course très courte. Bref, à ce niveau de prix on s’attend clairement à un sans faute et c’est exactement la copie que nous rend Logitech pour son nouveau haut de gamme.
Si la configuration de cette MX Master ne pose pas de souci c’est évidemment en raison de la qualité de ses drivers mais aussi par le choix de son double système radio. Partant du constat que les environnements changent, Logitech intègre une radio « classique » issue de la technologie « Unifying » largement utilisée par Logitech qui livre à cet effet un nano dongle. L’installation se fait dans la plus grande facilité avec cette configuration. Mais nous avons aussi la possibilité de passer par le Bluetooth 4.0 pour un environnement Apple par exemple ou un ultrabook avare en USB.
Ce qui est intéressant c’est qu’on dispose de 3 profils qui permettent ainsi de changer d’environnement sans stress : son PC de bureau en Unifying par exemple, puis son Macbook ou encore un Ultrabook.
Le tout se fait à partir du bouton situé sous la souris et qui permet de sélectionner l’environnement décidé. Attention toutefois à bien vérifier la présence du Bluetooth 4.0 sur vos configurations se passant du dongle Unifying.
Concernant le pilote en lui-même, on retrouve une interface très épurée et permettant l’essentiel. N’oublions pas que nous sommes là sur une souris à vocation bureautique. Si on retrouve sur internet de nombreux utilisateurs se plaignant de plantages, je n’ai fait aucun constat de ce genre en deux semaines d’utilisation intensive.
Avec les pilotes nous avons ainsi accès à la sensibilité, le paramétrage de la roulette…ou encore la possibilité de réaffecter les clics ( droite / gauche ) ou encore sur la roulette.
Evidemment, la zone activable par le pouce est, elle aussi, entièrement paramétrable
La MX Master est une souris quasi exclusivement dédiée à la bureautique, PAO, etc…difficile dans ces conditions de parler de mesure de performances comme on le fait pour le capteur d’une souris gaming. Le capteur de notre souris est donc un élément ayant fait ses preuves et présent sur la génération précédente…datant d’il y a 6 ans. Dénommé Darkfield, les chiffres n’affolent évidemment pas les foules, le capteur laser propose ainsi une résolution maximale de 1600Dpi ( le mode standard est lui paramétré sur 1000Dpi ). On est très loin des performances du capteur de la G502 effectivement mais on ne s’adresse pas du tout à la même cible. Ces chiffres permettent de toute façon à la MX MASTER de ne jamais être prise en défaut sur les applications bureautiques, la navigation Web et l’utilisation de photoshop par exemple.
Le capteur Logitech dispose d’autres qualités comme par exemple une excellente polyvalence lui permettant de s’adapter parfaitement à toutes les surfaces.
Tout ça se retrouve aussi dans la glisse générale favorisée par 4 surfaces de teflon qui confortent vraiment le confort qui est procuré avec l’utilisation de cette souris.
Quand on met près de 100€ dans une souris, on peut être exigeant. Logitech a sans doute conscience de tout ça puisqu’il a mis presque 6 ans pour remplacer son haut de gamme, jusque là assumé par la Performance MX.
Alors si nous n’avons pas de révolution technique, la précision et les performances du capteur n’étant pas un enjeu sur la cible qui est visée, on peut dire que Logitech relève encore le niveau en matière d’ergonomie, de confort d’utilisation et de qualité perçue.
Evidemment, on pourra émettre des doutes sur une souris rechargeable qui ne permet pas de changer sa batterie. On pourra aussi se plaindre de ne pas disposer d’un socle de recharge comme sur ses ancêtres…Mais là aussi Logitech a porté ses efforts : j’ai sortie la MX MASTER de sa boite et je l’ai mise en fonction immédiatement sans recharge. Au moment d’écrire cette conclusion je suis à plus de 15 jours sans aucune recharge…
Logitech annonce 40 jours d’autonomie et le branchement du câble USB livré, permet d’utiliser la MX MASTER comme une souris filaire sans modifier ses profils et son paramétrage…de plus, la rapidité de charge est au rendez-vous : 5 minutes de connexion vous assure 10 heures d’utilisation.
Dans ces conditions, mettre 99€ pour une souris dont les grandes sœurs ont eu une durée de vie incroyable n’est pas du tout une folie…c’est même un investissement plus que raisonnable !
Conclusion
La MX MASTER est un bel objet et sans aucun doute un investissement de qualité pour ceux qui souhaitent un confort total, un produit fiable et qui dure.
Sans présumer de l’évolution de cette souris dans le temps, Logitech ne nous a jamais déçu par le passé sur le sujet. En poussant encore l’ergonomie à un très haut niveau et en soignant le design, Logitech nous propose là une référence incontournable pour les utilisateurs exigeants.
Depuis l’avènement d’internet, le navigateur est devenu un outil indispensable. Si la guerre fit rage entre Netscape et Internet explorer, c’est l’arrivée récente de Google Chrome qui relança le combat sanglant des navigateurs. Et si Chrome est à présent le navigateur le plus répandu au monde, ses concurrents les plus proches ne manquent pas d’atouts qui méritent l’attention
Google, Mozilla, Microsoft et Opera. Ces quatre firmes se partagent internet sur les terminaux Windows et proposent chacun une approche différente. Chrome mise sur la simplicité d’utilisation, quand Firefox se concentre sur les fonctionnalités par exemple. Passons point par point les spécificités de ces navigateurs (desktop)
INTERFACE
L’interface est primordiale : elle représente l’expérience utilisateur et conditionne l’ergonomie du navigateur.
Chrome
L’interface de Google Chrome (version 41) est simple, claire et épurée. C’est notamment sur cette particularité que le navigateur de Google misait à son lancement. Tout est fait pour garantir l’accessibilité : onglets au dessus, barre de recherche « slim », extensions à droite, à côté des paramètres, touches -retour-, -avance- et -actualisation- en haut à gauche. Les paramètres sont regroupés dans une page simple et peu fournie. Très agréable, l’interface de Chrome reste une référence.
Firefox
Chez Firefox, on reste sur quelque chose d’épuré, mais il est facile de voir qu’elle est plus fournie, surtout sur le coin supérieur droit. Le menu propose un nombre de raccourci que l’on peut choisir de placer là pour un accès rapide. La barre de recherche est séparée en deux, et le bouton actualiser est déplacé dans le barre de recherche, un choix étrange et peu ergonomique. Pour les options, et donc le menu paramètres en tant que tel, on a droit à une fenêtre dédiée très complète permettant de tout customiser pour parfaire sa navigation. Un gros point positif pour Mozilla Firefox.
Opera
Pour opéra, le minimalisme « à la chrome » règne en maître. Un peu trop même, puisqu’il est difficile au premier abord d’accéder aux réglages, cachés derrière l’icône Opera dans le coin en haut à gauche. Barre de recherche unique, onglets rectangulaires : c’est classe, mais peu fourni. Les paramètres adoptent le modèle de Google Chrome, avec une seule page bien pauvre en informations.
Internet Explorer
Le navigateur (par défaut) de Microsoft a adopté un design simple…si seulement il ne s’ouvrait pas sur MSN… Bref. On dispose d’une barre de recherche épurée et unique, et d’une disposition similaire à Opéra. Les paramètres se cachent dans le menu « options internet » et sont étonnamment complets mais pèchent par une ergonomie perfectible.
Vainqueur : Chrome
Fonctionnalités
Les fonctionnalités d’un navigateur sont également importantes : personnaliser l’interface, ajouter des extensions pour fluidifier ou enrichir la navigation, elles sont une des particularités des navigateurs qui se doivent d’être passées en revue. Enjoy !
Chrome
Pour le vaisseau amiral de Google, l’utilisateur peut télécharger ses extensions depuis le Chrome webstore, sorte de Google Play Store pour desktop. Les extensions (pushbullet par exemple) sont souvent de qualité, et le choix est très vaste. Pour une expérience optimale entre mobile et PC, les applications en ligne de Montain View, Drive, Gmail, Docs, Maps etc. sont intégrées directement dans le navigateur là où ses concurrents n’incorporent pas ces fonctionnalités.
Niveau personnalisation, les thèmes sont très nombreux et chaque utilisateur pourra avoir, par exemple, sa version de Chrome version papier peint de chez tante Georgette…
Firefox
Chez God…heu Modzilla, le marketplace Firefox est l’endroit où sont disponibles les extensions. Il y a moins de choix que dans le webstore de Chrome, mais les extensions de qualité. On peut jouer à des petits jeux, ou utiliser des extensions améliorant la productivité. Les thèmes sont fournis, mais le choix est plus restreint que chez Google.
Opera
Là, je reste sur ma faim. Oui, certes la personnalisation existe, mais elle reste légère et les extensions (add-ons) ne sont pas aussi fluides et/ou nombreuses que chez Chrome et Firefox. Dommage car Opera reste une expérience agréable. Il pèche sur ce point…
Internet Explorer
Groumpf, pas d’extensions, pas de personnalisation ultra-poussée. Vivement Spartan !!!
Vainqueur : Chrome – Firefox ex aequo
Performances
La fluidité est LE point sur lequel il ne faut pas chipoter. Voyons comment nos 4 larrons se comportent sous différents benchs.
Sunspider
-Chrome : 207ms
-Firefox : 186ms
-Opéra : 213ms
-Internet Explorer : 105ms
Octane
-Chrome : 23360pts
-Firefox : 20975pts
-Opera : 23750pts
-Internet Explorer : 13200pts
Kraken Javascript
-Chrome : 1577ms
-Firefox : 1320ms
-Opera : 1639ms
-Internet Explorer : 2355ms
Sous Sunspider, mesurant avant tout les performances JavaScript, Internet Explorer et son moteur puissant se détachent en clairs vainqueurs. Mais dans les autres benchmarks, Kraken et Octane, Firefox et Opera se classent premiers respectivement. Chrome ne gagne aucun « round » mais ses performances restent de premier ordre dans tous les benchs sauf Sunspider.
Vainqueur : Firefox
VERDICT
Sur les trois points testés, Firefox se place à égalité avec Chrome. Et en voici la conséquence : Chrome, c’est une intégration parfaite aux services de Google, mariée avec une simplicité d’utilisation. C’est un navigateur performant et agréable à regarder. Firefox, c’est choisir une personnalisation de l’interface ultra-poussée, une fluidité à toute épreuve, même si au premier abord, on a fait plus simple. Pour les bidouilleurs ou tout simplement pour ceux qui cherchent quelque chose de différent, Firefox est le choix par défaut. Pour les outsiders Opera et IE, les choses sont moins belles. Opera est très agréable, très minimaliste. Trop peut-être. Et ses extensions sont moins bonnes. Pour IE, il est vraiment temps de passer à autre chose. Le navigateur de Microsoft n’est pas intrinsèquement mauvais, mais il souffre de la comparaison avec ses compétiteurs. Spartan devrait apporter un vent de fraîcheur pour redorer l’image de la firme.
En manipulant cet Asus Rog G20, je constate qu’il y a encore quelques temps, tester un PC desktop de « marque » aurait été pour moi une ineptie.
Les choix des marques, les composants utilisés, la qualité de montage…bref tout me repoussait à faire le choix d’une solution entièrement construite par une marque. La culture de l’assemblage, le besoin de maîtriser le montage, la volonté de choisir ses composants pour placer le moindre euro au bon endroit…bref de nombreux arguments militaient contre le PC de marque.
le temps est passé diront certains mais surtout le marché a considérablement évolué. Tout d’abord, la compétitivité des marques VS solution 100% assemblée à la maison est aujourd’hui bien meilleure. Le marché étant devenu mature, les marques ciblent mieux leurs modèles qui s’adressent maintenant à une population « éduquée ». Il faut aussi constater que la cadence de sortie des nouveautés s’est considérablement ralentie. Le risque d’obsolescence a donc fortement diminué.
Reste que pour le gaming, certaines préoccupations demeurent prioritaires, on pense évidemment aux performances graphiques. Mais la réduction de la taille du PC n’a pas entraîné une réduction de la taille des cartes graphiques. les plus puissantes ont toujours les mêmes dimensions depuis quelques temps. Combiner un assemblage avec une carte graphique puissance dans un volume réduit implique maintenant des opérations d’une autre nature. Sur ce plan, le travail d’assemblage de cette nouvelle génération de PC se rapproche maintenant de ce qui se fait avec un pc portable.
Asus sur ce sujet est à la pointe. Depuis quelques années, les produits de la marque disposent d’un design de plus en plus élaboré. Les portables gaming ont été les premiers concernés. La gamme « desktop » dispose aussi de cet ADN tout en assumant puissance et une certaine évolutivité.
[cfield « pricemesh_1 »]
Que dire du design d’Asus sur ses produits ROG ? Depuis maintenant quelques années ont ne peut que constater les efforts de la marque et surtout une vraie identité esthétique qui s’impose de produit en produit.
Là encore, Asus ne se contente pas d’intégrer ses composants dans un châssis mini-Itx et de badger le tout. Il y a un vrai effort de recherche, un design complet du châssis.
On s’aperçoit surtout que le design et l’efficacité prennent le pas sur le reste. En effet, c’est souvent le châssis et donc l’esthétique qui « subit » le hardware. Dans le cas du G20, la conception a vraiment pris en compte l’efficacité du hardware et le design de l’ensemble.
Même le bloc d’alimentation, qui est pourtant le point dirons nous « controversé » de cet Asus G20, dispose d’un certain « style »…
Là encore, difficile de prendre Asus en défaut. Les plastiques extérieures utilisées pour le châssis sont d’une grande qualité, évitant les brillances dégueulasses et autres effets « grotte de Lascaux » que l’on retrouve sur la plupart des boitiers après quelques manipulations.
Quand on va plus loin et que l’on s’intéresse aux entrailles de cet Asus Rog G20, là encore on n’est pas déçu.
Pour accéder à l’intégralité des composants de l’Asus Rog G20, il faudra le mériter. Si le démontage de premier niveau ( panneau latéral ) ne pose pas de réel problème, le reste nécessitera un peu de doigté et pas mal de patience. Néanmoins, sur un PC comme ça, envoyer les mains toutes les cinq minutes n’est pas le but recherché.
Reste que cet accès au cœur du système nous permet de vite constater que l’impression de qualité extérieure se retrouve à l’intérieure de la machine. La structure en acier intérieure permet de disposer d’une grande rigidité et protection de l’ensemble, permettant évidemment d’envisager de faire voyager sa machine sans trop de stress.
La connectique, le choix des composants, la manière dont les pièces sont assemblées : tout respire clairement la qualité. Pas de connectique qui se balade, un agencement optimisé : on retrouve tout le savoir faire d’Asus déjà bien constaté dans sa maîtrise des portables gaming.
On arrive là au coeur du sujet et sur les préoccupations majeures d’acheteurs éventuels. Qu’apporte cet Asus G20 pour le prix à part une belle gueule ?
La version que nous avons entre les mains est le haut de gamme présenté en fin d’année dernière. Cette déclinaison du G20 est équipée d’un processeur i7 4790 et d’une Geforce GTX 780. Il y a 16Go de Ram et un SSD accompagné d’un disque mécanique ( 3.5″ à ce sujet..) pour le stockage.
Aujourd’hui le sommet de la gamme est quasi identique mais intègre une GTX 980 à la place de la 780. Une bonne nouvelle compte tenu du saut de performances entre les deux mais aussi du passage à l’architecture Maxwell. Evidemment cette déclinaison « Maxwellisée » du G20 ne pourra qu’être profitable en terme de chauffe et de nuisance sonore.
Un modèle entrée de gamme est aussi proposé, reprenant l’intégralité des composants du G20 en test mais avec une GTX 750, un i5 4460, 6Go de ram et un seul disque dur mécanique ( pas de ssd ) pour le stockage. Le postulat c’est qu’en prenant cette machine pour 799€, vous pourrez la faire évoluer sans trop de souci.
Même si une version « usine » avec le même CPU, un poil de ram en plus et surtout une GTX 970 est disponible à 1199€, c’est le critère de l’upgrade qui est aujourd’hui regardé avec précision.
En effet, le G20 a été présenté au Computex 2014 déjà en i7 4790 et avec sa GTX 780; on voit bien que c’est la partie graphique qui évolue le plus régulièrement, alors que le CPU ne bouge plus vraiment et que ses sauts de générations n’apportent plus la claque décisive pour débloquer un achat / upgrade.
Donc techniquement, rajouter un SSD au modèle à 799€ ne pose pas de gros problème même à un manchot…le reste est du domaine du faisable mais ce n’est pas non plus une sinécure.
L’upgrade Ram nécessitera ainsi le démontage complet du système de dissipation thermique. Rien de compliqué mais évidemment plus long qu’une manœuvre classique et nécessitant quand même un minimum de précaution.
Reste ensuite le gros morceau, la carte graphique. Celle-ci est « intégrée » dans une sorte de « chaussette » métallique lui permettant de rester en place et de ne pas faire souffrir le port Pciex sur lequel elle est connecté au moyen d’un riser.
On remarque immédiatement que la carte utilisée est un « reference design » de Nvidia. Cette information a son importance car c’est sur ses dimensions qu’il va falloir s’appuyer en cas d’upgrade. En effet, une version custom d’une 960/970 ou 980 posera des problèmes.
Les cartes custom comme les Strix de chez Asus ou ici une MSI GTX Gaming 4G dépassent du carénage et ne peuvent rentrer dans le boitier. Ce n’est pas ici la longueur qui va gêner mais bien la hauteur des cartes souvent à cause des caloducs.
On préférera donc une version ultra classique de la carte comme une « simple » GTX 980 4GD5 OCV1
Reste donc que le hardware général de cette machine est solide, de qualité comme l’ensemble du produit et surtout que le tour de force de l’évolutivité dans un châssis de 12.5 litres est possible pour un bricoleur appliqué.
Dans tous les cas, le bloc d’alimentation du G20 pour une carte puissante sera composée de 2 éléments séparés, dont un dédié à la seule carte vidéo.
à l’usage :
Voir cet Asus Rog G20 trôner sur son bureau est quand même un petit moment de plaisir. Plaisir des yeux évidemment car le produit est magnifique.
Ce premier constat est à peine gaché par la présence de la massive solution d’alimentation. Celle-ci composée de 2 éléments ( la présence d’une carte puissante nécessitant l’apport du second bloc d’alimentation ), reste pourtant esthétique et fluide, nous verrons bientôt qu’Asus n’a pas à rougir de sa solution par rapport à la concurrence.
Le soin apporté à l’esthétique ne s’arrête pas à la plasturgie, comme sur les périphériques, le G20 dispose de son mode « guirlande » avec 3 zones équipées de led RGB. Tout cela paramétrable à volonté avec un petit utilitaire maison.
En mode classique, le G20 est particulièrement silencieux et économe ( sous les 20w ). Par contre, dès que l’on sollicite fortement la machine, la ventilation se met en route et il faut bien reconnaitre qu’elle est bien présente. Ce Pc n’ayant pas vocation a être positionné sous le bureau, nos oreilles délicates sont immédiatement exposées aux moindres nuisances sonores. On va dans cette situation monter aux environs de 50dB ce qui n’est pas intenable évidemment mais qui commence clairement à être présent.
Paradoxalement, j’ai identifié que la grosse majorité du bruit émis venait du système de ventilation en charge du CPU. Mais il faut dire que ce malheureux bénéficie de la présence chaleureuse de la GTX 780 dont la chaleur du GPU Kepler vient remonter doucement sous les orteils du i74790. Disposant d’une GTX 970 « classique » j’ai pu constater que l’échange permettait de gagner beaucoup sur ce point, le CPU perdant au passage presque 8°c et l’atténuation de la nuisance sonore étant appréciable.
Il est donc clair que le G20 profite bien d’un équipement Maxwell et que ce test, avec un bon vieux Kepler, permettait de se mettre en conditions « ultimes »…que le G20 a malgré tout confortablement encaissé.
Conclusion :
Cet Asus Rog G20 est vraiment séduisant : esthétique, puissant et relativement « malléable », il préfigure sans doute l’avenir du PC. Certains se réjouiront de cet effort régulier de constructeurs comme Asus pour proposer des PCs esthétiques et puissants, d’autres regretterons sans doute une perte d’évolutivité quasi programmée.
GTA V version PC met un gros coup aux consoles en ce qui concerne la qualité graphique. Normal compte tenu du délai d’attente de la sortie de cette version ( 18 mois ) mais aussi du matériel qu’il faut mettre en face pour obtenir un rendu convenable !
La question qui tracasse tous les utilisateurs d’une config solide c’est bien » comment ça va tourner sur mon PC ».
Heureusement, on arrive à trouver quelques bonnes indications avec un benchmark relativement large couvrant les cartes suivantes :
Nvidia GTX 650Ti
Nvidia GTX 750Ti
Nvidia GTX 770
Nvidia GTX 780Ti
Nvidia GTX 960
Nvidia GTX 970
Nvidia GTX 980
Nvidia GTX Titan X
AMD Radeon 260x
AMD Radeon 270x
AMD Radeon 280x
AMD Radeon 285
AMD Radeon 290x
AMD Radeon 295×2
Voilà de quoi couvrir des budgets variés. La plateforme de base utilisée par Jason Evangelho par contre n’est pas vraiment low-cost : carte mère X99 et CPU i7 5960X épaulé par 16Go de DDR4.
Le premier benchmark concerne des résolutions « classiques » 1080p et 1440p, en mode « High Quality »…et avec des cartes graphiques de Monsieur tout-le-monde.
On reste dans les mêmes résolutions mais on bascule en Very High Quality, là on monte en gamme au niveau des cartes et on commence à voir de vrais écarts sur les FPS.
Reste enfin, pour les plus chanceux ( et fortunés ), la 4K et là sans SLI point de salut…même avec une Titan X
Parler du Devolo Dlan 1200+ Wifi ac est une chose facile pour moi : je connais la marque depuis une éternité et surtout, je me bats depuis plus de 10 ans avec des soucis de connectivité dans mon habitation. Mais revenons en au fond du problème…
Disposer d’une connexion performante c’est souvent faire le choix du câblage de son domicile. Avec l’élévation du débit ADSL, l’arrivée de la fibre…la liaison entre sa box, les nouveaux usages ( NAS, multiroom…) sollicitent de plus en plus l’infrastructure réseau domestique.
Là ou une traditionnelle box faisait l’affaire il y a encore une paire d’années, la multiplications des appareils connectés met à genoux la plus besogneuse des box.
Pour accéder à son contenu dans de bonnes conditions, pour jouer en réseau ou encore surfer dans un confort classique, le câblage de son lieu d’habitation est presque une nécessité si vous êtes un utilisateur exigeant. Même si les nouveaux standards du wifi permettent aujourd’hui d’avoir plus de pèche et d’encaisser plusieurs utilisateurs, acheminer son réseau dans une habitation spacieuse devient aussi le talon d’Achille de cette solution.
Alors câbler son habitation c’est du boulot, c’est aussi un vrai défi pour éviter de défigurer son intérieur et accessoirement de divorcer…
Devolo a compris ça depuis longtemps et avec son kit « 1200 », la marque vise à satisfaire les accros du gros débit.
[cfield « pricemesh_2 »]
Compliqué de parler d’ergonomie d’un adaptateur CPL. Il y a cependant pas mal de choses à dire sur le produit Devolo.
Tout d’abord, il est indiscutable que le kit livré est massif. Quand on regarde ce qui se fait maintenant, on voit que certains constructeurs ont pris la décision de miniaturiser leurs adaptateurs comme le fait notamment Netgear.
La vraie question qu’il faut se poser : cette taille est-elle un handicap ? Pour moi clairement non. Si vous cherchez une installation secondaire, discrète, etc, etc je peux le comprendre mais si votre objectif est la performance et que vous savez que ces adaptateurs, une fois sur la prise murale de votre choix, vous économiseront un long travail de câblage, de camouflage et bien plus encore…
Le module qui intègre le point d’accès wifi est logiquement plus volumineux que son petit frère, il n’en reste pas moins que les deux peuvent se positionner tête en haut / tête en bas dans votre prise contrairement à pas mal d’autres solutions : c’est une petite flexibilité supplémentaire.
Alors clairement, quand on le regarde par rapport à un module « nano » de chez Netgear, oui le Devolo est massif mais n’oublions pas que votre attention toute récente à l’esthétique de votre intérieur, ne se focalise logiquement pas sur les prises électrique de votre domicile.
Autant le dire tout de suite, c’est sur le domaine des performances que ce kit Devolo fait l’unanimité.
Tout d’abord, il est important de noter que la conception du kit lui assure une grande opérabilité dans la plupart des environnements électriques. Souvent, des installations particulières ( plusieurs tableaux, tri-phasé redressé…) génèrent des problèmes voir même l’impossibilité d’exploiter du CPL.
Sur ce sujet Devolo a toujours eu une longueur d’avance et la qualité de ses produits ne s’est jamais démentie. Pour ma part, j’ai toujours considéré que le surcoût affiché par la gamme Devolo était totalement justifié compte tenu de cette qualité et cette capacité d’installation très large.
En constante évolution, la gamme Devolo intègre désormais la technologie Range+ qui utilise les trois câbles électriques en parallèle pour une plus grande performance et une plus grande portée. En utilisant le fil de masse contrairement à ses concurrents, Devolo augmente la vitesse et la portée de ses CPL. C’est particulièrement palpable en ce qui concerne la stabilité des performances qui normalement chutent plus on éloigne les kits.
En badgeant son kit « 1200 », on pourrait s’attendre à du 1200Mbits/sec mais tout le monde sait bien qu’entre la théorie et la pratique, les choses sont différentes, surtout avec le CPL.
Revenons en cependant aux performances « brutes ». j’ai utilisé un kit CPL 500 Mbits Netgear (XAVB5401). Ce kit me donne entière satisfaction mais il est vrai que les performances ont tendance à chuter en fonction de l’éloignement des deux modules.
En utilisant RaccoonWorks speedtest qui me sert toujours à vérifier mes débits réseau, je remarque ainsi que mon kit Netgear ne dépasse pas les 75 Mb/s et lorsque l’éloignement est important ( plus de 40m ) d’un étage à l’autre, je suis dans des débits divisés par 2 ( autour de 36-37Mb/s).
Dans la même configuration, le kit Devolo me permet de multiplier les débits quasiment par 4.
Avec un débit de 272Mb/s sur la première configuration ( éloignement d’une vingtaine de mètres ) contre 75Mb/s pour les Netgear 500 et surtout encore presque 250Mb/s dans la configuration la plus difficile là où les Netgear chutent à 36-37Mb/s.
Bien entendu, les Netgear sont donnés pour du 500mb/s là où les Devolo annoncent du 1200mb/s mais la stabilité des performances est quand même remarquable.
Le second élément de satisfaction vient de « l’extrémité » du kit avec son point d’accès wifi. Là aussi les débits délivrés en wifi sont tout simplement excellents. En proposant du standard Wi-Fi 867 (mbps, 2×2 MIMO/ 5 GHz) et Wi-Fi 300 (mbps, 2×2 MIMO/ 2,4 GHz), la zone arrosée par le plug Devolo bénéficie d’un débit ultra rapide.
La réplication d’une box ADSL se fait très facilement avec un mode clone classique rapidement paramétrable avec le WPS. Vous garderez alors le même SSID / password que pour le wifi d’origine de la box.
Pour ceux qui éprouveraient comme moi des difficultés pour répliquer une Freebox, la borne deviendra alors un point d’accès classique avec sa gestion de sécurité propre…rien de bien contraignant en comparaison du gain apporté.
Pour la petite histoire, je n’ai mesuré aucune perte entre un accès wifi dans la même pièce que le point d’accès Devolo et une connexion par câble au port de l’adaptateur CPL…
Le kit Devolo Dlan 1200+ Wifi ac n’est pas donné, c’est une évidence. Le kit comprend deux plugs, un classique et celui faisant office de point d’accès wifi. On le trouve difficilement sous les 160€.
On trouvera des packs CPL 500 avec borne wifi sous les 100€.
Cependant, comme je l’ai annoncé directement plus haut dans l’article, la somme demandée par Devolo est tout a fait justifiée au regard des performances délivrées. Entendons nous bien : si votre besoin n’est « que » de disposer de l’internet dans de bonnes conditions, vous n’aurez sans doute pas besoin d’un tel kit.
Mais si vous êtes équipé en très haut débit ( fibre par exemple ) et/ou que vous êtes joueur, que vous déplacez régulièrement sur votre réseau domestique de lourds fichiers comme des films en BRrip par exemple ou ISO BR que vous souhaitez lire depuis votre NAS sur un quelconque périphérique réseau, alors la solution Devolo est incontournable.
Conclusion
J’aurais pu juste m’arrêter aux tests classiques qu’un bon soft de benchs réseau permet de faire. les chiffres sont suffisamment explicites pour éviter toute tergiversation sur la qualité de ce kit. Mon quotidien « domestique » est cependant un bon laboratoire pour ce genre de produit : je dispose d’un NAS de plusieurs To où je stocke films en 1080P et quelques 4K, plusieurs PC, des tablettes et consoles, le tout sur une surface relativement étendue.
Je dois dire que j’ai été clairement surpris par les performances de cet ensemble Devolo. Autant par sa capacité à assurer une connexion stable d’un bout à l’autre de mon domicile sans avoir un débit qui s’écroule, que par la performance du point d’accès Wifi.
Le tout est mis en oeuvre avec une extrême facilité et le logiciel Devolo Cockpit livré avec les produits de la marque, permet encore plus de possibilités. C’est clairement un investissement sans surprise et de qualité que je recommande.
Shuttle, voilà une marque qui va me rajeunir et me rappeler de bons vieux souvenirs. En récupérant ce barebone Shuttle SH97R6, je ne peux m’empêcher de regarder un peu en arrière…car nom de dieu, le mini pc, le barebone..le géniteur de tout ça c’est SHUTTLE et depuis longtemps !
Shuttle c’est au début un gros faiseur de cartes mères qui proposa au début des années 2000, une petite boite, un barebone, un cube…qu’on va très vite tous appeler « LE » Shuttle.
En fait, le petit cube répondait au doux nom de SV24 et même si les lignes sont marqués par le temps, l’essentiel était déjà là.
Depuis que les années passent, l’histoire du PC compact, puissant et évolutif reste un fantasme de l’informatique. Régulièrement annoncée, la mort du PC « maxi tour » est sans cesse retardée. Récemment, nous avons tous vu arriver, à grands renforts de marketing, le mini ITX et ces solutions dites compactes.
Shuttle qui a traversé les années avec une certaine discrétion redevient pour le coup visible…je dirais même crédible.
Nous allons donc découvrir ce Shuttle SH97R6 qui dispose de nombreux atouts vous allez le constater.
Tout d’abord, pour ceux qui ont quitté la terre ces dernières années, le Shuttle SH97R6 ce n’est pas qu’un boitier format « mini » en aluminium, c’est une association de 4 composants réalisée dans le but d’obtenir un ensemble homogène y compris en laissant le choix à l’utilisateur final de modifier son CPU, sa ram, sa carte graphique…
Pourquoi 4 composants ?
Le Shuttle c’est un châssis, une alimentation, une carte mère et un système de dissipation ( par caloducs c’est là aussi la marque de fabrique de Shuttle )
[cfield « pricemesh_1 »]
Si les lignes du SH97R6 sont sobres et modernes, en réalité peu de choses ont changé depuis de longues années.
La forme cubique du SV24 demeure et au fil des années, le design est devenu un peu plus raffiné pour perdre totalement son ADN industrielle du début.
Si vous êtes amateur de sobriété, vous adopterez rapidement le SH97R6.
Difficile donc de trouver un design plus consensuel et c’est bien là la force de ce Shuttle. Un corps en aluminium, une peinture d’ensemble noire qui semble résister aux empreintes de doigts…bref, ce mini pc pourra trouver sa place partout : du bureau à la bibliothèque en passant par le salon.
Il n’est évidemment pas le seul à jouer sur cette catégorie et on pensera notamment aux PC sur la base d’un Corsair 250D ou d’un Coolermaster Elite 120/130. Néanmoins, le produit Shuttle est à chaque fois plus « fluide », plus compact et prend le dessus.
Une longue expérience de plusieurs années dans le monde du mini pc se ressent immédiatement quand on parle de qualité de fabrication. La structure interne du châssis lui assure une excellente rigidité alors que son poids et totalement ridicule malgré la présence de l’alimentation.
C’est là qu’on constate que l’expérience acquise par Shuttle fait la différence. Le positionnement des composants, l’orientation de la carte mère…bref, une somme de détails qui influent sur la connectique, le « cable management » et donc au final sur la capacité de refroidissement et le silence de l’ensemble.
Tout est donc quasi parfait mais je ne peux cependant vanter l’expérience de Shuttle sans aborder un point négatif qui perdure lui aussi depuis des années : cette face avant avec son clapet si fragile, un sujet d’agacement ancestral pourtant chez Shuttle…
Reste enfin la carte mère et son fameux système de refroidissement par caloducs. Bénéficiant d’un chipset H97, la carte mère bénéficie de tous les derniers raffinements (nous y reviendrons plus loin).
Là encore, la qualité de l’ensemble est remarquable avec une optimisation idéale de l’espace permettant d’intégrer un maximum de ports et de connecteurs compte tenu de la taille. Le montage est aussi facilité…évidemment tout est relatif mais ramené au volume du châssis, l’assemblage se fait dans d’excellentes conditions.
Nous avons déjà pu faire un large tour du propriétaire en ce qui concerne la conception du châssis. Il est cependant important de parler de ses capacités, associé à la carte mère, à accueillir une carte graphique.
Si Shuttle propose des configurations assemblées sur la base de son SH97R6 pouvant accueillir jusqu’à une Nvidia GTX 980, cela implique de prendre en compte certains paramètres.
Tout d’abord l’alimentation, propriétaire chez Shuttle. D’excellente qualité, elle ne permet de tirer « que » 300W ( certifiée Bronze 80+ ). Cette puissance est largement suffisante pour exploiter un i7 puissant et une GTX 960 par exemple mais pas au delà. Shuttle propose donc une option pour récupérer une alimentation 500W 80+ ( pour environ 65€ si on passe par le configurateur ) et qui permet d’aller chercher sans stress les puissantes Maxwell en 970 et 980. On regrettera la présence d’un seul connecteur d’alim PCIex mais après tout, la conception du boitier permet d’utiliser des doubleurs et une GTX 960 n’en a besoin que d’un seul par exemple.
Le dégagement physique du boitier permet ainsi de loger confortablement dans le port PCiex, les cartes les plus volumineuses ( au delà de 270mm). Cependant, dans les faits, l’utilisation d’une carte MSI type GTX 970 Gaming 4G ou Asus Strix va engendrer quelques problèmes. C’est la hauteur de la carte et plus particulièrement le système de dissipation, qui va venir heurter le berceau pour le lecteur optique / disque dur.
Ce dernier est heureusement démontable facilement et il sera donc possible d’utiliser ces cartes. Cependant, l’utilisation d’un lecteur optique sera au pire condamné, au mieux l’objet de quelques bricolages.
Vient ensuite le moment de parler du système de refroidissement du CPU, presque la marque de fabrique de Shuttle. Facile à mettre en place, il assume son rôle sans sourciller y compris avec un 4790K sollicité sous OCCT, le processeur phare d’Intel n’a pas dépassé les 70°. L’utilisation d’une pâte thermique plus poussée aurait pu peut-être nous faire gagner encore…mais on est de toute façon dans des niveaux très acceptables.
Même en mode « burn » par de multiples tests et avec une carte GTX 970 dans la bête, le niveau sonore produit par le Shuttle est très satisfaisant. Je suis resté bluffé par le niveau sonore très contenu dans un volume aussi faible, cette démonstration prouvant une nouvelle fois la maîtrise de Shuttle sur ce type de produit.
La carte mère est une production Shuttle avec un format propriétaire. Elle n’a rien a envier aux versions « pointues » Mini-Itx que l’on trouve sur le marché.
Certains pourront dire que le H97 employé ici aurait été avantageusement remplacé par un Z97…je ne suis pas vraiment de cette avis quand on met en parallèle le prix des cartes mères Z97 et le plus ( très théorique ) qu’elles apportent, leur présence sur des mini PC n’est vraiment pas un argument de décision.
En plus de ça, la carte livrée par Shuttle est là encore, extrêmement bien réalisée et dispose de tous les éléments nécessaires aux plus pointilleux des utilisateurs. Dans le désordre :
4 Supports DDR3 pour recevoir au maximum 32Go ( difficile de faire mieux sur du mini ITX )
Un port Msata et un port mini PCIex pour carte Wifi/BT par exemple ( le châssis permet de loger des antennes )
4X SATA 6Gb et un eSata
4X USB 3.0 + 6X USB 2.0
Du GB Lan
1x PCIex 16x (3.0 ) et un PCIex 4x
1x HDMI 1.4 + 2 x DisplayPort 1.2
Bref, difficile de demander plus avec un encombrement aussi faible. Il y a encore l’audio 7.1 et des options pour un port série…
Difficile de ne pas être conquis par ce Shuttle SH97R6. Alors que l’industrie tâtonne avec des productions Mini-itx, Shuttle nous démontre que toute l’expérience accumulée depuis de longues années permet de pouvoir compter sur un produit bien pensé et disposant d’une grande palette d’évolution.
Comme station bureautique musclée, le SH97R6 dispose de 3 sorties vidéos et se permet même le luxe de proposer du double 4K à 60Hz, d’une connectivité excellente et d’un silence de fonctionnement remarquable.
Comme machine orientée gaming, le Shuttle acceptera les meilleures cartes moyennant quelques acrobaties ( alimentation et berceau ) et les plus gros CPU Intel, sans restriction d’évolutivité en terme de ram, de connections sata, SSD…bref en contournant quasiment tous les problèmes que l’on peut trouver sur des constructions mini ITX.
Reste le point qui fait souvent la différence : le prix. Le Shuttle SH97R6 se trouve sous les 260€. Quand on met cette somme en parallèle d’un équipement intégrant une bonne carte mère Mini ITX, un châssis correct, une alimentation et…un bon dissipateur, on constate sans discussion que la solution Shuttle est particulièrement pertinente.
Finalement, il restera ce système de berceau qui est l’unique point faible de ce barebone. Point faible largement contournable par le plus débutant des bricoleurs.
Le Shuttle SH97R6 est donc un vrai coup de cœur et une recommandation d’achat, sans hésiter.
Quelques mois après la sortie de la tablette « professionnelle » de Microsoft, la fameuse et belle Surface Pro 3, Apple vient de dévoiler son nouveau MacBook. Partout sur la toile, on peut lire des comparaisons exhaustives de caractéristiques techniques indigestes et des phrases du style « destiné à concurrencer Microsoft et sa Surface Pro 3… »etc. Il m’a parut nécessaire de m’attarder sur certains points sans pour autant faire de conclusion hâtive ou de duel hardcore.
J’ai donc décidé il y a peu, de m’acheter une Surface Pro 3 pour la modique somme de 1400€. Avec ce prix très très bon marché, vient le modèle qui à mon sens paraît le plus intéressant si vous avez un budget conséquent : celui équipé du Core i5 4300U, de 8Go de RAM et d’un SSD de 256Go. En plus de la tablette, j’ai acheté le clavier rigide Type Cover pour 130€ (je reviendrai là-dessus plus tard), ainsi que la suite Office 365.
En face, nous avons plusieurs choix : la configuration de base du nouveau macbook commence à 1449€ et propose un intel core m à 1.1GHz, 8Go de RAM et un SSD de 256Go quand la version « haut de gamme » (ou plutôt, pour les magnats du pétrole) augmente légèrement la fréquence de son core m 5Y70. Niveau configuration et specs « brutes », la SP3 tient la dragée haute au compétiteur de Cupertino. La version la plus chère de cette Surface Pro 3 est équipée d’un core i7 et d’un SSD de 512Go.
Voilà, on a fait le tour des caractéristiques. Maintenant, on va s’attaquer au hardware à proprement parler ».
La Surface Pro 3 est un beau produit. sa construction est très solide sans être lourde, et le revêtement en magnésium ainsi que les finitions parfaites en font une des tablettes les plus sexy du moment avec les iPad. L’écran au format 3/2 a une taille idéale de 12 pouces, et sa résolution est de 2160x1440p. A l’arrière on retrouve le pied repliable en métal qui s’intègre parfaitement dans la coque de l’appareil, et permet d’adapter l’inclinaison de la Pro 3 à plus de 150°.
Sous le pied, on peut utiliser le port micro-sd pour augmenter la capacité et les tranches offrent un mini-displayport ainsi (!) qu’un port USB classique. La charge est assurée par un connecteur magnétique propriétaire qui a la bonne idée de pouvoir être connecté dans n’importe quel sens. On peut également voir les « évents » d’aération sur les coins de la SP3 qui assurent le refroidissement.
Pour accompagner la bestiole, le clavier le plus douloureux depuis longtemps pour votre honneur et votre porte-monnaie ; j’ai nommé le Type Cover pour Surface Pro 3. C’est un clavier qui s’attache (et qui s’empoisonne…pardon) grâce à des aimants, au châssis de la Surface. Il est rétro-éclairé et propose une vraie bonne expérience avec des touches qui s’enfoncent bien et qui sont réactives. On est vraiment à deux doigts d’un clavier de MacBook ou d’ultrabook lenovo par exemple. Seul souci, il picote le compte en banque à 130 bouliches. Or Microsoft veut que sa Surface Pro 3 soit vue comme une remplaçante aux tablettes et ordinateurs portables. Alors pourquoi facturer le clavier séparément alors qu’il apporte un gain significatif en productivité ?
A l’utilisation
La Surface Pro 3 a partagé mes journées pendant 1 mois et je dois dire que je suis impressionné. Je l’ai utilisée pour suivre mes cours, écrire des notes, dessiner des schémas, faire des présentations et des exposés en dernière minute et d’autres trucs super méga fun.
Première conclusion ; c’est la classe. Je n’ai pas l’habitude de m’attarder sur ce type de point de vue mais il faut avouer que passer du mode « laptop » au mode « tablette » fait son petit effet, tout comme le stylet très précis qui permet de réaliser des petites œuvres sur paint.
Ensuite, le clavier permet de taper rapidement des notes et il a la bonne idée d’être « ferme mais pas trop » (je vous laisse interpréter cette phrase à votre guise…et selon votre tournure d’esprit…), réduisant ainsi les fautes de frappes. Le rétroéclairage permet de bien voir où se trouvent les touches la nuit ou dans des coins à l’ombre.
Pour ce qui est de l’écran, sa luminosité est parfaite, comme son contraste et la précision de l’affichage. Les couleurs sont naturelles. Le processeur i5 quant à lui n’est certes pas un Haswell-E octo-coeur mais se débrouille très bien et envoie bien plus de « potatoes » que le core m du MacBook. La chauffe apparaît uniquement en lecture de vidéo HD sur youtube et reste maîtrisée grâce au ventilateur intégré qui sait rester très discret.
Pour terminer, il faut souligner l’aspect pratique car ce petit bijou d’ingénierie ne pèse pas plus de 900g avec le claviers, et sa finesse de 9mm en fait l’ordinateur (oui, c’est un ordinateur aussi) le plus fin au monde.
Mais alors, que valent les concurrents ? Et à qui s’adresse la Surface Pro 3 ?
On va procéder de façon synthétique parce que je sens que cet article commence à vous ennuyer…et parce que je sais que vous aimez les choses minimalistes sans fioritures (c’est pas moi qui dis, c’est les chiffres de vente Apple…) :
-Si vous cherchez un ordinateur portable léger, fin mais quand même sérieux, l’Asus UX305 vous attend. Il envoie un peu moins de brouzouf que d’autres mais il est pas très cher.
-Si vous voulez vous la péter avec un machin en alu, et si vous êtes allergiques à Windows, achetez un…MacBook AIR en core i5…
-Si vous ne vous intéressez pas à la technologie, vous qualifiez vous-même de « geek » parce que vous avez un iPhone 6 Plus, touchez l’équivalent de 68 SMIC et bouffez des cupcakes, vous avez « l’incroyable » MacBook 12 pouces qui vous appelle 🙂
-Si vous voulez une tablette puissante, il y a l’embarras du choix entre la Nexus 9, l’iPad Air 2 (ou 1), la Shield de Nvidia et les Galaxy Tab/Pro de Samsung.
-Et si vous n’arrivez pas à choisir entre un ordinateur, un truc en alu et une tablette, choisissez la Surface Pro 3 en alu elle aussi, mais qui remplace les trois efficacement. Bien sûr, vous serez sous Windows, mais niveau multimédia, le PC se défend quand même pas mal. Ensuite, il faudra choisir votre configuration.
Logitech fait des souris depuis la nuit des temps…en tout cas depuis le début de l’ère des PCs.
Avec la G303 Daedalus Apex, le constructeur continue sa révolution entamée depuis plus d’une année. C’est encore au sein de la gamme G que Logitech porte son effort.
La G303 vient ainsi compléter une gamme « gaming » relativement large et qui a été intégralement construite en moins de 18 mois.
Plus conventionnelle, cette G303 Daedalus Apex se contente d’agréger quelques composants que nous avons découvert sur ses grandes soeurs : le châssis de la G302 et le capteur de la G502…mais pas seulement.
La G303 Daedalus Apex dispose du même châssis que la G302. La souris est donc plus petite que ses aînées G402 et G502. Elle est aussi relativement plus classique et on pourrait presque croire à une souris ambidextre. Ce n’est pas le cas : deux boutons sur le côté gauche ont vocation à être activés avec le pouce. Au total, la petite nouvelle compte 6 boutons « seulement », elle joue ainsi dans la gamme des souris « simples ».
La prise en main est excellente et il ni a évidemment aucun changement avec la G302. La légèreté de la souris est remarquable ainsi que sa qualité de glisse, renforcée par deux tampons supplémentaires toujours en comparaison avec la G302. La souris ( sans le câble ) pèse un poil moins de 88 Gr.
L’autre chose que l’on remarque rapidement, c’est la qualité du « clic » sur le boutons droit et le gauche. Reprenant le même système tension à ressort métallique, ce dernier maintient la tension nécessaire dans les boutons gauche et droit de la souris afin de favoriser la réactivité.
Enfin, on remarque aussi le changement de texture de la matière utilisée pour la coque : granuleux sur le dessus, lisse sur les côtés et sur les boutons droite et gauche.
Enfin, dernier petit détail, la molette en caoutchouc est aussi très agréable à l’utilisation. Même si elle n’est pas débrayable
Comme tous les produits Logitech, la G303 Daedalus Apex ne souffre d’aucun défaut de fabrication. Par rapport à la G302, on ne constate pas de différence sur le design ni sur la qualité de fabrication.
Il faut juste relever un cordon USB tressé qui n’est pas présent sur sa grande sœur et deux petits patins supplémentaires situés à côté du capteur.
Concernant le design, on pourra dire que la G303 et la G302 bénéficie d’un design plus conventionnel au regard des autres souris de la gamme G qui dispose de lignes anguleuses et agressives. Enfin, la G303 Daedalus Apex est clairement une petite souris. Certains utilisateurs pourront apprécier ce design presque dépouillé et le fait de n’avoir « que » 6 boutons, par contre la petite taille peut géner ceux qui ont l’habitude d’avoir de large prises latérales.
C’est encore une fois une affaire de confort mais il est cependant claire que Logitech dispose maintenant d’une gamme suffisamment étoffée pour couvrir le besoins des joueurs les plus pointilleux.
[cfield « pricemesh_1 »]
Le LGS ( Logitech Gaming Software ) est évidemment à la baguette et permet de prendre la main sur le paramétrage de la G303.
Pour commencer, vous pourrez évidemment agir sur les couleurs de l’éclairage led…
Mais en plus des macros et autres affectations des 6 boutons, on va retrouver des fonctionnalités intéressantes que l’on a sur la G502 comme l’adaptation du capteur à la surface…
[cfield « pricemesh_1 »]
La principale force de cette Logitech c’est d’utiliser le capteur optique PMW3366, le même que sur l’excellente G502. Ce capteur permet une résolution allant jusqu’à 12 000 Dpi et capable de suivre de fortes accélérations ( jusqu’à 40G ). Avec un tel capteur la G303 n’est donc plus seulement une souris réservée aux MOBA, elle pourra s’adapter à toutes les situations / jeux.
Le changement de résolution à la volée se fait de la même façon que sur la G502 et permet ainsi de s’adapter à toutes les situations. L’adaptation du capteur à la qualité de la surface est là aussi un argument fort.
[cfield « pricemesh_1 »]
Avec un design plus consensuel et un capteur de très haut niveau, cette G303 est une excellente souris.
Pour ceux qui commencent à faire un blocage sur les design à la MAD CATZ R.A.T ou plus encore sur celui de la G502 Proteus Core, la G303 sera donc plus discrète.
En ce qui concerne sa qualité de fabrication, ses performances, son logiciel, elle excelle dans tous les domaines sans aucun problème. Son capteur pèse évidemment beaucoup dans ce jugement. Reste que la taille de la souris pourra en perturber certains, ses seuls 6 boutons aussi…mais il ne faut pas oublier que des critiques symétriquement opposées se faisaient sur la G502 ou la G402 : trop grosse, trop de boutons…avec cette référence Logitech vient donc chercher les adeptes du « basic » qui se tournent vers une Zowie FK1 par exemple. Lancée à 69€, comme tous les produits Logitech, elle baissera rapidement. Mais même à ce prix, elle est à recommander.
Choisir un écran n’est pas une chose simple. Le Iiyama ProLite GE2488HS-B1 s’impose pourtant comme un choix logique.
Il est complexe de choisir un écran encore plus si les utilisations que l’on a, varient avec le temps et nos occupations…Concrètement, les choses sont difficiles quand on souhaite un bon outil pour travailler et qui dispose de toutes les capacités pour bien se comporter dans les jeux.
Trouver la perle rare n’est pas facile…il faudra aussi éviter de faire exploser le budget…et là les choses se corsent.
Le 24″Iiyama ProLite GE2488HS-B1 est à ce sujet un modèle de polyvalence. Il dispose d’un grand nombre d’atouts qui le rendre incontournable.
Qualité de fabrication
Ce Iiyama ProLite GE2488HS-B1 n’est pas le modèle le plus fin ni le plus luxueux que nous avons eu entre les mains. La finition plastique mate est certes propre mais cet écran ne sera pas un objet sur lequel on s’attarde comme on peut le retrouver sur les dernières productions de Samsung ou encore d’Asus. Il semble que Iiyama ne cherche pas spécialement à faire d’effort sur la cosmétique de ses produits. Sans être monstrueux, ce Prolite accuse un peu le coup y compris face à des modèles plus « économiques » comme les LG 24M37A.
Cependant, la qualité d’ensemble de souffre d’aucun défaut. Les bords sont relativement fins et le pied, bien que trop frêle à mon goût, est totalement stable et solide. Il faut préciser dès le début que nous sommes sur un écran 24″ dont le prix moyen est situé aux environs de 150€…
Affichage
Ce Prolite dispose d’une dalle TN mate permettant une résolution de 1920 x 1080. Si le rendu des couleurs en sortie de carton n’est pas des plus fidèle, il restera cependant du niveau de ce que l’on trouve sur des produits de cette gamme de prix.
Malgré une dalle TN, on est étonné par l’étendue des angles de vision. Ce n’est pourtant pas la force de ce type de dalle mais le GE2488HS-B1 s’en sort très bien.
L’écran est donc parfaitement confortable en utilisation bureautique et avec un réglage plus pointu, il se comportera correctement dans la restitution des couleurs pour les graphistes pointilleux.
Une fois la journée professionnelle terminé, notre Prolite étrennera sa bonne réactivité dans tous les types de jeux, FPS compris.
La fonction Overdrive permettra ainsi de diminuer considérablement la rémanence et de disposer d’un écran capable d’afficher un rendu net des déplacements les plus rapides.
Fonctionnalités
Pas de pied articulé ni rotatif sur cette gamme de prix. Le GE2488HS-B1 pourra cependant se voir débarrasser de son pied d’origine afin de recevoir un support type Ergotron; les inserts VESA que l’on voit trop souvent disparaître sur les écrans de ce type, sont bien là et permettent d’envisager des configurations multi-écrans sur bras ergonomique.
L’accessibilité aux menus se fait par la face avant et n’amène pas de commentaire particulier.
La connectique est complète pour cette gamme de prix puisqu’on pourra connecter au choix son PC en VGA, DVI ou HDMI, un bon point là encore.
Enfin, on appréciera une alimentation 220 directe, sans avoir un transformateur externe encombrant.
L’écran Iiyama dispose aussi de 2 HP intégrés…autant dire qu’ils vous rendront service pour les alertes systèmes mais que le rendu dans les jeux est vraiment très limité…
Conclusion
L’écran Iiyama ProLite GE2488HS-B1 est remarquable de polyvalence. Complet au niveau de sa connectique ( même s’il n’est pas livré avec tous les câbles ), il dispose d’une excellente dalle mate capable de donner satisfaction aussi bien en utilisation domestique ou professionnelle qu’en jeux. Compte tenu de son prix particulièrement agressif, c’est un choix à prendre en considération pour votre futur équipement. Enfin pour ne rien gâcher, l’écran est garantie 3 ans.
Après avoir pris quelques vacances, la config’ du mois revient sur Vonguru ! Pour Mars, nous allons nous pencher sur une configuration tournant aux alentours des 800€, avec pour objectif d’intégrer la nouvelle GTX 960 de Nvidia.
Comme d’habitude vous trouverez une sélection de composants basée sur une appréciation personnelle.
Pour le boîtier, nous partirons sur le BitFenix Comrade blanc avec fenêtre. Nous allons essayer de donner à cette config un beau design sobre, noir et blanc. Attention, il n’y a qu’un seul ventilateur, je vous conseille d’en acheter un second à mettre à l’avant.
[cfield « pricemesh_1 »]
Nous choisissons ici un Intel Core i5 4460. La machine ne sera pas faite pour overclocker, donc ce processeur suffira amplement.
[cfield « pricemesh_2 »]
Sans surprise, nous ajoutons une GTX 960 à la bête. Le choix se porte sur la très jolie MSI GTX 960 2GD5T OC, qui va bien avec notre thème blanc et qui offre aussi un bon refroidissement.
[cfield « pricemesh_3 »]
MSI toujours, on reste sur du classique : la B85A-G43. Une bonne carte, fiable et beaucoup utilisée, mais elle ne supportera pas de SLI pour le futur.
[cfield « pricemesh_4 »]
Pour rester dans le thème blanc, nous choisirons deux barrettes de 4 go de Kingston HyperX Fury White, en DDR3 à 1600 Mhz.
[cfield « pricemesh_5 »]
Sachant que nous n’allons pas overclocker, nous installerons un Cooler Master Hyper TX3 EVO. Ce ventirad saura garder notre processeur au frais, sans coûter trop cher.
[cfield « pricemesh_6 »]
Avec de bonnes vitesses de lecture et d’écriture, le Kingston Now V300 de 120 Go est le choix le plus judicieux pour ne pas dépasser le budget.
[cfield « pricemesh_7 »]
Contrairement au Seagate Barracuda habituel, nous partirons sur un Western Digital Caviar Blue, 1To, 7200 tr/min.
[cfield « pricemesh_8 »]
On est fous, on change même le graveur habituel (On sait bien qu’au final, c’est le même). le LG GH24NSC0 nous suffira amplement. De toutes façons, prenez toujours le moins cher !
Avec tout ça, n’oubliez pas un troisième câble SATA.
[cfield « pricemesh_9 »]
Alimentation
Pour alimenter la machine, la Cooler Master Elite Power de 460W suffira à faire tourner tous les composants facilement. Merci la 960 qui consomme très peu.
[cfield « pricemesh_10 »]
Conclusion
Nous avons ici une configuration qui justifie son prix avec des performances graphique en jeu plutôt élevé. Pour le reste des composants, il était nécessaire de faire baisser les prix. Je pense notamment au boîtier et à la carte mère, qui aurait du supporter le SLI. Mais pour rester dans le budget, il a bien fallu choisir.
N’hésitez pas à proposer des idées de configs pour le mois prochain, mais aussi à donner un avis sur celle ci dans les commentaire, ce que vous modifierez, tout en restant dans l’objectif des 800€ de budget, avec une GTX 960 dedans.
La config :
La configuration de base est faire sur TopAchat. Certains composants ne sont pas vendus ailleurs, donc les pièces peuvent êtres modifiées.
[HUMEUR]merci d’éviter menaces, fatwas et autres svp…
Comme d’habitude avant chaque conférence Apple, les groupies ( il faut mieux employer le terme « fanboys » ) sont en transe.
La raison de cette nouvelle poussée est la sortie de l’Apple Watch…une révolution bien entendu.
Cette Apple Watch, on la connait déjà puisque la pomme a déjà présenté sa tocante l’année dernière.
Une présentation destinée à rassurer les actionnaires et à soigner le cour de bourse.
En effet comment expliquer qu’Apple, qui dispose d’une image de précurseur, soit absent d’un marché où la plupart de ses concurrents dans les smartphones ou l’informatique, se ruent sans vergogne ? Apple n’a pas créé ce marché, il le suit.
Alors, si on veut être objectif, on pourra arguer qu’Apple n’a jamais rien créé.
De l’iPod à l’iPad en passant par l’iPhone, Apple a toujours observé l’avancée des technologies pour tirer du marécage les idées et les composants qu’il a su mettre en musique bien mieux que tous les autres.
Si on suit ce constat, il pourrait en être de même pour les smartwatches où l’ensemble des acteurs nagent dans un cloaque qui ne produit pas grand chose économiquement ( les ventes sont faibles ) et dont l’usage reste clairement à démontrer.
Oui mais voilà, Apple n’est plus le seul a avoir compris la ficelle du marketing pour les produits technologiques. Si jusque là, la marque excellait dans l’art de peaufiner ergonomie et emballage, les taïwanais, coréens et mêmes les chinois ont compris qu’ils pouvaient gonfler leurs profits en se préoccupant de ces questions (les dernières productions de Huawei sont là pour nous le rappeler ).
Pourtant, les analystes les moins optimistes annoncent qu’Apple détiendra plus de 50% du marché dés la fin de l’année 2015…C’est peut-être vrai mais en fait, ça change quoi ?
La montre Apple, comme les autres smartwatches, sera un gadget de plus, tendance pour certains, inutile pour la majorité.
Les smartwatches ont malheureusement démontré leurs faiblesses.
La batterie est évidemment le premier grief et l’Apple Watch n’échappe pas à ce problème avec une autonomie à peine supérieure à une journée.
L’autre point négatif est le caractère « exclusif » de cette montre qui ne communiquera visiblement pas avec les terminaux android ni windows phone.
Enfin, plus le temps passe plus les produits Apple ressemblent à des pièges commerciaux pour les bobos. Les déclinaisons de cette montre sont là pour le démontrer avec une addition pouvant exploser les records sur la version « or ».
Reste le principal problème : cette smartwatch n’amène rien. Si quelqu’un pouvait bousculer ce marché c’était pourtant Apple. Mais le nouvel Apple c’est maintenant beaucoup beaucoup de marketing…
Si les ventes seront encore là par rapport à la concurrence, on attend vraiment la prochaine révolution d’Apple et l’absence d’un visionnaire aux commande se fait de plus en plus sentir.
Il se dit qu’Apple avait le choix entre le marché des TV connectées et les smartwatches.
Cupertino a décidé d’aller dans les montres…pour les stars, happy few et autres, ça sera encore une révolution. Pour les autres, on attendra encore quelques temps avant de s’intéresser aux montres…pas nécessairement à cause d’Apple, mais juste parce que ça ne sert à RIEN.
Nous avons déjà eu l’occasion de vous présenter un casque Sennheiser, le HD 598. Aujourd’hui nous nous attardons sur un nouveau modèle, le HD7 DJ. Comme son nom l’indique il est destiné aux DJ et donc à une utilisation un peu plus professionnel. Vous verrez que le HD 598 et HD7 DJ n’ont rien en commun. Ici, avec HD7 DJ oubliez le son doux et voluptueux du HD 598, là on envoie du très gros son !
Finition / Qualité de Fabrication
On ne va pas passer par quatre chemins, c’est du très bon, comme d’habitude chez Sennheiser. Certes quasiment tout le casque est en plastique (sauf l’intérieur de l’arceau), mais le plastique utilisé ici est de très bonne qualité et ne fait pas du tout low-cost. Au contraire on a la sensation d’avoir un produit très robuste. Et c’est effectivement le cas, l’ensemble du casque est vraiment très costaud et dégage une sensation de solidité. Après plusieurs semaines d’utilisation intensive cette impression perdure toujours. Pour le reste du bundle c’est aussi très bon, la petite malette de transport est très soignée, les deux câbles (un droit et un torsadé) sont bien construits, tout comme la paire d’oreillettes supplémentaire (il y a une paire en cuire et une en mousse). C’est donc un 10/10 bien mérité.
A noter que le thème de couleur du casque (gris/bleu) a été respecté jusque dans les moindres détails. En effet on retrouve des petits cerclages bleus jusque sur le jack en lui-même, c’est vraiment très sympa ! Ce petit détail est également présent sur l’adaptateur jack.
Ergonomie
Nous l’avons dit, du fait de sa robustesse, le casque est un peu lourd, mais heureusement ça ne se ressent pas trop sur la tête. Le casque tient très bien, aucun problèmes à ce niveau. Le réglage se fait avec le système classique de crantage, celui-ci fonctionne bien et est assez précis. Les deux oreillettes sont amovibles, elle peuvent êtres placées sur 3 positions et même être complètement rétractées afin de faire rentrer le casques dans sa mallette de transport. Quand on a le casque sur la tête et qu’on replie en partie une des deux oreillettes (afin d’avoir une oreille à nue), le casque tient toujours très bien sur la tête, même si vous bougez il n’y a pas de problème…
Seul léger regret, ont aurait aimé des écouteurs un poil plus grands.
Qualité audio
Rentrons dans le vif du sujet, le son. Un casque solide et confortable c’est bien mais le plus important c’est ce qu’il a dans le ventre, ce qu’il vaut quand on le branche ! J’ai donc branché le casque et commencé à écouter, et là je me suis retrouvé sur les fesses ! En effet le son délivre une puissance absolument monstrueuse, c’est incroyable ! Ce qui m’a également surpris ce sont les basses. Je n’ai jamais entendu autant de basses, mais contrairement aux casques Beats, ici les basses sont d’une précision chirurgicale. Pour vous dire à quel point les basses sont présentes, dites vous que certaines musiques m’ont fait trembler la mâchoire (vraiment !). D’habitude je déteste les casques avec trop de basses mais là je dois m’incliner devant une restitution aussi précise. C’est donc un casque très orienté sur les basses avec un son très très puissant, au niveau du reste du spectre on note un léger creux dans les médium, mais ça reste néanmoins très propre. Pour les médium on à un son plutôt cristallin certains auraient préféré quelque chose de plus doux. Du fait de ces caractéristiques le casque ne sera pas bon du tout si vous écouter un film par exemple, mais bon ce n’est pas là ce qu’on lui demande.
Comme je le dit dans la vidéo, je ne suis pas DJ, je ne pourrais donc pas vous apporter un avis de professionnel dans ce domaine, néanmoins je vous apporte le point de vue de quelqu’un de très exigeant quand on parle de qualité audio. J’ai donc noté ce casque en tenant compte du fais qu’il était destiné à une utilisation spécifique. Pour pouvoir me faire un avis plus poussé j’ai décidé de le tester en le branchant sur mon ampli de guitare, pour voir comment le casque se comportait. Et c’est là que le casque à révélé tout son potentiel, la restitution audio de la guitare est extraordinaire, vous pouvez pousser les basses ou encore la reverb de l’ampli à fond le casque ne bronche pas. Vos oreilles auront saturées bien avant le casque ! C’est tout simple jouissif d’utiliser ce casque pour ce genre d’utilisation.
Bref un son extrêmement puissant et des basses d’une précision folle, ce casque conviendra sans soucis aux personnes les plus exigeantes.
Rapport Qualité / Prix
Le casque est vendu entre 200 et 250€, ce qui peut être cher pour quelqu’un qui cherche simplement un bon casque. Mais à ce prix on a la qualité et l’expertise sennheiser, un produit abouti et de très bonne qualité sur le plan audio. N’oublions pas que ce casque est destiné aux professionnels, et qu’un professionnel n’achète pas un casque, il investit dans un casque. De ce fait investir 250€ dans ce casque est un très bon choix, voir le meilleur choix pour un professionnel. De ce point de vue le prix du casque est résonnable.
Alors que tout le monde attendait les nouveaux GPU AMD pour cette GDC, Nvidia, dans un savant exercice de communication, a profité d’une allocution autour de Unreal Engine et de la puissance que demandait la technologie VR, a glissé un teasing maison de la nouvelle Titan Z.
Jen-Hsun Huang a profité de l’allocution pour monter sur scène et brandir la nouvelle carte…
« This GDC, is all about VR. And there are all these demos that are just unbelievable … [it] needs an amazing GPU. »
Encore une fois, la course aux superlatifs est lancée : « le GPU le plus puissance de la planète ».
Avec 8 milliards de transistors et 12Gb de Ram, la carte sera de toute façon un monstre.
Elle sera aussi une nouvelle étape dans l’évolution de l’architecture Maxwell avec un GPU certainement dénommé GM200 dont on commençait à entendre parler depuis un petit moment.
Elle est attendue pour un modeste billet de plus de 1000€ et serait présentée en détails durant la GPU Technology Conference qui débute le 17 mars.
Progressivement Asus déploie ses gammes . Au sommet on retrouve évidemment ROG avec des produits que l’on pourrait presque qualifier « d’ultimes » voir de luxueux…
La gamme Strix est normalement positionnée en dessous de ROG…cependant quand on voit la qualité des produits présents dans cette famille, on peut se demander si un certain cannibalisme ne va pas s’instaurer entre les deux gammes.
C’est en tout cas l’impression que j’ai pu avoir immédiatement en mettant la main sur ce clavier Asus Strix Tactic Pro…au niveau de la qualité et du positionnement on est quand même clairement sur du haut de gamme. Qu’importe, dans la tête d’Asus les choses sont évidentes : si la gamme Strix ne fait aucun compromis sur la qualité, un produit ROG sera toujours positionné au dessus…il en sera ainsi avec un clavier ROG qui arrivera plus tard dans l’année.
Design et Ergonomie
« Massif » c’est le premier mot qui vient à l’esprit quand on découvre le Strix Tactic Pro. Mais le terme massif ne sera pas nécessairement péjoratif, au contraire.
C’est un clavier qui respire la solidité et dont la première impression en matière de qualité perçue est très bonne. Le design anguleux donne un côté agressif sans ambiguité : ce clavier est un accessoire pour joueurs, fabriqué avec des matériaux de qualité mais qui revendique sans problème son positionnement gaming sans chercher à vouloir s’installer chez tout le monde comme d’autres références.
Equipé de switches Cherry MX Red, le châssis du Strix Tactic Pro est en ABS solide et inspire confiance niveau robustesse. Le rétroéclairage ne cède pas à la mode du RGB et reprend ici le orange omniprésent sur les périphériques Strix.
C’est immédiatement la présence des multiples touches de macros qui surprendra l’oeil averti ( 21 ).
On se répétera en disant que ce clavier est massif mais il dégage cependant une impression de fluidité qu’on ne retrouve pas sur un G910 portant légèrement moins encombrant.
Reste maintenant à parler de la qualité de frappe et de l’utilisation au quotidien de ce clavier…
Comme chaque année, les constructeurs décochent leurs nouveautés. Samsung vient avec son Galaxy S6 qui doit rattraper la déception engendrée par le S5.
Au moment où Apple, LG et HTC proposent des design ultra qualitatifs avec des châssis en acier ou aluminium, la réponse du coréen était attendue.
Le nouveau Galaxy S6 est clairement le plus beau téléphone produit par Samsung ( si on veut être négatif, on dira que ce n’est pas difficile ).
Disponible autour du 10 Avril, le S6 sera équipé avec un écran 5.1″ proposant une résolution de 2 560 x 1 440 soit 577PP.
A l’intérieur, Samsung se servira de la puce maison en installant son Exynos 7420 à huit coeurs.
Apple ayant ouvert la voie, tout le monde s’engouffre mais avec un réel effort au niveau design / qualité perçue..la pomme est donc la cible mais c’est la politique tarifaire d’Apple qui semble avoir été une source d’inspiration puisque le S6 dépassera allègrement les 700€.
HTC one M9
Ainsi, après le magnifique HTC One M8, on découvre le One M9 avec un design reprenant les grandes lignes de son grand frère…et dépassant les 750€ pour un 5″ équipé d’un Snapdragon 810.
HTC Superstar
HTC Re Vive
En plus du très beau One M9, HTC a fait l’actualité en présentant une somme impressionnante de produits.
Tout d’abord le HTC Re Vive est un casque de réalité virtuelle fabriqué pour Valve.
Compatible évidemment avec Steam VR, il dispose de nombreux points communs avec son cousin de chez Oculus. On notera cependant une fréquence de 90Hz pour les dalles pour répondre à la latence dans les mouvements rapides. Ce casque serait disponible pour la fin d’année 2015…
HTC Grip
HTC a présenté aussi un bracelet, le grip qui semble orienté fitness puisqu’il intègre un capteur cardiaque évidemment mais aussi un GPS.
Lumia 640 et 640XL
Une fois n’est pas coutume, Microsoft fait mentir mon titre en proposant 2 smartphones milieu de gamme en 5.1 et 5.7″ et…capables de recevoir Windows 10.
Le Lumia 640 sera équipé d’un Snapdragon 400 à quatre cœurs à 1,2 GHz, de 1 Go de mémoire et d’une batterie de 2 500 mAh. l’APN proposera 8Mp avec un flash LED. Il faut bien noter que ce smartphone sera positionné aux alentours de 140€ en 4G…
Le Lumia 640XL reprendra presque toutes les mêmes caractéristiques sauf pour son écran évidemment ( 5.7″ ) , son capteur optique de 12MP signé Carl Zeiss et sa batterie plus endurante. Son prix serait sous les 200€.
Les tablettes tactiles font partie intégrante de notre vie digitale et côtoient les smartphones (qui en de nombreux points ressemblent aux tablettes) tout comme les ordinateurs. Certaines tablettes se veulent uniquement adaptées à la consommation de contenus multimédias, d’autres tentent de remplacer votre ordinateur portable à coups d’arguments « professionnels ». Plus encore, le marché semble avoir achevé son inexorable croissance depuis 2010 (environ, année de lancement de l’iPad), ce qui force les constructeurs à innover pour satisfaire encore plus d’usages. Et c’est donc à travers ce Top 10 des meilleures tablettes actuellement disponibles que vous découvrirez quel constructeur a le plus innové et/ou pondu un produit parfait.
10. Apple iPad Air
L’ancienne star d’Apple a toujours son mot à dire quand il s’agit de performances de de portabilité. Sa finesse en faisait la tablette la plus légère au monde, désormais ses caractéristiques sont dépassées par de nombreuses tablettes Android. Mais si vous êtes fan d’iOS alors foncez car c’est sans doute l’une des alternatives les plus attirantes sous la barre des 500€.
9. Google Nexus 7
Cette tablette 7″ fabriquée par Asus était un bijou de légèreté et de punch qualité/prix. Avec les nouveaux iPad mini et la Shield Tablet qui viennent lui marcher sur les pieds, le Nexus 7 s’est fait un peu bousculer. Mais le récent upgrade vers Android 5.0 (et bientôt 5.1) redonne de sa superbe au Nexus 7. Une alternative encore une fois un peu datée (quoique l’âge dans ce milieu est une notion assez perverse) mais qui ne manquera pas de satisfaire tous ses acheteurs.
8. Apple iPad Mini 2
Un iPad, iOS 8, un écran rétina, mais le tout en plus petit, soit tout ce que désire n’importe quel Apple addict en manque de muscles et/ou de places dans son sac. Rien de plus, à part un prix plus petit que notre Top n°7.
7. Apple iPad Mini 3
Quand Apple ne se sort pas les doigts, ça donne un excellent produit mais sans aucune innovation à part un machin tout bizarre appelé « TouchiD » et une nouvelle couleur rose…gold…dorée…saumon ? Sérieusement Apple ! WTF… Toujours est-il que ça reste la tablette compact ultime pour les aficionados de l’écosystème iOS.
6. Microsoft Surface 2
Une tablette qui ne se vend pas et malheureusement bientôt plus. Car la Surface 2 est un vrai bon produit oubliant les erreurs de jeunesse de la gamme Surface. Son écran 10.1″ est très agréable, comme l’interface. Après, on reste sur du Windows pur et dur, donc les allergiques à la firme de Redmond, passez votre chemin. Si vous recherchez une tablette pas trop lourde, simple à utiliser mais quand-même riche en usages possibles, alors la Surface 2 et ses prix qui fondent comme des actions Intel à l’ère des Pentium 4, est faite pour vous. Oui, vraiment.
5. Nvidia Shield Tablet
Une tablette pour gamer ça existe : Nvidia l’a fait en sortant la Shield Tablet. Une tablette compacte équipée de composants maison (la moindre des choses). Au programme : Nvidia Tegra K1, soit un sous ensemble de GPU de génération Kepler, 3Go de RAM, un écran 1080p, Android 5.0 et un stylet efficace. La Shield Tablet est une petite bombe. Mais dommage que ses accessoires, dont l’incontournable Shield Controller, soient si chers.
4. Samsung Galaxy Tab S 10.5
Ca y est, on entre dans la cours des très grands. Samsung a casé dans sa Galaxy Tab S 10.5 le plus bel écran Super AMOLED de l’histoire. Une résolution QHD et des couleurs (trop) vives…de quoi s’en mettre plein les yeux. Les entrailles sont bien garnies avec l’Exynos 5420 Octa-coeur, 3Go de RAM et Android 4.4.4. La finesse est remarquable et on a enfin la sensation d’avoir entre les mains une tablette Samsung haut de gamme.
3. Sony Xperia Tablet Z3 compact
Voici la meilleure petite tablette au monde. Tout dans ce produit contribue à une impression justifiée de haut de gamme. Là où certaines tablettes embarquent des composants de Ferrari dans un corps en plastique cheap, Sony décide d’aller vers l’élégance à l’Aston Martin. Certes le verre dorsal Dragontrail est salissant mais quel effet ! Une tablette fluide également, et un écran de tout beauté, parachèvent un (mini) chef d’oeuvre.
2. Google Nexus 9
Après Asus, c’est HTC qui a pris la charge de concevoir la tablette de Google. La Nexus 9 est une machine de guerre Android ayant tout l’arsenal des Googlers à sa disposition : processeur 64 bits Tegra K1 de chez Nvidia, écran supérieur à la FHD (résolution cheloue), hauts parleurs boomsound et des bonnes finitions, sur les modèles actuellement en ventes (quelques problèmes sur les premières séries)…Le système Android 5.0 Lollipop est dans sa version « stock », et est impressionnat à la fois de rapidité et de cohérence dans son design. Quoi de plus ? Un prix acceptable de 400€ pour la version 16Go. Un point négatif ? Pas de slot micro SD (sériously ?).
1. Apple iPad Air 2
Prévisible ? Peut-être. La tablette la plus encensée de l’année se retrouve en haut de notre classement. Pourquoi ? Pour la prouesse de farcir tant de puissance dans si peu d’espace. Pour les finitions toujours exceptionnelles comparées au Nexus 9. Pour la cohérence du système Apple. Et enfin parce que si on l’avait pas casé dans ce Top 10, au contraire des iPad minis qui sont -eux coincés en fond de grille, une horde de fan Apple se serait abattue à coup de trolls. Ne notez aucune répétition dans la teinte comique des lignes relatives aux produits Apple de ce classement. C’est juste l’inspiration les amis ! Bref l’Apple iPad Air 2 est la meilleure tablette actuellement disponible sur le marché. Et tant pis pour les fans Android, comme moi, qui devrons se consoler de la deuxième place !
Et pour les Pros ?
Marre de trimbaler un portable de 15kg qui chauffe et fait du bruit ? Mauvaise nouvelle pour vous, cela vous coûtera cher pour le remplacer avec une tablette. Ne regardez pas plus loin que…
…la Microsoft Surface Pro 3 ! Pourquoi ? Test en approche. Stay tuned !
MSI a décidé de frapper un grand coup. En présentant son GT 80 Titan en fin d’année, l’idée était de marquer les esprits avec un produit ultra costaud et quelques innovations capables de marquer les esprits.
En premier lieu, on aura immédiatement constaté le grand écart entre le design slim du GS60 voir du GS30 et ce produit massif, intégrant un écran 18.4″ et…un clavier mécanique.
Si évidemment l’intégration d’un clavier mécanique d’origine SteelSeries est une première, c’est clairement sur les performances de ce monstre que nous allons nous pencher.
Le GT80 arrive sur le marché français, si plusieurs configurations semblent possibles, elles disposeront dans tous les cas d’un SLI de GTX980M.
J’ai eu l’occasion d’avoir la bête entre les mains et de présenter ses entrailles il était temps de secouer l’animal et de voir si un investissement de plus de 4000€ pouvait trouver une certaine justification avec des benchs hors du commun.
Je n’ai évidemment pas été déçu…
Le modèle dans mes mains était équipé d’un CPU Intel i7 4720HD, de 16Go de ram, d’un Raid 0 composé de 4 SSD 128Go et d’un disque mécanique d’1TB.
Si le format de ce GT80 est imposant, il est important de relativiser. Avec 4.5Kg sur la balance, on est évidemment très loin des ultrabook mais il ne faut pas oublier que les « transportables » de ces dernières années dépassaient allègrement le 5-6Kg .
C’est le SLI de GTX980M qui est donc l’attraction. Les deux 980M sont installés sur des ports MXM permettant à MSI d’avancer un argument d’évolutivité future…la puissance déjà présente assure cependant une belle marge de tranquillité.
Enfin, il convient avant de passer aux résultats de nos tests de s’attarder au reste de l’équipement.
En premier lieu le clavier mécanique d’origine SteelSeries particulièrement confortable avec ses switches MX Brown et un combo pavé numérique / touchpad particulier mais efficace.
Enfin, l’écran fait dans l’efficacité avec une dalle mate 1080P d’origine Samsung avec une technologie PLS ( l’IPS du coréen ) disposant d’angles de vision très ouverts.
Le Raid SSD maison est de la partie, tout comme le son DynAudio qu’on retrouve maintenant sur la plupart des portables gaming de MSI avec le contrôleur réseau Killer…bref, vous l’avez compris, passons vite aux tests !
HP arrive sur le portable gaming avec le OMEN 15, un portable 15″ comme son nom l’indique.
Ceux qui ont connu VoodooPC se demandaient si HP allait un jour se décider à rentabiliser cette acquisition datant de 2006. C’est en effet par petites touches que l’ADN Voodoo s’est diffusé au sein des gammes HP.
Avec ce OMEN, HP vient donc reprendre tout ce que VoodooPC tentait de pousser : luxe et performances. En ce qui concerne le prix, le pari est tenu avec un positionnement débutant à plus de 1500€…pour le reste, nous allons le découvrir.
Aperçu en fin d’année dernière, le OMEN arrive sur nos terres mais il a déjà été précédé par une vague de notebook gaming sauce « slim ». On pensera notamment à l’excellent MSI GS60 Ghost Pro et à ses petits frères.
C’est donc équipé d’un i7 4710HQ et d’une GTX 860M que l’OMEN nous arrive.
Il faut tout de suite remarquer que la puce graphique, même si elle propose des performances plus qu’acceptables, ne colle pas vraiment avec l’actualité puisque nous avons vu arriver massivement les séries 900M ces dernières semaines. La 860M est cependant évidemment une déclinaison Maxwell, ceci facilitant grandement son intégration dans un châssis slim.
Aujourd’hui nous découvrons une facette un peu obscure du monde du gaming professionnel. Nous savions déjà que certains joueurs ou team reconnus étaient grassement payés…
Saviez-vous qu’il était possible à nous, simples fans ou spectateurs de gagner (ou perdre) de l’argent sur le dos de nos joueurs préférés ?
Introduction
Je ne fais pas cet article dans le but de détailler les systèmes de paris ou de mise d’argent réel, mais plutôt de connaitre votre point de vue sur ce sujet.
Trouver vous intéressant le fait de pouvoir parier sur une équipe de LOL ou Counter Strike par exemple ?
Bref c’est surtout le besoin de connaitre votre opinion sur ce « nouveau » concept…car cette nouvelle tendance nous interroge sur la sincérité futur des compétitions Esport.
Une nouveauté ?
Pas vraiment, si les premiers sites à destination du public Français sont apparus il y a maintenant plusieurs années, cette pratique est nettement plus courante outre atlantique ou certains gros sites jouissent déjà d’une réputation sérieuse.
Pour les plus pointus il existe même certains sites du réseau Tor proposant ce type de jeu. Il en a découlé de nombreuses déclinaisons plus ou moins légales….
Légal ?
Il est quasi évident que ces sites ne sont pas vraiment dans le droit chemin dans notre pays puisque échappant au contrôle de l’Etat .
Est ce une question de temps ? Un peu comme ce fût le cas des paris sportifs ?
Je pense que ce phénomène est inévitable et devra donc être encadré d’une façon ou d’une autre !
La France étant un peu en retrait dans l’esprit ou même les structures entourant le monde de l’esport est certainement moins pressé de mettre en place un système d’encadrement.
Je parlerais un peu plus tard de site de paris qui sont tout à fait en règle puisque ne faisant pas appel au hasard comme le loto ou un morpion que vous trouvez chez votre buraliste.
Les dérives
Je ne vais pas épiloguer sur les nombreux trucages qui entourent ce nouveau système économique, un exemple a frappé le petit monde du Esport avec le cas d’un joueur asiatique essayant de mettre fin à ses jours suite à une affaire de trucages et arrangements organisés par son coach…
Cheon Min-Ki joueur League of Legend de l’équipe AHQ.
Mais a t-on besoin des paris pour sacrifier l’essence même d’un jeu ?
Pour être le plus objectif possible et ne pas remettre simplement le système de paris en cause on peut se rappeler que le simple fait d’introduire un système d’argent réel entre joueur dénature rapidement un jeu.
Prenons l’exemple d’un grand jeu comme Diablo III qui a été complètement corrompu suite à la mise en place par son éditeur d’un système d’enchères « argent réel », il suffisait de trouver un objet rare dans le jeu et vous aviez la possibilité de le mettre aux enchères contre de l’argent réel.
Même si ce n’est pas clairement un modèle de paris on peut s’accorder sur le fait que l’introduction d’argent réel a modifié en profondeur notre vision du jeu…
Le jeu n’étant plus qu’un moyen de se faire de l’argent facilement au détriment du plaisir, Blizzard a du faire marche arrière et supprimer définitivement ce système.
Plusieurs familles de paris
Les paris basés sur le modèle sportif
Il faut bien comprendre que le monde du pari financier dans l’univers du jeux vidéo se divise en plusieurs parties bien distinctes.
La première est simple et accessible à n’importe quel joueur il suffit de trouver un site de pari de se créer un compte et de placer des paris sur des joueurs / teams.
C’est une forme de paris qui n’est donc pas « encore » légale en France puisque une part de hasard est présent et est donc sous le contrôle de l’ARJEL (autorité de régulation des jeux en ligne)…il y a aussi le problème de l’argent et des mineurs…
Ce modèle est calqué grandement sur les sites de paris sportifs, avec leurs lots de stratistiques, retransmissions en direct des plus gros événements et chat de discussions.
L’interêt de grand nom du pari sportif est de ce fait plus que logique, un site serait vraisemblablement à l’affût sur ce nouveau marché lucratif qu’est le jeu vidéo.
Les paris entre joueur
Il existe par contre un système tout à fait légal qui permet à des joueurs de parier sur leurs propres talents.
Vous êtes par exemple un joueur de Fifa ou Cod et bien il vous ait possible de gagner de l’argent en remportant des matchs ou tournois quotidiens.
Malheureusement certains sites Français ont tenté leur chance comme par exemple Multeegaming.com mais fermé depuis peu par manque de joueur.
Il existe des plates-formes américaines proposant ce type de services et existant depuis déjà de nombreuses années, les conditions à remplir sont très simples : être majeur, avoir un compte en banque et le jeu auquel vous souhaitez jouer.
Conclusion
Les recettes générées par l’Esport sont conséquentes et il était inévitable de voir arriver les bookmakers et autres systèmes de paris dans ce monde.
Peut-on être en accord avec cette pratique qui vient modifier le plaisir que l’on peut ou pouvait trouver à jouer ou découvrir un nouveau jeu ?
Est ce simplement une évolution du gaming ? Peut être un moyen de démocratiser un peu plus ce nouveau sport au près du grand public ?
Une chose importante à noter est le relatif « amateurisme » qui règne encore dans ce milieu…une arrivée massive d’argent en provenance des paris pourrait sans doute fortement dénaturer la réalité des résultats de certaines compétitions…
Le SSD, cet espace de stockage ultra rapide, reçoit de plus en plus de demandes sur le marché. Il complète généralement le disque dur et permet de lancer des programmes bien plus rapidement que ces derniers.
Un SSD, c’est quoi ?
SSD signifie Solid State Drive. Il sert de mémoire de stockage. Non pas pour vos photos ou vos vidéos, mais pour vos programmes.
Les SSD existent depuis le début des années 2000, mais ne sont convoités que depuis peu, du fait que les premiers modèles n’étaient pas fiables.
La particularité du SSD est principalement sa rapidité, bien supérieure à un disque dur classique. C’est pour cela qu’il est destiné au stockage de programmes lourds, souvent utilisés ou même des jeux. On y installe le plus souvent son système d’exploitation, ce qui permet de démarrer son ordinateur beaucoup plus rapidement (dans les 10 / 20 secondes généralement).
Comparaison : HDD vs SSD
Les avantages
La rapidité. Comme dit dans le paragraphe précédent, il peut lancer votre OS très rapidement. Il peut accéder aux données voulues en moins d’un millième de seconde, contre 15ms environs pour les disques durs. Ce qui augmente considérablement les taux de transferts (environ 500Mo/s pour les SSD basiques)
Le silence. Les SSD ne sont pas composés de pièces mécaniques, contrairement aux disques durs, qui peuvent parfois émettre un bruit désagréable en charge (Je parle en connaissance de cause). Composé de mémoire flash, les SSD ne font aucun bruit.
La solidité. Les disques durs sont connus pour être plutôt fragiles, à cause du fait qu’ils sont constitués de plusieurs disques assez fragiles. Les SSD ne disposant pas de disques sont donc bien plus résistants aux chocs.
La consommation. Plus faible que sur un disque dur, notamment en veille.
Les inconvénients
La durée de vie. Le problème avec la mémoire flash, c’est qu’elle ne peut pas être réécrite indéfiniment. Toutefois, les entreprises travaillent sur des algorithmes qui permettent d’optimiser l’écriture pour augmenter cette durée. Aujourd’hui, les SSD utilisés pour un usage classique durent plusieurs années et peuvent concurrencer la durée de vie de certains disques durs.
Le prix. Il a pas mal baissé ces derniers temps, mais il est toujours plutôt élevé. Vous retrouverez le plus souvent des prix tournant à 50 centimes le Go. Un disque dur de 120 Go va coûter dans les 60 / 70€.
L’espace de stockage. La plupart des SSD classiques proposent des espaces de stockage de 120 Go ou 256 Go, même s’il existe des SSD atteignant 2To (Plus spécifiques, nous en reparleront plus tard). Ce n’est pas suffisant contre un disque dur, qui peut atteindre les 6To.
L’arrivée de la GTX 960 au sein de la gamme Nvidia permet de confirmer la généralisation des GPU Maxwell et la fin de Kepler. D’autres références doivent suivre mais cette GTX 960 est en quelque sorte le « coeur de cible » du marché des gamers.
La GTX 960 va se positionner à 199€ en prix public. Disons le clairement, la baisse de l’euro ne lui rend pas franchement service. Néanmoins, ce prix est tout simplement inférieur à celui qu’on constate à ce jour sur une GTX 760 qu’elle doit remplacer.
Pour mémoire, en Septembre 2012, la GTX 660 était introduite à 230€...
Nous avons donc à ce jour 3 cartes GTX 9XX disponibles, voyons les caractéristiques.
La première chose à remarquer c’est évidemment que cette GTX 960 a pris a sacré coup de rabot sur le bus mémoire. La bande passante n’est évidemment pas à la fête. Néanmoins, c’est sur d’autres atouts que Nvidia veut pousser sur cette carte.
Le premier argument c’est l’upgrade ce ceux qui jouaient jusque là avec une GTX 660. Un upgrade facile et sans risque car avec un TDP de 120W la 960 remplacera sans encombre ni investissement une GTX 660 ( TDP à 140 env ).
Le second argument c’est le 1080P. Il est vrai qu’aujourd’hui on va bencher pour simuler / tester de la 4K mais cette carte ne s’adresse pas à ce public. Le jeu facile et agréable c’est en 1080P et c’est sur ce point que Nvidia veut nous ramener.
Pour notre premier contact, nous avons entre les mains une MSI GTX 960 Gaming 2G.
Nous allos tout d’abord nous intéresser aux particularités de cette GTX 960 version MSI.
Roccat n’en est pas à son coup d’essai en ce qui concerne les casques gamer. On se souvient entre autre du KAVE SOLID qui n’était pas la plus grande réussite de la marque. Le SOLID avait pour défaut d’être très peu confortable à cause de son poids élevé. Tout naturellement en recevant le XTD j’avais beaucoup d’appréhension en ce qui concerne son confort. Heureusement ROCCAT a corrigé le tir et nous offre une prestation convaincante.
Finition / Qualité de fabrication
Comme d’habitude chez ROCCAT nous avons le droit au fameux soft touch. Celui-ci est présent sur les écouteurs. L’arceau lui est en plastique, et pour des raisons esthétiques, ROCCAT a choisi un cerclage en plastique brillant autour de l’oreillette. De manière générale la finition est bonne, rien d’exceptionnel, mais dans la moyenne de cette game de prix. La télécommande est elle en plastique assez « cheap » mais elle est du coup très légère, on ne la sent pas « tirer » le casque, c’est un mal pour un bien. Pour ce qui est de la qualité de fabrication c’est aussi très bon, le casque est robuste et le câble est très épais. Le micro est réalisé à base de caoutchouc ce qui lui permet de bien encaisser les éventuelles torsions et chocs. Seul petit bémol sur ce casque, les mousses semblent assez fragiles (pour le moment je n’ai pas eu de problèmes après 1 mois).
Qualité audio / micro
Le plus important avec un micro-casque c’est bien évidemment la qualité du micro et la qualité audio, parlons en justement. Pour ce qui est de la qualité audio c’est plus que correct. Le son est pas trop mal retranscrit, on a des basses présentes et d’une bonne qualité. Là où le casque est moins bon c’est sur les aiguës et médiums, en effet le son semble un peu plat, mais bon rien de trop pénalisant puisqu’il ne s’agit pas d’un casque audiophile mais bien d’un casque Gamer. Pour faire une comparaison qui parlera à tout le monde, on va dire que le KAVE XTD Stereo est un sibéria V2 avec plus de caractère grace principalement à des basses plus travaillées. Donc même si le son n’est pas exceptionnel, le casque a le mérite d’être très polyvalent, vous pourrez écouter vos musiques sans que vos oreilles saignent ou encore profiter de vos films sans problème. Pour ce qui est du micro c’est également dans la moyenne de la gamme, très correct. On égale pas un Ceres 500 mais le micro reste très bon pour skype, stream ou faire de petits commentary. Bref une qualité de son globalement très honnête qui vient s’inscrire dans la moyenne.
Ergonomie
On attaque un point très important car l’ergonomie des casques ROCCAT est réputée pour être très moyenne voir mauvaise. Heureusement ROCCAT a pris en compte les remarques et a grandement amélioré ce point; il reste plutôt confortable. Du fait de ses grands haut-parleurs de 50mm, le casque est forcément un peu pesant, mais cela est contrebalancé par un arceau très confortable doté d’une mousse très agréable. Les mousses des écouteurs sont très molles, ce qui au premier abord est très confortable mais j’ai peur qu’avec le temps la mousse ne s’affaisse trop, à voir… Très bon point; les oreilles ne touchent pas les écouteurs, ce qui donne une sensation d’espace très agréable. Après plusieurs heures d’utilisation, quand ont retire le casque, on a les oreilles légèrement chaudes, et ont sent vraiment qu’on a retiré le casque. Mais compte tenu de sont poids et de la taille des écouteurs, c’est totalement normal. Au final ce n’est pas si perturbant que ça. On sent bien ici que ROCCAT a bien travaillé son produit. Au bilan le casque est très confortable même après plusieurs heures de port.
Conclusion
Une bonne surprise ce KAVE XTD Stereo. Après les petits ratés du passé ROCCAT est belle et bien de retour chez les grands dans la catégorie casques gamer. Confortable, un bon son, bref un bon casque. On regrettera un prix un poil trop élevé et le fait que la concurrence soit très forte dans ce secteur de prix. En effet même si le KAVE est bon, pas sur qu’il égale (entre autre) un HyperX CLOUD… A vous de juger !
Bonjour à tous les amis, nous allons donc aujourd’hui voir comment installer Android sur son pc via une machine virtuelle.
Il est bien entendu possible de le faire via clé usb mais pour des raisons techniques le dual-boot est impossible.
Bref place à la manip 🙂
Logiciel & Image
Puisque nous allons créer une machine virtuelle, commençons par télécharger Oracle Virtual Box
Dans un second temps, nous allons devoir récupérer l’image de notre Android vous trouverez la version de votre choix ici.
Pour ma part, je suis sur la version Android-X86 4.4-R1.
Une fois tout ce petit monde téléchargé, place a la mise en pratique 🙂
Préparation Virtual Box
Après l’installation d’Oracle vous devriez vous trouvez sur cette page .
Selectionner New pour créer une nouvelle machine virtuelle.
Nommez la à votre guise: exemple pour ma part Vonguru, puis dans le type sélectionner Linux et enfin dans version Linux 2.6 / 3.x (32bit)
Cliquez sur next, nous arrivons dans la configuration de notre machine ici rien de bien sorcier 🙂
Une fois la mémoire choisie suivant vos besoins et envies cliquez sur next. Pour ma part je suis resté en 256MB
Gardez cette option puis Create.
Vous aurez deux choix : le dynamique ou le fixe, c’est une option qui détermine quelle quantité de stockage vous voulez. Soit le fixe est une quantité que vous allez déterminer exemple 8 Gigas, soit le dynamique qui vas s’adapter à vos besoins.
Une fois ce choix réalisé on avance !
Vous allez donc déterminer sur quelle partition de votre disque dur ou support externe votre OS va être installé. Pour ma part je me suis créé une partition spéciale dédiée aux machines virtuelles.
Déterminer la taille de votre partition virtuelle et ensuite cliquez sur create.
L’installation est en cours, une fois celle ci réalisée, vous devriez arriver sur la page principale de VirutalBox avec votre installation à disposition.
Il nous reste à présent à intégrer notre fichier Android iso téléchargé un peu plus tôt, cliquez sur settings puis allez dans storage et sur votre controller IDE appliquer votre ISO.
Appuyez sur ok et start sur la page principale pour lancer l’installation d’Android.
La série Assassin’s Creed est l’une des plus singulières de ces dernières années. Elle a réussi à imposer à un très large public un univers, des personnages et un gameplay très particulier. Et force est de constater que la recette marche toujours avec des chiffres de ventes toujours très importants. Mais Assass’in’s Creed, c’est aussi la franchise d’Ubisoft la plus critiquée. La sortie annuelle instaurée n’arrange rien à la situation, rappelant les erreurs de la série des Call of Duty. L’année dernière (2013…ça fait 10 jours qu’on est en 2015, commencez pas à la ramener), c’est le volet Black Flag et ses pirates qui envahissait les rayons des grands magasins et autres boutiques en ligne. De la terre on passait à la mer, avec un monde ouvert représentant les caraïbes. Si cet épisode avait su s’appuyer sur une base technique assez efficace, la pauvreté du scénario et les environnements peu inspirés avait déçus certains.
Cette année, le plus grand éditeur de jeux vidéos Français (fleuron de notre industrie n’est-ce pas ? Par contre faut pas déconner c’est violent et c’est le mal les jeux vidéos…) tente de révolutionner quelque peux son univers…en parlant de révolution :
Le scénario, le gameplay ou « la platitude des choses »
La révolution Française est le terrain de jeu d’Assassin’s Creed Unity. Dans les ruelles d’un Paris en pleine guerre civile, le joueur incarne Arno, jeune noble accédant à la confrérie des Assassins pour une histoire de vengeance (no spoilers). La plus agréable surprise de ce scénario vient du retour de la bonne vieille guerre entre les Assassins et les Templiers que l’on retrouvait dans les autres volets avant le IV. Et il faut admettre que c’est assez sympa. Mais très vite, le rythme assez soutenu des premières missions s’effondre pour laisser place à une histoire bancale et très très rarement surprenante.
Les phases où le joueur intègre l’histoire avec Abstergo et sa console Helix (encore une fois pas de spoiler), apportent un peu de fraîcheur à ce scénario trop classique, mais ne sont malheureusement pas assez poussées et mériteraient davantage de soin pour la partie technique curieusement inférieure dans ces quelques missions.
Le gameplay en lui-même est amélioré sur les fondations des précédents opus de la franchise. Le joueur prend toujours son pied à sauter de toit en toit, les animations lors des combats sont classes et bien mises en scènes (mais le placement de la caméra est limite). La personnalisation d’Arno atteint également un nouveau standard et les armes à sa disposition sont un poil plus inspirées et variées. On reste donc sur du pur Assassin’s Creed et c’est justement ce manque de renouveau qui déçoit.
La plus grande force de l’histoire tient dans son ambiance et l’immersion du joueur dans cet épisode de l’histoire de France. Mais cette immersion tient plus de la fabuleuse démonstration technique d’Ubisoft que du scénario en lui-même
La réalisation : « Holy Balls !!! »
Je ne m’y attendais pas, encore moins de la part d’Ubisoft, qui a l’habitude de nous livrer des jeux plutôt décevants sur le point technique. Après un Watch_Dogs franchement rageant, il était temps pour le studio de répliquer aux critiques quant à la qualité graphique de ses titres. Et quelle baffe ! Assassin’s Creed Unity est certainement l’un des plus beaux jeux des trois dernières années (j’attends The Witcher 3), et se hisse à un niveau de détail jamais vu dans un open world. Le moteur AnvilNext fait des merveilles, les effets de lumières font baver et la recherche architecturale mérite d’être saluée. Il suffit de monter sur le toit d’un bâtiment en hauteur pour relever toute l’ampleur du Paris virtuel qui est proposé dans Unity. Il suffit également de s’immerger dans les foules compactes qui parsèment les rues, elles-mêmes très fréquentées.
La ville est vivante grâce à ses milliers de PNJ tous bien détaillés. Le seul écart technique à relever est la modélisation de l’eau, lorsque l’on traverse la Seine par exemple, alors que l’océan de Black Flag instaurait un modèle du genre. Mais le reste relève du génie. Chapeau aussi pour nous proposer tant d’intérieurs à explorer, et merci pour avoir enfin réalisé une ville à l’échelle 1 : le gameplay gagne en dimension, là où il perd en facilité.
Les bugs et l’optimisation : « Holy Crap !!! »
Vous pensiez sérieusement que j’allais continuer dans mon éloge de la qualité technique d’Assassin’s Creed Unity ? Que vous êtes naïfs ! Certes le jeu est beau à en pleurer, mais ce qui fait aussi pleurer, c’est le nombre tout bonnement intolérable de bugs et autres crashs qui parsèment les pérégrinations d’Arno. Disparitions de visages (flippant celui-là), PNJ qui partent en sucette au milieu de la foule, Arno qui se met à marcher dans le vide, clipping massif, crash du jeu, bugs de collision (dans les combats c’est cool), délai entre l’action et le bruitage…la liste est trop longue pour pouvoir simplement la survoler.
Ces glitches sont si nombreux qu’ils polluent le gameplay et qu’à la fin du scénario on a plus une impression de chemin de croix que d’un marathon. Si vous ne comprenez pas cette métaphore essayez de vous imaginer terminer le jeu avec (et j’ai compté) 15 bugs liés aux cinématiques, 11 Arnos « volants », 9 crahs du jeu, 5 occurrences de clipping de personnages en plein combat, 3 freezes et 1 écran noir.
C’est d’ailleurs en raison de ces bugs qui entachent le déroulement de l’histoire que ce test arrive un peu tard. J’ai voulu terminer le jeu à 100%, mais au vu des soucis techniques, je me suis simplement contenté de finir le scénario principal et faire les missions annexes. C’est d’autant plus révoltant que le jeu est sublime ! Pourquoi se suicider ainsi ? Pourquoi se tirer tout seul une balle dans le pied alors que l’on dispose d’une base solide pour l’optimisation ?
L’optimisation, parlons en. Avec un core i7 4770K @ 4.7GHz, 16Go de RAM et une Nvidia GTX 980 OC à 1311/1400 MHz, le jeu dépasse à peine les 50fps en ultra et en 1080p. En 1440p, le framerate s’effondre sous la barre des 30fps, et les rares séquences tentées en 4K ont été si catastrophiques que le jeu était injouable. En baissant la fréquence de la carte à ses valeurs originelles (1127MHz/1216MHz), le jeu perd 10fps. Chez AMD, c’est la déroute totale avec une R9 290X OC à 1100MHz qui n’arrive pas à dépasser les 35fps et perd 5fps une fois à la fréquence de base de 1GHz. Bien-sûr vous pouvez baisser les options graphiques, mais voir un matériel de dernière génération aussi à la ramasse, on peu se poser la question de savoir si les ingénieurs chargés d’optimiser le jeu sur PC n’ont pas utilisés des lunettes de soleil et leurs pieds en bronzant aux caraïbes (tiens, un parallèle avec Black Flag…).
Je n’en veux pas à Ubisoft car leur jeu demeure magnifique, mais je doute qu’il exploite autant de ressource que ce qui est constaté quand des jeux largement plus beaux (mais pas open world) comme Crysis 3, tournent beaucoup, mais alors beaucoup mieux que Unity. Ces problèmes de framerate proviennent sans-doute des foules très exigeantes en ressources CPU, mais cela reste à être vérifié.
Conclusion
Assassin’s Creed Unity est très difficile à évaluer. D’un côté, Paris est encore une fois, à tomber par terre, tant la dimension et le gigantisme de la cité son ahurissants, avec en prime une immersion garantie. De l’autre, un des jeux les plus buggés et mal optimisés depuis longtemps. Dur de jetter la pierre à Ubisoft sur la qualité graphique, mais le reste mérite un blâme. Il serait temps de réviser le gameplay et de faire preuve de plus de créativité sur le scénario.
Pour résumer, ce n’est pas un échec total, mais une réussite ratée…
Comme les vieux monstres, l’architecture Kepler s’apprête à tirer sa révérence.
Apogée de la carrière de cette dernière, la Titan Z, encore vaillante va disparaitre brutalement comme les dinosaures jadis…
Composée de 2 Gpus Kepler, cette Titan Z restera dans l’histoire comme la carte « grand public » la plus chère jamais introduite par Nvidia.
Bousculée par la 295X2 AMD pourtant presque 4 fois moins chère, la Titan Z ne restera pas dans les annales.
Cette année, une nouvelle Titan va sans doute pointer le bout de son nez avec une architecture Maxwell. Espérons que le caméléon aura appris de cet épisode pour effacer ce qui ressembla fortement à une tentative de viol commercial…
Reste néanmoins la curiosité autour de la conception d’un monstre, démonstration d’une certaine maîtrise technique pour dompter un barbecue à double foyer…
Voilà donc une petite vidéo afin de découvrir sa conception…
Android est devenu le système d’exploitation mobile le plus utilisé au monde, devant iOS. L’écosystème construit par Google est proposé à un large éventail de marques dont Samsung, Sony ou encore LG qui constituent les têtes de file. Android a pour lui sa capacité à être personnalisé à la fois par l’utilisateur final et les compagnies, qui ajoutent leur propre interface logicielle, la surcouche. Mais il manquait à l’OS mobile quelque chose qui lui permettrait d’unifier son image et d’apporter une expérience aussi fluide et agréable que iOS. La cinquième version d’Android, j’ai nommé Lollipop, est là, et elle va tout déchirer…
Fonctionnalités : pas de grands changements
Android Kitkat (4.4) était déjà bien fourni au niveau des fonctionnalités, avec en prime des améliorations de celles déjà disponibles. Volet de notifications enrichi et épuré, personnalisation toujours plus vaste. Là où Kitkat poussait l’optimisation des ressources, Lollipop est censé aller encore plus loin. Cette version ajoute le multicompte avec la possibilité d’en configurer un pour invité en plus des vôtres. Dans ce mode, il est possible de choisir quelles applications laisser à la disposition de l’utilisateur : sms ou appels.
Cette fonction permet de prêter son smartphone sans aucun souci à se faire sur vos données privées. Pour chaque mode un avatar personnalisable est disponible, facilitant l’ergonomie générale de cette nouveauté assez bienvenue.
A noter que sur certains smartphones comme le LG G3, l’activation du mode invité désactive la carte SD potentiellement installée lors du retour en mode « normal »…pas de soucis à se faire, il suffit d’aller dans les paramètres de stockage et de la réactiver.
La nouvelle version de cet OS propose aussi un mode d’économie d’énergie amélioré étant déclenché lorsque la batterie atteint un niveau prédéfini par l’utilisateur (15% de base). Bien que de nombreux smartphones modernes proposent cette fonctionnalité, le mode intégré de base avec Lollipop semble être des plus efficaces puisqu’il permet, sur le G3 de pouvoir bénéficier d’1h30 à 2h d’autonomie supplémentaire en usage normal (navigation web, sms, emails etc.)
Ergonomie : révolution esthétique
Android 5.0 marque l’avènement d’une nouvelle charte graphique pour les développeurs. Bye bye l’austérité à la Kitkat, bonjour le flat-design à la sauce Google : le « material-design ». Largement similaire sur certains points à iOS 7 et 8, cette nouvelle esthétique du système entend donner une nouvelle image à Android par le biais d’optimisations des animations et du respect d’un langage esthétique propre.
Selon la « philosophie » du material design, chaque « entité » (oui les guillemets c’est cool) ou « surface » représentant une aire spécifique d’une application, a une épaisseur, malgré son apparence plate. Par exemple, les différents plans visibles à l’écran ne peuvent se mélanger les uns aux autres par effet de transparence, mais plutôt se superposer à la manière de cartes.
Le résultat est une approche plus poussée du flat-design et une impression de cohérence de l’interface de l’OS qui tranche avec les versions précédentes d’Android qui ne disposaient pas de charte graphique aussi poussée. Les effets d’ombres sont très subtils et les animations apportent une impression de fluidité grandement améliorée. Enfin, Android 5.0 permet à chaque application d’avoir sa propre identité surtout au niveau des couleurs.
Les modifications esthétiques ne s’arrêtent pas là. Le nouveau volet de notification a été entièrement revu : une apparence plus simple, des animations fluides et les notifications apparaissant sous la forme de cartes blanches, et également sur l’écran de verrouillage. Google propose aussi de désactiver les notifications partiellement selon leur importance ou intégralement durant une période indéfinie ou déterminée par l’utilisateur. Peu pertinente pour l’utilisateur « lambda », cette option est utile dans des usages professionnels uniquement.
Le dernière modification concerne le multi-tâche qui a profité de la mise à jour pour prendre une robe plus « material design ». Les applications sont désormais elles-aussi des cartes que l’on peut scroller de haut en bas pour les supprimer d’un glissement du doigt vers les côtés. Sur le G3, l’immonde mode multi-tâche d’origine est enfin mis à la trappe et la version lollipop est vraiment plus agréable et intuitive.
Pour quels appareils ?
Les Nexus 6 et 9 de Google sont assurément les stars de Lollipop puisque conçus spécifiquement pour ce système. Le smartphone de 5.7 pouces vient clairement marcher sur les pieds d’un certain galaxy note 4 de Samsung qui lui devrait recevoir bientôt une mise à jour vers Android 5.0. Les autres smartphones haut de gamme devraient eux-aussi pouvoir être mis à jour. LG a surpris pas mal de monde en assurant le premier la migration sur son G3 (utilisateurs SFR jusqu’ici) en Corée puis dans le reste du monde.
Le Nexus 9 quant à lui est la nouvelle tablette haut de gamme de Google, équipée du surpuissant Tegra K1 dans sa version 64bits. C’est aussi la tablette la plus à même de se mesurer à l’excellent mais cher iPad Air 2 d’Apple. Ici google a l’avantage sur les tarifs (500€ pour 32Go contre le même prix mais en 16Go pour l’iPad Air 2). D’autres tablettes tournent aussi sous lollipop comme la shield de Nvidia.
Ainsi, l’essentiel du parc haut de gamme de produits android devrait être progressivement mis à jour, suivant la volonté des constructeurs et des opérateurs. Si vous êtes trop impatient, des ROMs existent et le processus de migration est relativement simple et rapide.
Lollipop est génial
De tous les systèmes d’exploitation mobiles actuellement disponibles, Lollipop représente le haut du panier. Certains trouveront iOS plus convaincant, mais l’incroyable tour de force de Google mérite d’être salué. Android est passé d’OS « bricolé » à challenger du système d’exploitation d’Apple sur le point si important du design, de la fluidité et de l’ergonomie. C’est une parfait mélange de ce qui fait qu’Android est si populaire et de ce qui rend iOS si classe.C’est un juste milieu, et surtout, c’est l’OS le plus abouti depuis le début du règne de Google. Le sentiment global qui se dégage de l’utilisation de Lollipop est celui d’une mouture « finie », et non d’une « beta » comme l’était Kitkat.
Après la longue et pénible prolongations des versions 4.X, Android 5.0 s’impose comme LE système d’exploitation mobile par excellence.
A qui n’est-il jamais arrivé de voir son os planter suite à une mauvaise manipulation, mise à jour ou perte de son périphérique de stockage ?
Pour vous évitez tous ces problèmes, il existe une solution qui devrait vous ravir !
La sauvegarde ou synchronisation est un moyen sûr et fiable de vous mettre à l’abri de ce genre de mésaventure.
Nous allons voir comment faire une copie saine de notre os via Parangon Backup.
Les utilités sont nombreuses et diverses, je commencerais donc ce tutoriel sur la création d’une capsule de sauvegarde puis au fil du temps nous passeront sur des options nettement plus complexes.
Comment ?
Pour nous protéger ou plutôt protéger notre système d’exploitation, nous allons utiliser le logiciel gratuit Parangon Backup recovery que vous trouverez Ici
Nous allons le découvrir, la version 2014 va nous offrir un large panel de choix, la planification de tâches par exemple nous sera d’un grand secours.
Les points forts de ce logiciel sont :
– L’installation via windows et non sur support externe
– Possibilité de création d’un média bootable (cd / usb / disque virtuel)
– Création d’image avec prise en charge du multiOs par exemple
– La création de sauvegarde sur une partition ciblée ou sur une pc virtuel ( exemple sauvegarde de données d’un linux ou windows 10 montée depuis Oracle)
Bref vous l’aurez compris les possibilités sont multiples.
Les Alternatives
Pour ma part j’utilise Parangon mais il existe d’autres possibilités que je me dois de vous citez :
CloneZilla :
Une solution viable mais à mon avis moins puissante, il est par exemple impossible de faire une sauvegarde autre que sur du support externe (cd,usb…)
L’avantage de Clonezilla est qu’il peut cloner un support de stockage sans avoir à en faire une image. Extrêmement pratique lorsque l’on change de SSD par exemple par un de plus grande capacité.
Windows :
Et oui notre Os est capable de se charger de ce genre de besogne ! Il est d’ailleurs le plus utilisé puisque les sauvegardes sont automatiques (pour le C:) et invisibles à l’utilisateur lambda.
Il est paramétrable de plusieurs façons, il peut tout à fait sauvegarder d’autres partitions que le C: et effectuer des sauvegardes manuelles ou dans un laps de temps déterminé.
Cette année 2014 a été particulièrement riche en matière de nouveautés sur les périphériques.
Le « retour » de Logitech avec une vraie gamme dédiée mais aussi l’arrivée d’Asus avec sa gamme de périphériques ROG, voilà les éléments qui ont animé commercialement le marché sur cette année 2014.
Je vais essayer de vous proposer les 5 souris qui ont retenu mon attention cette année.
Evidemment, il y aura des discussions voir des contestations parmi vous avec ces choix. Le choix d’une souris est basé sur des éléments objectifs ( qualité, précision…) mais aussi sur du subjectif ( design, confort par rapport à votre morphologie..). Difficile de faire l’unanimité dans ces conditions.
Ce classement est un choix personnel aussi et évidemment un parti pris…donc la discussion est la bienvenue.
Cependant, je pense ( j’espère !) que la majorité des références pourra faire l’unanimité.
N°1 : La Roccat TYON, la meilleure sans aucun doute.
Il y a encore quelques semaines, j’avais des certitudes sur le haut du classement que je devais construire sur cette fin d’année. Ces certitudes étaient construites sur une classement et l’analyste des notes et de la comparaison fine des produits que j’avais pu tester tout au long de l’année.
Pour être honnête pas de vrai coup de cœur mais tout simplement le constat froid et objectif des résultats accumulés, la prise en compte des prix ( et de leur évolution ), bref ces quelques paramètres me permettaient de dessiner un tableau relativement clair…puis j’ai reçu la Tyon.
La Tyon est hors norme par son prix : à 99€ elle tape fort et je dois dire que ce premier paramètre n’était pas vraiment de nature à me mettre dans un flux positif pour ce produit…
Pourtant, la qualité d’ensemble que l’on connaissait déjà sur les autres produits Roccat est au rendez-vous ainsi qu’une polyvalence sans concurrence lui permettant d’être à l’aise autant sur des FPS, des simulations ou des MMO.
Le stick analogique qui pourrait faire figure de gadget, est un vrai plus dans pas mal de jeux ( BF4 par exemple ).
Sans doute l’une des plus grosses sorties de l’année, la franchise d’Activision a encore frappé et a utilisé le studio Sledgehammer (auquel on doit Dead Space) pour s’occuper du nouveau jeu, baptisé Call of Duty : Advanced Warfare. Si ça reste un CoD, le jeu innove sur pas mal de points avec un gameplay plus varié et agréable, un scénario potable et une campagne solo plutôt sympa, sans oublier le multi totalement jouissif, sorte de croisement entre un Halo et un Titanfall mixé dans un blender CoD. Mais ce qui nous intéresse ici c’est la partie hardware du jeu, les graphismes, et comment la qualité des options choisies permet de faire tourner le jeu sur votre machine.
C’est donc à partir des 3 configurations du performance test de Ryse : Son of Rome que nous effectuons nos mesures. Petite piqûre de rappel…
Les Configurations
La première configuration, ingénieusement nommée PC #1, est plutôt entrée de gamme Gamer et a été acquise pour 620€ en Juillet 2014.
-AMD FX 8350 @ 4.7GHz
-Asus Crosshair formula V AM3+
-8Go RAM G.Skill Sniper @2133MHz
-Sapphire R9 270X Toxic OC
-Cooler Master Hyper 212 EVO
-Alimentation CM G550M
-Seagate SSHD 1To
-Boîtier Cooler Master N400
La deuxième (PC #2), nettement plus haut de gamme, abrite des composants équilibrés. Prix d’achat en Août 2014 : 1250€
-Intel Core i5 4690K @ 4.5GHz
-MSI Z97 Mate LGA 1150
-8Go RAM Kingston HyperX Blu @ 2133MHz
-Sapphire R9 290 Tri-X OC
-Cooler Master Hyper 212 EVO
-Alimentation Corsair CX 550W
-Seagate Barracuda 1To + Samsung 840 Evo 128Go
-Boîtier Corsair Carbide 200R
Enfin, la dernière configuration (PC #3) est la plus haut de gamme de ce panel, clairement orientée pour les grosses charges graphiques et pour une exploitation intensive du processeur. Son prix, en Septembre 2014 ? 2120€
-Intel Core i7 4770K @ 4.8GHz
-Asus Sabertooth Z87 C2
-16Go RAM Kingston HyperX Fury @ 1866MHz
-Nvidia GeForce GTX 980
-Noctua NH-U14S (Dual NF-A15)
-Alimentation BeQuiet Power Zone 850W
-Western Digital Black 4To + 2xSamsung 840 Pro 512Go
-Boîtier Cooler Master HAF X
Les options graphiques
Depuis CoD Ghosts sorti il y a un an, ADW propose plusieurs technologies made in Nvidia comme l’occlusion ambiante HBAO+ qui est une version upgradée du précédent HBAO. On retrouve ici aussi une floppée de bidules Gameworks touchant notamment les effets volumétriques des fumées lors des explosions ou encore l’éclairage. Bref, on est face à un jeu orienté Nvidia…mais quand même pas au point d’un Watch Dogs ou d’un Borderlands 2 bourré d’effets exclusifs aux cartes des verts.
Un petit récapitulatif des paramètres optimaux en Full HD avec le PC#3 :
Filtrage Anisotropique 16x
Profondeur de champ très haute
Occlusion ambiante à moyenne distance activée
Anti-Aliasing SMAA T2x (les autres provoquent micro-stutters occasionnels)
HBAO+ Très haut
Ombres Extra
Textures Extra
Voilà pour ce qui pourrait vous procurer la meilleure expérience possible en mono GPU sur un écran Full HD. Attention à DÉSACTIVER les options suivantes qui provoquent par leur activation des bugs et des ralentissements. Vous pouvez aussi vous amuser avec le SSAA (super échantillonnage) qui calcule une image dans une plus grande résolution que celle de votre écran avant de la downsampler, mais le coût en performances est injustifié par rapport à la qualité obtenue.
Cache Spot Shadows Maps
Cache Sun Shadow Maps
Chargement des shaders pendant les cinématiques
Tests Full HD, WQHD et 4K
La hiérarchie est respectée puisque les configurations offrent exactement ce qui est espéré pour chaque gamme de prix. La bonne surprise vient de l’optimisation du framerate qui reste au dessus des 60fps avec le plus modeste de nos PC. Même sur un écran 4K, cette petite config est acceptable avec un framerate de 30fps. Pour les deux plus grosses machines, le PC#2 déçoit quelque peu car ses composants se rapprochent du PC#3 qui écrase tout (y compris le porte-feuille).
Au niveau de « l’expérience » de joueur, le jeu est assez fluide, peu de bugs intempestifs sont présents et le clipping reste maîtrisé malgré sa présence. Plus problématique, les cinématiques sont victimes de plantages et/ou chutes de framerate lorsque certaines options sont activées même si elles atteignent le photo-réalisme de nombreuses fois. Néanmoins on reste largement au dessus d’un CoD Ghosts pour l’immersion et l’esthétique. Un dernier bon point sur le jeu à la direction artistique plutôt inspirée qui n’hésite pas à puiser dans les franchises typées Science-Fiction.
Conclusion
Call of Duty : Advanced Warfare est sans doute l’amorce d’un renouveau pour la série la plus décriée mais aussi la plus vendue de tous les temps. Si vous avez un budget raisonnable pour votre PC (soit à partir de 600€), des cartes assez modestes le feront tourner de manière très fluide. Le seul problème vient de la VRAM où 4Go sont comme dans les jeux récents L’ombre du Mordor et Ryse, plus qu’agréables tant 3Go sont vite saturés. Mais surtout, et comme toujours, favorisez par exemple une R9 280X plutôt qu’une GTX 760 même si cette dernière existe en version 4Go.
Advanced Warfare est donc un bon blockbuster bien réalisé, beau et très sympa à jouer.
Très à la mode ces derniers temps, les écouteurs gamers ont fait leur apparition chez plusieurs constructeurs, les HammerHead de RAZER, ROCCAT et ses SYVA, et enfin COOLER MASTER avec les PITCH et maintenant les RESONAR. Au-delà d’être des écouteurs dédiés aux gamers ils ont un aspect plus polyvalent car ils peuvent servir de kit mains libres, ou tout simplement d’écouteurs standards. Ayant déjà testé les concurrents, j’étais très impatient de recevoir ces fameux RESONAR dont on m’a dit beaucoup de bien, et je n’ai pas été déçue, au contraire…
FINITION / QUALITÉ DE FABRICATION
Les écouteurs sont fabriqués en aluminium, ce qui, au-delà de donner un aspect très qualitatif, leur donne procure une indéniable robustesse. Le reste de l’écouteur est réalisé avec du caoutchouc et une petite molette en plastique très bien fini. Le cordon est plat et également en caoutchouc. Le micro accroché au câble est en plastique, ce qui le rend très léger. Encore une fois le plastique est de bonne qualité et le clic du bouton est de bonne facture. La prise Jack est plaquée OR et est également en aluminium avec un petit badge CMSTORM. Le câble Y fourni dans le bundle est également en aluminium et plaqué OR. Seul petit défaut le câble est très fin et semble fragile, à voir à l’utilisation, pour le moment je n’ai pas eu de souci. A noter que COOLER MASTER vous fournit une petite boîte de transport badgée CMSTORM qui est très solide et très bien fini, on retrouve à l’intérieur une sorte de velours et un petit filet élastique.
ERGONOMIE
Avec les écouteurs ont nous livre plusieurs tailles de manchons, ce qui permet d’adapter les RESONAR à toutes les oreilles. L’écouteur tient bien en place il n’y a pas de problème. on aurait peut-être aimé un écouteur un poil plus léger. Sinon la longueur du câble est bonne, ni trop long ni trop courte. Le câble vous paraîtra peut-être un peu long quand les écouteurs seront branchés sur le téléphone dans votre poche, mais n’oubliez pas qu’ils ont aussi comme utilité d’être branchés sur un PC. Dans ces dernières conditions, le câble est assez long pour aller derrière la tour ou atteindre votre UC sous votre bureau.
QUALITÉ AUDIO / MICRO
On attaque le point le plus important pour des écouteurs: le son. Et à ma grande surprise c’est tout simplement excellent ! Il y a de très très bonnes basses, on différencie bien les médium et les aiguës, c’est vraiment TOP, je dirais même bluffant pour des écouteurs à moins de 40€. C’est même légèrement mieux que les SENNHEISER CX300-II, et pourtant vous savez à quel point je suis fan du son SENNHEISER… Bref c’est top. Derrière l’écouteur vous retrouvez une petite molette que vous tournez afin de sélectionner un des deux modes, le mode « Standard » et le mode « Bass FX ». Et c’est le mode Bass FX qui donne ce son si bon, le mode standard donne un son extrêmement plat et pauvre, pas du-tout dynamique et très désagréable à écouter. Je ne sais pas pourquoi COOLER MASTER n’a pas directement mis le mode Bass FX… Pour en avoir discuté avec des collègues, le mode standard peut-être intéressant pour les appels téléphoniques par exemple. J’ai testé les deux et je suis pas plus convaincu que ça. Je vous conseille très vivement de mettre sur le mode Bass FX et d’y rester. En ce qui concerne le micro, c’est bon là aussi, rien d’exceptionnel mais il fait bien le travail qu’on lui demande.
RAPPORT QUALITÉ / PRIX
Vous l’aurez compris c’est tout simplement excellent, un quasi sans faute. Avec un câblage un peu plus épais les RESONAR auraient obtenu le premier 10/10 de Vonguru. Pour moins de 40€ on a de vrais bons écouteurs avec une très bonne qualité audio, un bon micro, un bundle complet, et une finition très soignée.
Si vous connaissez un peu la gamme ROCCAT, vous savez que la SAVU n’est pas toute jeune. Néanmoins j’ai tout de même décidé d’en faire un test car c’est une très bonne souris qui mérite d’être découverte, si vous ne la connaissez pas encore. De plus c’est un produit qui se situe dans une gamme de prix très « sollicitée » par les gamers.
ERGONOMIE
On commence directement avec le plus gros point fort de cette souris: l’ergonomie. Etant de taille moyenne la SAVU conviendra à la plupart des personnes. Vous pourrez poser toute votre main dessus sans être gêné. Pour les personnes agrippant leur souris du bout des doigts, le biseau au niveau du pousse vous donnera une bonne accroche. Les boutons au dessus du pouce sont très bien placés et ont une forme un peu particulière qui permet de les activer sans décoller le pouce de la souris, simplement en « remontant » le pouce le long du corps de la souris, ce qui est très agréable à l’utilisation. Enfin dernier point fort de la souris au point de vue ergonomie (et probablement le plus gros point fort de cette souris), le SIDE-GRIP. Il est ici question d’un simple plastique qui a la particularité d’être très granuleux, cela donne une accroche parfaite à la souris, et même si vous avez les mains légèrement grasse (vous croyez que je vous vois pas avec votre paquet de chips ?). Le reste du revêtement est réalisé avec le traditionnel soft-touch.
DESIGN / QUALITÉ DE FABRICATION
Design ne veut pas seulement dire « esthétique », mais aussi « conception ». Et on a ici le seul point faible de cette souris: il n’y a pas de bouton pour changer les DPI à la volée ! Mais on verra plus-tard qu’on peut contourner se problème. Sinon pour l’esthétique chacun aura un avis différent, personnellement j’aime, on retrouve une sorte de mix entre la LUA et la KONE PURE. Pour la qualité de fabrication, comme d’habitude chez ROCCAT, c’est de bonne facture, le produit semble solide.
DRIVER / CONFIGURATION
La souris est « plug and play » donc dans un premier temps, pas besoin de driver ou autre. Le driver parlons-en justement, comme pour le reste de la gamme il est tout simplement excellent. On peut absolument tout paramétrer. Que ce soit les DPI, la sensibilité, le tilt, la vitesse de double click, la molette, les couleurs de la led, les bouton programmables… Bref tout y passe. Comme la souris est 100% programmable, nous pouvons sans soucis régler notre problème de bouton de changement de DPI, il suffit simplement d’assigner le changement de DPI sur SHIFT+MOLETTE (haut et/ou bas selon vos envies).
Petit bonus, le dernier onglet du driver vous offre toutes les statistiques sur votre souris, comme le nombre de clics gauche ou droit, le nombre de scrolls, la distance parcourue… Plus vous effectuez d’actions plus vous débloquez des trophées. Certes cela est totalement inutile mais c’est vraiment super sympa de pouvoir voir toutes les statistiques de notre souris.
PRÉCISION / PERFORMANCE
Nous avons affaire ici à un capteur Optique. De base ma préférence va pour les capteurs Laser, plus tolérants et plus précis. Mais je dois avouer que le capteur de cette SAVU n’est vraiment pas mauvais du tout et me réconcilie presque avec ces capteurs.
En ce qui concerne la glisse c’est très bon, mieux qu’une KONE PURE à titre de comparaison. La molette est également très efficace et reste silencieuse.
RAPPORT QUALITÉ / PRIX
Vous l’aurez compris, cette SAVU est un bon choix. Pour 45€ on obtient une souris avec une excellente ergonomie qui conviendra au plus grand nombre, un capteur optique de bonne facture, et un Driver nous permettant de l’adapter au mieux à nos besoins, le tout avec une qualité de finition et de fabrication au top.
Difficile de savoir si le Père Noël ressemble à un gars de chez Asus…cependant, avec cette GTX 980 Matrix Platinum que nous avons reçu, c’est clairement la fête avant l’heure.
La série des cartes graphiques Matrix est réellement dédiée aux passionnés de l’overclocking.
Au programme, un design et des fonctionnalités permettant de faire grimper la carte vers des performances records, avec les outils ROG mais aussi sous LN2…bref, le paradis de l’overclocker.
Bien entendu, pour l’utilisateur exigeant ne souhaitant pas se lancer dans les grands bricolages, la Matrix délivre des performances bien au-dessus du lot des GTX 980 « classiques » sans avoir à bidouiller ou à se lancer dans le trafic d’azote.
Si dans ce premier test nous allons nous contenter d’analyser le comportement de la bête en « sortie de boite », nous aborderons évidemment toutes ses possibilités sans chercher à vous noyer avec une quantité de tests aussi lourds à digérer les uns que les autres.
Afin de mesurer les qualités de ce beau joujou, j’ai donc remis en route ma plateforme infernale et vidé deux ou trois tiroirs pour trouver des cartes à mettre en face de cette Matrix.
La plateforme de tests :
Une belle ASUS Maximus VII Formula
Un i7 4790 + CoolerMaster Hyper412s
2 x 8Gb 1866 CL10 HyperX
Un SSD de 60 Kingston V300 pour l’OS
Windows 8.1 Pro 64 bits
Avant de rentrer dans les détails, il faut bien comprendre qu’Asus cherche à se maintenir au plus haut sur le terrain des produits d’exception. Cette Matrix Platinum est donc clairement un produit de niche. Evidemment j’en connais certains qui souhaiteront tout de même avoir ça dans leur PC même si jamais ils ne feront péter le moindre O/C dessus. La dernière née d’Asus apportera à ces derniers ce petit caractère exclusif comme on commence à bien le maîtriser
chez Asus avec les séries Matrix, Mars ou encore Poseidon.
Bonjour à tous, aujourd’hui nous vous proposons le test d’un produit que nous mettons très peu en avant habituellement : le tapis de souris !
Mais ici point de raisonnable que du hors norme, vous le constaterez bien vite….
Présentation de la marque
Pour commencer Aorus est une marque jeune et spécialisée dans le gaming, leur gamme de produits n’est pas encore étoffée mais on y retrouve cependant du clavier, souris, portable, casque…
Je suis donc impatient de tester ce nouveau tapis, il aura fort a faire pour rivaliser avec mon vieux Qpad 🙂
Présentation de la gamme
Le Thunder P3 se décline en plusieurs dimensions et prix mais avec en point commun la même qualité de fabrication, le même design, la même finition. Le colorie noir reste de mise pour l’ensemble des produits.
Voici donc les caractéristiques techniques :
– Thunder P3 S : 265 x 210 x 3 mm Prix 14.90€
– Thunder P3 M : 350 x 260 x 3 mm Prix 19.90€
– Thunder P3 L : 440 x 300 x 3 mm Prix 24.90€
– Thunder P3 XL : 1000 x 400 x 3 mm Prix 34.90€
Bundle
Réduit à son strict minimum à savoir le tapis point barre ! Pour ma part je ne suis pas adepte des goodies en tout genre donc… pas choqué, presque heureux 🙂
L’emballage est classique mais assez joli, roulé dans une boite en carton regroupant les principales informations techniques du produit.
Design
Un design sobre et classe voilà les premier mots qui me viennent à l’esprit, il n’y a pas de fioriture.
Dans l’angle supérieur gauche nous trouvons une plaque siglée Aorus du plus bel effet.
Un léger décrochage sur la partie supérieure du tapis prévu pour faciliter le passage de câbled de nos différents périphériques, vient casser un peu la forme rectangulaire de ce tapis.
La surface offre un rendu visuel très flatteur même à contre jour.
Je reste vraiment surpris par le côté classieux de ce produit qui est habituellement rempli de couleur et divers logo…
Bref un point fort pour les gens aimant le côté hors norme de son format mais la sobriété de son aspect.
L’Alienware Alpha, voilà un produit bien paradoxal.
Paradoxal car aujourd’hui, très peu de monde a pu l’avoir entre les mains alors qu’on parle de lui et de ses concurrents depuis maintenant de longs mois.
En fait l’Alpha devait être à l’origine la SteamBox d’Alienware..son lancement, après moultes tergiversations devait se faire durant l’E3 c’est à dire en juin de cette année 2014.
C’était sans compter sur les multiples retards, annonces avortées et reculades de Valve pour lancer son Steam OS, l’arme ultime pour s’imposer sur le marché des consoles de salon.
Alienware a beaucoup misé sur le concept des Steam Machines. La marque comptait même faire un lancement en fanfare durant cet E3, avec pour ambition d’imposer une SteamBox particulièrement aboutie au niveau hardware et surtout, et c’est une première pour l’alien, particulièrement agressive sur son positionnement tarifaire.
Tout ça sur le papier est intéressant voir même palpitant : une console de salon avec un hardware de PC le tout cuisiné par la marque emblématique du gaming PC depuis des années…la partition semble parfaite, la musique sonne bien avant même le début.
Mais Valve a merdé, je le dis brutalement, crûment, vulgairement comme vous le voulez, mais Valve a douché tout le monde.
Alors si le client final à l’habitude d’être rincé et baladé par les annonces et les promesses non tenues, il faut bien reconnaître que l’aura de Valve avait permis de mobiliser le monde du PC autour d’une quête que l’industrie poursuit en vain depuis des années : l’avènement du PC dans le salon.
Face à des consoles « Nextgen » globalement décevantes, le discours convenu sur la fin annoncée des PCs semblait vaciller : les nouveaux jeux presque trop beaux sur PC contrariaient la marche commerciale des nouvelles consoles…bref, la plateforme Valve et son OS semblaient pouvoir disposer d’un boulevard.
C’est dans ce contexte que je récupère aujourd’hui l’Alienware Alpha pour tester une console PC techniquement prête depuis maintenant presque un an et qui fera son apparition sur le marché européen sans doute en Février 2015.
Un engin terminé, voir même mature mais adapté en dernier recours à Windows, avec une interface « maison » afin de remplacer un SteamOS dont les reports sont de plus en plus pesants.
Remettons nous dans le contexte : à l’occasion de la sortie des nouveaux PC portables de MSI, j’ai eu la chance d’être invité par la marque pour la présentation officielle. Au cours de la présentation tous les PC étaient là, mais j’apprends par la suite qu’il en manque un: ce fameux WS60. Je m’empresse donc de demander plus d’informations à propos de celui-ci et si je pouvais le tester. Ayant reçus une réponse positive je peux donc vous écrire cet article.
Il faut tout d’abord prendre en compte qu’il s’agit ici d’un PC portable dédié à une utilisation de CAD (Création.Assisté.par.Ordinateur) et de modélisation 3D, et pas d’un PC gamer. Tout le reste de la gamme MSI étant destinée au gaming. C’est donc pour cela que je ne parlerai pas des performances en jeux pendant ce test.
Design et construction
On commence avec un très gros point fort de ce produit, le design. En effet même si on retrouve quelques pièces en plastique, la quasi totalité du chassis est réalisé en aluminium brossé ! Le design est soigné et épuré, ce qui donne un aspect très « chic », très propre.
Sur le dessus on retrouve un logo qui s’illumine à l’allumage du PC. Point appréciable également, le PC est très fin et très léger (personnellement je m’attendais pas à ce qu’il soit aussi léger, bonne surprise).
Connectique
Comme sur la grande majorité des PC, les connectiques sont sur les cotés gauche et droite du clavier. Sur le coté gauche, rien d’extraordinaire, on retrouve le traditionnel port Kensington ainsi que le DC-IN, de 2xUSB3.0, et des entrées casque/micro (plaquées Or).
Sur le coté droit on voir un troisième USB3.0 ainsi qu’un lecteur de carte, un HDMI, un port LAN et un port… Thunderbolt2 ! Mais pourquoi faire ce port Thunderbolt2 ? Tout simplement pour nous permettre (avec le matériel adapté) de brancher jusqu’a 3 écrans externes.
L’écran
Tout comme pour le test du GT72, nous ne disposons pas des outils de mesures adéquats pour un test en profondeur (matériel très onéreux). Cependant notre ressenti et notre expérience vont quand même nous permettre de dégrossir le terrain. Alors cet écran il est bon ? Bon je ne sais pas… Magnifique surement ! Il s’agit ici d’un écran de 2880×1650, donc de la 3K. Sur un 15″ la définition est exceptionnelle, il est impossible de voir les pixels, ce que les graphistes apprécieront. Le rendu des couleurs semble très bon, seul petit défaut, les noires manquent peut-être un peu de profondeur. De plus comme il s’agit d’une dalle IPS, l’angle de vision est remarquable, encore une fois les graphistes seront ravis. bref vous l’aurez compris cet écran est un gros point positif.
Clavier / Pad / Son
En dessous à gauche du clavier il est écrit « Keyboard by Steelseries ». Je crois que tout est dit. Le clavier est très précis, agréable et silencieux. De plus comme l’armature est en aluminium (cf la vidéo), le clavier ne se plie pas sous la pression des doigts.
Pour le Pad c’est aussi très bon, son revêtement un plastique « granuleux » est très agréable, et sa taille est bonne, ni trop grand, ni trop petit. De plus les clics ne sont pas trop bruyant.
Le PC porte également une autre mention, on la retrouve en haut à gauche « Sound by DynAudio ». Pour tout dire je ne connais pas dutout DynAudio, mais une chose est sûre je vais m’empresser d’en apprendre plus sur eux ! En effet le son est juste exceptionnel (toute proportion gardée n’oubliez pas que c’est un PC portable) ! J’ai vraiment été bluffé, le son est précis, assez détaillé, il y a un minimum de bass, bref que du bonheur. Petit défaut, certains auraient préférés un son plus puissant.
La suite logiciel
MSI ShortCut Manager
Comme son nom l’indique, ce petit soft nous permet d’assigner n’importe-quelle fonction ou commande aux touches de notre clavier. Que ce soit lancer un programme ou encore faire une macro 100% personnalisée. D’après MSI il est possible de faire plus d’1 milliard de combinaisons. Il y a de quoi faire. Le soft est très agréable à utiliser, simple et ergonomique, ont peut créer plusieurs profils différents et les gérer sans souci (import/export).
Le deuxième soft est lui aussi lié au clavier. Plus basique, il permet de changer les couleurs du rétro-éclairage avec différents modes. On retrouve le fameux « respiration » ou encore (comme sur le GT72) un mode qui réagit en fonction du son. Le clavier n’est pas « RGB » mais il a quand même assez de couleurs pour se faire plaisir. Le clavier est séparé en 3 parties qui peuvent gérer des couleurs différentes. Le soft est également très simple d’utilisation.
Refroidissement / Températures
Souvent critiqué pour le bruit de ses systèmes de refroidissement, MSI a essayé de changer la donne avec cette nouvelle gamme. Malheureusement tous les « problèmes » ne sont pas réglés ici. En effet, on le verra plus tard les performances de refroidissement sont bonnes, mais la ventilation reste relativement bruyante et elle se déclanche assez tôt
Avec son nouveau système, MSI à placé l’entrée d’air sur le dessus (juste au dessus du clavier) et a assigner un ventilo pour le CPU ET pour le GPU. Donc le CPU et le GPU ont chacun leur système de ventilation. De plus MSI intègre la technologie « Thermal Bridge » permettant d’exploiter le ventilateur dédié au GPU pour le CPU lorsque celle-ci n’est pas utilisée. Et c’est une bonne idée, cela permet de réduire la température de quelques degrés (attention en utilisation processeur uniquement).
Malheureusement, OCCT ne reconnaissait pas la carte graphique, du coup pour relever les températures, j’ai du faire travailler la CG et relever les températures a la main. Ainsi j’ai pu constater que la température dépassait rarement les 80 degrés.
Comme vous le voyez, malgré une nuisance sonore un peu importante et une ventilation qui se déclenche tôt, les températures restent plus que correct.
Performances
Les performances constituent un gros point fort de ce PC. Au niveau du processeur on retrouve un i7 4710HQ qui ne m’a pas fait défaut tout au long de mon test, les performances sont très bonnes. Le processeur obtient un score de 6590 sur 3D Mark, ce qui est remarquable.
En ce qui concerne la carte graphique, une Quadro 2100m, il a été difficile de la bencher. En effet faire des benchs sur son potentiel à afficher des FPS n’est pas très intéressant quand ont sait qu’elle n’est pas faite pour ça. J’ai quand meme fait un bench futurmark ou elle obtient un score de 2442. Pour mieux vous représenter les performances de la CG, dites vous qu’a projet égale, la 2100m est deux fois plus rapide que mon PC de bureau (i5 3570k, 8Go, SSD) pour faire un rendu sur Bender.
Pour ce qui est du stockage on retrouve un SSD et un DD plus classique. Pour les performances, comme vous pouvez le voir on est sur de bonnes bases, rien d’exceptionnel mais on est dans une bonne moyenne pour ce type de composants.
CONCLUSION
Avant de mettre un point final a ce petit test, sachez que j’ai prêté le WS60 a un ami graphiste de profession. Le but était d’avoir le point de vue d’un professionnel sur un produit de professionnel. Son bilan est très simple : il ne voulais pas me rendre le PC ! Il a tout d’abord été conquis par la qualité de l’écran et le fait que ce soit une dalle de type IPS, très agréable pour un graphiste. En ce qui concerne les performances, il a essayé de faire de très gros rendus Photoshop avec un très grand nombre de calques et de fichier très lourds en 4k, verdict ? Le PC n’a pas bronché un seul instant. Pour embellir mon article il s’est donc amusé à faire une image en 4k réalisée à 100% avec le WS60, vous l’aurez compris son verdict est sans appel : ce PC n’est que du bonheur pour un graphiste !
En ce qui me concerne je suis tout aussi conquis par cette machine, de part son design, son écran, ses enceintes et ses performances, son clavier…bref, je ne peux que le recommander. Sachez que pour vous offrir ce petit bijoux il faudra tout de même débourser ~2500€, c’est cher certes mais au vu du produit c’est loin d’être du vol. Il faut également prendre en compte que ce genre de machine est plus un investissement au vu de son utilisation professionnelle.
Bonjour tout le monde ! Aujourd’hui, dans la quatrième config de noël, nous verrons une configuration puissante, prenant un minimum de place, pour un budget d’environs 800€.
Utilisation
Une configuration prévue pour jouer à tous les jeux, tout en restant facilement transportable. Donc de petite taille. Nous ajouterons un SSD pour être prêt à jouer le plus vite possible.
Idée cadeau
Cette configuration est idéale pour les joueurs participant aux LAN, ou encore ceux qui ne veulent pas s’ennuyer pendant leurs vacances à Bourgueunion-les-bains. Nous gardons toujours un beau boitier, histoire de frimer un peu devant les autres joueurs. Ici, une configuration bleue, noire et blanche.
Nous avons ici un beau boitier, sobre, efficace, facile à transporter. L’avantage de ce boitier est la place qu’il propose pour accueillir une bonne carte graphique et un vrai ventirad. De quoi, si vous le souhaitez, choisir un processeur que l’on peut overclocker.
Avec la R9 270X associée à l’Intel Core i5 4570, vous aurez de quoi faire tourner les jeux les plus récents.
Bien évidemment, cette configuration peut être modifiée au grès de vos envie et de votre budget. Le plus important, c’est de se faire plaisir !
La souris gaming c’est le tube de l’année et ça risque de continuer. Corsair a décidé de pousser la chanson, passant de la souris haut de gamme polyvalente à une série dédiée gaming pour évidemment suivre un des rares segments qui fait de la croissance dans le hardware.
J’ai toujours apprécié les souris Corsair. Leur look viril voir agressif, leur excellente qualité de conception et leur polyvalence.
Avec cette Sabre, qui existe en deux déclinaisons optique ou laser, Corsair propose un produit réellement typé gaming et non un rebranding d’une série déjà existante comme on avait pu le voir avec la M65 RGB.
Ergonomie
C’est un contact sans surprise qui se fait avec la prise en main de cette Sabre. Le feeling est immédiatement bon tout comme le confort assuré par une conception du corps intégralement en Soft Touch.
La Sabre est une souris relativement imposante et cette taille lui permet de pouvoir disposer ses 8 boutons de manière intelligente. En effet, si les 2 boutons principaux n’amènent pas de remarques particulières, l’asymétrie de la partie gauche permet un excellent placement des quatre autres boutons.
Les deux boutons accessibles avec le pouce sur la partie latérale gauche sont ainsi parfaitement accessibles sans avoir à bouger sa main ou à « tirer » pour aller les chercher. Rien à dire non plus sur les deux autres boutons sur la partie supérieure gauche. Je serais plus critique cependant sur le contact et la sensation qu’ils procurent : une certaine rigidité qui m’a clairement gênée pour ressentir un contact « franc » , m’obligeant alors à appuyer avec la pointe de l’index pour m’assurer du « clic ».
Tout cela est donc très positif mais c’est un autre point qui frappe le plus quand on a cette Sabre à la main : son extrême légèreté. La Sabre est effectivement sous la barre des 100 grammes.
Design / Qualité de Fabrication
Le design de cette Sabre est consensuel. Le corps de la souris est moins torturé que sur sa grande soeur M65. On y retrouve cependant la touche Corsair avec cette molette quasi identique à sa grande soeur…mais malheureusement tout en plastique. L’utilisation du plastique est en rapport avec le poids bien entendu car si la Sabre et la M65 « FPS » croisent aux alentours du même tarifs : sous les 70€, quand on soupèse les deux sœurettes, ce n’est pas du tout la même histoire.
Si la qualité de fabrication est totalement au rendez-vous, la conception de la Sabre dont l’objectif principal est la légèreté, est clairement en rupture avec la M65 qui pouvait faire valoir un corps et une molette en aluminium. Difficile de prétendre à la catégorie poids plume même avec de l’aluminium.
La légèreté d’une souris peut souvent être associée ( inconsciemment ) à une conception bas de gamme ou à l’utilisation de matériaux médiocres, ce n’est pas le cas ici. La recherche de légèreté s’est faite avec un sacrifice sur les matériaux évidemment mais aussi avec une recherche sur le design. L’exemple principal étant la partie évidée sous la molette.
On ne saurait être complet sur l’aspect « design » sans évoquer la touche RGB très en vogue en ce moment aussi. La Sabre bénéficie donc de quatre zones autonomes qui peuvent être illuminées en RGB avec le logiciel de contrôle Corsair.
Enfin, pour être complet, le câble de la Sabre est de haute qualité, tressé avec son connecteur USB au design harmonisé au nouveau logo Corsair Gaming.
Driver et configuration
Si l’installation de la nouvelle souris Corsair ne pose évidemment pas le moindre problème, c’est avec l’utilitaire CUE ( Corsair Utility Engine ) qu’on va pouvoir tirer le maximum de la Sabre.
Il faut donc aller chercher l’utilitaire sur le site du constructeur et télécharger un fichier compressé d’un poil plus que 46Mo.
L’utilitaire est en français et dès sa première exécution il demande une mise à jour du firmware de notre Sabre. Si ce CUE est commun à la gamme « Gaming » pouvant ainsi s’occuper du clavier comme du casque de la marque, son ergonomie est pour le moins déroutante. Aucun problème concernant les possibilités pour affecter les macros, changer les boutons, créer des scripts et évidemment s’amuser avec les zones d’éclairages mais l’aspect d’ensemble est décevant donnant à ce programme une sensation de version « beta » sur certains aspects. C’est sans doute le plus gros point noir de cette souris Sabre et malheureusement cela ne la concerne pas directement.
Précision / Performances
Avec moins de 100 grammes à la pesée, cette souris ne glisse pas, elle vole !
C’est en tout cas la première sensation qui se dégage après quelques jours en utilisation intensive. Particulièrement agréable dans les jeux et notamment les FPS qui demandent des déplacements rapides et souvent brutaux, le capteur laser de la Sabre fait des merveilles. Sa petite soeur, équipée d’un capteur optique ( c’est la seule différence ) sera un peu moins précise ( 6400 Dpi contre 8200 pour la laser ) mais s’en sort aussi très bien.
La réactivité de l’ensemble est clairement un régal dans les jeux et la qualité de « glisse » est sans doute ce qui se fait de mieux à cet instant précis. La légèreté du corps de la Sabre fait sans doute beaucoup pour ce résultat mais il ne faut pas oublier une assise particulièrement bien conçue avec une surface importante accordée aux tampons en téflon.
C’est ainsi 4 zones qui reçoivent les patins de la souris afin d’optimiser encore un peu plus la glisse et la vitesse de déplacement de la souris.
Avec une bonne utilisation du soft maison CUE, on pourra programmer 5 paliers de réglages de la définition et ainsi optimiser la précision et la réactivité suivant le contexte.
Rapport Qualité/Prix
A 69€ la Sabre Laser n’est pas particulièrement donnée. Elle se retrouve par exemple en face de l’excellente Logitech G502. Mais comme nous l’évoquions avec le dernier test d’une autre Logitech, la G402, cette souris est aussi un produit exclusif. Les FPS en général et CS:GO en particulier étant très populaires, Corsair s’engouffre sur le marché.
Par rapport à la G402 justement, la Corsair Sabre Laser est de 10 à 15€ plus chère mais propose un capteur Laser et une résolution de 8200Dpi là où la G402 plafonne à 4000…La version « optique » de la Sabre sera plus en phase avec sa concurrente suisse tout en continuant à proposer une résolution plus haute.
Vous l’avez compris, si la Sabre Laser ne pose pas vraiment de problème en ce qui concerne sa qualité de conception et son niveau de performances, c’est son prix qui peut faire tiquer. A cela on pourra facilement répondre que la nouvelle Corsair est pour le moment à son prix de lancement mais surtout que dans son segment « FPS » elle dispose d’arguments que les autres n’ont pas : la customisation RGB 4 zones, la résolution et sa légèreté record.
En cette période d’avant Noël, les grandes enseignes commencent un bombardement massif de promotions et les gamins de 7 à 117 ans font leurs listes de souhaits. Parmi eux résident les adeptes de la technologie, les cadres et les retraités, les ados et les jeunes adultes branchés, soit un myriade de personnes différentes mais ayant une chose en commun : leur amour de la musique. Ainsi ce guide leur servira pour savoir que valent les produits actuellement sur le marché et lesquels méritent de vous voir dilapider vos économies.
Quels sont les différents types de casques nomades ?
Trois catégories sont représentées : les écouteurs, aussi appelés casques intra-auraux, les casques supra-auraux et pour terminer, les circum-auraux. Les premiers sont en général des petits hauts parleurs à placer dans le pavillon des oreilles, et chacun de ces petits « écouteurs » est indépendant, reliés entre eux puis au téléphone ou au baladeur par un fil jack 3.5mm.
Les casques supra-auraux eux sont constitués de deux oreillettes recouvertes d’un coussinet dense venant se positionner sur le pavillon de l’oreille. Généralement fins et élégants, les casques supra-auraux peuvent toutefois être assez inconfortable en raison de la pression exercée sur les oreilles qui sont particulièrement sensibles. Enfin, les casques circum-auraux sont similaires aux casques supra-auraux à la différence que leurs oreillettes sont conçue de façon à entourer totalement les oreilles, appliquant donc la pression sur le crâne et non sur les oreilles elles mêmes. Ces casques sont souvent plus confortables mais aussi plus chers et plus encombrants. En revanche, leur son peut profiter de leur conception grâce à une isolation plus efficace et des transducteurs (membrane métallique produisant le son) plus larges.
Écouteurs de 50 à 700€
Les écouteurs s’avèrent peu encombrants, simples à utiliser et relativement classes si bien choisis. Leur petite taille leur interdit les basses surpuissantes mais les meilleurs élèves peuvent sortir un son net et puissant sans trop de compromis. En dessous d’un certain budget (fixé ici à 50€), les écouteurs sont généralement peu recommandables en raison de l’absence de basses satisfaisantes et d’un manque cruel de clarté dans le son produit. Seuls les Sennheiser CX300 MKII peuvent être qualitatifs. Au dessus de 50€ les possibilités sont cependant beaucoup plus nombreuses. La sélection en images avec des explications après.
Première remarque : l’omniprésence de Sennheiser. Si la marque n’a pas forcément la puissance marketing d’un Beats Audio, elle donne une correction à ses adversaires en matière de qualité sonore. La firme produit des dispositifs simples, ergonomiques et vraiment très agréables à écouter. Klipsch s’en rapproche en matière de rendu tandis que Bowers&Wilkins propose des écouteurs très classes mais peut-être trop peu ergonomiques même si les performances du C2 sont remarquables. Enfin, si les célèbres UrBeats du constructeurs quasi-éponyme sont absents de cette sélection, c’est en partie à cause des Sennheiser Momentum In-Ear et des Klipsch X4i qui sortent un son extrêmement plus clair ainsi que des basses puissantes (surtout pour le momentum) au même prix que les UrBeats. Si néanmoins vous adorez et ne vivez que pour le Rap et le Hip-Hop, les intras de Beats vous combleront. Dans le haut de gamme le IE800 est roi sur la qualité et le prix, si bien que les IE80 sont préférables avec leurs basses surpuissantes et le son Sennheiser (pas de « pic » dans les fréquences). Ces derniers sont ceux que j’utilise personnellement 🙂
Casques Supra-Auraux de 50 à 300€
Très à la mode, ces types de casques sont légers et très stylés. Ses principales forces ? Un encombrement réduit, des performances acoustiques supérieures à celles des écouteurs traditionnels et une offre pléthorique.
Si vous recherchez l’excellence sonore, orientez-vous vers les Sennheiser Momentum On-Ear ou leur équivalent plus moderne, les « Urbanite », ou le magnifiques et cher Bowers&Wilkins P5 Series 2 tout juste sorti par le fabriquant Anglais, proposant un confort et des finitions remarquables. Si c’est l’isolation totale et les basses proéminantes qui vous attirent, alors Bose et son excellent Soundlink On-Ear fera office de référence avec les Beats Solo moins bien finis et isolés mais tout aussi puissants. L’entrée de gamme est très vaste et les référence choisies ici ne sont que des exemples, car il existe sans doute des équivalents au même prix.
Casques Circum-Auraux de 60 à 300€
Cette catégorie est réservée à ceux qui se foutent de l’encombrement et cherchent la meilleure expérience possible avec un casque très confortable et une isolation aux bruits ambiants remarquable. Les transducteurs généralement plus grands dans cette catégorie permettent à ces casques de produire un son plus « chaud » et souvent plus puissant. Si l’entrée de gamme est plutôt fournie, le véritable point autour duquel les meilleurs modèles se trouvent est aux alentours des 180€ à 200€, comme pour les casques Supra-Auraux, avec des marques de renom comme Sennheiser, Bose, Klipsch, B&W et Sony.
Avec les casques Circum-Auraux, attendez-vous à de belles sensation sonores car les oreillettes enveloppantes si bien conçue promettent un confort exemplaire tout en protégeant des bruits intempestifs. Skullcandy a dans sa sacoche l’Aviator, un casque à l’esthétique customisable et aux qualités de finition plutôt acceptables. Les casques Focal sont aussi très bons, le Spirit One S proposant un rapport qualité/prix exemplaire. Le fabriquant Français propose toujours le One premier du nom qui subit une baisse de son prix (vers les 100€). En terme d’ergonomie, les casques Sennheiser Urbanite et Momentum sont rois, et ce dernier est sans doute le meilleur casque nomade au monde avant de rentrer dans les eaux troubles de la Hi-Fi de malade (sédentaire, avec des casques géniaux mais gros et pas du tout mobiles) avec le P7 de B&W nettement plus cher et un poil plus précis, mais manquant un peu de basses.
Qu’est ce que je choisis ?
Au final, le budget est la première étape. Le haut de gamme nomade se négocie à partir des 180€ et il est préférable de ne pas aller en dessous des 40€ pour garantir longévité et qualité audio. Les modèles de plus de 300€ nécessitent une oreille plus avertie pour en discerner les qualités par rapport au casques à 200€. La deuxième et dernière étape déterminera le type de casque que vous souhaitez : les plus nomades préféreront les intra-auraux, les branchés se tourneront peut-être vers les supra-auraux, et les audiophiles choisiront le meilleur de ce qui est disponible. Les casques circum-auraux seront adaptés à ceux chérissant leurs oreilles délicates et nécessitant une isolation plus aboutie et un niveau de basses plus conséquent accompagné d’un son plus chaud.
Alors, ce guide vous aura-t-il été utile pour des idées de cadeaux à faire ou à se faire ?
Depuis quelques années, la Chine produit des téléphones à gogo.
Si quand on pense « téléphone chinois » on pense encore que beaucoup de ces téléphones sont des imitations mal faites ou des téléphones ayant de gros problèmes…il faut commencer à revoir notre jugement.
Dans toute la production chinoise il y a régulièrement des noms étranges qui apparaissent, LEAGOO en est un.
LEAGOO est une autre marque du Groupe OTEDA mis en route en Avril 2014. La philosophie de la marque est « cohérent, soins et pratique ». LEAGOO a déjà plusieurs modèles de téléphones à son actif mais aujourd’hui nous allons nous intéresser au LEAGOO Lead 1. Ce téléphone possède une dalle IPS de 5,5 pouces avec une résolution de 1280 sur 720 pixels. Le Smartphone est équipé d’un processeur Quad core de 1,3ghz et 1Go de RAM. Le leagoo Lead 1 est un téléphone dit « pas cher » car nous pouvons le trouver très facilement sur internet pour 100 euros.
Pour ce prix on ne trouve aucun téléphone qui possède cet équipement; il faut monter de 80 euros pour arriver sur le Wiko Slide. Les téléphones au prix du Leagoo sont moins puissant et on un écran de moins bonne qualité…en tout cas sur le papier.
Le design:
Ce téléphone a un beau design et est très bien conçu . Comme vous pouvez voir, il possède une petite barre de métal sur le coté qui fait son petit effet. L’arrière fait aussi son petit effet avec une surface texturée.
Le Lead 1 est aussi très fin, il fait seulement 6,9 mm d’épaisseur. La qualité d’assemblage est très bonne, on peut ainsi voir un léger rebord venant « protéger » l’écran en cas de chute grâce à une sur épaisseur. La seule chose que l’on peut regretter sur ce design, c’est l’emplacement de l’appareil photo. L’objectif de l’APN ressort ce qui peut lui être clairement fatal en cas de chute..mais entre un APN de médiocre qualité ou un appareil photo de « bonne qualité »(tout est relatif) qui dépasse un peu, je préfère la seconde version.
Cela fait maintenant 2 bonnes semaines que je vis quasi toutes mes journées avec la smartwatch G Watch R de LG. Deux semaines qu’elle est à mon poignet et quelle communique avec mon OnePlus One . Alors que dire de cette LG qui revendique une place de choix sur ce marché naissant…que dire même des smartwatches en général…On va voir ça ensemble.
Introduction : de l’intérêt d’une smartwatch
A quoi sert une montre ? à donner l’heure évidemment mais de nos jours ce n’est plus nécessairement le cas. L’objet quotidien que l’on porte quasi en permanence et qui est capable de donner l’heure est le téléphone. Faites l’expérience autour de vous et demandez l’heure. Ce sondage express vous permettra de constater que l’écrasante majorité de vos réponses provient de personnes ayant sorti de leur poche un smartphone pour y lire l’heure. La montre est-elle morte pour autant ? Non mais il faut admettre que sa fonction d’outil indispensable à notre quotidien a été remplacée par le smartphone qui sait bien entendu afficher l’heure en plus du reste.
La montre est donc aujourd’hui cantonnée à être un accessoire de mode et / ou un bijou.Quel est dans ces conditions l’intérêt de lui adjoindre des fonctions technologiques ?
Que peux apporter une montre que n’a pas un smartphone aujourd’hui ?
La démarche commerciale et marketing n’est-elle pas tout simplement en train d’enfanter un produit inutile afin de prendre plus d’argent aux gadgetophiles comme moi ?
Porter à son poignet une prolongation dépouillée de l’écran de son smartphone serait l’avenir deviné par les constructeurs ( mais pas les horlogers ) ?
Bref, je dois avouer que je suis dubitatif depuis le début et la smartwatch est pour moi à ranger dans la catégorie des aberrations technologiques au même titre que les GoogleGlass…Et pourtant j’aime les montres, j’aime l’objet et évidemment je ne suis pas insensible à tout ce qui intègre un petit brin de technologie. Voilà pourquoi depuis la naissance du concept, je teste ces smartwatches.
Jusqu’à présent la déception a toujours été au rendez-vous ; dès le déballage, les produits que j’ai eu l’opportunité de tester me renvoyaient à de mauvais gadgets des années 80.
Montre K2000 avec caméra intégrée ( les Samsung Gear par exemple ). Finition déplorable qui ferait passer les Rolex du marché de Vintimille pour de la haute précision Suisse…et autonomie inexistante.
Une fois l’attrait pour le gadget et la découverte de ses quelques fonctions, la malheureuse montre est vite oubliée. Vidée de sa faible batterie, son design à lui seul ne procure pas la moindre envie de la mettre à son poignet le matin.
Pourtant, certaines choses m’amenaient à reprendre espoir :
L’arrivée d’Apple qui, au delà des annonces habituelles d’auto-satisfaction, pouvait secouer et stimuler la créativité du marché.
Des modèles comme la Moto360 qui semblaient enfin ressembler à de vraies montres
L’intérêt de grandes marques de l’horlogerie.
C’est dans ce contexte, après un contact bref mais satisfaisant avec la Moto360, que je recevais la LG G Watch R avec la ferme intention de lui donner sa chance et d’objectivement « vivre » avec la montre 2 bonnes semaines pour avoir un avis complet.
L’exclusivité Xbox One la plus belle de 2013, Ryse : Son of Rome, est arrivée sur PC. C’est donc l’occasion de voir comment tourne cette bestiole sur nos chères machines. Et pour ce Performance Test, je vous propose un nouveau protocole. Au lieu de mesurer les performances des cartes graphiques/processeurs en première partie, c’est sur trois machines de puissances différentes que le test se déroulera en premier lieu. En second lieu nous nous intéresserons aux GPU pour voir qui d’AMD ou de Nvidia gagne la bataille; avant de terminer par les processeurs.
Le Jeu
Réalisé par Crytek, studio en charge des Crysis et du développement du moteur Cry Engine ici déployé dans sa version 3, Ryse est une splendide ode à la beauté du jeu vidéo moderne, car ici chaque détail est réalisé et affiché avec une finesse frisant la perfection. Les effets de lumières splendides soulignent les armures et les liquides (boue, eau, sang) paraissent réels. Mention spéciale aux visages qui se révèlent très expressifs et réalistes.
Concernant le gameplay, on a affaire à un Beat’em all next-gen jouissif dans sa simplicité et sa mise en scène. C’est bien là les qualités du jeu qui avec tout l’effort de Crytek, n’apporte pas de réelle surprise et reste confiné dans une répétitivité tellement agaçante que Ryse devient peu à peu un « super-benchmark » qui n’est là que pour montrer si votre machine en a une paire…rien d’autre.
Les Configurations
La première configuration, ingénieusement nommée PC #1, est constituée des composants suivants
-AMD FX 8350
-Asus Crosshair formula V AM3+
-8Go RAM G.Skill Sniper @2133MHz
-Sapphire R9 270X Toxic OC
-Alimentation CM G550M
-Seagate SSHD 1To
-Boîtier Cooler Master N400
La deuxième (PC #2), nettement plus haut de gamme, abrite des composants globalement haut de gamme sans basculer dans l’excès
-Intel Core i5 4690K
-MSI Z97 Mate LGA 1150
-8Go RAM Kingston HyperX Blu @ 2133MHz
-Sapphire R9 290 Tri-X OC
-Cooler Master Hyper 212 EVO
-Alimentation Corsair CX 550W
-Seagate Barracuda 1To + Samsung 840 Evo 128Go
-Boîtier Corsair Carbide 200R
Enfin, la dernière configuration (PC #3) est la plus haut de gamme de ce panel, clairement orientée pour les grosses charges graphiques et pour une exploitation intensive du processeur.
-Intel Core i7 4770K
-Asus Sabertooth Z87 C2
-16Go RAM Kingston HyperX Fury @ 1866MHz
-Nvidia GeForce GTX 980
-Noctua NH-U14S
-Alimentation BeQuiet Power Zone 850W
-Western Digital Black 4To + Samsung 840 Pro 512Go
-Boîtier Cooler Master HAF X
Le Test en Full HD, WQHD et 4K !
Surprise ! La deuxième configuration domine le PC #3 dans les hautes résolutions alors que le Full HD reste le domaine de ce dernier et de sa GTX 980. Le PC #1 tient le rythme en FHD mais pas en 1440p et en 4K : sa R9 270X est trop limitée également par ses 2Go de VRAM. En parlant de cette dernière, le jeu est incroyablement gourmand et sature les 4Go des R9 290 et de la GTX 980 : signe que la course est bien en route (voir article relatif « La course à la VRAM : décryptage »).
Ryse est très bien optimisé pour l’exploitation du CPU et le FX 8350 accuse 10fps de retard à carte graphique égale (R9 290) tandis que les Quad-Core puissants que sont les i5 4690K et i7 4770K restent les maîtres du gaming. l’utilisation de la RAM est plutôt normale avec 1.5 à 2Go (3Go avec le PC #3 et ses 16Go disponibles) relevés en FHD.
Pour le Test GPU, les cartes graphiques ont été installées dans le PC #3, soit le PC le plus puissant disponible, pour diminuer au maximum les restrictions que le CPU pourrait exercer (bien qu’un bottleneck avec un i7 4770K serait très surprenant). Il n’y a aucune carte custom dans ce panel pour se faire une idée plus précise des performances à attendre. Le Boeing 747 au décollage qu’est la R9 290X arrache largement la victoire à la GTX 980, dernière née des laboratoires Nvidia.
Cette dernière se maintient fermement au dessus de la GTX 780Ti qu’elle remplace et qui se fait humilier par la R9 280X en 4K…très surprenant. Pas de surprise avec la R9 270X qui ferme la marche alors que la GTX 770 est incapable de lutter avec la R9 280X, censée être son équivalent chez AMD. C’est sans aucun doute la VRAM qui joue le rôle des trouble-fête car les cartes avec 2Go trainent loin derrière les GPU ayant 4Go de RAM. Dans le cas de la GTX 980, c’est peut-être sa bande passante mémoire qui lui joue un mauvais tour.
Ryse est très bien optimisé pour l’exploitation du CPU et le FX 8350 accuse presque 10fps de retard par rapport au plus gros i5 du marché, avec un i7 4770K survolant les charts. Les FX d’AMD s’en sortent toutefois mieux que dans d’autres jeux et le très faible FX 8150 arrive à rester au dessus des 40 images par seconde avec une R9 290X. Nul doute que dans une configuration plus modeste, il s’écroulera. C’est donc une victoire d’Intel
Conclusion
Ryse : Son of Rome est un jeu sublime grâce à son Cry Engine 3 et sa réalisation à couper le souffle. Du point de vue des performances GPU, AMD est devant Nvidia, la R9 290X pourtant « vieille » termine largement devant la GTX 980 plus récente. Maxwell arrive à largement dominer Kepler. Certains résultats paraissent étranges : c’est le cas pour la GTX 780Ti par rapport à la R9 280X. Pour les CPU, pas de surprise, Intel termine encore devant AMD. Cependant, le FX 8350 s’en sort plutôt bien et ses résultats ne sont pas « honteux » lorsque ils sont mis en relation avec ceux de l’i5 4690K.
Ryse s’est révélé un très bon bench pour mesurer les performances de sa machine et de ses composants. Si vous voulez jouer en ultra, ne visez que la FullHD et la WQHD avec une GTX 770 sous peine de devoir baisser les options graphiques. La carte la plus intéressante ici est bien la R9 280X qui permet de jouer très confortablement avec tous les détails à fond. Pour le processeur un FX 8 cœurs d’AMD fera l’affaire, et un i5 puissant représente l’idéal.
Bonjour à tous ! Comme vous le voyez, l’auteur de cet article n’est pas le même. En effet, Jo m’a laissé la main sur la chronique “config de noël”, pour pouvoir s’atteler à d’autres projets.
Aujourd’hui, donc, nous allons nous attaquer à une configuration gamer low cost.
Avant de vous déchaîner sur les commentaires, cette config est une proposition, un avis du moment…L’avis d’Eloteck. Les autres membres de l’équipe VG feront chacun leur proposition et vous donneront LEUR config de Noël.
Utilisation
Cette configuration sera cette fois ci plus dirigée vers le jeu. Notamment grâce à l’ajout d’une carte graphique. En revanche, nous abandonnerons le SSD, par souci de budget. Evidemment, vous pouvez si vous le souhaitez ajouter celui de la dernière config.
Idée cadeau
Cette configuration est un bon compromis entre puissance de jeu et prix. Elle satisfera les joueurs voulant commencer le jeu sur PC, n’ayant pas un budget élevé et voulant tout de même une config esthétique et ayant un aspect gamer.
Configuration
Boitier : Zalman Z11 plus HF1 ( bientôt collector si Zalman vient à mourir )
Processeur : AMD Athlon II X4 750K, 3.4 Ghz
Carte graphique : Sapphire Radeon R9 280 Dual-X OC, 3Go
Carte mère : Gigabyte GA-F2A88X-D3H
Ram : Corsair Vengeance Pro 2 x 4 Go 1600 Mhz CAS 9
Refroidissement : Cooler Master 212 EVO
Disque dur : Seagate Barracuda, 1 To
Graveur : Samsung SH-224 DB
Alimentation : LEPA MX F1, 550W
Conclusion
Une configuration proche des 600€, qui mélange petit budget et performances en jeu élevées.
Elle saura faire tourner des jeux assez gourmands, comme Battlefield 3, Farcry 3, ou un peu moins, comme League Of Legend, Counter Strike…
Elle reste évolutive : vous pourrez au besoin choisir une carte graphique ou un processeur plus puissant. Attention, pour le processeur, faite attention à en choisir un avec le socket FM2 / FM2 + (voir la gamme des A10).
Aujourd’hui nous allons nous intéresser à un produit de type audiophile: un casque audio haut de gamme.
Pourquoi parler du Sennheiser HD 598 et faire un test dessus alors que ce casque n’est plus tout jeune (plus d’un an) ? Et bien tout simplement car il s’agit toujours d’un excellent casque, voir même d’un des meilleurs de sa catégorie…. Et aussi parce qu’il a bien baissé depuis sa sortie , son prix aujourd’hui lui permet presque de devenir ainsi un produit abordable.
N’oubliez pas qu’il sagit ici d’un casque Hi-Fi haut de gamme, ainsi pour profiter pleinement de votre casque prévoyez donc un matériel adapte.
Caractéristiques techniques
Style de port
Arceau
Couleur
marron
Impédance
50 Ω
Résponse en fréquence
12 – 38500 Hz
Niveau de pression sonore (SPL)
112 dB (1 kHz/1 Vrms)
Distorsion harmonique totale (DHT)
< 0,1 % (1 kHz/100 dB SPL)
Couplage auriculaire
circumaural
Connecteur mâle
Jack plaqué or 6,35 mm stéréo
Longueur de câble
Unilatéral OFC détachable – 3 m
Type de transducteur
dynamique, ouvert
Poids
270 g
Finition / qualité de fabrication
A première vue ont peut trouver ce casque très moche et très « kitch », on a même l’impression que ce casque a été fabriqué par Noctua… J’étais donc très septique avant de recevoir le casque. Mais une fois le produit reçu… Whaou ! En effet on s’aperçoit finalement que le produit est de très bon gout et on oublie vite cette aspect « old school ». Car même si les plastiques choisis ne sont pas spécialement de qualité supérieure, on retrouve du simili-cuire cousu sur l’arceau, et surtout du bois !
Les parties en bois (sur les écouteurs et à la base de l’arceau) ne sont pas en plastique imitation bois mais bien en ronce, ce qui donne un effet très classieux. De plus les oreillettes sont réalisées en velours, ce qui en plus d’être très confortable rend très bien. Donc malgré des pièces en plastique de qualité standard parfois légèrement mal ajustées, la finition est une très bonne surprise. Pour ce qui est de la qualité de fabrication, le casque parait très fragile. Mais après 1 an d’utilisation (d’ou l’intérêt aussi de faire ce maintenant) je peux vous dire que c’est du solide. Bref pour conclure : c’est du Sennheiser.
Ergonomie
Je vais commencer par là ou j’ai fini le point précédent; c’est du Sennheiser. Le casque est très léger (270g). Les oreillettes en velours sont très agréables, et le casque ne sert pas du tout la tête. Sous l’arceau on retrouve un coussinet très souple, ce qui permet de n’avoir aucune contrainte sur le haut du crane. Au final le casque se fait très vite oublier, le confort est irréprochable. Je porte ce casque 10h/ jours depuis 1 an et je n’ai jamais ressenti la moindre gêne. A noter que le câble est détachable, il peut donc être remplacé en cas de catastrophe (ou pour un autre modèle plus court par exemple). Un adaptateur Jack est également fourni avec le casque.
Qualité audio
Que dire…Sennheiser. Le son est tout simplement exceptionnel. On retrouve un son avec une bonne neutralité, mais néanmoins avec du caractère. Des basses présentes et très bien retranscrites sans tomber dans le « Boom-Boom ». Les aigus sont précis, encore une fois bien rendus sans êtres criards. Pour les médium c’est aussi très bon même si, à mon avis, ils manquent de présence et de caractère, ils restent néanmoins clairs et bien définis. Mais là où ce casque est fort, c’est sur la précision du son,ses détails et cette impression de liberté.
Commençons par la précision; tous les sons sont très bien définis, chaque instrument est présent mais sans prendre le pas sur son prochain, tous les son sont clairement distincts, ce qui est très agréable à l’écoute. Enfin, comme il s’agit d’un casque ouvert et à l’aide du système EAR de Sennheiser, le son ne vient pas « s’écraser » sur votre tête, mais au contraire on a l’impression que le son envahit tout votre espace. Pour faire court, branchez le casque, fermez les yeux et vous vous retrouvez directement téléporté dans un concert de LedZeppelin à Londres, ou à Woodstock devant un live de jimi Hendrix, ou encore 1810 quand Beethoven présente Lettre à Elise à Thérèse Malfatti. Bref, je m’emporte un peu…La qualité audio de ce casque est quasiment irréprochable.
Conclusion
C’est quasiment du 10/10 sachant que ce casque ayant baissé de prix, on le retrouve au alentour de ~150/160€. Un son excellent, un confort incroyable, des matériaux de qualité (malgré les plastique pas extrêmement qualitatifs), que demander de plus ?
Le GT72 de MSI n’est pas nouveau, puisqu’il est déjà disponible depuis le mois d’août dernier. Mais avec l’arrivée récente des GTX 900M de Nvidia, MSI en a profité pour modifier légèrement son modèle phare pour profiter de la puissance des nouvelles cartes graphiques mobiles Maxwell.
L’occasion pour nous de revenir sur ce châssis imposant !
Le bundle
Le modèle fourni pour ce test n’étant pas une version finale destinée à la revente, le bundle était réduit au stricte minimum, avec uniquement le bloc d’alimentation.
Il est cependant important de noter que celui-ci est assez imposant (voir vidéo), donc prévoyez de la place pour déplacer votre ordinateur !
Le OnePlus One fait le buzz depuis le début de cet été.
Un flagship qui sort de nul part à un prix défiant toute concurrence…mais que seuls quelques « initiés » peuvent acheter.
Vendu sur invitation, le OnePlus One est LE téléphone du moment. Equipé d’un processeur Snapdragon 801 quad cœurs à 2,5 GHz, de 3 Go de RAM, de 64 Go de stockage et d’un écran de 5,5 pouces en 1 920 x 1 080 pixels, ses caractéristiques lui permettent de se positionner automatiquement sur le segment haut de gamme. Pourtant, cette version 64Go se monnaie à 299€ là ou un Galaxy Note ou LG G3 vous fera débourser plus du double !
Evidemment, le plus avertis seront que derrière OnePlus se cache, en partie, Oppo…mais ce n’est pas ça qui va nous intéresser vraiment. L’utilisateur de phablet comme moi, qui goûte depuis un long moment au Samsung Galaxy Note, peut-il être séduit par un ce smartphone chinois ?
Après quelques semaines d’utilisation intensive, je vous donne donc mon retour d’expérience.
Mon expérience c’est celle d’un utilisateur intensif, qui sollicite la 4G, le GPS, la messagerie à gogo et toutes les applications de partage type Dropbox, Google Keep ou encore Pocket.
Sur tous ces points, depuis sa première déclinaison, le Galaxy Note m’a donné entière satisfaction. J’ai bien eu un LG G3 entre les mains mais seul un Nokia 1520 aurait pu me faire vasciller…mais son catalogue d’application a freiné mes ardeurs…
Non, c’est une certaine lassitude du Note et un ras-le-bol de la finition lamentable des Samsung qui m’a décidé pour franchir le cap…le côté « exclusif » du OnePlus One étant un autre élément qui me séduisait aussi je dois le reconnaître.
La suite de cette article est donc plus un retour utilisateur qu’un vrai test…je vais essayer de ne pas m’enfoncer mais c’est un test dans le sens où je cohabite avec ce smartphone depuis plusieurs semaines mais c’est surtout le point de vue d’un utilisateur CONVAINCU et fan des phablets.
Des rumeurs..toujours plus de rumeurs ! Alors que celles sur la future AMD R9 390X et son GPU Fidji se répandent, celles concernant le futur monstre de Nvidia, alias le GM200 s’accumulent. TSMC a annoncé lancer la phase de pré-production de la gravure en 16nm FF+.
Nvidia a annoncé travailler avec TSMC depuis 15 ans sur des technologies de gravure toujours plus avancée. Les autres rumeurs parlent de 12Go de mémoire et d’une sortie en 2016. Les performances pourraient être stratosphériques.
Après Call of Duty Advanced Warfare, la plus grosse sortie de ces derniers jours revient à Assassin’s Creed Unity d’Ubisoft sur PC notamment. Retraçant les pas de la Révolution Française dans les rues bondées de Paris, le jeu s’est révélé être très beau et…très instable tout en mettant à genoux pas mal de cartes graphiques haut de gamme. Mais plus préoccupant sont les bugs persistants et franchement décevants après un Watch Dogs tout autant critiqué. L’image du groupe en reprend un coup et espérons que les futurs patchs corrigeront le tir. Quand aux problèmes de framerate, Ubisoft a rejeté la faute sur les CPU et plus particulièrement sur ceux d’AMD…quand l’on sait qu’Ubisoft travaille avec Nvidia, il ne faut pas s’attendre à voir le studio Français lancer des fleurs à son concurrent direct…
Alors que le Chinois Tianhe-2 et ses 54 PFLOPS tiennent le haut du classement depuis de nombreux mois, les Etats-Unis ont annoncé la construction de deux nouveaus super calculateurs en partenariat avec Nvidia et IBM pour à la fois reprendre la tête du classement et soumettre à ces engins des tâches toujours plus lourdes (climatologie par exemple) et complexes. Les GPU embarqués sont des Nvidia Volta (?) inconnus jusqu’ici tandis que les CPU sont les nouveaux IBM Power9. Le projet devrait être achevé en 2017 avec une puissance de calcul de 300 PFLOPS pour Summit et entre 100 et 150 pour Sierra respectivement attribués à l’Oak Ridge National Laboratory et au Lawrence Livermore National Laboratory.
La dernière version de Windows 10 en 2014 (build 9879) a été mise en ligne. Microsoft a d’ailleurs annoncé que la prochaine version sera disponible en 2015. Au programme de cette mise à jour une amélioration globale des animations accompagnée de la désactivation possibles des boutons tâches et recherche. Par contre OneDrive se voit amputé d’une fonction assez pratique : les dossiers intelligents. Désormais il est obligatoire de passer par une synchronisation de la machine et du logiciel de stockage. Comme Dropbox donc.
Et on termine par de l’économie. Asus reste à ce jour le constructeur ayant vendu le plus de Cartes-mères à travers le monde. Suivi par Gigabyte, le Taïwanais a creusé l’écart et espère vendre à la fin de l’année 22 millions de mobales. Gigabyte atteindrait les 20 millions quand MSi et Asrock peinent en bas du classement (des ventes, pas de la qualité).
Niveau cartes graphiques et parts de marché, Nvidia et AMD sont à égalité presque parfaite avec Intel et ses IGP largement en tête. Au niveau annuel, Nvidia perd 1.6% des parts de marché, comme AMD (5.6%), au profit du géant bleu qui lui gagne 7.5% sur un an. Au niveau des ordinateurs, le marché a évolué à la hausse de 7% sur un trimestre mais baissé de 2.6% par rapport à 2013 au même moment.
Bonjour à tous, aujourd’hui nous allons essayer de savoir comment choisir la bonne puissance pour notre ordinateur, la question est souvent posée et à vrai dire, il n’y pas de réponse toute faite.
Introduction
Le choix de l’alimentation est souvent passé au second plan lorsque nous nous offrons une nouvelle machine et pourtant elle est la base de notre configuration.
En effet il est tout à fait possible de se priver d’une barrette de mémoire, d’un disque dur ou même d’une carte graphique mais comment se priver de l’appareil qui alimente le reste de nos composants ?
Les Points cruciaux
Pour ma part, il existe quatre points cruciaux lors du choix de son alimentation :
– Le format
– La connectique
– La puissance
– Le fiabilité
Nous allons faire un petit topo sur l’ensemble de ces points sauf le rendement que vous trouverez dans le précédent article ici.
Les formats
Les formats d’alimentations sont nombreux, ils apportent des changements de dimensions notamment mais aussi certaines restrictions de puissance par exemple .
Format ATX
Le nom ATX devrait certainement vous parler puisque c’est le modèle le plus présent dans nos machines. Les dimensions de ces blocs sont de 15 x 14 x 8.6 cm
Il existe des variantes, avec des blocs légèrement plus profond comme cette CORSAIR RM1000 avec des dimensions de 15 x 18 x 8.6 cm.
Il n’y a pourtant aucun risque à prendre ce genre de modèle dans un boitier ATX, au besoin vérifier les dimensions de votre châssis, dans le pire des cas ce genre d’alimentation pourrait obstruer un emplacement de ventilateur 120 mm.
Format SFX
Cette norme est prévue pour les alimentations de plus petite taille en général utilisé pour des mini-pc.
Le boitier Silverstone Sugo supporte les alimentations de format SFX
Leur puissance n’est pas très élevée entre 300 et 450W pour le plus grand nombre et leurs dimensions varient de 10 x 12.5 x 6.3 cm à 12.5 x 10 x 6.3 cm.
Ce format est prévu pour des configurations peu puissante, certains blocs sont même dépourvus de connectique PCI-E (pour gpu).
Format Flex ATX & TFX
Un modèle bien particulier et très rare, je ne m’étendrai pas sur leur spécifications.
Prévue pour les shuttle, elles sont à ma connaissances d’une puissance maximale de 300w.
Conclusion format
Voilà l’ensemble des formats d’alimentations, j’ai préféré ne pas parler du format Pico-PSU il est vraiment très rare et difficilement trouvable.
Pour des configurations « classiques » le format ATX sera certainement votre unique choix, pour des machines un peu moins ordinaires, vérifier bien la compatibilité de votre nouveau boitier.
Allez attaquons l’équipement de notre carte mère !
Nvidia vient d’annoncer sur son blog l’arrivée imminente de sa technologie GRID.
Le lancement d’un service « à la Netflix » dédié aux jeux en streaming se fera ce mois de Novembre aux US et arrivera chez nous en Décembre.
Allons nous assister à une révolution sur le marché des jeux ? Les consoles Xbox One et PS4 vont-elles être bousculées ?.
Sur le papier la technologie Grid de Nvidia promet de jolies choses. Le Cloud Gaming a déjà était exploré par le caméléon avec le PS Now qui tourne sur un hardware PS3 made in Nvidia…qui date de plus de 10 ans.
Avec son cloud gaming, on parle de jeux AAA accessibles sur une tablette ( évidemment uniquement la Shield et son processeur K1 ).
Pour faire simple le service permettra d’accéder à des jeux qui seront lancés depuis les serveurs de Nvidia. concrètement, la tablette ne gérera que l’affichage et le renvoi des commandes, tous les calculs se faisant directement dans les fermes de serveurs de la marque.
Si le catalogue est pour le moment limité, une centaine de jeux sont annoncés pour le début de l’année prochaine. Autre bonne nouvelle, la gratuité du service est effective jusqu’à fin juin 2015. Après, c’est le traditionnel système d’abonnement qui prendra le relais.
La restriction actuel se situe évidemment dans la qualité du débit internet. Si une connexion à 5Mb/s semble le minimum, c’est en réalité un bon ADSL 2+ avec 10 Mb/s qui est recommandé pour profiter pleinement du service.
D’ici là la technologie Nvidia sera sans doute diffusée sur d’autres tablettes que la Shield maison, l’idée étant évidemment de pousser la vente des puces Nvidia à savoir le Tegra K1.
Autre argument en faveur de la Shield, elle sera dès le 18/11, l’une des premières à recevoir la mise à jour Androïd 5.0.
Liste des jeux disponibles au lancement :
Astebreed
Alan Wake American Nightmare
Batman: Arkham Asylum
Batman: Arkham City
Borderlands
Borderlands 2
Brutal Legend
Darksiders
Darksiders 2
Dead Island
Dirt 2
Nail’d
Psychonauts
Race Driver Grid
Saints Row: The Third
Street Fighter X Tekken
Strike Suit Zero
Trine 2
The Witcher 2: Assassins of Kings
Ultra Street Fighter 4
La mémoire vidéo, autrement appelée VRAM pour « Video Random Access Memory » est un type de mémoire travaillant avec le GPU pour stocker des données souvent reliées aux textures et aux effets de type anti-aliasing. Concrètement, plus il y a de VRAM, plus il sera possible de stocker des informations, évitant ainsi des ralentissements (stutter) dans les jeux. Physiquement la VRAM se présente sous la forme de puces de 128, 256 ou 512Mo placée sur un bus mémoire d’une largeur évoluant pour le haut de gamme entre 192bits et 512bits. Plus le bus est important, plus la bande passante mémoire sera conséquente, à condition que la fréquence de la mémoire suive le rythme.
Mon dieu mais que se passe-t-il ?
Il semble que la dernière mode en matière de carte graphique soit la course à qui qu’a le plus de mémoire vidéo (ou « VRAM »). Récemmment, AMD a autorisé le lancement de ses R9 290X avec 8Go de GDDR5. C’est ainsi qu’on a vite vu apparaître Sapphire et sa Vapor-X 8Go ou encore MSI avec la Gaming 8G qui sont actuellement les deux seules marques à proposer le monstre Hawaïen à la sauce double VRAM. XFX a lancé son modèle lui aussi équipé d’un refroidissement maison, le Double Dissipation. XFX est assez peu représenté dans notre grand pays sauf chez LDLC. De son côté, Nvidia a annoncé des GeForce GTX 980 8Go toutefois sans qu’un revendeur ne propose un de ces modèle au 15 Novembre. Sans doute les partenaires du caméléon proposeront éditions Gaming 8G ou des Asus Strix 8Go…plus chères bien sûr. Le phénomène avait été observé il y a quelques temps avec la mise en circulation de GTX 780 disposant de 6Go de mémoire. C’est donc une épidémie d’obésité qui guette les GPU modernes.
Toujours est-il que la sortie des récents Assassin’s Creed Unity et Shadow of mordor confirme une tendance à l’augmentation de la VRAM nécessaire. Le standard haut de gamme précédent était de 2/3Go tandis que désormais il semble glisser doucement vers les 4Go pour le haut de gamme.
Qui sont les responsables ?
La dernière « génération » de jeux semble responsable de cette boulimie. D’abord Crysis 3 puis Watch Dogs, et en ce moment Assassin’s Creed Unity et Shadow of the mordor : tous ces jeux nécessitent un bon gros paquet de Gigots pour fonctionner à plein régime avec AA à s’en faire vomir. Le dernier cité arrive même à saturer 6Go de VRAM… La tendance est claire : achetez des nouvelles cartes avec plus de mémoire vidéo. Or si l’on se penche sur les benchmarks, le véritable gain n’apparait que dans les hautes résolutions (WQHD/4K). Ce graphique de Tom’s Hardware illustre bien ce phénomène :
La réponse elle aussi est claire : à moins de posséder un écran 4K et de devoir du coup utiliser un SLI ou un crossfire pour avoir asses de puissance GPU, l’augmentation de la VRAM sur ces modèles actuels est inutile. En revanche sur les prochaines générations (R9 390X avec HBM, Titan II etc.) la puissance GPU pourrait suffire à elle seule à faire tourner un jeu en 4K sans nécessité de système multi-GPU tandis que la VRAM à 8Go voire 12 (!) Go apporterait des gains encore plus significatifs.
Mais du coup je fais quoi ?
Pour le moment se distinguent deux catégories d’acheteurs. D’un côté il y a ceux qui possèdent déjà un écran 4K et cherchent une solution durable pour leur machine. A l’heure actuelle aucun GPU ne peut faire tourner « correctement » les gros jeux dans cette résolution. Leur choix se portera donc sur du multi-GPU, seulement bridé par sa VRAM, et c’est là la véritable utilité de ces cartes avec 8Go de GDDR5. Contrairement à l’utilisateur classique possédant un écran 1080p qui en achetant l’un de ces modèles comme GPU unique brûle ses € dans les affres du marketing. La messe est dite : « Size does matter »…rappelez-vous de la campagne promo de Godzilla (1998) : un chef d’oeuvre d’ailleurs ce film non ?
Bonjour à tous, aujourd’hui une petite explication sur la certification et le label de nos alimentations. Une alimentation de marque et certifiée est-elle un investissement justifié ?
Le Label 80+
C’est une appellation destinée à mettre en avant le rendement de nos alimentations, elle garantie à l’acheteur qu’au minimum 80% de la puissance de l’alimentation est bien transmise à nos machines. Nous reviendrons sur le côté technique un peu plus tard.
Chaque label nous informe du rendement de notre alimentation du premier 80+ au dernier 80+ titanium.
Vous l’aurez compris une alimentation titanium aura donc un meilleur rendement qu’une Bronze. Nous allons donc essayer de comprendre ce qu’est le rendement.
Il existe aussi une autre restriction aux alimentations certifiées 80+ et elle s’appelle le PFC ( power factor correction) elle sert avant tout à optimiser la puissance électrique en supprimant une partie des perturbations du courant.
Sans rentrer dans des détails, les alimentations certifiées 80+ sont moins chaudes, plus silencieuses et par conséquent moins énergivores.
Nous reviendrons plus tard, là aussi, sur ce sujet !
Le fonctionnement de l’alimentation
Afin de vous expliquer le but du label 80+ il est indispensable de comprendre le fonctionnement de nos blocs. Vous comprendrez ce qu’est le rendement et donc le « pourquoi » du label.
Notre réseau électrique est en courant alternatif et nos composants nécessitent un courant continu, l’alimentation va donc servir à convertir puis à distribuer cette électricité.
Courant alternatif :
C’est le courant passant pas nos prises éléctriques, il circule dans un sens puis un autre à intervalles réguliers ce qu’on appelle un cycle (50 cycles par seconde en france par exemple).
Courant continu :
Le continu lui ne circule que dans un seul sens continuellement de la borne négative vers la positive.
Mais il existe un autre souci lorsque notre alimentation va convertir cette énergie (alternatif vers continu) un phénomène d’échauffement va se produire que l’on nomme l’effet joule.
Effet joule :
Cet effet est une manifestation thermique causée par la résistance électrique, lors du passage du courant dans n’importe quel type de matériau conducteur.
Pour résumer grossièrement dans notre cas précis, il va se produire une perte de puissance de notre alimentation, dissipée en chaleur d’ou la présence d’un ventilateur sur nos blocs.
Conclusion :
L’alimentation à donc pour but de convertir un courant par un autre afin qu’il soit compatible avec les différentes pièces de notre ordinateur. Pendant cette conversion une perte d’énergie va avoir lieu sous forme de chaleur.
Moins la perte est grande, plus notre alimentation est par conséquent bonne ! Pour le porte-monnaie en tout cas 🙂
C’est LA sortie de la semaine, et le coup de cœur des rédactions spécialisées. La série la plus popcorn au monde pond son opus le plus convaincant depuis Modern Warfare 2. Le studio Sledgehammer a bien bossé pour proposer un titre en rupture avec les gènes de la série mais toujours autant « repose-neuronal » et blockbuster que les précédents, voire plus. L’Exo (squelette) est un nouvel élément de gameplay fort appréciable apportant une nouvelle et très intéréssante façon d’appréhender les combats. Au niveau hardware Nvidia a aligné ses GeForce en haut des classements.
Le plus grand salon dédié au Jeux Vidéo en France a ouvert ses portes à Paris du 29 Octobre au 2 Novembre. VonGuru y est allé, et a rapporté de ses valoches des impressions et des opinions surtout sur les stands dédiés au hardware (LDLC avec Nvidia, MSI, Asus…). Outre le coin consoleux et Crosoft faisant face à Sony, un coin « modding PC » était présent pour les mordus de bidouille. Enfin, la fréquentation a encore atteint un niveau record cette année avec pas loin de 272 000 visiteurs dans les halls de la Porte de Versailles…ça en fait des trolls ! (troll on)
YouToube permet enfin (!) les vidéos à 60fps : après le 1440p et la 4K, l’hébergeur a franchi le pas face au critiques. Les amateurs de vidéos de gameplay sont au septième ciel. La compression vidéo massive est toujours handicapante mais l’on ne peut que saluer l’initiative !
Et enfin les configurations de Far Cry 4 sont arrivées ! Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’Ubisoft a refait le coup d’Assassin’s Creed Unity en préconisant comme configuration recomandée une GTX 680 ou une R9 290X…en sachant qu’une 60 est au même niveau qu’une 280X, il y a de quoi se demander d’où viennent ces conseils chelous. Niveau CPU, Le FX 8350 est là et le i5 2400S aussi avec un i7 750 ou un Phenom X4 955 pour la config minimale. Pour l’installation c’est 30Go pas moins. C’est beaucoup mais comparé à ce que Call of Duty Advanced Warfare demande, soit 55Go, les 30 gigots sont tout de suite moins impressionnants. La RAM c’est 4 ou Go (recommandé) et la carte graphique doit pouvoir bénéficier d’au moins 1Go et 2Go en recommandé (cf GTX 680…le retour du chelou).
Rendez-vous la semaine prochaine pour un nouveau Tek Week. Et cette fois vraiment dans une semaine 🙂
AMD et Nvidia, deux géants de l’électronique de pointe, deux pionniers et deux vainqueurs de la guerre ayant marqué la naissance des GPU modernes. Mais aussi deux adversaires qui depuis des lustres (à l’échelle du PC) s’affrontent dans un combat sans merci pour les performances ultimes, le droit d’apposer son nom en haut du classement à chaque nouvelle génération ou procédé de gravure. Au panthéon des batailles, celle opposant les deux constructeurs est sans nul doute largement supérieure à celle opposant Napoléon au Tsar de Russie. Les Huns contre Rome ? De la binette je vous dis. Allez ! Ma carte mère se transforme en champ de bataille le temps d’un combat des chefs : le duel du 28nm : Hawaii contre GM204, où comment tabasser des transistors d’électrons provenant des derniers hits et des plus gros blockbusters. GPU Fight : un test rapide pour une bataille sans merci sur le thème : « qui a la plus grosse ? ». Cet article a pour vocation à déterminer le vainqueur sur le secteur du jeu, donc ne s’attaquera pas à la consommation ni aux performances acoustiques.
Les Belligérants
Nos deux combattants ont pour nom Nvidia GeForce GTX 980 et Sapphire Radeon R9 290X, Vapor-X s’il vous plait ! Pourquoi opposer une carte de référence à un design custom ? On a vu que la GTX 980 surpasse la R9 290X sur tous les points. Ainsi, la Vapor-X représente ce qui se fait de mieux chez AMD en ce moment : le duel s’annonce épique.
On a donc affaire au design de référence Nvidia contre le top du top du haut du panier de la crème de la crème des meilleurs refroidissements custom pour GPU AMD : le Vapor-X Tri-X. Ça fait certes, beaucoup de X, rassurez-vous, aucune vanne de mauvais goût à base de cette lettre ne sera faite dans cet article…
Le champ de bataille
Le retour du PC de la mort qui tue, le mien quoi 🙂
Alors nous avons un core i7 4770K aux fréquences d’origine (pour un test plus « honnête »), posé sur une délicate Asus Sabertooth Z87 C2 bénéficiant d’un peu de piquant par le biais de ses 16Go de RAM Kingston Hyper X Fury 1866MHz, le tout réchauffé par une BeQuiet Power Zone 750W, refroidit par une Noctua NH-U14S aux accents « so…que dalle il fait pas de bruit » (important pour les mesures acoustiques) et enfin pour se laisser aller, deux SSD Samsung 840 Evo 512Go et un Western Digital Caviar Black 4To. Sans oublier l’emballage : un Cooler Master Haf X d’une sobriété sans limite.
La déferlante des smartwatches va continuer pendant encore un moment.
C’est au tour de LG d’arriver avec un nouveau produit, orienté plus haut de gamme tout en restant relativement conventionnelle dans ses entrailles.
Disons le tout de suite c’est la meilleure smartwach que j’ai eu dans les mains. C’est un premier contact de seulement quelques heures mais l’aspect esthétique me semble indispensable pour ce genre de produit.
Avec la G Watch R, on sort du côté « gadget » de la montre connecté. Même si la Motorola était déjà sur ce créneau. Pour avoir eu rapidement entre les mains la Moto 360, la finition de cette dernière laisse un aspect plus qualitatif que la nouvelle LG malgré son prix plus faible. Cependant, la G Watch R semble plus légère…à confirmer dans dans les prochains jours.
C’est avec son écran P-OLED que la G Watch R fait immédiatement la différence. Avec une densité de 245 PPP, le « petit » écran de la montre LG pète aux yeux tout de suite.
Reste que l’autonomie est un élément clé et pour ça, il faudra attendre la fin de la semaine et mon premier retour en vie « réelle ».
Bonjour, et bienvenue dans la Config’ du mois #2 ! Aujourd’hui, nous n’allons pas créer une configuration vraiment musclée, mais plutôt choisir une machine pour les premiers joueurs PC, c’est à dire, une machine pas trop chère, qui fera tourner le maximum de jeux possible.
Nous avons donc choisi un budget d’environ 550€, ce qui parait raisonnable pour les premiers pas dans le gaming PC.
Le processeur :
Pour changer de la configuration du mois précédent, nous allons partir sur un processeur de la marque Intel : l’i3 4150.
Regardons sa fiche technique : C’est un processeur Haswell ayant une fréquence de 3.5 Ghz, 2 coeurs physiques et 4 coeurs logiques. Il possède un rapport qualité / prix plutôt bon, car en effet, son prix se situe aux alentours de 110€.
Pour un processeur de cette gamme, il n’est pas obligé d’intégrer un ventirad. Mais le souci avec les ventilateurs d’Intel c’est leur bruit, qui peut aller jusqu’à 60 dB en jeu. A cause de cela, il est conseillé tout de même de choisir un ventirad différent. De plus, cet autre entirad donnera un bel aspect esthétique à votre intérieur.
Le choix s’est porté sur un ventirad Be Quiet ! Pure Rock.
Be Quiet! est une marque célèbre pour sa capacité à concevoir des produits silencieux et performants. Pour 30€, ce ventirad pourra vous servir si vous comptez, un jour, changer de processeur.
C’est en effet avec cette gamme que l’assembleur US s’est fait connaitre dès les premiers instants de sa création en 1996. En 1998, la « ligne » Area-51 marquait les esprits par ses châssis massifs et ses configurations hors-normes.
Le rachat d’Alienware par Dell avait un peu « calmé » cette pulsion au design massif et agressif. Les lignes devenant plus sobres, les desktops Alienware ne se démarquaient plus vraiment de leurs cousins XPS.
Avec l’Area-51 version 2014 Alienware revient avec un design vraiment agressif, très massif alors que nous sommes en pleine Mini-ITX mania.
L’Area-51 apporte des solutions en ce qui concerne la dissipation thermique mais aussi l’ergonomie d’un maxi tour aujourd’hui.
Les configurations sont évidemment aussi « lourdes » que l’ensemble : Haswell-E minimum avec Tri-SLi possible.
Même avec un design en rupture, les capacités d’évolution sont au rendez-vous.
L’ouverture sur la gamme se fait avec un 5820K à 1599€…le plus frileux hurleront au scandale en constatant les 8Go de ram, la R9 270X et le disque dur méca, les autres sauteront sur l’occasion d’avoir une machine réservée à une élite…et ça aussi ça fait longtemps que c’est comme ça.
Bonjour à tous les amis, j’avais en tête depuis un bon moment déjà de faire un article sur Logitech, non pas que je sois affilié à eux d’une quelconque façon mais tout simplement, et vous le savez certainement, je suis assez critique habituellement et lorsque je fais un article élogieux sur une marque c’est que, à mon goût, elle le mérite amplement !
Introduction
Je ne vais parler ici que du SAV, bien que mon coeur me pousserait à bien plus 🙂
Pour rentrer dans le vif du sujet je peux vous dire sans hésitation que c’est certainement le meilleur SAV « hardware ».
Je vais me servir de mon exemple pour vous présenter ce service après-vente épique.
J’ai en effet et vous êtes bien placés pour le savoir si vous suivez nos lives, des soucis d’interférences avec mon casque G930 gaming.
Et avec le temps, j’ai une fissure qui est apparue sur la fourchette de mon casque.
Comment
Je me suis dans un premier temps dirigé vers le site officiel de Logitech, vous y trouverez la possibilité de créer un compte et de pouvoir par la suite enregistrer vos produits.
Malheureusement pour moi, le site est actuellement en maintenance et ne m’a pas permis de contacter le service après-vente.
Pas de souci, je me retourne vers le twitter de @LogitechFrance et j’obtiens ma réponse sous moins de 24h.
Allez hop un petit appel et en moins d’une minute je me retrouve avec une conseillère. Je précise « moins d’une minute » car vous le savez bien la musique d’attente interminable et digne de la playlist de ma grand-mère à tendance à m’horripiler.
Bref, j’explique mon souci à cette charmante dame (enfin je crois)
Le début du rêve commence et pour mon plus grand plaisir !
Nouveau concept, nouvel article : Tek Week s’attaquera à l’actualité hebdomadaire de la technologie à travers un résumé des faits marquants des 7 derniers jours qu’ils traitent du hardware, des smartphones ou de tout autre genre de gadget geek à la mode. Cette liste n’est pas exhaustive mais regroupe les actus les plus notables ou celles qui, à nos yeux, ont le plus d’intérêt. Trève de blabla : let’s rock it baby : les actus du 13 au 19 Octobre !
Maxwell Mobile déferle sur les portables MSI et Asus
Maxwell commence à peine à s’installer dans les plus monstrueuses configurations de gamer que sa déclinaison mobile déferle telle un tiramisu géant sur les portables MSI et Asus. MSI fut le premier à dégainer avec la promesse tenue d’un portable puissant mais moins encombrant. Il est vrai que les GTX 970M et 980M sont incroyablement plus convaincantes que la GTX 880M (ancienne 780M ancienne 680M…) en raison de leur GPU GM204 légèrement bridé mais tellement plus efficace. Le GK104 produisait trop de chaleur et consommait trop. Désormais, les portables peuvent revendiquer une performance réellement comparable à leurs équivalents desktop. Gigabyte a d’ailleurs dévoilé avec son Aorus 17 un portable équipé de deux 970M en SLI dans un format très fin. Attendons les premiers tests.
Carl Zeiss et Archos : la réalité virtuelle c’est à la mode !
Après Oculus, pionnier du casque VR, après Sony et Samsung, après Google, c’est Carl Zeiss et Archos qui lancent leur projet de casque de réalité virtuelle. Le Zeiss VR One (la poésie…) se place en alternative aux systèmes coûteux de ses concurrents avec un tarif peu piquant de 99€, à la différence qu’il n’est qu’un support dit « passif » : le smartphone de 4.7″ à 5.2″ est inséré dans le casque. Il n’y a donc pas de capteurs ni de hardware « actif » dans ce Zeiss VR One misant avant tout sur sa finition et sa simplicité. Et Archos dans tout cela ? Le constructeur (toujours vivant si si !) a dévoilé lui aussi son casque, et il reprend le même principe que le VR One. Cependant, il n’est encore qu’au stade de prototype et le tarif n’est donc pas encore précisé.
PhysX enfin supporté par Linux.
Enfin, après tant d’attente, la technologie PhysX est finalement disponible pour les utilisateurs de Linux via le SDK 3.3.2. Pour rappel, PhysX fut développée par Ageia, entreprise rachetée en 2008 par Nvidia qui incorpore cette fonctionnalité dans ses GPU. Notre ami, à la célèbre citation « Nvidia, f*ck you » assortie d’un geste tout aussi explicite envers le caméléon, doit être ému de la nouvelle !
Google dévoile ses Nexus 6 et 9 ainsi que le nouvel Android «Lollipop»
On le sait, les phablettes ont le vent en poupe : un effet de mode persistant malgré les critiques de certains clients. Google s’inscrit dans cette mode avec son nouveau smartphone Nexus 6 et son écran gigantesque de 6″ Quad HD, similaire à celui trouvable sur les LG G3 et Samsung Galaxy Note 4, quand l’iPhone 6 Plus se contente d’un écran FHD 5.5″. On note que ce Nexus a été conçu par Motorola, ce qui explique sa ressemblance avec le Motorola Moto X. Les entrailles de la bêtes sont bien pourvues avec un Qualcomm Snapdragon 805, le top actuel. Enfin, il dispose d’un capteur 13mPx et de la dernière version d’Android.
Le Nexus 9 quant à lui se positionne en adversaire du nouvel iPad Air 2 avec une surface de 9″ et un processeur 64 bits. Le Nexus 9 a été conçu par HTC.
Android est passé en version 5 «Lollipop» avec à la clé…pas grand chose de révolutionnaire. On y trouve néanmoins de nouvelles fonctionnalités telles que le filtrage des notifications et la possibilité de répondre à un texto depuis le menu des notifications. Google annonce enfin des améliorations sur le plan de la gestion de la batterie.
Apple iMac 5K, iPad Air 2, processeur A8X
Et c’est ainsi qu’Apple a dévoilé encore et toujours ses nouveaux produits « révolutionnaires » que sont le nouvel iMac et le nouvel iPad Air avec son nouveau processeur nouvellement conçu pour un nouvel horizon de performances dernier cri… L’iMac nouvelle mouture donc, est équipé d’un écran de 5120x2880p, soit une résolution relativement ahurissante et…inadaptée à son hardware : en effet l’iMac est équipé d’une carte graphique AMD (what is happening chez la pomme ?) M290X ou M295X. Ces cartes graphiques sont légèrement supérieures en terme de performance à une GTX 780M, mais alors que le précédent modèle (équipé de la 780M) devait générer une image en WQHD, ici, c’est une image en 5K. Qu’est ce que ça veut dire dis donc que ça ? Que ce sera très difficile de faire tourner un jeu dans la résolution native de l’écran, et même une application 3D gourmande devrait être une petite torture pour le GPU. Apple paye donc ici son choix porté sur le design en éliminant la puissance des composants desktop. Encore qu’une 980M aurait-été parfaite dans le nouvel iMac. Pourquoi ces options ont-elles été choisies ? L’attente de Maxwell mobile ? Le doute subsiste.
Pour l’iPad…rien de bien folichon à écrire : la tablette est plus fine, plus belle et plus chère. Seule la présence du Touch ID représente l’innovation attendue sur ce modèle. Le processeur 64 bits A8X devrait en avoir dans le coffre mais là encore il ne faut pas s’attendre à une « révolution ».
Project Cars, l’attente repoussée…
Repoussé en Novembre 2014, Project Cars vient à nouveau de subir une annonce inquiétante : le jeu de Slightly Mad Studios sortira en Mars 2015 ! Avec de telles ambitions, il est normal que le jeu nécessite beaucoup de développement, mais ce énième retard est préoccupant. Peut-être assistera t-on à un flop ou à la naissance d’une référence de la simulation automobile. Cela fait un paquet de jeux repoussés à 2015 (GTA V étant l’un des plus gros « poissons » à l’être). Préparez la machine à patience, vous ne ferez péter la gomme que dans 5 mois !
Bonjour à tous les amis, aujourd’hui,présentation d’un petit logiciel sympathique qui vous permettra de conserver et protéger vos précieux mots de passe 🙂
Pourquoi
Tout simplement parce que nous avons de plus en plus besoin de mots de passe dans nos usages courants sur le net.
En effet l’évolution veut que vous puissiez avoir accès à tous vos services de la vie quotidienne via le net, que ce soit votre banque, fournisseur internet, mail, loisir… Bref les exemples sont sans fin.
Il existe bien sûr de nombreux logiciels s’occupant de conserver vos mots de passes, même certains explorateurs internet vous permettent de profiter de cette option.
Le cloud est aussi une solution, mais malheureusement pas forcement des plus sécurisée.
Ma solution vous permet de conserver une base de données que vous pourrez stocker sur un support non connecté donc plus sécurisé.
Les risques
Comme expliqué un peu auparavant, il existe tout un tas de possibilités, pour ma part je préfère toujours avoir une sauvegarde de tous ces mots de passe bien à l’abri des regards indiscrets.
Les solutions ne manquent pas mais les risques ne sont pas à négliger, je vais en citer deux principaux
– Les sauvegardes Online (explorateur, cloud) présentent malheureusement encore des failles de sécurités.
– Une panne matériel en cas de conservation de sauvegarde sur son pc pourrait être corrompue et irrécupérable.
Le logiciel
Le logiciel que j’utilise actuellement est Keepass password safe, vous le trouverez facilement et a l’avantage d’être assez simple d’utilisation.
Il possède l’avantage d’être utilisable sur Windows, Mac OS, Linux et donc d’être exportable à volonté.
Nvidia a présenté ses nouveaux GPUs haut de gamme lors de son événement GAME24 célébrant le gaming PC. Fondées sur l’architecture Maxwell dérivée de Kepler, les nouvelles GTX 980 et GTX 970 reposent sur le GPU GM204, légèrement bridé dans sa version 970. Maxwell vise avant tout une très haute efficacité énergétique, car la limitation de gravure TSMC en 28nm et le retard du 20nm bloquent le design de nouvelles puces graphiques.
C’est ainsi que la génération précédente (GTX Titan/780Ti et R9 290X) atteignait des sommets en matière de consommation et de températures, avec un désavantage important pour AMD et son GPU « Hawaii ». La nouvelles génération vise donc de meilleures performances dans une enveloppe thermo-énergétique plus réduite. Ce test quand à lui tentera de confirmer ou d’infirmer les annonces de Nvidia sur son vaisseau amiral : la GeForce GTX 980.
Maxwell et le GM204, les nouveautés Nvidia
Avant de passer aux tests concrets il convient de s’attarder sur les spécificités techniques de la carte et plus particulièrement sur son cœur : le GPU GM204 reposant sur la dernière architecture Nvidia.
Ce dernier comporte une évolution de sa structure avec la disparition du SMX Kepler pour le SMM Maxwell. Ceux-ci sont répartis en 4 GPC (Graphics Processing Clusters) de 4 SMM chacun comprenant à leur tour 128 cœurs CUDA. Cela fait en tout 2048 coeurs de calcul pour 16 SMM. A noter aussi l’explosion du cache L2 qui passe de 512Ko sur le GK104 (GTX 680) à 2Mo ici. Les ROPs ne sont pas en reste avec un total de 64 de ces bestioles dédiées au traitement des pixels contre 48 pour le GK110 et 32 pour le GK104. C’est un nombre équivalent à celui du GPU Hawaii d’AMD.
Un petit récapitulatif des caractéristiques des GPUs haut de gamme Nvidia et à Hawaii équipant les R9 290 et 290X :
GM204 : 5.2 Milliards de transistors, 4 GPC, 2048 cores, 16 SMM, 64 ROPs, 128 TMUs, 2Mo de L2, bus 256 bits
GK110 : 7.1 Milliards de transistors, 5 GPC, 2880 cores (GTX 780Ti), 15 SMX, 48 ROPs, 240 TMUs, 1536Ko de L2, bus 384 bits
GK104 : 3.5 Milliards de transistors, 4 GPC, 1536 cores, 8 SMX, 32 ROPs, 128 TMUs, 512Ko de L2, bus 256 bits
Hawaii : 6.2 Milliards de transistors, 44 CU, 2816 stream processors, 64 ROPs, 176 TMUs, 1024Ko de L2, bus 512 bits
Sur le papier le GM204 se place donc entre un GK104 et un GK110, avec cependant quelques points sur lesquels il distance ses grands frères (ROPs, L2). Nvidia annonce des performances supérieures de 40% par coeur comparé à Kepler et 2x la puissance de la GTX 680.
Au niveau des nouvelles fonctionnalités apportées par Nvidia dans ses cartes, nous pourrons bientôt utiliser « DSR » (Dynamic Super Resolution), une technique de super sampling quasi similaire au SSAA mais censé apporter la 4K sur un écran 1080p. Ensuite vient VXGI (VoXel Global Illumination), une nouvelle technologie permettant de garantir des effets de lumières réalistes en temps réel, utilisant les voxels. Cette technique sera supportée par le prochain Unreal Engine 4.
La carte de référence
Pour ce test la carte est un modèle de référence fourni par Gainward et cadencé aux fréquences définies par Nvidia soit pour le GPU 1126MHz et 1216MHz en boost. Les 4 Go de GDDR5 Samsung sont cadencés à 1750MHz.
La carte reprend le refroidissement inauguré par la GTX Titan première du nom. Ce système est constitué d’une coque externe en aluminium anodisé et présente une vitre en plexiglas montrant les ailettes du radiateur interne dans lequel l’air est propulsé via la turbine de 60mm. Ce type de refroidissement a pour avantage d’expulser l’air chaud en intégralité à l’extérieur du boîtier, et ce par l’intermédiaire d’aérations sur l’équerre. Cette équerre dispose d’un port DVI, d’un HDMI 2.0 (4K à 60Hz) et de trois DisplayPorts. C’est donc une connectique en évolution par rapport à la précédente génération.
Au dos de la carte le PCB est recouvert d’une backplate en métal texturé qui achève la finition parfaite de la carte : celle-ci est intégralement recouverte de métal et non de plastique, et quand l’on paye une carte graphique à plus de 500€, on est en droit d’attendre du constructeur un minimum d’effort sur le design et la finition. Nvidia l’a bien compris et le GTX 980 est un modèle du genre.
Au niveau de l’alimentation, on revient à deux connecteurs 6 pins, comme sur la GTX 680, preuve de l’efficacité énergétique du GM204. On retrouve enfin toujours le logo « GEFORCE GTX » rétro-éclairé en vert et personnalisable via Led visualiser (intégré à GeForce Experience).
Configuration de test
-Intel Core i7 4770K @stock
-16Go RAM 1866MHz CAS9
-Asus Sabertooth Z87 C2
-Noctua NH-U14S
-Cooler Master HAF X
-SSD Samsung 840 Pro 256Go
-HDD Western Digital Black 1To
-Alimentation BeQuiet Power Zone 750W
Cette configuration est donc orientée haut de gamme et est relativement équilibrée pour ce test de la GTX 980. C’est également ma configuration personnelle, et je teste cette carte après avoir joué longtemps avec une GTX 580 puis une 670. Les tests qui suivent ont été réalisés avec une GTX 980, une EVGA GTX 780 Classified, une GTX 670 de référence, une Sapphire R9 290X Vapor-X et une R9 290 de référence.
Benchmarks
3D Mark Firestrike/Firestrike Extreme
Dans ce benchmark considéré comme un point de repère immuable de la puissance d’un GPU, les Radeons partent avec un léger avantage.
Nvidia GeForce GTX 980 : 11043 / 5394
Sapphire R9 290X Vapor-X OC : 9635 / 4855
AMD Radeon R9 290 : 8841 / 4439
EVGA GTX 780 Classified : 7789 / 3997
Nvidia GTX 670 : 5874 / 2871
La GTX 980 a ici un très net avantage sur la concurrence et franchit la barre des 11000 points et des 5000 points sur FireStrike Extreme (pour une carte de référence). La R9 290X est distancée de même que la GTX 670 accuse le coup très sérieusement sur la nouvelle génération.
Unigine Heaven
Utilisant pas mal de fonctionnalités DirectX 11 et notamment la tesselation, Unigine Heaven est un benchmark équilibré mais souvent légèrement en faveur des GeForce.
[Ultra 1080p MSAA 8x]
Nvidia GeForce GTX 980 : 1559
Sapphire R9 290X Vapor-X OC : 1395
AMD Radeon R9 290 : 1282
EVGA GTX 780 Classified : 1258
Nvidia GTX 670 : 813
Avantage une fois de plus à la GTX 980 talonnée par la R9 290X et qui distance le GK110 de la GTX 780. La nouvelle architecture prouve dans ces benchmarks ses muscles et annonce la couleur : la GTX 980, nouvelle reine de l’arène du jeu PC ?
Jeux
Battlefield 4
Véritable référence en matière de maître étalon des GPUs, exceptionnellement bien optimisé et beau à regarder, Battlefield 4 et son Frostbite 3 envoient du lourd au niveau des graphismes, et nous livre une plateforme de comparaison idéale pour nos cartes graphiques.
[Ultra 1440p MSAA 4x en fps]
Nvidia GeForce GTX 980 : 61
Sapphire R9 290X Vapor-X OC : 49
AMD Radeon R9 290 : 44
EVGA GTX 780 Classified : 41
Nvidia GTX 670 : 36
L’avance de la 980 se confirme très nettement : 10fps de plus qu’une R9 290X, et 25 sur la GTX 670. Maxwell domine donc dans Battlefield 4. Ces résultats sont à mettre en relation avec le GK110 de la GTX 780 qui perd 20fps sur sa petite sœur.
Far Cry 3
L’open world sanglant d’Ubisoft ravit les yeux et assomme nos chers composants. Connu pour son impact sur les GPUs, Far Cry 3 est en quelque sorte un torture test lorsqu’il est poussé à fond.
[Ultra 1440p HDAO noAA en fps]
Nvidia GeForce GTX 980 : 73
Sapphire R9 290X Vapor-X OC : 67
AMD Radeon R9 290 : 55
EVGA GTX 780 Classified : 53
Nvidia GTX 670 : 35
La GeForce GTX 980 permet d’admirer les yeux exorbités de notre ami Vaas en 1440p et à 73fps de moyenne, à condition de ne pas mettre d’Anti-aliasing. En effet, dans cette résolution, le MSAA grèverait très sensiblement les résultats avec une GTX 670 sur la pente fatale. Pas de surprise, le GM204 continue de dominer ce test.
Crysis 3
Le Cry Engine 3 de Crytek met à genoux les PC les plus puissants. Bien optimisé, Crysis 3 continue d’être considéré comme un benchmark immanquable de la puissance des cartes graphiques, tout comme le fut Crysis premier du nom en 2007. Alors certes on peut se déxchaîner sur la répétition du gameplay et l’effet « Call of Duty-iste » (couloirs, scripts etc.), personne ne peut remettre en cause l’exceptionnelle baffe dans la tronche que ce titre fout à nombre de joueurs bien équipés.
[Ultra 1440p SMAA 2Tx en fps]
Nvidia GeForce GTX 980 : 67
Sapphire R9 290X Vapor-X OC : 63
AMD Radeon R9 290 : 56
EVGA GTX 780 Classified : 50
Nvidia GTX 670 : 38
On ne constate pas cette fois d’avance notable de la GTX 980 sur le haut de gamme précédent, mais elle garde toujours la tête. La R9 290X étant située juste derrière. Seule la GTX 670 accuse le coup avec encore une fois un score inférieur aux 40fps de moyenne.
Metro Last Light
Attention grosse brute : le jeu de 4A Games est beau à pleurer, et il fait pleurer les cartes graphiques du monde entier. A leurs pleurs nous nous unissons pour prouver que rien n’est encore perdu…grâce à Maxwell.
[Élevé 1440p Tess VH en fps]
Nvidia GeForce GTX 980 : 72
Sapphire R9 290X Vapor-X OC : 57
AMD Radeon R9 290 : 50
EVGA GTX 780 Classified : 58
Nvidia GTX 670 : 33
Les GeForce écrasent les Radeons dans ce jeu avec la GTX 780 au dessus d’une R9 290X fortement overclockée. La GTX 980 affirme son règne sans partage avec ses 72fps de moyenne alors que la GTX 670 stagne à 33fps. Maxwell bat donc Kepler à plate couture.
DSR et Grid Autosport
J’ai testé Grid Autosport avec Dynamic Super Resolution activé, soit un algorithme Nvidia de super sampling 1080p vers 4K et de retro sampling amélioré : la puissance nécéssaire est très importante et c’est pourquoi cette fonctionnalité n’est implémentée que sur la GTX 980. Les résultats parlent d’eux -même : 55/60 fpsavec DSR et MSAA 8x contre 80/90 sans DSR et le même AA. Mais DSR apporte un vrai plus par rapport à une résolution native FHD : les détails sont impressionnants, et l’on peut se passer d’AA sans trop pourrir l’image. Sans AA les résultats sont meilleurs : 70/80fps avec DSR. Sur d’autres jeux comme Dark Souls 2, le résultat doit être encore meilleur puisque avec des jeux « légers », DSR améliore très nettement la qualité du rendu global.
Nuisances sonores en idle/load
Afin de tester les nuisances sonores, celles-ci ont été mesurées sur le bureau windows (8.1) et dans Battlefield 4 avec les mêmes réglages que cité plus haut.
Le sonomètre est placé à 65cm du boîtier (fermé) avec un bruit ambiant proche des 20dB. La GTX 980 est avec la R9 290 et la GTX 670 une des trois cartes disposant d’un refroidissement de type « blower ».
Nvidia GeForce GTX 980 : 21,3dB / 44,6dB
Sapphire R9 290X Vapor-X OC : 26,4 / 43,1dB
AMD Radeon R9 290 : 32dB / 53 dB
EVGA GTX 780 Classified : 23,9dB / 39,8dB
Nvidia GTX 670 : 31dB / 51,6dB
Nvidia a accompli un travail exemplaire sur son système de refroidissement qui est l’un des plus silencieux du panel de cartes testées ici. La R9 290 de référence est très bruyante, tout comme la GTX 670, à la limite du supportable pour des composants très haut de gamme, alors que le ACX cooler d’EVGA remplit admirablement son job avec les meilleurs résultats en charge.
Températures en idle/load (°C)
Le protocole de test est le même que pour le bruit généré.
Nvidia GeForce GTX 980 : 33 / 79
Sapphire R9 290X Vapor-X OC : 40 / 78
AMD Radeon R9 290 : 48 / 96
EVGA GTX 780 Classified : 35 / 81
Nvidia GTX 670 : 41 / 85
Les designs ouverts dominent le classement tandis que seul le système de la GTX 980 se montre convaincant dans la famille des blowers, avec la palme de boue décernée à la R9 290. Maxwell se montre également plus « froid » que Kepler au repos comme en charge, peut-être grâce à moins grande complexité du GM204 face au GK110.
Consommation en idle/load (W)
Pour le test de la consommation, le même protocole a été utilisé
Nvidia GeForce GTX 980 : 12 / 175
Sapphire R9 290X Vapor-X OC : 19 / 247
AMD Radeon R9 290 : 20 / 223
EVGA GTX 780 Classified : 13 / 215
Nvidia GTX 670 : 15 / 206
Overclocking GPU et VRAM
Pour l’overclocking j’ai utilisé l’outil PrecisionX 16 d’EVGA ainsi que GPU Z et le bznchmark Unigine Heaven 4.0 en boucle.
En augmentant la limite de température et de consommation à son niveau le plus élevé et en boostant le voltage à 1243mV (1225mV en Boost « classique »), j’ai peu atteindre une fréquence stable au maximum de 1538mHz sur le GPU et 1900MHz sur les 4096Mo de GDDR5. Le profil « Agressive » d’EVGA Precision X16 a été utilisé pour la courbe des ventilateurs, et permet de demeurer sous les 80°C en charge lourde (10 runs d’Unigine Heaven).
Ces résultats viennent confirmer l’efficacité du GM204 avec des fréquences hallucinantes pour une carte de référence. En jeux (Battlefield 4, Metro Last Light, Crysis 3), l’overclocking permet de grapiller 20% de performance supplémentaire, ce qui rend la carte plus rapide qu’une 690 sur le papier.
Attention néanmoins à la chauffe : le GM204 a tendance à monter vite dans les températures proches des 85°C. Aussi, pour un usage au quotidien, les fréquences de base sont préférables, offrant un niveau de performance absolument satisfaisant. Dans ce dernier cas il est préférable d’augmenter les limites de température et de conso pour être confortable en toute circonstance. La courbe du refroidissement mérite qu’on s’y attarde pour optimiser les nuisances sonores de la carte graphique.
Conclusion
Un sans faute, c’est l’expression qui caractérise la nouvelle architecture Nvidia Maxwell. Ses performances surclassent ses rivales et ce dans une enveloppe thermo-sono-énergétique assez hallucinante. Personnellement le passage de la GTX 670 à la GTX 980 est un vrai renouveau en matière de performances : les jeux sont à la fois plus beaux et plus fluides et cela alors que la carte graphique accomplit vaillamment son travail dans un silence remarquable. Car si le GM204 est un excellent GPU, l’écrin d’aluminium dans lequel il est contenu ne fait qu’augmenter ses capacités et sublimer sa puissance. C’est donc un essai parfaitement transformé par Nvidia qui prend une longueur d’avance sur AMD sur le plan des performances et de l’efficacité énergétique.
La RAM, ou mémoire vive, fait partie des composants principaux et indispensables d’un ordinateur. C’est elle qui va donner à votre machine sa fluidité et la rapidité de certains programmes. En fait, la RAM évite tout simplement de « ramer ».
La RAM : C’est quoi ?
La RAM, Random Access Memory (comme l’album des Daft Punk), est appelée en France « mémoire vive ». Ce type de mémoire est bien différente de celle où vous stockez vos photos, musique ou programmes. En effet, la RAM est bien plus petite, en général sous la barre des 10 Go.
Mais techniquement, la RAM, ça fait quoi ? La mémoire vive permet de stocker les informations nécessaires à l’exécution de vos programmes, ou de vos jeux, pour que le processeur y accède plus rapidement. En effet, elle n’écrit pas sur un disque, mais dans une puce, un peu comme pour les clés USB ou les SSD. Mais contrairement à ceux-ci, les données ne sont stockées que temporairement.
Prenons exemple sur un peintre. Avant de réaliser sa toile, il étale sur sa palette toutes les couleurs qu’il aura besoin, pour ne pas perdre de temps. Sans cette opération, il sera obligé de traverser son atelier pour prendre la couleur qu’il a besoin, tracer sa ligne, puis la reposer à l’autre bout de la pièce. Et bien, la RAM, c’est comme la palette de notre peintre. Elle va permettre au processeur d’accéder aux informations nécessaire plus rapidement.
Dans le monde de la grande distribution, quand une enseigne commence à commercialiser ses propres produits, on appel ça des produits en « marque distributeur » renvoyant une image « low cost » souvent pas très valorisante.
Que l’on aime ou pas LDLC, on ne peut sûrement pas leur enlever leur expertise sur le monde du PC et une capacité à sourcer les bonnes références.
Avec ce QT01, force est de constater que nous sommes bien loin de la « marque repère » ou du produit entrée de gamme…une image de toute façon bien éloignée de celle que revendique LDLC.
Les esprits les plus chagrins diront que de toute façon LDLC ne fabrique rien et se contente de « coller » sa marque sur le produit d’un anonyme « faiseur » chinois…ce n’est pas totalement faux mais il ne faut pas oublier non plus l’historique de l’entreprise lyonnaise avec le monde du PC. Un vécu qui permet de connaitre les besoins du client final, d’appréhender les soucis du montage d’un PC mais aussi de disposer des bonnes sources pour négocier au mieux les tarifs.
Reste que le premier contact avec ce QT01 est à l’image de la société LDLC : sobre et inspirant confiance.
Le LDLC QT01 en chiffres
Boîtier LDLC QT01 en détail :
Boîtier ATX Moyen Tour (195 x 445 x 500 mm – 8 kg)
Cartes mères compatibles : ATX, Micro ATX, Mini ITX, Flex ATX et Mini ATX
Cartes graphiques compatibles : jusqu’à 310 mm de longueur
Le secteur des casques/micros pour gamers est riche, très bien représenté par un grand nombre de marques et les produits sont disponibles pour des prix allant de 10 à 500€. De Sennheiser à Logitech en passant par Beyerdynamics et Corsair, les constructeurs rivalisent de technologies et de dénominations marketing pour démontrer que leur casque propose le meilleur son « gamer »vde l’histoire de tous les temps de l’humanité ever…et si quelques-uns ne parviennent pas à concrétiser leurs rêves de grandeur, il faut avouer que ce marché est ultra compétitif et que les modèles de qualité sont plutôt faciles à trouver
Aujourd’hui je vais m’intéresser au casque de Razer « 7.1 virtuel » : le Kraken. Razer étant une marque reconnue pour ses souris, claviers et…tapis de souris, il fallait savoir ce que valait le casque du spécialiste du périphérique gamer.
Un casque vendu aux alentours des 100€ soit un budget raisonnable pour pouvoir se payer du matériel de bonne qualité et soigner ses tympans. J’aurais pu me consacrer à d’autres références, mais j’avais l’intense envie de découvrir ce que donne un casque « surround » virtuel haut de gamme.
La boîte et les trucs à l’intérieur
Razer livre son produit dans une belle boite toute verte et noire bourrée d’informations précises et incroyables : à lire ces quelques lignes, c’est sûr, le Kraken c’est le meilleur !
Bref, quand vous ouvrez la boîte vous tombez face à un magnifique texte noir sur vert fluo (très agréable comme combinaison de couleur…) faisant la promotion de la marque avec les signatures de M. le PDG et d’un certain « Razerguy », l’homme rasoir donc.
Le casque est présenté derrière une vitre en plastique qui donne un aspect théâtral au déballage de la bête. Vous trouvez aussi un petit guide d’installation et des autocollants. Personnellement, ce qui m’intéresse, c’est le produit, pas la boîte. Donc passons dès à présent au casque.
Le casque et ses belles DEL toutes vertes, et Synapse 2.0
Le casque est intégralement recouvert de plastique noir, les oreillettes sont en similicuir et sont de type fermées et circum-aural. Razer vise donc une isolation aux bruits ambiants grâce à ce design fermé. Globalement le casque est plutôt léger et le plastique est de bonne qualité (il ne s’endommage pas facilement en tout cas). Le casque abrite aussi un micro flexible rétractable et entouré d’une DEL verte du plus bel effet, tout comme les écouteurs sont marqués du logo Razer rétro-éclairé en vert fluo. A noter aussi que le Kraken 7.1 est « pliable »…pourquoi les guillemets ? Parce que cette fonctionnalité est franchement inutile. Jugez par vous même avec l’image ci -dessus.
Le Kraken se branche grâce à un câble USB classique. Une fois branché, vous devrez installer les pilotes Razer Synapse sur votre ordinateur pour pouvoir bénéficier du fameux son 7.1 surround. Voici quelques captures de l’interface de ces pilotes qui apportent une personnalisation bienvenue pour ce casque. Vous pourrez configurer le son surround selon votre audition, modifier l’égaliseur ou encore switcher entre 7.1 et 2.0 selon les applications: jeu, musique, films etc.
Ecoute : que vaut ce 7.1 ?
Et bien c’est plutôt sympa. J’ai testé le casque avec différentes musiques pour commencer. La musique électronique souvent « spacialisée » rend très bien avec le 7.1 mais le rock, la musique classique et le reste (jazz, opéra etc.) sont plus agréables en 2.0. Les basses sont puissantes, les médiums bien rendus, et seuls les aigus se cassent un peu la figure : un certain déséquilibre est présent mais il n’est pas trop marqué et l’écoute est donc généralement convaincante avec la musique.
Passons ensuite aux jeux et aux films.
Tests sur :
-Watch Chiens
-CoD Fantômes
-Champ de bataille 4
-Crise n°3 avec un « Y »
-Grand vol de voiture IV
-Skyfall
-2012
-Star Guerre III
Sur des jeux comme CoD Ghosts ou Battlefield 4 le surround fonctionne très bien, l’immersion est quasi totale. Là où ça pêche c’est sur les mondes ouverts. En effet, le test sur Watch Dogs et Assassin’s Creed IV donne un résultat moyen pour le razer. J’ai surtout remarqué un mangue d’homogénéité des basses fréquences…bref c’est plus agréable en 2.0 sur ce genre de jeux.
Dans les films le résultat est satisfaisant pour les films à grand spectacle. 2012 donne une belle baffe dans la tronche à l’écoute, et l’immersion est garantie dans Skyfall. Je n’ai pas testé le casque sur des mélodrames-dramatisant-dramatiques-avec-une-tragédie-engluée-dans-des-morceaux-de-violon…restons sérieux, ce n’est pas tellement le secteur que vise ce produit !
Pour le micro on a vu mieux même si l’isolation aux bruits ambiants est bonne. Je ne vais pas m’attarder là-dessus car on achète pas le Kraken pour son micro, mais avant tout pour avoir un casque surround à un coût plutôt raisonnable.
Confort de port
Le Kraken est recouvert d’un revêtement en tissu pour le crâne et de similicuir pour les oreilles. Ces matières sont assez résistantes et pas trop « dures », si bien qu’après plusieurs heures de port, le casque ne provoque pas de douleur particulière, son poids étant de plus assez maîtrisé.
Il y a toutefois un point noir : les oreilles chauffent sérieusement au bout de 40/50 minutes consécutives de port. C’est une sensation désagréable et retirer le casque fait le plus grand bien. Il y a donc un problème d’aération dans ce casque qui peut gêner le joueur très « concentré »…
Il m’a enfin semblé que si le casque n’était pas douloureux il appuyait assez fort sur la zone de l’articulation de la mâchoire, peut-être en raison de la forme parfaitement circulaire des oreillettes.
Conclusion
Donc pour résumer, l’écoute est plutôt bonne avec quelques couacs mais souvent une bonne restitution du son. On est loin d’un vrai son surround mais pour le prix la qualité de ce casque est largement acceptable. Quelques points apportent un vrai plus au Razer Kraken 7.1, à commencer par ses pilotes très évolués (Synapse 2.0) et faciles à personnaliser, ainsi que la très bonne spacialisation dans les sources sonores adéquates. Quelques points fâchent aussi, comme le confort et l’hétérogénéité du spectre dans certains jeux offrant de très vastes espaces.
Le Razer Kraken comblera le joueur qui n’est pas trop exigeant, se fera détester par le plus pur audiophile, amènera aux louanges éternelles les spécialistes du marketing et du packaging et nous laissera penser que pour ce prix, peu d’autres casques proposent ce niveau de qualité.
18-19 Septembre 2014 : l’événement GAME24 de Nvidia bat son plein.
La célébration du gaming PC organisée par le caméléon est retransmise en direct sur de nombreuses chaînes Youtube (dont VonGuru…12h de vidéo les gars, courage !). Mais l’attente cessa lors de l’annonce des nouvelles cartes graphiques GTX 970 et 980 sous architecture Maxwell. Les spécifications avaient fuitées sur le net avant la présentation, et si les caractéristiques du GM204 (le GPU des nouvelles cartes) étaient connues, le prix restait encore incertain.
L’annonce de Nvidia confirma les espérances des potentiels acheteurs : 550€ pour la GTX 980, et surtout, SURTOUT, un prix de 350€ pour la GTX 970 : une véritable bombe dans le monde hautement versatile du tarif des GPU. La 970 est supérieure au haut de gamme mono-GPU d’AMD, tout en consommant moins et coûtant moins cher à la fois à produire et à la vente. De quoi énerver le concepteur des Radeons qui répliqua avec une baisse très importante des 290X et 290 afin de contrer la menace Maxwell…tout bénéf pour les acheteurs ! Voici donc un tour d’horizon des références en matière de cartes graphiques, avec les nouveaux prix ! Accrochez-vous il y a du changement.
Entre 400 et 600€ : le royaume du Haut de gamme. *
Dans ce segment, c’est la performance qui domine sur le rapport perfs/prix : et là la GTX 980 surpasse ses concurrentes et sa grande sœur la 780Ti sur tous les points : chauffe, consommation, vitesse, bruit, overclocking…elle reprend la couronne et coiffe AMD.
Ce dernier à vraiment besoin d’une architecture plus économe pour concurrencer sérieusement la nouvelle architecture de Nvidia. Les refroidissements custom des R9 290X (qui se situent sur deux segments) améliorent certes les problèmes de chauffe et de bruit de cette carte, mais ce qui à la base est peu efficace le restera toujours. Voilà pourquoi la GTX 980 fait office de nouvelle référence de cette gamme de prix.
Néanmoins la 780Ti reste intéressante en raison des baisses de son prix constatées chez les revendeurs. Si vous réussissez à en trouver une sous les 450€, vous aurez fait une belle affaire.
*Non, les cartes supérieures à 1000€ ne servent à rien… Qui m’a parlé de Titan Z ??? Et encore la Titan normale, il y a de quoi dire pardi !
Entre 300 et 400€ : Forza 970, viva la 290X
Le segment où tout a changé. La GTX 970 a véritablement glacé le sang (mais pas leurs GPU…troll on) d’AMD par son prix exceptionnel et ses performances supérieures à la R9 290X pourtant plus complexe et sur le papier plus performante.
C’était sans compter sur l’incroyable efficacité du GM204 qui ont permis à Nvidia de rehausser les fréquences et donc de dépasser AMD avec une puce plus petite. AMD a donc répliqué à cette attaque frontale en décidant d’appliquer une baisse de prix drastique sur ses 290 et 290X, les plaçant au niveau du prix des 770 chez certains revendeurs. La 290X reste donc une carte intéressante malgré l’arrivée de la 970…reste à savoir si cette baisse de prix est provisoire ou définitive. Car trouver une R9 290X custom à 300€, ça risquerait d’intéresser pas mal de monde !
Entre 150 et 300€ : en attendant la 960…ou la R9 285X
Un segment assez représenté et dense puisqu’il regroupe les GTX 760,770 et les Radeons R9 270X, R9 280X et la nouvelle R9 285. Cette dernière a déçu pas mal de monde lors de sa sortie, avec un GPU Tonga semblerait-il sous-exploité et des performances quelques fois en dessous de la R9 280…mais des rumeurs évoquent une R9 285X avec un Tonga à pleine puissance…sauf que (toujours d’après ces rumeurs), AMD attendrait la sortie de la GTX 960 pour aviser sur les tarifs.
Reste la 770 et la 280X qui restent des références pour le jeu en 1080p à fond, avec un léger avantage pour la Radeon du fait de son GB de VRAM en plus (des versions 4Go de la 770 existent, mais sont plus chères). La R9 270X et la GTX760 sont un ton en dessous, et ne suffiront peut-être pas pour faire tourner les prochains jeux en ultra sur des moniteurs FHD.
Entre 90 et 150€ : obtenez plus en payant moins
Dans cette gamme de prix, vous obtiendrez de bonnes performances sans trop dépenser. Bien sûr les prochains jeux ou les grosses brutes graphiques telles que Watch Dogs (« brutes » dans tous les sens du terme, troll off) ne seront pas au maximum en ultra avec AA 8x mais ces cartes graphiques proposent de ne pas vous ruiner, et c’est déjà pas mal !
La R7 265 est une excellente référence pour moins de 120€ et les R9 270 commencent à pointer le bout de leur nez en dessous des 150€. Dans les premiers prix, ne visez pas moins qu’une GTX 750Ti custom et overclockée. Et oui, même dans ce segment, on en entend parler de Maxwell : personne n’est à l’abri !
Conclusion
Pour conclure, sachez que le choix de votre carte graphique se fera sur différents critères : avez vous besoin d’une grosse puissance (WQHD, 4K, multi-écran), désirez-vous pousser à fond vos jeux, le rapport perfs/prix signifie-t-il quelque chose pour vous ? Toutes ces question dépendent de vos besoins. Mettre une 980 dans son PC alors que l’on ne joue qu’en 1080p n’a pas plus de sens que d’utiliser une GTX 750Ti pour de la 4K…
Alors : à vos marques, prêts, analysez et trouvez le juste milieu !!! (Bon ok c’est pas EXACTEMENT ça l’expression originale)
Depuis quelques années, les smartphones deviennent de plus en plus grands, faisant la part belle aux grandes diagonales d’écrans et aux résolutions les plus importantes. Galaxy Note, LG G2, Sony Xperia Z Ultra et désormais iPhone 6 Plus, le marché des « phablettes » est en pleine expansion malgré ses détracteurs qui leurs préfèrent les petits écrans plus préhensibles à une main.
Doté d’un écran « Quad HD » offrant une définition de 2560x1440p, le LG G3 bénéficie de l’écran ayant la plus grande densité de pixels au monde avec 538 ppp (pixels par pouce). D’un point de vue tarifaire, le G3 se positionne assez agressivement en dessous d’un S5 ou d’un Z2, à 570€ environ et c’est une plutôt bonne nouvelle, surtout face à l’iPhone 6 Plus et son tarif… »cheap » (ironie inside).
La fiche technique regroupe le meilleur de chez Qualcomm : un Snapdragon 801 à 2,5GHz et doté d’un GPU Adreno 330 capable de tout faire tourner à fond. L’APN est muni d’un capteur de 13mpx, une valeur habituelle dans le haut de gamme, mais ici LG mise sur un autofocus laser censé améliorer la rapidité avec laquelle le focus est effectué. A vérifier.
MAJ 20/02/2015 : On trouve le G3 à moins de 400€ en France. La version 32Go est introuvable chez les opérateurs et la plupart des revendeurs en ligne. Depuis son lancement, d’autres smartphones ont adopté la résolution Quad HD mais le LG G3 reste le smartphone avec la plus haute densité de pixel à ce jour.
Design et finitions
L’aspect extérieur est soigné et très sobre, les bandes grises sont visibles et soulignent la finesse des bords de l’écran de 5,5″. Une caméra de 2mpx est présente en façade de même qu’un indicateur LED RGB qui s’animera en fonction des notifications reçues. En réduisant les bords de l’écran, LG a amélioré la compacité de son smartphone qui semble être à la fois plus petit qu’un S5 tout en ayant un écran digne d’un Note 3 (5,7″). Une belle prouesse !
La coque arrière est toujours en plastique, on atteint donc pas la qualité d’un One M8. Mais le plastique est de bonne qualité : aspect métal brossé. C’est déjà plus flatteur que ce qui peut être trouvé sur les produits de Samsung. La coque est amovible, tout comme la batterie, et un port micro-SD est présent pour accroître le stockage. On voit enfin les boutons situés à l’arrière : volume et allumage, en dessous de l’APN et de son flash/autofocus laser.
Le LG est livré dans une boîte assez sympa contenant des écouteurs intra-auriculaires LG QuadBeats de très bonne qualité, avec des « bouchons » supplémentaires au cas-où votre morphologie ne soit pas adaptée.
Avec ces écouteurs on trouve un guide d’utilisation, un autre petit papier et c’est tout. On peut dire qu’au niveau packaging, LG s’est aligné sur ses concurrents avec le strict minimum. Mais on achète pas un smartphone pour sa boîte.
Ecran et interface
L’écran Quad HD est vraiment très beau, utilisant une technologie IPS. Il offre une densité de pixels inouïe jusqu’ici. Les couleurs sont assez contrastées et le rendu global est moins « tape à l’oeil » qu’un S5 et son écran AMOLED. Si je devais choisir entre l’écran du S5 et celui du G3, je choisirais celui du G3, plus naturel, moins contrasté et plus « fin » dans le réglage des couleurs. Au soleil l’écran du G3 se débrouille sans trop souffrir, bien qu’il ne puisse rivaliser avec la luminosité des écran Samsung.
Cependant, on peut se poser certaines question concernant la définition de cet écran, qui est peut-être inutile comparé aux habituels Full HD (1920x1080p). L’écran impacte-t-il l’autonomie ? Sans doute, mais c’est une prouesse et une innovation sur laquelle je ne cracherai pas étant donné le recyclage perpétuel qui a lieu dans ce milieu. Il m’a semblé que dans les jeux quelques saccades apparaissaient en raison de cet écran Quad HD, mais ce n’est pas trop marqué.
L’interface Optimus UI supportée par Androit 4.4 Kitkat a été largement revue et s’appuie sur un « flat-design » très en vogue à la manière d’iOS. C’est d’autant plus agréable considérant l’ancienne surcouche LG très chargée et peu ergonomique.
LG propose une fonction « smart tips » qui vous donne des conseils sur l’utilisation du téléphone. Enfin, LG Health est présent. L’application est moins aboutie que celle de Samsung et ne représente pas un grand intérêt. Que dire de plus sur l’interface ? Qu’elle est bien évidemment personnalisable pour ceux qui aiment trifouiller dans les paramètres. Si vous achetez l’étui Quick Circle (40€) vous pourrez utiliser certaines fonctions du G3 (sms, photos…) sans ouvrir l’étui. De plus, en effectuant une « double-tape » sur la parcelle non protégée par l’étui, l’heure s’affichera…utile pour ceux qui attendent la fin des cours !
MAJ : Le G3 a été depuis mis à jour vers la dernière version du système d’exploitation Android. Lollipop apporte en plus d’une interface « material design », les fonctionnalités supplémentaires qu’y a implémenté Google (voir l’article dédié à Android 5.0 Lollipop ; Android 5.0 : les nouveautés). L’onglet de notifications a été revu, le multitâche également, et globalement le smartphone est beaucoup plus fluide et réactif. Les saccades ont presque entièrement disparu. Attention cependant, la mise à jour initiale ne résolvait pas ces problèmes, mais le patch de Google récent a apporté en plus de ces améliorations, les touches propres à Lollipop (« retour », « home », « multitasking »).
Performances et Autonomie
Avec un Qualcomm Snapdragon 801 à 2.5GHz et 2Go de RAM, le LG G3 s’avance dans le Top10 des smartphones les plus puissants au monde. En lançant Antutu benchmark, le G3 obtient un score de 35497 soit légèrement moins qu’un One M8 ou qu’un S5. Ces résultats viennent sûrement de l’écran qui « pompe » sans doute les ressources. Mais en jeu cela n’est pas perceptible en dehors de ces quelques saccades dont je vous ai parlé.
J’ai lancé également Epic Citadel qui utilise l’Unreal Engine et son rendu bluffe sur l’écran Quad HD. Il est digne d’une Xbox 360…peut-être. Toujours est-il qu’il obtient des résultats impressionnants sur ce bench : 60,4 FPS dans une résolution de 2392×1440.
En usage quotidien intense, le G3 s’en sort avec 1 journée et 10 heures de batterie. C’est acceptable mais pas génial. L’écran doit jouer en la défaveur de la batterie de 3000mA/h. L’avantage c’est qu’elle ne chauffe pas, au contraire de celle du S5 par exemple. On a donc pas l’impression de tenir un toast en pleine main.
MAJ : Avec Android 5.0, le G3 obtient un score de 40645 sous AnTuTu, une nette amélioration par rapport aux 35497 du G3 version Kitkat. Sous IceStorm Unlimited, il atteint un score de 15989 contre 11258 précédemment. Bien sûr on reste sur des benchmarks synthétiques. Mais en lançant Epic Citadel, la puce Snapdragon 801 caracole à 68.9 FPS contre les 60.4 du même appareil sous KitKat. Google aurait-il optimisé son OS plus en avant ? Le test de l’autonomie n’est hélas pas aussi concluant puisqu’on perd environ 1h de batterie. Carton rouge pour cela Bugdroid !
Photos
Dans l’ensemble les couleurs sont réalistes et pas trop vives. On note une légère tendance à tirer sur des teintes rouges mais globalement le capteur de ce G3 s’en sort très bien. La prise de photo est ultra-rapide grâce à l’autofocus laser, étant en réalité un télémètre laser. Le seul reproche que l’on peut faire à cet APN c’est son contraste un peu terne.
Cet autofocus est un réel plus pour ceux qui prennent des photos d’objets mouvants ou pour ceux qui aiment prendre les oiseaux à leur envol…quoique cette fonctionnalité ne soit pas mise en avant par LG…bizarre.
Conclusion
LG avec son G3 propose une phablette très attractive et épurée. Un écran Quad HD 538ppp, un Quad Core surpuissant, un APN très honorable, une interface agréable et un prix inférieur à ses concurrents : le LG G3 est une valeur sûre et la sortie des nouveaux smartphones Apple pourrait engendrer une baisse encore plus importante de son prix : ouvrez l’oeil. On pourra reprocher le plastique toujours présent, une autonomie moyenne et un écran inutilement défini, ce que le G3 ne fait pas mieux que ses concurrents, il le fait pareil. C’est doncun smartphone convaincant pour ceux qui aiment les grands écrans.
MAJ : Après 4 mois d’utilisation et deux mises à jours majeure dont le passage à Android 5.0, le G3 demeure une valeur sûre et un « flagship » indéniablement puissant. Les amélioration d’Android 5.0 lui permettent même de glaner quelques point supplémentaires dans sa note finale. Si vous cherchez un smartphone haut de gamme à moins de 500€ avec un écran de 5.5 pouce très haute résolution, foncez ! Si vous possédez le G3, la mise à jour s’impose, vous nous remercierez pour le conseil…
Nouvelle chronique sur Vonguru.fr : La config’ du mois ! Cette chronique présentera toutes les 4 semaines une nouvelle configuration PC choisie par nos soins (Gamer, Bureautique, multimédia, etc..). Les configurations annoncées ont pour but de vous proposer une machine avec le meilleur rapport qualité prix possible. En espérant que cela vous plaise, nous allons partir aujourd’hui sur une configuration gamer plutôt classique, avec un budget de 850€.
Le processeur et le ventirad
Une configuration gamer est une configuration puissante. Et plus les composants sont puissants, plus ils sont chers. Au vue notre budget, le choix s’est porté ici sur un processeur AMD : Le FX-8320 Black Edition.
Nous avons choisis ce processeur de par ses 8 coeurs, mais aussi grâce à sa fréquence de 3.5 GHz. De plus, son rapport qualité prix est surprenant : 135,70€ pour ce processeur que l’on peut comparer aux meilleurs i5.
Puissant, en effet. Mais si vous souhaitez plus de performances, vous pouvez bien entendu overclocker ce processeur, afin de rivaliser avec le modèle au dessus, le FX-8350.
Malheureusement, cette belle bête à des inconvenants : sa consommation est un peu trop élevée, et il chauffe pas mal. Pour remédier à ce deuxième problème, je vous propose de changer le ventirad d’origine avec le très bon Cooler Master Hyper 212 EVO.
Ce ventirad diminuera considérablement les températures de votre GPU, tout en restant silencieux. Il atteint au maximum les 31 dB, ce qui n’est pas excessif pour un ventirad. De plus, son prix minime d’environ 30€ fais de lui un des meilleurs ventirads de sa gamme. Attention tout de même, il est plutôt difficile à installer. Veillez donc bien vous référer à la notice fourni avec.
Pour accueillir ce processeur, le choix s’est porté sur une carte mère MSI 970A-G46. Pourquoi cette carte ? De par la qualité des cartes mère MSI, et d’autre par le fait que cette carte mère permet l’overclocking.
Avec cette carte mère, vous bénéficierez de 2 ports USB 3.0 et 6 ports USB 2.0, de l’audio en 7.1, de deux ports PCI express x16, qui vous permettra de faire, pourquoi pas, un futur SLI ou Crossfire.
De plus, MSI vous propose le Click Bios II, qui ajoute une interface graphique à votre bios, que vous pouvez maintenant contrôler à la souris. La marque vous fournis aussi la fonction OC Génie II, qui vous permet d’overclocker votre processeur de manière efficace en un clic seulement.
Toutes ces choses, dans un prix très correct : environs 70 €.
Attaquons nous maintenant à la partie la plus intéressante de la configuration de ce mois d’octobre, la carte graphique. Nous allons cette fois ci partir sur une carte Nvidia : la Gigabyte Geforce GTX 770 OC 2Go pour environs 265€.
Cette très belle carte graphique de Gigabyte vous offrira, en plus de la puissance de la GTX 770, un refroidissement maximal avec ces 3 ventilateurs, et une plus grande puissance, car overcloquée d’usine. Elle vous permettra de jouer à tous vos jeux préférés avec les graphismes au maximum.
Vous bénéficiez évidemment de toutes les technologies Nvidia tel que GeForce Exprerience, qui permet une optimisation automatique de vos jeux, ou même Shadow Play, qui enregistre pour vous vos meilleurs gameplays.
Bien évidemment, pour une configuration gamer, il est fortement conseillé de posséder 8 Go de RAM. Et bien, nous avons pas fait exception à la règle, puisque nous avons choisi un kit de deux barrettes de Ram de 4 Go : le Kit Dual Channel DDR3 Crucial Ballistix Sport, cadencé à 1600 Mhz. Le tout coûte 76€, et est garanti 10 ans.
Pour le stockage, nous vous proposons le meilleur des performances en vous ajoutant un SSDKingston Now V300 de 120 Go. Ce SSD d’environ 60€ vous permettra de lancer windows en quelques secondes seulement, tout comme le reste de vos programmes installé dessus.
Pour le reste de vos programmes, ou bien vos vidéos, photos, musiques, nous vous proposons un disque dur 1 To : le Western Digital Caviar Blue, avec 7200 tpm pour 50€. Les disques dur de cette marque sont réputés pour leur fiabilité et leur performance.
Pour faire tourner tout ces composants, il vous faudra une alimentation qui tienne la route. Pour cela, le choix s’est porté sur la Cooler Master G600.
Cooler Masterune alimentation de 600W, certifiée 80+ bronze, que l’on peut trouver aux environs de 60€. La certification vous garantie un rendement supérieur à 85%, ce qui est très bien pour une alimentation de cette gamme. En revanche, si vous comptez faire évoluer votre configuration avec un SLI ou un Crossfire, il vous faudra surement changer d’alimentation, ou en choisir une plus puissante.
Choisir un bon boitier est important, pour la survie de vos composants, mais aussi pour le coté esthétique et silencieux. Ici, nous avons fait confiance à Corsair, avec son Graphite 230T pour 80€.
Nous avons choisis ici la version noire, avec fenêtre, Mais ce n’est qu’une question de gout. Ce boitier existe aussi sans fenêtre, ou même en orange.
Cette boite au design plutôt sobre vous garanti un refroidissement maximum avec ses deux ventilateurs fournis de base. Attention : un seul ventilateur façade à LED est fourni ! Le deuxième se trouve à l’arrière de la tour. Il vous offre également de grandes possibilités de câble management, mais aussi d’ajout de stockage avec ses 4 emplacements disques durs 3.5″ et ses 4 emplacements dédiés de 2.5″.
L’achat d’un graveur n’est plus indispensable avec l’arrivée de la dématérialisation. Toute fois, je vous conseille d’en prendre un, dans le cas où vous en aurez besoin. Le moins cher nous suffira largement, c’est pourquoi nous avons choisis le Samsung SH-224DB/BEBE pour 16€.
Attention : il vous faudra impérativement 1 câbles SATA en plus si vous prenez un graveur,
Comme vous l’avez peut être constaté, nous avons choisis des composants de couleurs noir et bleu, sauf pour les LED du boitier. Je vous conseille donc, pour avoir une certaine cohérence dans les couleurs, un ou deux ventilateurs à LED bleues, comme le Corsair AF120 Quiet Edition 120mm Bleu pour 10€ l’unité. Il vous permettra, en plus d’améliorer l’esthétique de votre boitier, de refroidir encore mieux celui-ci, et de garder un maximum de silence avec ses 25dB.
Avec tout ces composants, nous avons atteint notre objectif : Créer une configuration gamer pour moins de 850 €. Évidemment, il est tout à fait possible pour vous de changer de composants en fonctions de vos préférences ou de votre budget.
En espérant que cette chronique vous aura plu, on se retrouve dans un mois, pour la config’ du mois de novembre !
Nous le savons tous, les systèmes d’exploitation Windows ne sont appréciés qu’une fois sur deux. On peut, par exemple, parler du très bon XP, du mauvais Vista, de l’excellent Seven, puis du flop Windows 8.. En suivant la logique des choses, le nouveau Windows 9 devrait faire partie des bons systèmes. Et Microsoft mise bien dessus. La firme a décidé d’écouter les demandes de ses utilisateurs, et se met a inclure des fonctionnalités demandées, ou a retirer les défauts de Windows 8. Dans cet article, nous parlerons donc de ce fameux Windows, et principalement de ses nouveautés.
Le menu démarrer
Vous le savez sans doute, un des gros problèmes de Windows 8 était la disparition du menu « Démarrer ». Ceci a pas mal contribué à sa mauvaise réputation. Dans la mise à jour Windows 8.1, il était possible de retrouver un semblant de « Démarrer » mais cela n’a pas réussi à calmer les foules.
Microsoft a compris que son menu démarrer est irremplaçable et a donc décidé de le ré-implémenter dans Windows 9. Celui-ci différencie les applications conçues pour le tactile avec les applications classiques. Le design des applications « tactiles » ressemble au Modern-UI, qui a été très critiqué sur le précédent OS à cause de son ergonomie fait pour écran tactile. En revanche, il a l’air, cette fois ci, mieux pensé pour les utilisateurs « claviers / souris ».
Les bureaux virtuels
Un chose que la communauté attendait beaucoup : Les bureaux virtuels.Déjà disponibles sur plusieurs instances de Linux, cette fonctionnalité permet de mieux organiser ses fenêtres. Vous pouvez, par exemple, ouvrir sur un bureau votre musique, votre navigateur, avec Facebook et Twitter, et sur un autre, travailler sur votre compte rendu à finir pour la semaine prochaine. Vous ne serez pas distrait, et vos pages seront toujours ouvertes. En revanche, vous pourrez voir quelles pages sont ouvertes sur l’autre bureau, indiquées par une barre bleue sous l’icone du programme dans la barre des tâches.
Le centre de notification
Un moyen rapide de voir ce qu’il se passe sur son ordinateur : le centre de notification. Cette petite fenêtre se comporte comme sur un téléphone : elle affiche des informations systèmes ou logicielles pour l’utilisateur. De ce fait, nous savons en un coup d’œil si, par exemple, nous sommes contacté via skype, ou bien si une clé USB a été branchée sur le PC.
Il est possible de supprimer les notifications déjà lues, ou bien même d’effacer la liste. De quoi ne pas se perdre dans tout ce flot d’informations.
Cortana
Mais que fait la célèbre IA de la saga Halo ici ? Et bien, Cortana est le nom que Microsoft a donné à son assistant personnel, qui devrait concurrencer Siri et Google Now. Sur PC, Cortana effectue la fonction « Remind Me », qui est un agenda personnel. Mais de futures fonctionnalités doivent êtres apportées. De plus, rien ne nous montre pour le moment que Cortana sur PC fonctionnera avec la reconnaissance vocale. Mais ce sera surement le cas. En tout cas, l’assistant personnel de Microsoft est déjà disponible sur Windows Phone.
Conclusion
Windows 9, qui est annoncé comme la version moderne de Windows 7, est pour le moment très prometteur. De par le retour du menu démarrer et d’un vrai bureau, mais aussi par ses nouveautés. Le flop de Windows 8 a bien fait comprendre à Microsoft que le tactile ne remplacera pas le bon vieux clavier/souris, et la firme de Redmond propose donc une nouvelle version de Windows conçue pour cela.
Les fonctionnalités annoncées sont très intéressantes, et faciliteront sans aucun doute la vie des utilisateurs. Les bureaux personnels nous aideront à mieux nous organiser. Le centre de notification, quand à lui, est un très bon moyen de savoir ce qu’il se passe sur son ordinateur. Enfin, si Cortana est bien réalisée, elle pourra grandement nous aider à effectuer des taches simples rapidement.
Il semblerait que nous devions attendre seulement quelques jours avant une annonce…patience donc et observons avec attention la conférence de Microsoft de fin septembre.
Après de nombreuses fuites, les GTX 970 et 980 ont enfin été officialisées par Nvidia, de même que les cartes disposant d’un système de refroidissement personnalisé.
Nous allons dans cet article nous intéresser plus précisément au tout nouveau Twin Frozr V de MSI. De nombreuses améliorations sont apparues, l’occasion pour nous de faire un tour du propriétaire.
Nouveau look
Avant de rentrer dans les détails plus techniques, la première chose que l’on remarque est une légère modification de la couverture en plastique recouvrant le radiateur (et non toujours pas de métal ici). On retrouve les mêmes « griffes » que les cartes mères Z97 de la marque qui lui donnent un design globalement plus « agressif » que l’ancienne version.
Les utilisateurs disposant d’un boîtier fenêtré seront aux anges en découvrant le dragon ainsi que le logo MSI présents sur le haut de la carte. En effet, ces derniers sont rétroéclairés lorsque la carte graphique est sous tension !
Des ventilateurs retravaillés
La première modification apportée sur les ventilateurs a été de les agrandir : ils font désormais 10 centimètres de diamètre et disposent d’une alternance entre deux pales différentes (Torx Fan Technology). On a donc une combinaison de pales à haute dispersion permettant une meilleure prise d’air, et de pales classiques dirigeant le flux vers l’intérieur du radiateur.
Mais ce n’est pas tout ! La gestion des ventilateurs a aussi évolué : les ventilateurs sont désormais contrôlés de manière indépendante en fonction des capteurs thermiques présents sur les principaux composants produisant de la chaleur. D’après MSI, cela permettrait de réduire les nuisances sonores jusque 1.9dB.
Les adeptes du silence apprécieront l’arrêt complet des ventilateurs tant que la température est inférieure à 60°C. Cette fonctionnalité peut bien évidemment être désactivée via le logiciel fourni par MSI.
Un radiateur prêt pour l’overclocking
MSI n’a pas augmenté le nombre de caloducs pour réduire les températures, mais a opté pour l’utilisation d’une large plaque en cuivre pour réaliser les échanges thermiques entre les heat-pipes et le GPU.
Vous pouvez aussi remarquer que MSI a conservé l’utilisation de « SuperSU Heat-Pipes » pour éloigner plus efficacement et plus rapidement la chaleur vers les extrémités du radiateur.
Afin de conserver la mémoire vidéo au frais et donner un peu de rigidité à la carte, un radiateur supplémentaire a été installé pour permettre un refroidissement passif supplémentaire.
Petit prix oblige, le N2310 n’a pas des composants aussi haut de gamme que son grand frère le N2560 et dispose uniquement d’un CPU APM cadencé à 800Mhz accompagné de 512Mo de DDR3. Il peut accueillir jusqu’à deux disques dur 3,5 pouces
C’est largement suffisant pour une utilisation multimédia, mais les utilisateurs à la recherche des meilleures performances se tourneront vers la gamme équipée de CPU Intel.
Le Bundle
Thecus fournit tout le nécessaire au fonctionnement de votre NAS, avec un guide de démarrage rapide, un câble d’alimentation, un câble réseau ainsi que deux sachets de vis.
Vous trouverez aussi un CD contenant les manuels au format PDF ainsi qu’une carte concernant la garantie (qui est de deux ans). Il vous faudra par contre télécharger le logiciel de mis en route du NAS sur le site du fabricant.
Le NAS
Passons maintenant au boîtier, qui est entièrement en plastique, avec une finition brillante (sensible au traces de doigts) et mate. La qualité de fabrication est bonne, sans être exceptionnelle.
La connectique est complète avec deux ports USB (dont 1 en 3.0), un prise Gigabit LAN, un bouton Reset et l’entrée d’alimentation. Vous remarquerez aussi la présence d’un passe-câble et du système de verrouillage.
L’installation du NAS est assez simple, principalement grâce au système d’insertion des disques dur qui est très facile d’utilisation (le remplacement d’un disque dur se fait en une petite minute). Il faut ensuite lancer le logiciel fourni par Thecus, qui va se charger de détecter le NAS et lancer la configuration initiale (création du RAID et formatage des disques). A noter que dans mon cas, mon disque dur contenait des données, et le formatage fut particulièrement long.
Une fois arrivé sur l’interface de gestion (accessible via votre navigateur), vous aurez accès aux fonctions de base du NAS, comme la création d’utilisateurs ou de dossiers personnels protégés. Il est juste dommage que l’interface soit quelques fois lente et peu conviviale.
Un gros atout de ce N2310 est la possibilité d’installer des applications officielles, mais aussi des applications tierces, développées par la communauté. Alors certes le choix n’est pas très large en raison du CPU APM et non Intel, mais on peut tout de même avoir une appli Dropbox, ou encore héberger un site ou une base données.
Ne disposant pas au moment du test d’un switch Gigabit Lan, je n’ai malheureusement pas pu réaliser de test de débits. Cependant, les benchmarks disponibles sur la toile se rapprochent des débits annoncés par le constructeur (100Mo/s en lecture et 80Mo/s en écriture).
Logitech ne s’arrête plus : pas un mois sans qu’un nouveau produit pointe le bout de son nez au sein de la gamme G.
Après les souris G502 et G402, c’est au tour d’un clavier de venir renforcer la panoplie gaming de la marque.
On connaissait le vieillissant G710+, voilà venir le G910 Orion Spark, ne dérogeant pas à la nouvelle lubie des noms à rallonges chez nos amis suisses.
« Ce clavier est l’aboutissement d’années de développement continu par notre équipe d’ingénieurs, prenant en compte les remarques des joueurs et des pros eSport afin de développer une touche mécanique de nouvelle génération »…ça ne rigole pas et il faudrait mieux car avec un prix juste en dessous des 180€, le nouveau bébé de Logitech n’a pas intérêt à se manquer.
Reste que pour justifier ce positionnement tarifaire, le G910 devra disposer de sérieux arguments. Sa disponibilité effective est annoncée pour Novembre 2014. Nous pouvons cependant déjà détailler ses points forts :
Logitech G910 Orion Spark RGB : des fonctionnalités pensées pour la performance
Les touches mécaniques Romer-G en trois mots : rapidité, sensibilité et résistance
Logitech G910 Orion Spark RGB dispose des nouvelles touches mécaniques exclusives Romer-G dont aucun autre clavier ne dispose. Avec un point d’activation de 1.5 mm, les touches Romer-G enregistrent vos frappes avec une rapidité record. Le clavier peut résister à plus de 70 millions de frappes, soit une résistance plus importante de 40% par rapport aux autres claviers du marché, ce qui en fait un partenaire idéal pour des séances de jeu intenses.
Un éclairage RGB intelligent
Le rétroéclairage de chaque touche du G910 Orion Spark RGB est individuellement personnalisable grâce à une palette de 16.8 millions de couleurs. Vous pouvez marquer d’une couleur chacune de vos touches dans le but de simplifier vos commandes d’action. Ainsi vous pouvez changer les couleurs en fonction de vos configurations selon les types de partie, ou configurer un éclairage spécifique pour chaque jeu. Avec un éclairage situé au centre de chaque touche et dirigé par des optiques de précision, Logitech G assure un éclairage bien équilibré de chacune des touches.
Intégration d’Arx Control
Arx Control est une nouvelle application de Logitech G qui fonctionne avec LGS (Logitech Gaming Software) et offre une expérience de jeu plus riche. En effet via cette fonctionnalité vous pouvez afficher sur votre écran mobile une vaste gamme d’informations à configurer vous-même : informations sur la partie en cours, statistiques de performances du joueur, niveau de vie ou encore les paramètres d’affichage ou sonores.
En utilisant notre Arx Control SDK, les développeurs de jeux ont la possibilité de créer des microprogrammes pour livrer un contenu unique aux joueurs. Des développeurs réfléchissent déjà à intégrer cette fonctionnalité notamment Valve pour sa plateforme Steam et ses jeux les plus populaires. Le G910 Orion Spark RGB dispose d’un plateau détachable qui supporte la plupart des dispositifs iOS® et Android™, fournissant un accès facile aux données de Arx Control.
Neuf boutons programmables
Vous pouvez également personnaliser votre jeu préféré en assignant des contrôles du jeu et des macros aux neuf G-keys programmables individuellement, pour des accès rapides et faciles aux commandes complexes. Le G910 Orion Spark RGB supporte jusqu’à 27 commandes à travers trois profils pour un confort maximum. De plus, la configuration est simple en utilisant Logitech Gaming Software.
Même si MSI destine ce PC aux gamers, on est quand même face a un produit clairement haut de gamme qui respire la qualité.
Un design travaillé
MSI envoi clairement du lourd sur la qualité et la finition de son produit avec des matériaux de qualité. Le design est très travaillé et reprend le thème Gaming de la marque avec un thème rouge et noir. La bande transparente présente sur le bas et qui supporte une bonne partie du poids rend particulièrement bien et donne un côté "produit de luxe" à la machine.
Afin de pouvoir exploiter pleinement la dalle tactile, MSI est parti sur un design sans bord, rendant la face avant complètement plate et épurée. Du tout bon !
Des caractéristiques haut de gamme
Ce PC ne fait pas les choses à moitié, avec un écran 27" tactile (anti-reflet), des enceintes stéréo Yamaha, un lecteur Blu-ray et toutes les connectiques possible et imaginables (avec entre autres du Wifi AC, une entrée HDMI, un lecteur de cartes SD et de nombreux ports USB 3.0).
Le modèle que j'ai pu tester était équipé, pour faire court, d'un i7-4860HQ (quad core, turbo à 3.6Ghz !), de 16Go de ram, d'une GTX 880m et deux SSD de 128Go en RAID 0. Et comme vous pouvez le voir avec ces quelques benchmarks, les performances sont à la hauteur de nos attentes, avec des débits en lecture/écriture équivalent à un RAID 0 effectué sur PC classique, et un CPU Haswell qui carbure à plein régime ! On est certes loin du i7 classique équivalent, mais on est au niveau d'un 4670K tout de même.
Cependant les performances en jeu nous rappellent que le tout-en-un est équipé d'un GPU mobile, et malgré le fait que tous les derniers jeux tournent en élevé/ultra, on reste bien loin de nos bons GPU de bureau qui restent beaucoup plus rentables.
Mais onéreux
Si on ne tient pas compte du prix, ce All-in-One de MSI offre une excellente expérience de jeu avec de plus une qualité de fabrication et de finition irréprochable. Mais avec un prix de vente fixé à 2 249€, on est bien loin de l'équivalent en PC fixe classique. Même un PC portable est plus intéressant avec ce budget. Alors certes, le confort de l'écran 27 pouces disparaît, mais je vous mets au défi de transporter un AIO de près de 20kg pour aller chez vos amis ou en vacances…
Pour quel public ?
Une question se pose alors : pour qui est destiné ce produit ma fois étrange ? Il s'agit d'une excellente question ! Un Gamer lambda prêt à investir 2300€ dans une machine se tournera probablement vers un PC fixe classique, tandis que les joueurs à la recherche de mobilité investiront dans un PC portable haut de gamme. Surtout que ce type de machine peut difficilement être mis à jour pour supporter les titres derniers cris une fois dépassé.
Les AIO sont normalement destinés à trôner dans le salon, pour faire office de PC familial et d'objet de décoration (l'iMac fait cela parfaitement par exemple). Ce type de machine est donc normalement équipé de composants plus classiques (CPU performant et GPU d'entrée de gamme). Lors du dernier replay de la rédaction, nous avions évoqués le fait que des gamers plus âgés à la recherche d'un produit haut de gamme et luxueux pourraient être intéressés par un AIO dédié au jeu.
Néanmoins, la place de AG270 reste dans les salons ou dans les LAN. Il brille dans ce genre de situation grâce à son côté tape-à-l'oeil, et attirera probablement la curiosité de nombreuses personnes !
Il devient de plus en plus évident que Logitech a décidé de reprendre en main sa gamme G. Nous avions déjà évoqué cette évolution dans la stratégie de la marque suisse au moment de la présentation de la très réussie G502 Proteus Core.
Le leader mondial du périphérique PC semble donc vouloir enchainer en annonçant aujourd’hui la G402 Hyperion Fury, une nouvelle souris qui là encore, se veut très pointue et le résultats d’une étude précise du comportement des joueurs.
Après la « Proteus Core« , nous passons donc à la G402 Hyperion Fury ( il semble qu’un spécialiste de la mythologie antique hante les instances marketing de la marque ), une souris filaire particulièrement dédiée aux joueurs de FPS.
Comme le proclame clairement Logitech : Sur le milliard d’adeptes de jeux sur PC dans le monde, 290 millions s’adonnent à des jeux de type FPS. Cela représente 30 % des joueurs du monde entier ! La marque a donc décidé d’adopter une segmentation au sein d’une gamme déjà spécifique…voilà qui en dit long sur ses ambitions dans le monde de l’Esport en particulier et des gamers intensifs en général.
Comme la G502 qui disposait de son lot d’innovations voir de records ( la Proteus Core dispose d’un capteur 12K Dpi ), la G402 Hyperion Fury revendique le titre de souris gaming la plus rapide du monde.
Avant de rentrer dans les détails, il semble évident que Logitech a particulièrement étudié les préoccupations de cette catégorie de joueurs, se focalisant sur l’essentiel : faciliter les mouvements rapides et amples en mettant donc le paquet sur la réactivité et la précision.
Ergonomie
C’est immédiatement le mot « légèreté » qui vient à l’esprit au premier contact de l’Hyperion Fury. Certes, nous sortons d’un essai de sa grande soeur la G502 qui s’affirmait avec ses 160Gr, les presques 20 grammes de moins de la petite nouvelle ( qui pèse donc autour de 142Gr ) se font donc sentir dès la première prise en main.
On retrouve aussi une combinaison de matière ( softtouch et plastique texturé ) qui est particulièrement confortable. La prise en main est excellente et le positionnement des boutons est à mon sens plus abouti que sur la G502. On retrouvera à ce sujet 8 boutons configurables à l’aide du logiciel LGS, confirmant aussi que la souris n’a pas qu’une unique vocation FPS.
A l’utilisation, la qualité de glisse est remarquable. La surface des patins ni est pas étrangère, ces derniers sont nombreux et larges. En plus du design et du poids global de la souris c’est sans doute à eux que l’on doit cette sensation de légèreté même après plusieurs heures d’utilisation. La souris se fait clairement oublier de part son poids mais aussi compte tenu de la fluidité de ses déplacements.
Design / Qualité de Fabrication
Niveau design, plus grand chose à voir avec la G400s que la petite dernière remplace. La marque Suisse semble décidiée à continuer à imposer un nouveau design plus agressif en rupture avec les lignes douces que nous retrouvions sur les anciennes gammes. Sans vouloir faire de l’anticipation / lecture de boule de crystal, on comprend bien que Logitech s’est lancé dans une rupture totale qui va sans doute progressivement couvrir toute les références « G ».
Concernant la qualité d’ensemble, il ni a jamais de mauvaise surprise avec Logitech. Cependant, le premier contact et cette sensation de légèreté contraste fortement avec le premier feeling de la G502. Les assemblages sont de grande qualité et les matériaux utilisés sont excellents aussi même si on constate que nous sommes sur une gamme en dessous ( notamment la molette qui semble plus frèle ).
Reste qu’après une bonne semaine d’utilisation exclusive, il ni a rien à dire et que le retour à un autre produit ( j’utilise au quotidien une Corsair M65 ) fait bien constater la différence de poids. La G402 se fait tout simplement oublier grâce à sa légèreté et à la qualité de sa glisse…mais cela se paie par un corps intégralement en plastique là où la Corsair, situé au même prix, dispose d’un châssis en aluminium.
Pour un joueur cherchant la performance absolue dans ses périphériques, cette fluidité et cette légèreté sont des avantages incontestables. L’Hyperion Fury dispose sur ce terrain d’une grosse avance sur ces concurrents. Par contre pour un utilisateur lambda cherchant la polyvalence, la légèreté de l’ensemble affecte la qualité perçue du produit.
La G400s, la nouvelle G402 et sa grande soeur la G502 Proteus Core
Driver et configuration
Comme tout bon périphérique Logitech, la G402 est parfaitement reconnue à son branchement. Cependant, pour accéder à tous les raffinements du bébé, il est indispensable de télécharger LGS ( Logitech Gaming Système ), sorte de tour de contrôle des périphériques gaming de la marque.
L’outil mis à disposition par Logitech est particulièrement bien fait. Multilingue ( et donc en français ), il est intuitif, simple tout en permettant de faire un maximum de choses.
La G402 peut stocker 1 seul profil dans sa mémoire interne, l’utilisation du logiciel permet de dépasser cette limitation et de créer un nombre illimité de profils, un par jeux par exemple.
Pour faciliter ça, l’outil Logitech offre une fonction de scan de votre PC qui permet de détecter les jeux installés et de créer un profil pour chacun d’eux.
Une fois le scan réalisé, il devient simple de rentrer dans le paramétrage précis pour chaque titre…une fois que votre jeu sera lancé, le soft appliquera automatiquement le paramètre dédié à la souris.
Au-delà de la gestion des macros et du réglage de la résolution, l’utilitaire donne accès à quelques fonctionnalités intéressantes. L’illumination du logo, la sensibilité du capteur, la « balance » entre le capteur optique et le Fusion Engine…
Précision / Performances
La nouvelle souris Logitech intègre deux capteurs afin de combiner performance et précision. Dans la théorie, le capteur Delta Zero, qui est présent depuis un petit moment sur pas mal de souris G, s’occupe de la précision avec une résolution allant jusqu’à 4000Dpi. Le Fusion Engine s’occupe quant à lui de la vitesse en encaissant des déplacements jusqu’à 12.7 métres par seconde ce qui est clairement du jamais vu sur une souris de cette gamme. Le moteur Fusion est géré par un petit processeur ARM qui optimise la précision de la souris en temps réel.
Les concurrentes de la dernière Logitech sur ce segment se contentent de 3.7 m/s ( SteelSeries Sensei ) à 5.1 m/s ( Razer Deathadder ). Même si ces deux dernières disposent d’une résolution supérieure, la spécialisation assumée de l’Hyperion Fury comme produit dédié FPS lui permet donc de se différencier totalement de ce point de vue : la résolution étant presque secondaire pour les joueurs de FPS qui sont à la recherche d’une réactivité maximale.
La relative faiblesse de sa résolution ( et on notera bien « relative » ) permettra tout de même d’utiliser la G402 ailleurs qu’en FPS, au quotidien et même pour les joueurs moins hardcore de MOBA ou MMO. La G402 fera alors ussi bien que sa grande soeur la G400s qui a équipé pas mal de monde sans que cela ne soulève de drame concernant sa précision ou sa rapidité.
Rapport Qualité / Prix
Lancée à 59€, la nouvelle Logitech plonge au coeur de la bataille avec un produit que le constructeur a volontairement spécialisé au risque de le marginaliser. Face à l’Hyperion Fury on retrouve aussi des souris « spécialisées » FPS comme la Corsair Vengeance M65 ou encore la Func MS-3. Les caractéristiques techniques de la dernière née de Logitech lui permettent de prendre le dessus facilement, évidemment en grande partie avec l’aide de son excellent capteur jusqu’à 3x plus performant que la concurrence proche.
Conclusion
La G402 Hyperion Fury est clairement une souris exclusive. Par clairement exclusive je veux dire qu’elle se destine aux utilisateurs dont la préoccupation principale est le jeu. Elle sera aller sur d’autres domaines que le FPS ( MMO et MOBA ). Sa technologie lui permettra de faire aussi la différence sur ces jeux. En revanche, l’utilisateur à la recherche d’un produit polyvalent pour son usage quotidien sera frustré et ne sera pas en mesure d’apprécier les qualités du produit. Tout juste pourra t-il relever la légèreté et la fluidité d’ensemble.
Jusque là « lisse » et consensuelle, la gamme Logitech n’était pas synonyme d’usage exclusif. Avec cette Hyperion Fury, la marque Suisse produit une référence sur un secteur ultime. Il est certain que cette souris fera des adeptes chez les pro gamers et les amateurs exclusifs…qui sont les prescripteurs d’un marché sur lequel Logitech veut reprendre la main.
C'est maintenant une histoire de jours…d'heures même. La semaine prochaine Nvidia va dévoiler ce que nous avons appelé la Shield 2, avec une commercialisation programmée pour mi-août en Europe.
Une fuite importante révélée par Videocardz.com, vient aujourd'hui nous en dire un peu plus et surtout corroborer l'essentiel de notre analyse sur la vision de Nvidia pour son projet Shield.
La nouvelle Shield sera donc en premier lieu une tablette disposant du Tegra K1, d'un écran 8" et d'un stylet ( pour faire court ).
Cette tablette sera la première brique de l'édifice "gaming" Shield. Le prix d'entrée serait de 299€ pour la version Wifi 16Go.
La première option, logiquement, sera une manette sans fil totalement conçue pour utiliser la Shield, avec les mêmes outils que nous avions découvert sur sa grande soeur ( mapping…). Cette manette devrait se positionner aux environs de 59€.
Cette manette reprendra tous les raffinements qu'on peut attendre d'un contrôleur haut de gamme avec un effort particulier apporté sur la réactivité et quelques bonnes idées comme une prise casque.
Un smartcover sera la troisième option, pour le moment on ne peut pas trop en parler mais je m'attendais à un dock permettant de positionner la tablette sous le téléviseur et de l'utiliser comme une console reliée en HDMI.
Si la tablette semble un peu plus lourde qu'une 8" classique ( 385Gr contre 315 pour une Galaxy Tab 3 de même taille ), elle dispose d'un châssis en magnésium afin de dissiper au mieux la chaleur générée par son K1.
C'est avec ce dernier que nos amis de Nvidia comptent faire la différence en imposant sur la marché des tablettes une puissance graphique très au-dessus du lot ( Nvidia insiste régulièrement sur le fait que son nouveau Tegra est un enfant légitime du Kepler qui équipe nos plus grosses cartes GTX du moment ).
Le positionnement de cette tablette Shield n'est évidemment pas "mainstream" mais clairement orienté vers les joueurs.
J'ai déjà dit tout le bien que je pensais de cette stratégie de Nvidia.
En proposant une tablette couvrant les usages classiques d'un périphériques équivalent androïd ( voir plus avec le stylet ) pour 299€, le caméléon va sans doute faire un carton avec un produit capable d'évoluer dans son écosystème avec le GameStream et sans doute l'arrivée du GRID en Europe dans quelques temps. Nul doute que des packs "Noël" vont apparaître avec la manette et quelques abos / jeux.
Avec une tablette intéressante techniquement et bien positionnée commercialement, une stratégie visant à parler aux joueurs et des déclinaisons / options…Nvidia va sans doute cartonner sur la fin d'année tout en renforçant le reste de son business. En proposant de disposer de l'expérience du jeu PC sur tablette ou sur sa TV, Nvidia peut voler la vedette à pas mal de monde….je pense à Valve et à ses Steam Machines en premier.
On ne peut pas classer le Nvidia Shield au rang des nouveautés…on préférera parler de curiosité.
Console portative sous androïd, une certaine fainéantise m'avait poussé à ranger cette Shield au rang des produits bâtards sans avenir.
La curiosité a tout de même pris le dessus lorsque j'ai eu l'opportunité d'avoir un exemplaire entre les mains.
Tout d'abord, il convient de préciser que le Shield n'est pas et ne sera pas commercialisé en Europe; nous y reviendrons plus loin mais il est cependant fort probable qu'un Shield 2 arrive en France au cours de cet été 2014.
Il reste cependant possible de se procurer ce Shield par internet et son prix officiel aux USA est de 199$.
La Shield c'est quoi ?
Comment définir la Shield simplement ? c'est un drôle d'exercice et c'est quelque chose qu'il faut faire après avoir vraiment pris le temps d'utiliser et de tester ce produit de Nvidia.
Présentée en Janvier 2013 au CES de Las Vegas, la console portative de Nvidia se voulait comme un pari ambitieux face à la prolifération des sources de divertissements numériques : smartphones, tablettes…
Nvidia y apporte évidemment une vision plus exclusive, plus proche de son ADN gaming que d'une approche "casual" qui se généralise avec les appareils sous Androïd.
Alors pour définir la Shield, il faut dire ce qu'elle n'est pas : elle n'est pas une tablette même si elle est capable d'en assumer presque toutes les fonctionnalités…
Si une tablette est une plateforme d'accès multimédia pouvant accessoirement servir à jouer, la Shield est tout simplement son exact contraire.
Sorte de couteau suisse du gaming, la Shield a plusieurs facettes ce qui rend difficile la compréhension de son positionnement.
On pourra évidemment la résumer à une console portative androïd ultra puissante mais c'est surtout la technologie de Nvidia permettant d'utiliser vos jeux PC en mode portatif comme en mode console de salon qui rend la Shield intéressante et unique.
Une console sous Androïd
Équipée d'Androïd 4.4.2 et d'un écran tactile de 5", la console du caméléon est particulièrement à l'aise avec les jeux "classiques" que l'on peut retrouver au travers de Google Play. Sa particularité réside donc dans l'utilisation d'un gamepad en remplacement de l'écran tactile.
L'écran tactile étant toujours possible évidemment ( pour Fruit Ninja ça semble difficilement contournable par exemple…). L'utilisation de la manette est quasi native sur une bonne quantité de jeux mais un Gamepad Mapper permet de réaffecter les fonctions tactiles d'un jeu à la manette ce qui est particulièrement efficace et d'une relative facilité. On pourra aussi exploiter les "motions sensors" de cette Shield
L'écran 720P de la Shield et particulièrement agréable, même s'il ne vaut pas celui d'un Galaxy Note 3 par exemple.
Je trouve personnellement la console particulièrement confortable, l'utilisation du Tegra Zone ( version Shield ) permet d'aller taper du jeu vraiment optimisé pour la Shield. Malgré un poids voisin de 600 grammes, l'utilisation portative est tout a fait agréable avec une autonomie excellente. La batterie de 7000 mAh est difficilement prenable en défaut, en mode Androïd comme en mode streaming.
Mais la Shield c'est aussi et surtout…
Une console portative pour jouer à ses derniers jeux PC
Essayons d'oublier la Shield, en tant que matériel pour "visualiser" les technologies poussées par la firme au Caméléon.
Le Gamestream est un principe relativement facile à comprendre : il consiste à "cloner" votre écran PC sur la console Nvidia et donc de jouer à tous vos jeux sur la Shield.
Dans la théorie, c'est faisable n'importe où si vous avez une bonne connexion internet….et on dit bien bonne. Il faut aussi que votre PC "maître" soit équipée d'une Geforce GTX et là aussi du relativement sérieux ( GTX 660 semble être la clé d'entrée ) avec le pilote Geforce Experience installé.
L'accès au Grid n'est pas possible de chez nous mais on comprends là aussi ce que cherche à faire Nvidia en mettant à disposition de la puissance GPU dans le Cloud qui streamera des jeux sur son Shield.
Dans la pratique, la première entrave pour accéder à ce nirvana est la qualité du wifi domestique. Adorateur des box Orange, Free et Cie, oubliez clairement le concept et adoptez un routeur qui envoi du bois si vous voulez vraiment exploiter cette technologie. Pour ma part, j'ai la chance d'habiter dans une très grande maison tout en disposant, pour faire mes tests, d'un routeur Asus RT-AC68U…et là c'est clairement le top.
Avec une GTX 770 et un Geforce Expérience à jour, la mise en relation de la Shield avec le PC est un jeu d'enfant.
La Shield lance une séquence de détection et scan sur le réseau le ou les PC disposant du Geforce Experience. L'association se fait alors par la saisie sur le PC "maître" d'un code affiché sur la Shield…un peu à la manière d'un appairage Bluetooth…Bref, la partie soft est vraiment très au point et tout se fait dans le calme et la décontraction.
Franchement lancer Watch Dogs et pouvoir y jouer comme ça, c'est tout simplement magique. Il ni a aucun lag, la fluidité est parfaite : c'est juste génial.
Dans la théorie, si vous êtes à l'autre bout du monde, avec une connexion internet solide, un réseau Wifi sérieux, que votre PC est allumé et que vous disposez d'un internet avec un upload costaud à la maison ( fibre ), là aussi le système fonctionnera.
Le constat le plus important dans cette partie du test c'est la maturité du système Nvidia : la partie logicielle fonctionne parfaitement, c'est d'une parfaite ergonomie à l'image de ce que fait le caméléon avec ses drivers…reste que malheureusement cela implique une installation réseau qui n'est pas habituelle en Europe et plus particulièrement en France où le wifi domestique est desservi quasi exclusivement par les box internet.
Les limitations techniques pointées, il convient maintenant de découvrir que la Shield peut aussi faire autre chose…
La Shield, la console de salon idéale ?
Jouer à des jeux sur un écran de 5" pourquoi pas, mais profiter d'un grand écran si on est équipé dans son salon, c'est encore mieux. Alors jouer à Sonic sur du 70" ce n'est pas vraiment une révolution mais si les jeux PC devenaient là aussi utilisables….
C'est tout a fait possible avec la sortie HDMi de la Shield…et quelques astuces.
Deux possibilités s'offrent à nous : rester en 720P et brancher sa Shield et la TV et à une manette usb XBOX 360 parfaitement reconnue…ou utiliser un adaptateur USB/ethernet ( et donc perdre l'unique connectique USB ) et profiter du stream en 1080P…en utilisant une manette Bluetooth.
Les mauvaises langues diront que tout ça fait bricolage…branchez un PS4 ou Xbox one et vous constaterez que vous avez autant de files…
Là encore, la magie opère, ça marche toujours très bien et on retrouve le fameux Watch Dogs sur un écran géant.
Dans les limitations, on notera l'impossibilité technique d'associer deux manettes BT pour se faire une partie de FIFA par exemple ou encore le fait que lorsque le micro USB est utilisé pour le réseau, la console tourne sur sa batterie…qu'importe en réalité, la démonstration du potentiel est là. Ce produit hybride et au rendez-vous dans chacune des options qu'il propose à son utilisateur.
Shield II , le meilleur est à venir
Certains disent que la console de Nvidia est un produit bancal et sans avenir. Je le trouve pourtant bien plus élaboré, stable et prometteur que les arlésiennes Steam Machines.
Le fait de ne pas sortir sa Shield sur le marché européen représente, au contraire de beaucoup, une analyse lucide du marché ( box, wifi…). Pendant ce temps, le géant a continué à pousser ses pions et à construire un écosystème cohérent :
L'évolution de ses cartes graphiques GTX ( on pensera même à l'arrivée du décodage H265 sur le deuxième étage de la famille Maxwel ).
Le Geforce Experience, qui sans faire de bruit s'impose profitant de l'excellente réputation de Nvidia en matière de drivers.
Le Grid dont on parle peu mais qui sera une brique importante dans l'avenir.
et enfin Tegra pour la mobilité.
Et tout ça avec comme fil directeur, il ne faut pas l'oublier, le gaming sur PC. Car il faut bien reconnaître qu'aujourd'hui Nvidia fait beaucoup pour "nourrir" ce milieu par son dynamisme commercial ( souvent décrié ), sa recherche et ses technologies.
Pour ma part, je pense même que depuis quelques années, Nvidia contribue plus qu'Intel et ses autres camarades à maintenir le PC comme le centre névralgique du loisir numérique.
Alors évidemment, si Nvidia le fait c'est avant tout parce que c'est le coeur de son business…mais il faut avoir la lucidité de constater que le caméléon est le moteur principal du monde PC depuis un moment.
Reste que pour en revenir à notre Shield, le concept commercial est excellent : des jeux PC qui nécessitent de plus en plus de puissance et qui peuvent tourner n'importe où avec la console maison. De la carte vidéo en passant par la console, Nvidia croque à tous les coûts.
Mais il faut reconnaître qu'imposer son Tegra n'est pas une chose facile pour Nvidia et que sa visibilité sur d'autres produits est relativement limitée.
L'arrivée d'une Shield 2 comme porte étendard du Tegra K1 semble imminente, on commence même à entendre une date autour du 22 Juillet. Il y a quelques semaines, c'est une tablette "Shield" qui faisait parler d'elle….
Et si la Shield 2 était la solution à tous les petits problèmes que nous venons de citer ? Comme le fait remarquer Pierre Lecourt , la Shield pourrait bien être un ensemble composé d'un "coeur" qui serait une tablette sous Tegra K1 (en 7 ou 8" ), une station d'accueil permettant de connecter le coeur du système à la TV…et une manette. Les contraintes du wifi seraient oubliées grâce à l'augmentation de la puissance de calcul, le Grid arriverait en Europe, etc, etc…
Voilà en plus une bonne manière d'imposer la technologie Nvidia ailleurs que dans une console quasi exclusive : si on pousse le raisonnement un peu, l'utilisation de puces Tegra K1 pourrait permettre à d'autres constructeurs de tablettes de proposer leur Shield.
Conclusion
Si Nvidia sort donc fin juillet un produit qui se rapproche de l'ensemble des spéculations que je viens d'étaler, je pense sincèrement que les Steam Machines voir même les consoles Next Gen, peuvent se faire du souci. La technologie est au point, la communauté gaming sur PC est énorme….reste maintenant à se confronter à la réalité.
"L'équipe de développement s'emploie à tirer le maximum de chaque plateforme, donc l'idée que nous chercherions volontairement à brider la qualité est contraire à tout ce que nous voulons réaliser. Nous testons et optimisons nos jeux pour chaque support sur lesquels ils sortent, visant la meilleure qualité possible. La version PC [de Watch Dogs] contient bien des options graphiques inutilisées qui ont été désactivées pour des raisons variées, dont un possible impact sur la fidélité visuelle, la stabilité, les performances et la qualité de jeu en général. Les moddeurs sont en général des joueurs créatifs et passionnés, et même si nous apprécions leur enthousiasme, la modification en question (qui utilise ces vieilles options graphiques) améliore de façon subjective le rendu visuel du jeu dans certains cas, mais peut également avoir des impacts négatifs dans d'autres. Ces derniers peuvent aller de soucis de performance à des soucis de lisibilité en passant par la possibilité de rendre le jeu moins appréciable ou même instable."
Lorsque les premières images de Watch Dogs ont été dévoilées en 2012, tout le monde était sur les fesses. La claque graphique était violente.
L'implication de Nvidia dans le développement du jeu avait donné beaucoup d'espoir sur ce plan. La surprise fut totale à la sortie du jeu il y a quelques semaines, quand les premières images permirent de constater un jeu, certes honnête, mais très en retrait graphiquement avec ce qu'on avait découvert 2 ans plus tôt !
Arnaque du studio, séquences bidons pour attirer les foules ?
Ces dernières heures, la réponse a ces interrogations vient d'arriver par les petits gars de Guru3D.
Le jeu dispose de tout ce qu'il faut pour tourner au mieux et retrouver son éclat de 2012…
Tous les effets qui avaient fait saliver les visiteurs de l'E3 2012 sont bien "programmés" dans le jeu mais tout simplement désactivés ou bridés.
Le pire c'est qu'un simple fichier de 45Ko permet de régler tout ça et en bonus, d'améliorer les performances.
L'activation de ce niveau de définition graphique n'impact en rien les performances ( au contraire visiblement ), il convient alors de se demander pourquoi Ubisoft a tout simplement bridé sa version PC ?
Comment ne pas penser que ce jeu qui devait être le moteur des ventes des consoles Next Gen n'a pas été "castré" pour éviter que la version PC ne mette une grosse claque aux versions PS4 et Xbox One ?
Il semble que le PC et sa cohorte de pirates ne fassent pas partie des éléments sur lesquels Ubisoft mise pour gagner de l'argent.
On ne présente plus Logitech qui étrenne son savoir faire dans le monde du PC depuis de longues années.
Pourtant, le temps passant, l’aura qui entourait la marque suisse auprès des gamers et autres utilisateurs exigeants, s’est progressivement étiolée.
Non pas que la qualité des produits se soit mise à décliner mais Logitech s’est vu contester par de nouvelles marques adoptant un positionnement quasi exclusivement gaming face au géant Suisse se voulant généraliste.
Il faut aussi reconnaître que Logitech s’est endormi sur ses lauriers…la gamme des G ressemblant très clairement à de la cosmétique commerciale plus qu’à une vraie nouvelle ligne de produits.
Le risque pour Logitech était de se retrouver complètement largué du segment du gaming, seul aujourd’hui à tirer le marché global.
Après avoir été un leader, la marque commençait à devenir « has been » auprès de ce public.
Avec la G502 Proteus Core, point de rebadging ou même restyling, on découvre là un « vrai » nouveau produit.
Ergonomie
La découverte de cette G502 Proteus Core va se résumer en une succession de ruptures. L’ergonomie est une première rupture avec ce que l’on connaissait chez Logitech.
La prise en main est clairement agréable; la G502 est composée de de plusieurs matières différentes : la surface supérieure reprenant le plastique légèrement granuleux et hydrophobe que l’on retrouvait sur la G500s par exemple alors que les parties latérales reçoivent un traitement en soft touch texturé.
L’autre point important c’est que cette nouvelle Logitech est une souris exclusivement droitier.
La totalité de ces 11 boutons bénéficient d’un excellent positionnement sur le corps de la souris, ces derniers tombent tous facilement « sous les doigts ». Le contact est franc.
Immédiatemment on constate aussi que cette G502 est plus « lourde » que la plupart de ses concurrentes. Elle affiche effectivement 160 grammes là où la Roccat Kone XTDest sous la barre des 100 g.
A l’utilisation, ce relatif embonpoint n’est cependant pas un handicap, le confort de glisse étant vraiment excellent compte tenu de la présence de 4 patins en teflon d’une surface imposante sous la souris. Cependant, ceux qui souhaitent malgré tout avoir encore plus de feeling pourront encore lester la G502 avec un set de plusieurs poids de 3.6g.
La prise en main de cette souris est donc vraiment agréable, pour ma part, après une semaine d’utilisation, je trouve que c’est sans doute la plus confortable que j’ai utilisé jusque là. Les variations de matériaux sur les surfaces du corps ainsi que le positionnement des boutons sont clairement une réussite. La qualité de glisse et tout aussi remarquable.
Enfin, pour finir, la molette dispose de deux modes; un mode libre comme sur sa grande soeur G500s qui est un peu déstabilisant et un mode « freiné » qui s’active par une simple pression et qui donne, de mon point de vue, plus de confort.
Design / Qualité de fabrication
Le design de cette G502 Proteus Core est en rupture totale avec l’adn esthétique de la marque…et ce n’est pas un mal. Il faut cependant dire que cette nouvelle Logitech a clairement des faux airs de Cyborg RAT..
.
Le design de cette souris est clairement agressif et pousse dans la préhistoire l’ancienne gamme de l’équipementier Suisse.
La G502 Proteus Core VS La G500s
Qu’on aime ou pas ce nouveau choix esthétique, il permet cependant à nos amis suisse de se remettre dans le bain et à reprendre un peu les canons actuels du design.
C’est sur la qualité de fabrication que j’ai été un petit peu déçu. Nous ne sommes évidemment pas sur un produit bas de gamme mais je m’attendais clairement à mieux. Si la trappe magnétique sous le corps de la souris qui permet de loger les poids, est une bonne idée, l’assemblage général du corps ainsi que la qualité du « clic » des boutons, me semblent en léger retrait par rapport à la concurrence Roccat et Corsair par exemple.
Driver et configuration
Aucun support d’installation n’étant livré avec la souris, tout repose sur la détection de celle-ci. Et autant dire que ça se passe bien, comme d’habitude avec Logitech. Reste que pour exploiter cette petite bête, il faut impérativement télécharger le logiciel optionnel de 60Mo à partir du site Logitech.
Ce petit inconvénient passé, il faut reconnaître que l’outil mis à la disposition par Logitech est particulièrement bien fait. Multilingue ( et donc en français ), il est intuitif, simple tout en permettant de faire un maximum de choses.
La G502 peut stocker 3 profils dans sa mémoire interne, l’utilisation du logiciel permet de dépasser cette limitation et de créer un nombre illimité de profils, un par jeux par exemple.
Pour faciliter ça, l’outil Logitech offre une fonction de scan de votre PC qui permet de détecter les jeux installés et de créer un profil pour chacun d’eux.
Une fois le scan réalisé, il devient simple de rentrer dans le paramétrage précis pour chaque titre…une fois que votre jeu sera lancé, le soft appliquera automatiquement le paramètre dédié à la souris.
Au-delà de la gestion des macros et du réglages de la résolution ( il faut à ce propos « débrider » le soft pour pouvoir pousser la souris à 12 000 dpi ), l’utilitaire donne accès à quelques fonctionnalités intéressantes.
L’une des plus spectaculaire est une fonction d’ajustement des paramètres de la souris en fonction de la surface sur laquelle elle est utilisée. En passant d’un tapis à en magazine en passant par la surface en bois de mon bureau, les résultats sont impressionnants.
Précision et performances
C’est sur le terrain des performances que Logitech comptait frapper un grand coup. En annonçant le premier capteur 12 000 DPI sur une souris, la G502 s’affiche comme un concentré d’innovations techniques et revendique donc la place de souris la plus précise du marché. Sa technologie Delta Zero permet donc d’encaisser des résolutions de 200 ppp à 12 000 pp sans saccade, ni latence ou filtrage. Le tout est géré par un processeur ARM-32 Bits qui permet aussi de s’occuper de la mémoire interne de la souris.
Si le passage au dessus des 6000 DPI ne m’a pas semblé apporter quelque chose dans les jeux, c’est encore une fois la technologie d’adaptation à la surface qui est la plus bluffante. On peut penser que l’augmentation des DPI sera profitable à une utilisation dans les FPS mais paradoxalement c’est sur Photoshop que j’ai pu appréhender l’intérêt de ce nouveau capteur.
Avec un écran 4K, cette débauche de précision prend alors tout son sens. La retouche pixel par pixel devient possible et d’une facilité déconcertante. Comme quoi ce type de souris n’est pas exclusivement dédié aux joueurs compulsifs. On remarque par contre une hausse importante de l’utilisation CPU quand le capteur est à fond : indolore sur une machine musclée, qui est logiquement le lot de tous les joueurs…
Le rapport / qualité prix est donc sans surprise pour une souris qui ne révolutionne rien d’un point de vue esthétique mais qui peut se revendiquer comme la plus pointue techniquement. Dans ses conditions, son positionnement est tout à fait cohérent.
Conclusion
Si elle se distingue par un look agressif en rupture avec le design conservateur de la marque, elle ne fait que se remettre à niveau par rapport au design contemporain, ce qui n’est déjà pas si mal. Elle ne prend pas l’ascendant sur ses collègues avec une qualité de fabrication légèrement en retrait par rapport à Corsair et Roccat notamment.
Par contre son ergonomie, le confort de sa prise en main et les capacités de son capteur font réellement la différence.
Le confort de glisse est particulièrement remarquable et le traitement de la surface supérieure de la G502 est une réussite en matière de confort. Reste un capteur hors norme dont les capacités maximales sont difficilement mesurables sur tous les jeux mais qui se révèle redoutable en édition comme sous Photoshop par exemple.
C’est incontestablement la meilleure souris filaire de la famille Logitech.
On espère que le renouvellement de la gamme G qui doit intervenir sur cette fin 2014, sera à l’image de cette G502 Proteus Core.
Le Computex et l'E3 : voilà deux événements qui devaient permettre aux constructeurs majeurs de lancer leurs Steam Machines.
C'était sans compter sur le report par Valve de son contrôleur à 2015 ( et par voie de conséquence, report générale de la sortie de Steam OS puisque l'OS et la manette ne font qu'un dans l'esprit de Valve ).
Reste que les acteurs les plus importants du marché étaient pourtant prêts à tirer : Alienware à l'E3 et Asus au Computex.
Ce dernier a cependant décidé de se moquer du report de et présenter officiellement ces machines tout en annonçant une date de commercialisation…pour Q3 2014.
Avec deux produits annoncés comme des Steam Machines, le ROG GR8 et ROG G20, Asus présente des solutions techniques innovantes et dévoile surtout qu'il a fondé beaucoup d'espoir sur Steam OS.
Si le ROG G20 est innovant d'un point de vue esthétique, il va sans doute remplacer la série Denominator et intégrer un certain nombre de solutions déjà existantes chez Asus. Le ROG G20 intégrera ainsi un I7 et une GTX 780, le tout dans un châssis de 12.5 litres soit 35 cm de haut pour une profondeur de 34 cm et de 6 à 10 cm d'épaisseur. Compte tenu des caractéristiques de la machine, ces dimensions sont remarquables. Bien entendu, Asus a travaillé sur le design de sa carte mère mais la vraie astuce pour obtenir ce look c'est l'utilisation de deux blocs d'alimentations externes.
Évidemment, 2 blocs d'alimentations externes cela ne veut pas nécessairement dire l'apocalypse filaire…les deux blocs ( type pc portables ) auront en fait des rôles dédiés. Le premier s'occupera du CPU et du reste de la machine et le second se mettra en route quand la carte graphique sera sollicitée. Économie d'énergie et confort des oreilles sont donc promis par Asus.
Bref, si tout ça est non évolutif, propriétaire et sans doute très coûteux, rien n'empêchera cette référence d'avoir une vie sans Steam OS, comme machine desktop design et performante, sous Windows.
Concernant la ROG GR8 par contre, c'est clairement la cible console qui est visée.
C'est évidemment là qu'Asus a concentré beaucoup d'effort notamment en développant une carte mère intégrant directement une puce Nvidia GTX 750Ti qui pourra être associée à un i7, un i5 voir même à de l'AMD.
Pour pouvoir intégrer cette puissance dans un châssis de 25 cm de haut pour 24 cm de profondeur et de 3 à 5 cm de large, la puce Nvidia sera donc soudée sur la carte mère. Avec ce GR8,
Asus compte s'attaquer de front à la gamme Alienware X51 qui reprendra, elle aussi un design extrêmement compact. En l'état actuel des choses, je pense que la version d'Alienware sera sans doute plus agressive au niveau tarifaire (on parle d'un modèle à 399€ en i3 ) alors que ce GR8 dépassera allègrement les 700€.
C'est sans doute là que se situe le malaise, pour Asus comme pour Alienware. En investissant dans des design propriétaires pour venir taquiner la console dans le salon, ces deux constructeurs qui défendent leur légitimité dans le domaine du gaming, on investi sur des développements hardware…qui ne peuvent se permettre d'attendre la sortie de Steam OS en 2015.
Que vaudra techniquement et commercialement une solution en GTX 750Ti courant 2015 ? On sait que la gamme Maxwell de Nvidia commence à peine à se dévoiler et que la 750Ti n'est qu'une première étape dans le déploiement de cette architecture.
Asus et Alienware s'étant préparés à une commercialisation sur Q3 / Q4 2014, ils ne peuvent pas se permettre d'attendre.
En ce sens, la déclaration d'Asus qui affirme qu'il commercialisera ses ROG G20 et GR8 dés Q3 2014 laisse clairement entendre que les machines sortiront en version Windows…une solution intégrant le client Steam sous Windows et une manette Xbox serait même envisagée par certains.
Comment espérer un retour en arrière après ça ? Une Steam Machine étant indissociable du Steam Controller pour Valve…
Aujourd'hui, Steam OS ne bénéficie d'aucun titre majeur, n'est pas encore capable d'assumer une utilisation "mediacenter"…seul le efforts des constructeurs pour proposer des form factors sexy séduisent le public…Valve a donc du souci à se faire compte tenu des attentes attisées depuis maintenant de nombreux mois.
Après avoir été annoncé aux US, le Quickfire Rapid-I, mise à jour du Rapid, débarque en France avec un prix public conseillé de 101€90. L'occasion pour nous de le présenter rapidement !
Un bundle minimaliste
Comme toute la gamme Quickfire, on retrouve comme seul accessoire une petite pince permettant de retirer les touches du clavier. Un câble USB vers micro USB gaîné est bien évidemment fourni, ainsi que le classique manuel concernant le support et la garantie. Un flyer détaillant certaines fonctionnalités propres à ce modèle vous aidera a bien les configurer.
Un design caractéristique de la gamme…
On retrouve un clavier typique des claviers QuickFire : la disposition des touches est quasi identique, avec simplement l'absence totale du pavé numérique (qui était déjà combiné avec d'autres touches sur les QuickFire TK). On dispose d'un clavier plus petit, plus léger et plus facile à transporter.
Le plastique dispose désormais d'un revètement "Soft Touch", très agréable au touché et qui respire la qualité. Comme le QuickFire TK Brun, la plaque supportant les switch est blanche (et de la même couleur que le rétroéclairage).
Et des fonctionnalités similaires !
En effet, on retrouve encore des points communs à ce niveau, avec par exemple la présence d'un câble USB (gaîné évidemment) détachable, cette fois ci en micro USB. Les classiques touches multimédia sont présentes (mais mieux placées), et il est à nouveau possible de bloquer la touche Windows en jeu.
Le modèle de base est équipé de switchs Cherry MX Brown (50 millions de frappes garanties), et aucune version équipée de Cherry MX Red ou Blue n'est en vue pour l'instant. Les adeptes du retour tactile apprécieront, tandis que les fidèles au Red seront un peu déçus de ne pas voir deux modèles, au vu du prix demandé.
Quid des évolutions ?
Cooler Master a mis en avant la présence d'une puce ARM 32 Bits permettant de gérer avec une excellente réactivité le rétroéclairage. Mais ce n'est pas tout, puisqu'il est désormais possible d'activer un mode "Turbo" qui va envoyer jusque 8 fois le signal d'activation lors de la pression d'une touche. Reste à voir les jeux pouvant en profiter !
Le Computex est lancé et évidemment, tout le monde tire à tout va sa nouveauté "incontournable".
BitFenix profite donc de la grande messe de Taipei pour nous dégainer 3 nouveaux boitiers : le Atlas, Pandora & Aegis…et visiblement un watercooling AIO.
Le BitFenix Atlas, comme son nom le laisse imaginer, est un monstre.
L'Atlas mesure 383x443x541mm est capable d'accueillir des cartes mères jusqu'au format E-ATX. Il est composé de 10 baies 3,5" et 6 baies 2,5". Comme pour le BitFenix Phenom, il n'y a aucun emplacement 5,25"
Pour ceux qui envisagent de monter des grosses solutions de refroidissement, le boitier Atlas sera leur donner satisfaction avec jusqu'à 20 emplacements ventilateurs !
[*]6x 120mm ou 4x 140mm (avant /dessous/dessus).
[*]2x 120mm (arrière).
Vient ensuite le BitFenix Aegis, qui lui reprend une taille plus conventionnelle puisque ce boitier est un mini-Itx / Micro ATX.
Un look sobre mais avec quand même de grosses capacités puisqu'il dispose tout de même de 7 slots 3,5"/2,5" et il est ventilé par 3x 120mm à l'avant, 2x 140mm sur le dessus et 1x 120mm à l'arrière ainsi que dans le bas.
Enfin, le BitFenix Pandora carte est un boitier classique et sobre pour cartes mères au format Mini-ITX. Idem que sur l'Atlas, pas de place pour un emplacement 5,25" mais à l'intérieur il sera possible de loger 2x 3,5" et 2x 2,5". L'alimentation supportée sera un format classique et la ventilation est assurée par 2x 120mm à l'avant et deux autres à l'arrière.
Reste la bonne nouvelle d'unWatercooling AIO made in BitFenix.
Rien d'officiel pour le moment mais pas besoin d'être un analyste pointu du Computex pour comprendre que BitFenix va profiter de l'évènement pour annoncer qu'il étend sa gamme avec un AIO.
Une fois n'est pas coutume pour la rubrique Nostalgeek, je ne vais pas vous exhumer une énième antiquité mais mettre en avant, un artiste, un fou, un vrai !
Majami Hiroz ( vous prononcerez "Miami Heroes" ), est un Hongrois qui commence à cartonner sur Youtube en se faisant le délire d'adapter graphiquement les nouveaux jeux aux consoles / ordinateurs Old School des années 80.
Alors évidemment, on parle de vidéo et modélisation et non de la réécriture du jeu…
La plupart de ses délires se font sur Commodore 64, l'engin semble l'avoir considérablement marqué et il fait une petite fixation visiblement… ( Poke, Poke pour ceux qui se souviennent ).
Les cartes mères équipés du nouveau chipsetZ97 commencent tout juste à être disponibles en France, et nous allons aujourd'hui jeter un oeil sur la carte micro-ATX haut de gamme de MSI : la Z97M-GAMING ! Cette dernière devrait très bientôt se trouver à moins de 170€ chez les revendeurs.
Bundle
Le bundle est très important sur les cartes mères, car il donne, dès l'ouverture de la boîte, une bonne impression sur le produit, et la nouvelle gamme GAMING de MSI est très riche en accessoires et goodies, et cela fait plaisir ! En plus du classique manuel (très bien réalisé, et enrichi de QR Code pour des tutoriels vidéo), du DVD de pilotes et de la Backplane (entièrement noire et équipée d'une couche de mousse en intérieur), vous trouverez 4 câbles SATA, un pont SLI noir, un adaptateur Molex vers 3 pins pour une alimentation dédiée à l'audio, un autocollant MSI Gaming et pour finir des étiquettes pour vos câbles SATA.
Présentation Générale
Intéressons-nous à présent aux caractéristiques principales de cette carte mère : vous trouverez bien évidemment le socket 1150, accompagné de 4 emplacements pour de la mémoire DDR3. Il sera possible d'installer des CPU Haswell, Haswell Refresh, mais aussi les futurs Devil's Canyon dédiés à l'overclocking !
En descendant un peu on peut remarquer que MSI a fait le bon choix au niveau des ports PCI, avec deux ports PCI Express 3.0 (l'un x16, le second x8), qui vont vous permettre de faire du SLI ou du CrossFire, et deux ports PCIe x1 pour brancher des cartes sons, réseau, etc.
Entre les deux ports PCIe x16 se trouve un emplacement mSATA, très pratique pour brancher un SSD faisant office de cache ou encore une carte équipée de ports SATA additionnels.
Point important de cette nouvelle série, le chipset Z97, petite mise à jour du Z87, et qui apporte la compatibilité avec les futurs CPU Devil's Canyon et la prise en charge du SATA Express (jusque 10Gbit/s).
Connectique Arrière
C'est un sans faute concernant la connectiquearrière de cette carte mère, avec 8 ports USB (dont 6 en 3.0 et 2 optimisés pour l'audio), un bouton Clear CMOS, de l'HDMI, du Display Port, du Gigabit Lan, deux ports eSATA et les sorties audio 7.1 mini-Jack plaquées or.
Petit format, grand son ?
MSI a sorti les grands moyens sur l'audio de la gamme GAMING,qui promet une excellente qualité audio sur le papier, grâce à l'utilisation de condensateurs haute qualité, d'un EMI Shield contre les interférences et l'utilisation d'un circuit distinct de celui de la carte mère. Cerise sur le gâteau, on peut brancher une source d'alimentation dédiée au son (via l'adaptateur molex fourni), et ce afin de palier aux variations de tensions qui auraient lieu avec le courant converti en 5V par la carte mère. Reste à voir ce que cela donne dans la pratique…
Et l'overclocking ?
La plupart des cartes mères au format micro-ATX ne sont pas destinées à l'overclocking, puisque souvent dédiées au marché de l'entrée de gamme. Ce n'est ici pas du tout le cas, et l'image du format mATX reprend des couleurs !
MSI a commencé par un connecteur 8 pins pour le CPU et une phase d'alimentation proche d'une carte ATX. Cette dernière est refroidie par un magnifique système de refroidissement passif (équipé d'un caloduc qui plus est). Ce n'est pas tout, puisque vous pourrez sans problème installer cette carte mère sur une table de benchmark pour overclocker votre CPU grâce aux boutons "Start" et "Reset" directement intégrés sur la carte. Un petit bouton OC Genie est aussi de la partie, mais cette overlocking "automatique" et simplifié est plus un gadget qu'autre chose avec une augmentation de la fréquence de seulement 17% sur un 4670K, soit un passage de 3.4Ghz à 4Ghz.
Bienvenue dans cette nouvelle rubrique hebdomadaire, la chronique du week-end.
Cette nouvelle rubrique aura pour but d'aborder un sujet ayant un lien plus ou moins direct avec l'actualité high-tech et informatique.
Aujourd'hui je vous propose de découvrir ou de redécouvrir Google X qui est une filiale de Google dédié à la recherche. Vous n'avez jamais entendu parlé de Google X ? C'est normal, ce laboratoire top secret ne laisse pas filer beaucoup d'informations… Je vais donc vous récapituler ici tout ce que nous savons à propos de ce fameux laboratoire.
Historique
Larry PAGE et Sergey BRIN sont les 2 fondateurs de Google. Ces 2 hommes sont passionnés par l'intelligence artificielle. Pour eux l'avenir de google (et pas que de google) dépend de l'intelligence artificielle. C'est donc pour ça qu'ils ont décidé de créer le fameux Google X Lab. Le laboratoire regroupe plusieurs scientifiques et chercheurs travaillant principalement sur l'intelligence artificielle, mais également sur d'autres projets que je vous exposerais plus tard. La date des création du laboratoire est inconnue, la première fois que l'on a entendu parler de Google X c'était en Juin 2011.
Voici une citation de Larry PAGE concernant l'intelligence artificielle :
"Je pense que Google est génial parce qu'en fait, l'intelligence artificielle sera la version ultime de Google. Pour avoir un moteur de recherche parfait il faudrait qu'il comprenne tout sur le web. Il faudrait qu'il comprenne exactement ce que vous voulez, et vous amènerait la bonne information. Répondre à n'importe quelle question c'est évidemment construire une intelligence artificielle, parce que presque tout est sur Internet, n'est-ce pas ? Nous sommes très loin de réaliser cela à l'heure actuelle. Cependant nous nous en rapprochons de manière incrémentale, c'est ce sur quoi nous travaillons. Et c'est extrêmement intéressant d'un point de vue intellectuel."
Larry Page, octobre 2000
Projets
Le laboratoire de Google travaille sur plusieurs projets simultanément, on en compterait une centaine. La plupart d'entre eux sont secrets. Néanmoins vous en connaissez probablement quelques-uns :
– La voiture autonome : le concept est simple, il s'agit de faire rouler une voiture de façon complètement autonôme et en toute sécurité. La "Google car" a déjà parcouru 500 000Km sans accident.
– Les Google Glass : Probablement le projet le plus connu; les lunettes de réalité augmentée. Je vous laisse lire l'article paru précédemment sur vonguru ici
– Le LOON : Ce projet consiste à donner accès à internet au monde entier (même dans les zones les plus reculés) à l'aide d'un ballon stratosphérique. Le LOON pourrait offrir une connexion 3G sur une zone au sol de 40Km de diamètre.
Google travaille également sur des projets bien plus compliqués comme des implants neuronaux ou de la viande artificielle…
Le "Staff":
Quand on regarde qui Google a recruté pour faire tourner son labo, on retrouve des noms plus ou moins connus, voir de renommée internationale :
Sebastian THRUN : Expert en robotique et en intelligence artificielle, enseignant à Stanford.
Johnny CHUNG LEE : Spécialiste des relations hommes-machines, il a travaillé chez Microsoft à la conception de la Kinect.
Andrew NG : Professeur de neuroscience à Stanford, il travail également dans la conception d'intelligence artificielle pour les robots.
Le Google X Lab est donc un complexe très fermé et très secret. Comme nous l'avons il s'y prépare de grandes choses. L'avenir de la technologie voir du monde est peut-être déjà caché dans un de ces projets…
Alors que toute l'attention est focalisée sur la sortie des chipsets Z97 et l'arrivée des prochains Haswell "dépoussiérés", Intel prépare sans bruit la mise en circulation de sa plateforme X99.
Cette nouvelle plateforme X99 sera donc une évolution du Socket 2011, capable de recevoir les nouveaux i7 Haswell-E ( dont un 8 Cores ) mais sera incompatible avec les précédents i7 type Sandy-Bridge-E et Ivy Bridge-E.
Celle-ci devrait arriver pour Q3-Q4 2014 et il semble que les premières démos officielles pourraient se faire durant le Computex.
La grande nouveauté sera clairement l'arrivée de la DDR4.
Cette plateforme HEDT ( pour High End DeskTop ) semble donc reprendre vie alors que ce sommet de gamme était jusqu'à présent boudé tant le chipset X79 accusait un certain retard par rapport à ce que l'on pouvait faire en Z87/Z97.
L'autre bonne nouvelle serait que ce X99 et son socket 2011-3 devraient accepter les futurs Broadwell-E qui seront une évolution en 14nm avec sans doute un poil de bonus sur la bande passante mémoire ( 2400mhz ).
On ne sait pas grand chose sur les déclinaisons commerciales du Broadwell-E ( le Haswell-E n'étant pas encore là, ça semble logique ! ) par contre, il est toujours intéressant de se référer aux déclinaisons EP ( Xeon ) dont les I7 HEDT sont toujours tirés.
On sait donc qu'en 2015, Intel introduira un Xeon 18 Cores sur le marché.
Si jusque là le segment HEDT semblait délaissé par Intel au profit de l'ultrabook et autres processeurs dont l'objectif principal était l'efficience, il semble que le fondeur souhaite profiter du Computex pour remettre le couvert dans la course à la puissance.
Il semble donc qu'Intel soit disposé à montrer les muscles et tout ça y compris avec des Haswell-EP disposant de plus de 8 cores, disposant de capacités à l'overclocking… et capables de tourner sur une plateforme X99.
Il n'est donc pas impossible de penser ( espérer ? ) qu'un partenaire d'Intel, type Asus pour ne pas le nommer, nous sorte pour l'occasion une nouvelle "Rampage Extrême" capable d'accepter du Xeon 14 cores ?
On ne présente plus Bitfenix, le fabricant de boîtier, d'alimentations, et d'autres accessoires modding.
Ce dernier nous propose avec le Shadow, dont je vais vous parler aujourd'hui, un boîtier sobre et élégant pour 70€ !
Le nombre de boîtiers vendu dans cette tranche de prix étant en augmentation, il va être intéressant de le comparer aux modèles de la concurrence.
Caractéristiques Principales
Taille :
Moyen Tour
Matériaux :
Acier, Plastique
Surface Soft Touch en façade
Support Cartes Mères :
ATX, mATX, Mini-ITX
Support Alimentation :
PS2 ATX
Stockage :
3,5" (x7) + 2,5" (x1)
Design Extérieur
Bitfenix a fait le choix de la sobriété avec cette tour, puisqu'on retrouve un design très rectangulaire. Les deux panneaux latéraux sont entièrement plats et d'une grande sobriété : ni vitre ni relief, tout simplement.
Il en est de même sur le dessus qui est entièrement fermé et ne propose pas de grilles d'aérations : cela vous permettra d'avoir une configuration plus silencieuse, mais la compatibilité pour les radiateurs de 240/280mm s'envole au passage…
La face avant de ce boîtier est la partie la plus soignée : une imposante porte en plastique Soft Touch (propre à Bitfenix) simplement marquée du logo Bitfenix et de grilles d'aérations. Arrive ensuite le gros point positif du boîtier qui lui permet de rompre avec la sobriété omniprésente : une barre composée de 6 LEDS, qu'il est possible d'allumer en rouge ou en bleu !
Une fois la porte ouverte, vous retrouvez un avant tout en mesh, disposant de trois emplacements 5,25", mais surtout d'un filtre amovible, très pratique pour le nettoyage.
Connectiques Façade
La connectique avant est complète avec, en plus du bouton d'allumage/reset, les leds de fonctionnement, une prise micro et casque, deux USB 3.0, deux USB 2.0, un bouton d'allumage des leds avant et un autre pour changer la couleur de ces dernières.
Espace intérieur
L'agencement interne du boîtier est très classique et très proche de ce que propose habituellement Bitfenix : une imposante cage pour les disques dur/Graveurs DVD à droite et l'emplacement pour votre carte mère/alimentation à gauche.
Grâce à son importante profondeur, il est tout de même possible d'installer des cartes graphiques jusque 32 centimètres, bien que la cage à disques dur ne soit pas amovible.
Stockage
Il est possible d'installer de nombreux disques 3,5" dans ce boîtier (7 au total !), mais le support des SSD est un peu trop réduit à mon goût, puisqu'un seul emplacement est disponible en bas du boîtier. De plus l'installation n'est pas simple, le SSD se vissant depuis l'extérieur.
Le système sans vis est sinon très simple à utiliser et maintient bien les disques en place, mais pourquoi n'y a-t-il toujours pas de patins anti-vibrations ?
Cable Management
Bitfenix a pris soin de faire de nombreuses ouvertures pour le passage des câbles, mais aurait du nous laisser un peu plus de place à l'arrière de la carte mère : vous disposerez d'un demi centimètre uniquement ! Le panneau latéral étant plat, il faudra soigner votre cable-management !
Heureusement, il est possible de faire passer des câbles et d'en stocker à l'arrière de la cage HDD.
Refroidissement
Vous étiez à la recherche d'un boîtier pouvant accueillir de nombreux ventilateurs ou encore supporter des imposants radiateurs ? Passez votre chemin ! Bitfenix a préférer miser sur le silence et la sobriété.
On remarque la présence de 4 emplacementssupportant uniquement des ventilateurs de 120 millimètres : deux à l'avant (un ventilateur d'inclus), un en bas (filtré), et un dernier à l'arrière (un ventilateur en extraction est déjà installé). On se retrouve donc avec 3 entrées et une seule sortie, le haut du boîtier et la panneau latéral étant complètement fermés !
Bitfenix aurait peut-être pu offrir la possibilité d'installer des radiateurs en façade en utilisant une cage amovible pour les disques (comme Cooler Master ou Corsair par exemple), mais avec un peu de modding tout est possible !
Conclusion
Que vaut le Bitfenix Shadow face à la concurrence ? C'est peut-être son design qui vous incitera à le choisir plutôt q'un Carbide 200R, ou bien son excellente qualité de fabrication. Dans tous les cas nous sommes face ici à un produit de qualité, bien équipé, silencieux, mais qui aurait droit à une petite baisse de prix pour être encore plus intéressant face aux boîtiers vendu dans cette tranche de prix.
Ce 20 Mai, Microsoft présentait à New York sa troisième déclinaison de sa Surface Pro.
Les plus médisants diront que ce concept hybride de Microsoft n'a jamais trouvé son public, que Windows 8, sur lequel il repose évidemment, est son talon d'achille…les plus mesurés insisteront uniquement sur son prix.
Microsoft frappe clairement un grand coup.
Pour ma part, je pense que ce mardi 20 mai, Microsoft a frappé un grand coup.
J'ai déjà dit à plusieurs reprises, tout le bien que je pensais de l'OS Windows 8 et plus particulièrement de Windows 8.1 Phone. Je continue à penser, bien qu'utilisateur intensif du Galaxy Note 3 et d'androïd par voie de conséquence, que Windows Phone est en avance sur Google et Apple. Sur tablette Windows 8.1 est plaisant et instinctif…sur PC l'OS est stable et performant, seul son "modern UI" vient perturber l'utilisation classique que l'on fait aujourd'hui d'un OS PC.
Les tentatives qui consistent à importer l'expérience tactile d'une tablette sur un ultrabook, ne sont pas concluantes pour moi. Je suis un utilisateur d'un ASUS Zenbook tactile depuis un moment…je crois n'avoir jamais utilisé cette fonctionnalité. De même et pour rester sur Asus, le concept Transformer est lui aussi séduisant sur le papier mais trop restrictif à l'usage…le clavier amovible est intéressant mais uniquement pour les emails et autres tâches secondaires…
Remplacer un "vrai" PC par un produit nomade, facile… c'est encore réellement un mythe.
Je côtoie des gens qui m'expliquent qu'ils n'utilisent plus que leur Ipad …la réalité est bien différente; le poids et l'épaisseur de leur sacoche permet de constater qu'un bureau nomade autonome implique d'embarquer avec soit un "vrai" portable, qu'il soit Windows ou Apple.
Comme le rappelait malicieusement Panos Panay au début de sa présentation du Surface Pro 3, « 96% des possesseurs d'iPad ont aussi un ordinateur portable »
Alors pourquoi cette nouvelle Surface Pro 3 place Microsoft dans une position de leader technologique qu'il n'a que très rarement tenu ?
Le meilleur des deux mondes…mais en windows
Le produit Surface disposait déjà d'atouts comme le clavier protège-écran, savante inspiration du "smart cover" de l'Ipad et d'un clavier détachable; avec cette troisième déclinaison, c'est sur le plan de la technique que Microsoft enfonce le clou.
Tout d'abord, Microsoft arrive à embarquer dans un châssis de 9.1mm d'épaisseur ( soit environ l'épaisseur d'un Ipad 2 ), un Core i7 et un SSD afin de donner à cette Surface le même ADN qu'un PC classique…le tout dans 800 grammes et avec l'autonomie d'un ultrabook de la dernière génération…au service d'une dalle 12" disposant d'une résolution de 2160 x 1440 pixels.
La première chose qui frappe quand on regarde cette nouvelle Surface en détail c'est la sensation d'avoir un produit très haut de gamme, classieux à la finition impeccable…ce qui, tout en étant d'un niveau acceptable, n'était pas le cas avec ses deux grandes soeurs.
L'autre point important qui est un des piliers de la stratégie poussée par le nouveau PDG de Microsoft, Satya Nadella, c'est l'objectif "One Microsoft" qui consiste à imbriquer toutes les divisions de l'entreprise ( Phone, Xbox, Office…) et de les faire travailler ensemble dans une logique de convergence.
En oubliant le Windows RT, on fait tourner toutes les applications du monde Windows dans un concept et un environnement aussi simple que celui d'une tablette. Oubliées donc les restrictions que devra affronter Apple quand il lancera son Ipad Pro, oubliées les limitations d'Androïd…l'interface de Windows 8.1 si décriée prend tout son sens avec ce produit.
Là où Microsoft veut nous emmener c'est vers une redistribution des cartes complète sur le marché des portables. Sa Surface Pro 3 est en effet, sur le papier, le meilleur des mondes :
Encore plus de légèreté qu'un ultrabook
L'ergonomie d'une tablette et sa rapidité d'utilisation
Un spectre d'usage extrêmement large par opposition aux systèmes limités IOS et Andoïd.
Sur ce plan, la démonstration de l'utilisation du stylet est particulièrement remarquable : on combine alors la puissance d'un ultrabook avec un système de prise de notes performant et convivial.
Et si on déroule le film présenté par Microsoft, on se prend à rêver et à presque toucher la cohérence de la stratégie Microsoft, presque un miracle compte tenu du flou qui a pu régner pendant des années :
Accessibilité totale et parfaite de tous les documents sur PC, tablettes, smartphone…Xbox ? Idem pour le domaine vidéo-ludique, la musique, la communication…
Beaucoup de choses chez Microsoft prennent subitement un sens si on considère que ce produit peut vraiment venir se placer comme la pierre angulaire de la stratégie de Redmond.
Conclusion, premier avis
Vous l'aurez compris je suis très enthousiaste sur ce produit. Il me tarde de l'avoir entre les mains en espérant que tous ces bons points relevés se matérialisent dans les faits.
La première chose que j'ai constaté en observant cette Surface Pro 3 c'est qu'elle rassemblait tous les points positifs que j'ai retenu et apprécié chez certains produits que j'ai eu la chance d'avoir entre les mains :
La légèreté et la puissance d'un Ultrabook haut de gamme comme le Zenbook d'Asus que j'utilise depuis un bon moment maintenant.
La polyvalence et les nouveaux usages amenés par le Lenovo Yoga 2 Pro.
La prise de note et la dématérialisation avec la tablette Galaxy Note 10".
Peut-on pour autant dire que cette Surface Pro 3 condamne les PC portables ? Je ne sais pas.
Ce qui me semble crédible par contre c'est de dire que les marchés de l'ultrabook et de la tablette 10" vont se retrouver bouleversés si le nouveau joujou de Microsoft tient ses promesses.
On le sait, le mini ITX a le vent en poupe. Le nouveau chipset intel permet donc aux constructeurs de se lâcher en programmant tous plusieurs déclinaisons mini ITX d'un Z97 qui est normalement dédié aux cartes haut de gamme.
Quel est donc l'intérêt d'avoir ce chipset sur une carte qui, par définition, réduit ses possibilités ?
Le mini ITX est-il pertinent pour une machine gaming ou pour un utilisateur exigeant ?
En plus de permettre d'assembler des machines plus petites et plus esthétiques, les déclinaisons mini ITX permettent aussi aux constructeurs de…vendre des cartes mères plus chères avec moins de fonctionnalités 🙂
Il est loin le temps de la mini ITX VIA dont le but était un PC Low Cost.
Alors le Mini ITX c'est juste du marketing ?
Si certaines offres n'apportent pas grand chose à part en enrobage commercial pour profiter de la vague du moment, il faut noter que d'autres produisent réellement de petits bijoux…à tous les sens du terme.
On commence évidemment par Asus
ASUS Z97I Plus
Cette carte est une version "accessible" du Z97 Mini ITX d'Asus. Elle reste néanmoins positionnée à plus de 140€
Elle accepte 16Go max et surtout se retrouve allégée du blog VRM sur carte fille que l'on retrouve sur la gamme ROG. Elle est équipée de la technologie DIGI+ VRM.
La Z97i Plus est équipée de 4 ports SATA revision 3.0, de 4 ports USB 3.0 (+ un connecteur interne pour 2 ports en façade). Elle dispose également de 4 sorties vidéos (HDMI, DVI, VGA et Displayport).
ASUS Z97 Maximus VII Impact
Pour le moment cette carte est "virtuelle" puisqu'elle n'est pas officiellement annoncée. Cependant, sa grande soeur en Z87 ayant reçu un excellent accueil, nul doute que la version Z97 va arriver.
Au menu donc, un simple passage au Z97 et les mêmes fonctionnalités que la précédente génération.
La Maximus VII Impact serait donc équipée de 6 ports SATA revision 3.0, de 4 ports USB 3.0 (+ un connecteur interne pour 2 ports en façade).
L'atout principal de cet "impact" étant son VRM particulièrement pointu pour une mini ITX.
EVGA Z97 Stinger Core3D
C'est, d'un point de vu esthétique, l'une de mes préférées.
Sa grande soeur en Z87 était pourtant un peu à la traîne en terme de spécifications techniques. Il semble d'après les détails communiqués par la marque, que là aussi on soit un peu frustré avec une absence de port M.2 et Sata Xpress.
GIGABYTE Z97N-Wifi
C'est, comme pour Asus, une version "light" qui tape quand même à 133-135€. Si elle ne dispose pas d'une grande capacité de connections externes, elle permet de profiter de toute la qualité de conception propre à la marque. La technologie Ultra Durable 5 notamment.
GIGABYTE GA-Z97N-Gaming 5
La première chose que l'on note sur cette GA-797N c'est qu'elle est équipée d'un radiateur sur les VRM relié par heatpipe au radiateur chipset.
La partie audio est beaucoup plus qualitative disposant d'un codec HD Audio péchu ( ALC1150 ) , la partie réseau dispose du maintenant bien connu Killer™ E2200 de chez Qualcomm Atheros.
Les 6 SATA du chipset sont utilisés, 5 pour les ports internes et 1 pour un eSATA bien pratique.
MSI Z97I AC
Là encore, on peut qualifier cette Z97I AC de version "light" car elle ne dispose pas de port M.2 ni de Sata Xpress. On sera entre 120 et 130€ tout de même.
MSI Z97I Gaming
A moins de 160€ cette MSI peut paraître comme la plus agressive au niveau commercial. Pas de port M.2, elle dispose elle aussi d'un Lan Killer E2205 et d'une partie audio plus soignée alimentée par Creative Sound Blaster Cinéma 2.
Sur ses 6 ports Sata, deux sont dédiés au eSata
Agressivité tarifaire c'est une chose mais cette carte se comporte particulièrement bien dans tous les tests.
Récapitulatif et synthèse.
Bien entendu la famille des cartes mères mini ITX à base de chipset Z97 comporte plus de références. D'autres produits vont arriver et il semble vraiment que l'engouement sur le Mini ITX soit parti pour durer.
Reste à vraiment comprendre l'intérêt d'un chipset Z97 dans un environnement mini ITX.
L'overclocking ? c'est effectivement du domaine du possible avec des cartes mères qui disposent de VRM pointus ( on pensera spécifiquement à la Maximus VII impact ou à la Gigabyte GA-Z97N-Gaming 5 ).
Cependant quid de la dissipation thermique dans cet environnement ? On peut effectivement monter un watercooling CPU mais une configuration aussi musclée viendra quasi obligatoirement avec un gros GPU…qui ne pourra bénéficier que de sa propre ventilation.
Alors le Z97 a d'autres qualités que l'overclocking c'est certain mais à mon sens cette débauche n'apporte rien.
L'overclocking sur ce format est un mythe et il n'apporte rien par rapport à un montage homogène avec une bonne carte graphique.
Reste le fait de disposer de la plateforme la plus puissante et de pouvoir en avoir sous le pied…sans vraiment pouvoir l'exploiter.
On peut aussi se poser la question sur l'orientation que prennent les constructeurs avec la plateforme Mini ITX.
La course à la puissance mais aussi la volonté de disposer d'une alimentation solide et au format classique ont engendré une vague d'embonpoint sur les châssis.
L'encombrement global d'un boîtier Mini ITX type Corsair 250D ou BitFenix Colossus est quasi équivalent à celui d'une solution Micro ATX offrant plus de perspectives…
Le Mini ITX reste cependant un standard séduisant…les marques ne s'engagent peut-être pas dans la bonne direction, tout simplement.
Vous trouverez ci-dessous un tableau "maison" vous permettant d'avoir une vision complète des caractéristiques de l'offre Z97 en mini ITX.
On continue notre série d'articles sur les nouvelles cartes mères en Z97, avec aujourd'hui GIGABYTE en tête d'affiche. Nous avons vu avec les ASUS ROG des cartes-mères dédiées aux joueurs, on va à présent se focaliser sur nos amis les Overclokers, qui eux aussi ont des besoins biens particuliers. Je vais donc vous présenter les caractéristiques des cartes-mères SOC (Super Overclocking) :Z97X-SOC Forceet Z97X-SOC.
Toujours plus haut, toujours plus de records.
HiCookie, Dinos22, Sofos1990, SniperOZ, YoungPro, Vivi et Steponz, sont des Overclockers ayant réalisés 6 records du monde avec la Z97X-SOC Force.
Ces records on été réalisés au GIGABYTE OC Lab. De quoi montrer que les nouvelles CM (CM = cartes-mères) SOC de GIGABYTE jouent déjà dans la cour des grands…
Les innovations GIGABYTE à destination des Overclockers :
OC Touch
Comme son nom le laisse entendre, OC Touch est en réalité une série de boutons directement implantés sur le PCB de la CM. Cela a pour but de faciliter les réglages des paramètres principaux pour faciliter l'overclocking. Cette innovation permet aux débutants de simplifier les manoeuvres et aux pros de gagner du temps.
OC Ignition
Cette technologie est destinée aux overclocking un peu plus poussés. Une simple pression sur le bouton permet de délivrer un courant continu à vos disques durs et ventilateurs sans avoir besoin d'alimenter votre processeur en énergie. Ceci étant particulièrement utile en cas de "cold bug", c'est à dire quand on doit chauffer notre processeur à une bonne température.
Switch OC DIMM et OC PCIe
Switch OC DIMM permet de désactiver manuellement chaque slot de RAM. Le but étant de ne pas devoir retirer les barrettes de RAM ou de devoir les remettre.
Switch PCIe reprend exactement le même principe, mais cette fois pour les ports PCIe donc les cartes graphiques. Cela est très utile pour les personnes utilisant de l'Azote. A noter que ces deux Switch s'avèrent également très utiles pour les personnes voulant tester leur matériel.
OC Brace
Cette fois il s'agit d'un accessoire physique qui permet d'installer plusieurs cartes graphiques (jusqu'a 4) en toute sécurité, afin qu'elles soient biens mises en place et qu'elles n'endommagent pas les ports PCIe. A noter que, encore une fois, cet accessoire est très utile pour les personnes voulant tester des systèmes et qui sont appelés à monter, démonter, remonter…
Optimisation des performances graphiques
La CM intègre une conception particulière pour un usage multi-GPU (4-way AMD CrossFire et 2-way NVIDIA SLI), qui offre de meilleures performances en cas de séances d'overclocking. Les 3 premiers ports PCIe disposent d'une connexion en direct avec le processeur tandis, que le 4ème port se trouvera connecté directement à la puce Intel Z97.
OC PEG
Cette technologie permet de fournir une source d'alimentation auxiliaire aux ports PCIe dans le but d'assurer une meilleure stabilité pour les grosses configuration à base de 4 cartes graphiques.
OC Connect
Technologie toute simple mais efficace qui nous permet d'avoir 2 connecteurs USB sur la partie arrière de la CM, face à l'Overclocker (ou au testeur). Cela permettra à l'utilisateur de pouvoir facilement sauvegarder ses données, flasher son BIOS, ou encore installer ses logiciels de benchmark..
Les innovations GIGABYTE "grand public":
SATA Express
Alors que les ports SATA dit Standards nous offrent un débit allant jusqu'à 6Gb/s, GIGABYTE nous propose un connecteur SATA Express pouvant atteindre les 10Gb/s.
Audio Realtek ALC 1150 115dB SNR HD
ALC1150 est un codec Audio multi-canal HD offrant un meilleur confort grâce à un rapport signal bruit de 115db SNR. LC1150 permet également la gestion des environnements 10 canaux : 7.1 + 2 sorties stéréo indépendantes. La technologie est compatible avec Acoustic Echo Cancellation (AEC), Beam Forming (BF) et Noise Suppression (NS).
Amplification Audio pour casques
Notre belle carte-mère noire et orange embarque un amplificateur audio qui permet, comme son nom l'indique, d'amplifier les sons lors du branchement d'un casque audio.
Réseau Killer
En ce qui concerne la puce réseau, on retrouve ici une Qualcomm Atheros Killer E2200. La puce est compatible avec Advanced Stream Detect qui permet d'identifier et de rendre prioritaire toute charge réseau en fonction de vos besoins via Killer Network Manager.
Gestion numérique de l'alimentation CPU par IR
Il s'agit là de contrôleurs PWM et de puces PowlRstage qui nous offrent une gestion 100% numérique de l'énergie et de l'électricité à destination de notre machine. Cela permet donc une meilleure stabilité.
Compatibilité avec ventilateurs OPT
Les cartes mères Overclocking Séries 9 disposent d'un connecteur OPT permettant de gérer efficacement les systèmes de watercooling et les ventilateurs CPU "Dual Fan".
Condensateurs Solides 10K Durable Black
Nos chères cartes mère embarquent des condensateurs solides de haute qualité pouvant fonctionner à plein régime pendant 10 000 heures. Ces condensateurs offrent de faibles ESR quelle que soit la charge CPU.
Socket CPU plaqué avec 5 couches d'or 15μ
La but de ce socket plaqué or est tout simplement d'améliorer la stabilité et la durabilité en supprimant les risques de corrosion, car oui l'or est le seul métal à ne pas s'oxyder…efficacité réelle ?
Présent depuis quelques années dans le domaine de l'audio pour gamer (Sirus, Pulse, Ceres, Pitch), Cooler Master a annoncé récemment le CM Storm Sirus-C, disposant d'un son 2.2 et d'une compatibilité console.
Ce dernier devrait prochainement être disponible en France pour un tarif conseillé de 85€.
Il vient donc compléter la gamme Sirus, qui proposait uniquement du surround 5.1 sur PC (Sirus 5.1 et Sirus S).
Vous pourrez ainsi jouer tranquillement dans votre salon sans déranger les personnes autour du vous ou encore discuter avec vos amis en utilisant le micro intégré.
Caractérisiques Techniques
Les caractéristiques de ce casque sont tout à fait classiques d'un casque gamer. On peut noter la présence d'un subwoofer de 40 millimètres dans chacun des écouteurs afin d'amplifier les basses.
De plus, Cooler Master a pensé à tout et on a le droit à un câble long de trois mètres, afin de pouvoir s'éloigner de sa console.
Casque
Hauts-Parleurs :
φ44mm (transducteur)
φ40mm (subwoofer)
Réponse en fréquence :
20Hz – 20 000Hz
Impédance :
50Ω (principal)
32Ω (subwoofer)
Connecteurs :
Jack 3.5mm/USB
Longueur du câble :
3 mètres
Micro
Type :
Omnidirectionnel
Réponse en fréquence :
100Hz – 10 000Hz
Bundle
On retrouve à l'intérieur de l'emballage (très bien réalisé) un bundle complet, comprenant :
Le casque
Un boîtier de commande
Un adaptateur mini-jack vers RCA (pour console)
Une rallonge jack 2.5 mm (pour le micro)
Le boîtier de commande
Intéressons-nous un peu plus en détail à ce boîtier qui fait office de télécommande mais aussi de carte son USB : il vous permet évidemment de régler le volume du casque et du micro, mais aussi de désactiver ce dernier. Un mode Console est disponible, qui active l'amplificateur intégré. Attention cependant à ne pas l'activer sur PC, vous risqueriez d'endommager vos oreilles !
En plus de ces fonctions de base, ce boîtier intègre un clip et une carte son, qu'il n'est malheureusement pas possible de contourner sur PC : impossible donc d'utiliser votre carte son dédiée flambant neuve, ce qui est bien dommage.
Compatibilité console oblige, vous retrouverez une sortie jack 2.5mm pour le micro, afin de le brancher à votre manette de Xbox 360 (les consoles de Sony gèrent le micro directement en USB).
Ergonomie
La première chose que l'on remarque en prenant ce casque en main, c'est son poids, qui est quand même de 465 grammes malgré sa construction en plastique. C'est beaucoup comparé aux casques audiophiles (qui font souvent moins de 250g) et au SteelSeries Siberia V2 qui affiche 292 grammes sur la balance. On reste cependant dans la moyenne des casques Gamer à moins de 100€
Ce poids élevé est principalement dû aux matériaux et à la fabrication globale du casque, qui dispose d'un imposant arceau rigide marqué CM Storm.
L'arceau est entièrement en plastique mat à l'intérieur et dispose de deux bandes en plastique brillant sur le dessus. Le coussinet quant à lui est un peu léger au vu du poids important du casque, et vous risquez de le ressentir après 30-45 minutes de jeu.
Les oreillettes
De chaque côté extérieur des (imposantes) oreillettes se trouve le logo CM Storm (équipé d'une LED blanche, et non rouge malheureusement) avec à nouveau un mélange de plastique mat et brillant.
Afin de s'adapter à tous, une légère rotation est possible sur les deux axes. Les coussins sont en tissus, mais interchangeables par une version en simili cuir qui sera disponible ultérieurement. Le confort est tout à fait satisfaisant : les oreillettes englobent bien l'oreille et la mousse est confortable. Cependant, de par la construction rigide de l'arceau, la pression appliquée sur les oreilles est assez importante.
Conception fermée oblige, vous risquez rapidement d'avoir chaud aux oreilles, puisque l'air n'est pas en mesure de circuler. Cet effet est accentué par la proximité des oreilles avec les hauts-parleurs.
Il n'y a pas grand chose à redire concernant la qualité de fabrication de casque Sirus-C: les matériaux utilisés sont de qualité, malgré la conception principalement plastique. Le design semble durable et devrait vous permettre de conserver le casque de nombreuses années, même en cas de déplacements fréquents.
Qualité Audio
En jeu
C'est dans ce domaine que le casque s'en sort le mieux, et heureusement, car c'est le domaine le moins exigeant !
L'immersion est bien présente, particulièrement dans les FPS et les jeux de voitures où les basses sont mises en avant grâce au subwoofer. Il faut simplement noter que la spatialisation du son n'est pas assez présente.
Musique
Si vous comptez utiliser ce casque pour écouter de la musique, passez votre chemin, il n'est pas fait pour ça.
Les aigus ressortent très mal, les basses sont un peu trop présentes et une bonne partie du spectre audio est mal reproduit, entraînant un son plutôt baveux en musique. On restera donc sur un 5/10, sachant que ce casque est dédié au jeu avant tout.
Sachez cependant que Sennheiser propose pour 20€ de plus le HD 518, qui ne dispose certe pas d'un micro et de la compatibilité console, mais vous permettra de redécouvrir votre bibliothèque musicale.
Microphone
Le micro se trouve du côté gauche du casque, et s'active automatique une fois abaissé. Une fois le micro activé, une LED blanche s'allume à son extrémité, ce qui pourra vite en déranger certains.Il est possible d'ajuster le micro facilement grâce à une longue partie flexible, vous permettant ainsi de positionner le micro comme vous le désirez.
Concernant la qualité audio, elle n'a rien d'extraordinaire pour un casque vendu plus de 80€ : le rendu audio est correct. J'aurais cependant préféré un rendu plus clair et distinct du son, qui est beaucoup trop grave à mon avis.
Je vous laisse juger par vous-même avec ce petit extrait enregistré avec le micro branché en USB :
Conclusion
Cooler Master s'est lancé dans un domaine où le catalogue est très restreint : les casques Gamer compatibles consoles. Sur ce point le pari est réussi, le casque étant compatible PlayStation 3, 4 et Xbox 360. Néanmoins l'obligation de passer par l'USB sur PC est un gros défaut à mon avis, surtout pour les personnes disposant d'une bonne carte son. C'est pourquoi je recommanderai plutôt aux joueurs PC de se tourner vers le Sirus 5.1.
Sinon le rendu audio est correct, avec toujours trop de basses et l'impossibilité d'écouter des musiques "exigeantes" sans avoir l'impression d'écouter un MP3 encodé en 128Kbits/s.
Après la découverte du ROCCAT SIRU, on se penche aujourd'hui sur un autre tapis, encore une fois de la marque Allemande, mais cette fois-ci, nous entrons dans le haut de gamme. Nous allons donc voir avec ce produit quelle est la réelle différence entre un très bon tapis milieu de gamme (comme le SIRU ou les RAZER GOLIATHUS) et un tapis plus haut de gamme comme celui-ci.
(vidéo à venir)
Ergonomie
En ce qui concerne l'ergonomie rien de particulier. On retrouve néanmoins la technologie "ERGONOMIC PRECISION", qui nous offre une petite encoche à l'avant du tapis qui nous permet, (si on le souhaite) de ne pas avoir notre main sur le tapis en lui-même. De plus le tapis étant épais mais pas complètement rigide, la sensation sur la paume de la main (si on la pause sur le tapis) est très agréable. Pour la taille du tapis (350x270x2mm) cela conviendra plus aux gamers jouant avec une grosse sensibilité. En effet le tapis peut être trop petit pour certains joueurs faisant de grands gestes. Cela étant dit le choix de la taille est un choix subjectif propre à chacun.
Design/qualité de fabrication
Première chose que l'on remarque sur ce tapis, c'est son grand dessin. Que l'on aime ou non, le dessin a le mérite d'être bien réalisé, les lignes ne "bavent" pas, il n'y a pas "d'effet pixel", bref c'est très propre. La qualité de fabrication est bonne elle aussi, les faces du tapis sont très bien intégrées l'une à l'autre. En revanche petit point noir en ce qui concerne la finition. En effet la découpe autour du tapis n'est pas très propre, on retrouve quelques "bavures", rien de bien de grave, mais a ce prix on s'en serait passé.
Efficacité
C'est dans ce secteur que le RAIVO nous montre qu'il est un vrai tapis haut de gamme. De part sa surface pleine d'aspérités le tapis permet à notre souris de glisser sans efforts, de plus ces aspérités facilitent le travail du capteur de la souris, et nous permet donc d'augmenter la précision du mouvement. Quant à la surface arrière, elle est très "abrasive", ce qui permet de jouer en toute stabilité. Néanmoins elle n'accroche pas la poussière et est très facile à nettoyer. Que demander de plus ?
Rapport qualité/prix et verdict
Comme vous l'aurez compris le produit est excellent. Ce qui fait sa principale force c'est sa surface supérieure qui offre une glisse exceptionnelle et un excellent feeling. De plus la surface arrière offre une bonne accroche. Malgré tout ça deux petits défauts: d'une part la finition qui n'est pas sans reproche et d'autre part le prix, comptez tout de même environ 25€ pour ce tapis.
Il faut bien le reconnaître, la fonction "utile" de la montre n'a plus aucun intérêt de nos jours. L'heure, on l'a sur son smartphone que l'on balade avec soi toute la journée.
La smartwatch, pour l'instant, est une extension, plus ou moins heureuse de son smartphone. Voilà pourquoi, à mon sens, elle ne dépasse pas le rôle de gadget…au mieux.
La montre est avant tout un bijou et force est de constater que les Samsung, Pebble et Sony n'ont rien d'un bijou.
Il se dit depuis longtemps qu'Apple aurait pris en compte cette dimension pour son iWatch…mais qui est plus légitime qu'un horloger Suisse pour justement apporter quelque chose à ce marché ?
Qu'avons nous là en fait ? Une montre de tradition suisse dérivée de la marque Chronoswiss…ou un beau coup marketing en provenance d'un startup Coréenne qui va aller chercher ses composants chez les innombrables sous-traitants asiatiques qui se spécialisent sur ce marché naissant ?
En réalité, un peu des deux.
Évidemment, niveau esthétique et qualité d'ensemble, on comprend immédiatement que nous ne sommes pas dans le même monde qu'une Galaxy Gear…Le prix attendu est situé aux alentours de 1000$; cher pour une smartwacth, bon marché pour une mécanique de précision suisse…reste à savoir où va se situer l'équilibre entre ces deux mondes.
Les premières informations laissent penser qu'il pourrait y avoir deux versions. La première version serait une version "Quartz", d'origine japonaise et la seconde serait une version disposant d'un mouvement mécanique d'origine suisse. Dans les deux cas, le boîtier serait en acier et l'affichage "smart" se ferait grâce à un écran transparent TOLED (Transparent Organic Light Emitting Diode ).
Une batterie intégrée rechargeable en USB donnerait 4 jours d'autonomie et bien entendu, la montre communiquerait avec un smartphone en BT 4.0.
Mechnical Smart Watch:
100% Swiss Made Movement (from an accredited and certified SWISS watchmaker)
TFD (Transparent Film Display) embedded just below the Crystal Sapphire protective glass.
La démocratisation des smartphones a permis de mettre à jour des géants asiatiques inconnus qui viennent aujourd'hui proposer, sans complexe, leurs produits sur notre marché.
Avec une fiche technique alléchante, le Huawei Ascend G525 est un smartphone relativement complet pour un prix voisin de 120€ ( sans abonnement ). On est bien loin des tarifs proposés par les cadors du marché Apple et Samsung.
Pourtant ce smartphone embarque un processeur Qualcomm Snapdragon Quad-core à 1.2GHz, une puce Adreno 203 le tout au service d'une dalle IPS de 4.5" pour une résolution de 960 x 540 pixels.
Si Samsung propose un Galaxy Ace au même niveau de tarif, ce dernier est animé par l'ancestral Androïd 2.2…reste le tout récent Nokia X qui risque de ne pas faire de vieux os sur le marché mais qui dispose d'un design agréable et d'Android 4.1…mais se contente d'un dual core et d'un écran 4". En descendant en gamme, le Wiko Cink Slim est certes 10€ moins cher mais il reste distancé, lui aussi, assez nettement sur le hardware par le Huawei. Bref, ce Huawei Ascend G525 est, sur le papier, particulièrement affûté.
Design
Sur ces gammes de prix, on le sait bien, le design est un élément particulièrement déterminant. Rares sont les clients à s'intéresser à l'intérieur du smartphone…ce qui compte c'est le premier contact avec le smartphone…
Le Hauwei est disponible en noir et en blanc.
Quand on observe la version blanche que j'ai entre les mains, on comprend clairement que Huawei a tout fait pour que son téléphone soit le plus anonyme possible. Un design classique et passe partout.
Les plus négatifs diront que cette absence d'originalité est un point faible, pour ma part je considère au contraire que le constructeur est totalement logique avec cette approche "classique".
L'objectif de ce G525 est de se vendre partout et à tout le monde : pas d'originalité certes mais pas de faute de goût non plus. Un petit air d'iPhone 4 blanc permet en plus de donner un gage de sérieux à l'appareil, la confusion et d'ailleurs régulière auprès d'un public néophyte.
Qualité de fabrication
Difficile d'être exigeant avec un appareil dépassant à peine la barre des 100€. Force est de constater que les matériaux employés pour ce smartphone sont de qualité. Le plastique laqué est traité anti-rayure, il rend la prise en main tout a fait agréable.
Concernant l'assemblage global de l'appareil, là aussi rien à dire, le produit respire la qualité, pas de jeu et une bonne impression de solidité de l'ensemble.
Même le retrait de la coque permet de constater, au niveau du logement de la batterie et des sims que tout est parfaitement assemblé.
Si on devait s'arrêter aux sensations, je dirais même, sans hésitation, qu'il n'a rien à envier sur le terrain de la qualité des matériaux et de la qualité d'assemblage avec un Galaxy S4 mini par exemple ( on parle de la qualité perçue et du feeling, j'insiste bien sur ces points ).
Performances / Utilisation
L'Ascend G525 est livré avec androïd 4.1.2. Huawei rajoute sa surcouche Emotion UI 1.0. Le design général de l'interface est donc un peu modifié et dans l'esprit, se rapproche un peu d'iOS.
Reste que la navigation est relativement fluide et que la réactivité de l'écran est satisfaisante. En utilisation "multimédia" cette dalle est même surprenante dans les jeux comme dans les vidéos où le rendu est particulièrement flatteur. Reste qu'en extérieur, la situation est beaucoup plus difficile et sous un soleil printanier comme ces derniers jours, l'écran est quasi inexploitable en plein soleil.
Le processeur Qualcomm Snapdragon S4 Pro Play (MSM8225Q) n'est évidemment pas une flèche mais s'acquitte très honorablement de toutes les tâches classiques d'un smartphone.
Le test global sous AnTuTu nous décerne un score global de 11200 ce qui le situe au dessus d'un Galaxy S3 mini ou un S2 classique et au niveau d'un Motorola Razr I par exemple.
Il faudra donc être vraiment très exigeant pour trouver des faiblesses à ce smartphone sur le terrain des performances compte tenu de son prix. Il encaisse tout, sans restriction y compris les applications ludiques. La lecture de fichiers vidéos encodés en HD ne pose pas de souci particulier et permet de profiter de la bonne qualité globale de l'écran pour ce qui est de la fluidité et des couleurs.
La partie photo est quand à elle beaucoup moins à la fête. Il faut donc composer avec un capteur de 5 Mpixels sans flash et beaucoup miser sur la créativité de celui qui prend des photos et non sur la tolérance de l'appareil. Reste qu'encore une fois, sur cette gamme de prix, le Huawei est, sur la photo aussi, au moins équivalent à ses petits camarades.
La partie double SIM est intéressante et permet d'envisager une utilisation "pro" de ce smartphone ( un numéro pro / un numéro privé ). Il faut bien noter cependant qu'une seule sim pourra bénéficier d'une connectivité 3G+. Le reste de la gestion de ces 2 SIM est classique : personnalisation des sonneries, plages horaires…
Autonomie
Le Huawei Ascend G525 est équipé d'une batterie de 1750mAh. Il semble que des versions avec une batterie de 1700mAh ont été en circulation à un moment donné…celui que j'ai entre les mains dispose biend'une1750mAh et ce smartphone estune version "stock" et non un exemplairepressespécifiquementflatteur.
Un test de cetappareil a étépubliéavec des résultats médiocresconcernantl'autonomie. Ne constatant pas du tout cesoucisurmonmodèle, j'aidoncutilisé le mêmeprotocolequecelui de mesconfrères pour confortermonjugement.
Il est bien évident que l'autonomie de la batterie est un élément déterminant dans le choix d'un smartphone. J'ai donc commencé par tester au quotidien ce Huawei ( Wifi…) puis à le solliciter lourdement avec les outils nécessaires.
Le test Battery Benchmark me donne un score de 21959 là où le confrère trouvait 19578…12% de mieux ce n'est pas extraordinaire, en dessous d'un Nokia X (24420) et au dessus d'un Galaxy Ace…Bref, ce n'est pas dramatique mais l'autonomie n'est pas le point fort de ce smartphone.
Une utilisation classique permet cependant d'espérer une journée sans trop de restriction. Par contre une fois le GPS enclenché, alors là, les capacités s'effondrent.
Conclusion
Au regard de son prix, l'Huawei Ascend G525 est un bon smartphone. Ce n'est évidemment pas un smartphone de geek mais un appareil besogneux capable de dépanner dans tous les domaines.
Avec un hardware musclé et une taille d'écran au dessus de ses concurrents il permet à son utilisateur d'accéder à un confort normalement réservé à des appareils évoluant sur un autre niveau de prix. Evidemment, faire rentrer tout ça dans un prix aussi bas implique des concessions. Ces concessions se retrouvent sur le capteur photo évidemment, dans la norme cependant de ce que font ses camarades du même prix . La batterie permet d'espérer une bonne journée d'utilisation mais pas plus. Par contre la qualité d'assemblage et le choix de matériaux sont remarquables pour un produit de ce prix.
Avec sa gestion double SIM, ce Huawei est un smartphone "low cost" capable de procurer beaucoup plus d'usages que ses camarades. Son design discret voir anonyme lui permet d'être vite adopté. Il procurera alors à son utilisateur les joies d'un smartphone complet…en classe éco.
La fameuse série de cartes mères ROG n'est plus à présenter, tous les gamers, les fans de hardware et les obsédés du look en rêvent à chaque nouvelle annonce d'ASUS.
Comme vous l'aurez compris, les nouvelles ROG embarquent donc le nouveau chipset Z97 au service du socket 1150 qui prend en charge les processeurs Intel Core de 4ème et 5ème génération (Haswell, Haswell Refresh et Haswell Refresh-K/Devil’s Canyon).
En ce qui concerne le look de ces nouvelles ROG rien de nouveau… sauf peut être sur les MAXIMUS VII HERO et GENE, regardez bien les deux PCB et vous verrez qu'ASUS nous offre un circuit bicolore aux finitions mates, noir et rouge. De plus le socket est nickelé, ce qui donne un très joli effet.
Pour le reste c'est du classique avec les slots de RAM rouges/noires et les ports PCI-E rouges/noires également. Pour finir sur le look, on apprécie les radiateurs très sobres et bien travaillés avec le rappel du modèle. On retrouve bien l'ADN ROG dans cette nouvelle série, et les fans de la marque apprécieront.
Les détails techniques
On va maintenant se pencher sur un aspect plus technique. Comme à son habitude sur la série ROG, ASUS nous propose des composants électroniques haut de gamme, pour une meilleure fiabilité (on l'espère) et de meilleures performances en OverClocking. Les MAXIMUS VII disposent d'un BIOS UEFI amélioré et d’un port M.2 (PCIe x2) permettant un débit de 10 Gbit/s. Pour le réseau, ASUS a choisit la dernière puce ethernet d'Intel qui doit nous apporter une consommation processeur réduite et un débit TCP et UDP plus élevé. On retrouve également un port LAN amélioré du nom de LANGuard. Cette technologie de couplage de réseau doit là aussi servir les performances.
LANGuard intègre un autre composant, le ESD Guard qui nous promet une meilleure protection contre les décharges électrostatiques et une meilleure tolérance à l’électricité statique (ASUS estime que son système est 1.9 fois supérieur sur ce point à celui de la concurrence).
On s'intéresse maintenant à la technologie GameFirst qui, sur la série MAXIMUS VII, a été amélioré, on a donc du GameFirst III. En premier, c'est l'interface qui a été améliorée, elle est clairement plus conviviale.
De plus ASUS a amélioré la gestion des paquets, GameFirst III peut prioriser les paquets de jeux et leur allouer davantage de bande passante, ceci nous permettra de gagner quelques petits points de ping et une connexion un peu plus stable.
GameFirst III intègre plusieurs profils que l'utilisateur pourra choisir en fonction de ses besoins, comme le partage de fichiers, le stream, le gaming ou encore l'optimisation. L'utilisateur pourra aussi gérer lui même sa bande passante pour des applications individuelles. Là où cette technologie va plus loin, c'est qu'elle dispose également d’un outil intégré pour surveiller le trafic réseau et d’un outil de test pour mesurer la vitesse de connexion.
Nous allons à présent voir ce que ces MAXIMUS nous réservent au niveau du son.
Les MAXIMUS VII RANGER et HERO disposent d'une carte son SupremeFX 2014, quand à la GENE elle est équipée d’une carte son intégrée SupremeFX Impact II.
Les trois cartes-mères disposent d'un système d'isolation pour réduire le plus possible les interférences électromagnétiques (EMI), de condensateurs audio ELNA et de 8 sorties audio plaquées or. Cette dernière génération de MAXIMUS nous propose de nouvelles technologies comme Sonic SenseAmp, qui permet de détecter un casque (plus précisément son impédance) et d'ajuster automatiquement son amplification.
On retrouve aussi un bouton appelé Sonic SoundStage qui permet d'appliquer facilement des réglages selon les genres de jeux, à l'aide de 4 modes prédéfinis; FPS, Course, Combat et Sport. Le SupermeFX est accompagné d'une nouvelle suite de réglages audio, Sonic Studio, qui possède une fonction Virtual Surround 7.1. SonicStudio est également accompagné de réglages détaillés permettant de modifier la réverbération, la puissance des basses, l’égalisation et la clarté des voix, dans le but de laisser l'utilisateur faire son propre setup en fonction de ses besoins ou plus simplement de ses préférences.
ASUS intègre de nouvelles technologies liées à l'USB. On commence avec KeyBot qui permet, une fois notre clavier branché à cette prise, d'assigner des macros aux touches de fonctions, et il permet également de programmer des identifiants de session ou le lancement d’applications.
La deuxième technologie liée à l'USB est TrueVolt qui fournit une sortie 5V stable aux ports USB (avant et arrière). Cette alimentation est isolée et linéaire, ce qui minimise les fluctuations de tension pour assurer à tous les périphériques connectés de recevoir l’énergie suffisante.
Pour finir on va regarder du coté du BIOS, et on retrouve bien évidemment un BIOS UEFI pilotable à la souris. Cette nouvelle version des BIOS ROG UEFI détecte automatiquement les cartes graphiques ASUS et fournit aux utilisateurs des informations détaillées. Le BIOS intègre Secure Erase qui propose de restaurer entièrement un SSD dans sa configuration de sortie d’usine.
La bonne surprise Maximus Ranger
En conclusion on retiendra surtout la MAXIMUS VII RANGER qui est une très bonne surprise pour 149€. Pour rappelle la version HERO est disponible à 185€, et la GENE pour 175€.
Quand on pense à Zalman, on pense souvent à quelque chose de massif et coûteux ( à cause du Reserator ?) .
Ces dernières années, Zalman s'est beaucoup diversifié passant du ventirad de cartes vidéos aux rhéobus en passant pas les boîtiers.
Aujourd'hui je vais vous présenter un de leur nombreux boîtiers, le Zalman Z11 Plus.
Ce boîtier est positionné commercialement de manière agressive et intègre quelques petites curiosités comme un système de refroidissement pour les disques durs intégré dans les portes du châssis.
Quelques spécifications…
Ce boîtier au format moyen tour peut accueillir des cartes mères de type ATX ou micro ATX. Il dispose en interne de 5 baies pour des disques durs 3.5" et une baie se trouvant derrière la carte mère pour un SSD ou un disque dur 2.5". Il dispose en façade de 4 x baies 5.25" et d'une cinquième "mixte" disposant d'un chariot pour installer du 3.5".
La longueur maximale disponible pour installer votre carte graphique est de +- 29 cm. Si vous aimez voir vos composants sans ouvrir une des portes, vous serrez content car ce boîtier possède une vitre très légèrement teintée.
Si vous aimez aussi le silence, cette tour est compatible watercooling ( avec les orifices pour faire passer la tuyauterie ).
Concernant les connectiques en façade, on y retrouve une entrée casque, une entrée micro, de 2 x USB 2.0 et 2 x USB 3.0.
Le refroidissement
Le Zalman Z11 plus est livré équipé de 5 ventilateurs…vous pourrez en rajouter 2 pour porter le total à 7.
On retrouve un ventilateur à LED bleue de 120mm à l'avant, un à l'arrière de 120mm alimenté malheureusement par une simple molex.
On en retrouve aussi 2 x 80mm sur les portes du boîtier alimentés eux aussi en molex, qui à la longue peuvent devenir un peu trop "pénibles" compte tenu de leur vitesse de rotation permanente.
Au dessus, on en retrouve 1 x 120mm LED bleue et un emplacement pour en mettre un deuxième 120mm ou 140mm.
Pour finir, on s'aperçoit qu'il y a aussi un emplacement pour en mettre un en bas de 120 ou 140mm pour aller chercher de l'air frais en aspiration.
Zalman Z11,l'extérieur
voici à quoi ressemble Z11 +.
La face avant du boîtier est composée, sur la partie masquant les baies 5.25", essentiellement de mesh.
La partie inférieure de la face avant est composée d'une large grille d'aération derrière laquelle le ventilateur de 120 d'origine se charge de l'aspiration d'air frais.
Quand on regarde le coté gauche du Z11+, la seule chose qui attire la curiosité n'est pas la fenêtre mais ce grand évent accroché au panneau latéral. Cet évent latéral sert à évacuer la chaleur qui vient des disques durs.
Ainsi, pour éviter que la chaleur des disques durs viennent s'ajouter à la chaleur des autres composants, Zalman utilise ces prises d'air afin de chasser l'air chaud. On retrouve le même évent sur l'autre panneau latéral..
La fenêtre utilisée pour avoir une vue sur les composants à la particularité d'être bombée,.. C'est surprenant mais cela donne aussi un dégagement supplémentaire pour un ventirad de grande taille.
Il est temps de regarder d'un peu plus près l'arrière cette tour.
En regardant la partie supérieure arrière du boîtier, on ne constate rien de particulier par rapport aux autres concurrents.
Note intéressante : les orifices destinés au radiateur extérieur permettent de faire passer des tuyaux de 5/8, attention à ceux qui veulent utiliser une plus grosse section.
Comme ce boîtier est de type moyenne tour, le Z11+ ne peut utiliser que des cartes mères au format micro ATX et ATX .
.
L'alimentation, sur ce boîtier, ce situe dans le bas du châssis. Le logement dispose de plusieurs trous pour accepter tout type d'alimentation.
Le dessous du Zalman Z11+. Un filtre est présent sur la partie alimentation, on devine aussi l'emplacement disponible pour rajouter un 120mm avec son filtre à poussières.
Les pieds du boîtier disposent de coussinets en caoutchouc permettant aussi de réduire les vibrations par conduction sur la surface de votre table par exemple.
Nous allons maintenant s'intéresser au dessus du boîtier.
Zalman a placé sont bouton marche/arrêt un peu plus à l'avant que le reste. Derrière ce bouton marche/arrêt, on trouve sur les cotés, les ports USB 3.0 et 2.0,les sorties et entrées audio, ainsi que le bouton reset et la LED HDD.
Zalman a mis de petits filtres en mousse derrière les baies de 5.25" .
Z11 Plus , L'intérieur
Sur chaque panneau latéral, on retrouve le ventilateur de 80mm qui aide à faire sortir la chaleur dégagée par les disques durs pendant leur fonctionnement. Ces petits ventilateurs n'utilisent pas une prise 3 broches standards mais bien du molex 4 broches…c'est le point faible.
Le boîtier Zalman Z11+ utilise des vis T qui sont directement vissées sur le disque dur; il suffit de le glisser dans la cage et ensuite rajoutée une vis à main.
Zalman a pensé à ceux qui veulent bricoler en ouvrant largement la partie latérale sur laquelle vient se fixer la carte mère : quand vient le moment de changer son ventirad ou de monter un watercooling, pas besoin de tomber la carte mère.
Le ventilo 120mm lumineux d'origine peut être remplacé par un 140mm plus performant.
On trouve un second emplacement pour installer un ventilateur de 120/140 mm pour améliorer la ventilation.
La mesure du dégagement disponible pour la carte graphique permet de constater que l'on dispose d'un poil plus que 29cm : grosses cartes possibles donc mais attention aux modèles types 290X où le connecteur d'alimentation rajoute à la longueur de la carte.
Nous avons à peu près 2 cm derrière entre le panneau latéral droit et la carte mère. Cela permet d'envisager un "cable management" pour un montage propre..
Toujours dans la "doublure" latérale du boîtier, on trouve un emplacement de 2.5" pour y installer un SSD. Derrière la carte mère, en dessous de la fenêtre pour le CPU. Franchement ce n'est pas vraiment pratique.
Conclusion
La première chose à dire sur ce Zalman Z11 Plus au moment de conclure c'est qu'il est surprenant.
Surprenant au niveau de son rapport qualité prix car situé sous les 60€, il est extrêmement bien conçu et sa qualité de fabrication n'a rien à envier à des modèles au positionnement 20 à 30€ au dessus.
Surprenant il l'est aussi dans son esthétique avec une façade agressive dans le bon sens du terme mais aussi cette vitre latérale "bombée" qui donne quand même une drôle d'impression et, il faut être honnête, vient un peu gâcher l'ensemble.
Enfin, les cages des disques et la conception d'ensemble permet un montage facile et une gestion des câbles propre.
Les possibilités de ventilation ainsi que les filtres nombreux viennent aussi confirmer le potentiel de ce châssis pour réaliser de belles installations.
Reste des faiblesses inhérentes à son prix : les ventilos embarqués d'origines ne sont pas d'une grande efficacité et surtout pas d'une grande discrétion. On pensera en premier lieu aux 2 x 80mm des panneaux latéraux essentiellement.
En laissant ses ventilos sur des molex, il est évident que 5 voir 7 turbines tournant plein pot risquent de rendre nerveux n'importe quel utilisateur.
Cependant, voila des postes qui peuvent évoluer à moindre coût ou encore disparaître avec l'utilisation d'un watercooling.
Bref, ce Zalman Z11 Plus est une excellente surprise et un achat à recommander sur ce niveau de budget.
Un gros PC GAMER c'est bien, c'est beau, ça fait rêver, mais… C'est cher ! Vous n'avez pas les moyens d'investir des centaines d'Euros dans un nouveau PC ? Vous voulez booster votre PC sans vous ruiner ? Cet article est pour vous ! Ici on va vous proposer différents upgrades possibles pour moins de 100€.
Pour 100€ sachez qu'il est possible de trouver de très bonnes choses sur le marché de l'occasion, mais aussi en neuf, qui vont vous réconcilier avec votre machine.
Processeur / CPU
Comme vous le savez sûrement, le processeur (plus communément appelé CPU) est un (si ce n'est LE) composant principal de notre PC, c'est lui qui va être chargé de la majorité des calculs. De ce fait : meilleur CPU = plus de rapidité de calcul = plus puissance.
LGA 1156 : Si vous êtes sur un i3 vous pouvez passer sur un i5 comme le i5 750 trouvable d'occasion à moins de 100€.
LGA 1155 : Idem, sivous êtesactuellementsur un i3, un passage vers uni5 3470peutêtreuneexcellente chose pour booster vos performances globales.
AM3 + : Si vousn'enpouvez plus de votreactuelAthlon qui n'arrivemême pas àouvrir un mail, je vous propose de découvrir la série FX de AMD avec le FX 6350trouvableàmoins de 100€ d'occasion.
Refroidissement
Pour booster indirectement votre PC vous pouvez acheter un meilleur ventirad. Pourquoi ? Tout simplement car un meilleur ventirad va vous permettre d'overclocker votre processeur, et donc d'en augmenter ses performances. Bien entendu il faut que, de base, votre processeur puisse être overclockable. D'une autre manière un bon ventirad peut vous soulagez les oreilles. En effet améliorer le confort d'utilisation peut être une manière d'upgrader et de retrouver du plaisir à utiliser votre PC.
Le ventirad de base fourni par Intel ou AMD est très bruyant (et aussi peu performant). Ainsi prendre un ventirad silencieux peut rendre l'utilisation de son PC plus confortable, surtout pour une utilisation bureautique/multimédia et/ou cinéma.
Ventirad silencieux : Pour les petits processeurs comme les i3 par exemple, et pour les petits boîtiers, un Noctua NH-L9i est un très bon choix à moins de 40€ neuf. Pour les plus gros processeurs, comme un i5, vous pouvez partir sur un Be Quiet Shadow Rock Slim accessible lui aussi à moins de 40€ neuf.
Ventirad pour OC : L'OC est une pratique qui demande beaucoup de ressources à votre machine et surtout qui fait beaucoup chauffer le processeur. De ce fait, un bon refroidissement est primordial. Avec un budget de 100€ on peut s'orienter vers du watercooling comme le Corsair H75 qui fera très bien son travail et se trouve à 75€ neuf. Si vous souhaitez des performances accrues, un Corsair H100i est également un bon choix pour 95€ neuf.
Stockage
Un vieux et lent disque dur est une des principales cause de lenteur. Passer sur un disque dur plus performant voir un SSD, permet d'améliorer la réactivité du système.
Disque Dur (DD) : Le Seagate Barracuda, 1 To est un très bon DD avec des performances correctes tout en restant silencieux. Il est disponible neuf au tour de 50€.
SSD : Le Samsung Série 840 EVO, 120 Go est un très bon SSD qui va considérablement augmenter les vitesses de lecture et d'écriture de votre machine. Pour vous donner un ordre d'idée, windows 7 démarre en ~15sc. Disponible neuf à moins de 100€.
Carte Graphique (GPU)
On va maintenant s'intéresser au composant qui fait le plus saliver nos chers amis les gamers, on va parler carte graphique ! Sur le marché du neuf pour 100€ on a rien de vraiment costaud pour s'attaquer aux derniers jeux, hormis peut être la GTX 750 qui a des performances honnêtes et qui permet de jouer à tous les jeux. Mais là où ça devient vraiment intéressant, c'est quand on se penche du coté de l'occasion.
En effet il est possible de trouver pour 100€ de belles GTX 570 ! Certes cette carte graphique n'est pas de première fraîcheur, mais elle supporte Direct x11 et CUDA. De plus au niveau des performances elle enterre complètement les autres cartes neuves de ce prix, puisqu'elle a des performances égales à une GTX 750ti (CG vendue à environ 150€), et elle se rapproche même d'une GTX 660. La GTX 570 est donc un très bon choix pour upgrader son PC si on dispose d'une carte graphique vieillissante. La GTX 570 se négocie donc à moins de 100€ en occasion.
Boîtier
A l'image du ventirad, le boîtier est également un bon exemple "d'upgrade indirect". En effet on peut trouver, à moins de 100€,des boîtiers isolés phoniquement et donc très silencieux, ce que les personnes faisant beaucoup de bureautique ou se servant de leur PC comme home-cinéma apprécieront. On peut également prendre un boiter très bien ventilé dans l'optique (par exemple) de faire un SLI ou un Xfire, dans ce cas on aura besoin d'un flux d'air optimal. Ou tout simplement changer de boîtier pour le look..car vous ne supporter plus de voir votre PC.
Boîtiers silencieux : Le Cooler Master Silencio 550 est un bon choix car il n'est pas trop grand et il est existe en plusieurs coloris. Disponible pour moins de 80€ neuf. Il existe une autre option, le Corsair Carbide Series 330R, qui je dois l'avouer, a ma préférence de part sa qualité de finition et de fabrication. Disponible au tour de 85€ neuf.
Boîtier "performants" : On retrouve ici le Aerocool Xpredator X3 qui permet d'ajouter grand nombre de ventilateurs, et qui de base est très bien refroidi (disponible en beaucoup de coloris différents). Accessible à 100€ neuf. Moins cher son petit frère le Aerocool Xpredator X1 est également un bon choix à 60€ neuf.
Chez Cooler Master le HAF 912 Plus vous proposera (en plus de son look très agressif) de très bonnes performances thermiques. Disponible pour 80€ neuf.
Du coté de l'occasion on peut trouver très belles choses comme le Cooler Master HAF 932 (attention très sensible à la poussière) qui est un monstre un terme de ventilation ou encore son grand frère le Cooler Master HAF X, qui est tout simplement un des meilleurs boîtier du marché. Ces 2 monstres sont trouvables à moins de 100€ d'occasion.
Le tapis de souris est souvent un accessoire ( trop ? ) délaissé par les gamers.
En effet, les gamers préfèrent investir leur argent dans un bon clavier et/ou une belle souris. Cependant le tapis de souris est un accessoire à ne pas laisser de côté.
Le tapis sert principalement à améliorer les performances de glisse et de contrôle mais aussi le confort. En soit un bon tapis permet de profiter pleinement de toutes les capacités de notre souris. De plus le tapis de souris évite une usure précoce des patins de la souris.
Ergonomie
Ce qui fait la principale caractéristique de ce SIRU est sa finesse, en effet il ne fait que 2mm d'épaisseur ! Et ceci le rend très confortable. Pourquoi ? Tout simplement car une fois votre souris et votre main posées dessus, vous ne sentez pas du tout le tapis sur la paume de votre main, et c'est très agréable. De plus comme il est fin il peut être très facilement transporté, par exemple il peut prendre place entre le clavier et l'écran d'un PC portable de 17", parfait pour les LAN non ?
Finition / qualité de fabrication
Au niveau de la finition et de la qualité de fabrication, une seule chose à dire : c'est du ROCCAT. Depuis quelques années la marque Allemande nous a habitué à une haute qualité de fabrication, encore une fois le produit est exemplaire. La découpe est très propre, le liseret bleu tout autour du tapis ne "bave" pas et l'impression du logo est également très bien réalisée.
Efficacité
La surface de glisse est très "plastifié". Néanmoins cela ne pose pas de problèmes pour les capteurs de souris, de plus la surface offre une qualité de glisse bonne sans pour autant être excellente. Idem au niveau du contrôle, la surface réagit bien et nous n'aurons pas de perte de contrôle de la souris. De plus la finition "plastique" permet de nettoyer très facilement le tapis avec un simple passage d'éponge humide.
La face arrière du tapis est très intéressante. En effet elle accroche très bien à notre surface de travaille, mais elle ne colle pas du tout au doigts, et donc elle n'accroche pas la poussière (ou très peu) !
Rapport qualité/prix et verdict
Nous allons maintenant aborder le seul petit défaut de ce tapis (et des produits gamers haut de gamme en général), son prix. Le tapis est disponible autour des 15€. En effet c'est un poil trop cher, un prix légèrement inférieur aurait donné un sans faute. Cependant le produit est vraiment très bon est pourra satisfaire un grand nombre de gamers.
C'est donc clairement un produit que je recommande : pratique, efficace et pas vraiment hors de portée même pour les petits budgets.
Bien que cette nouvelle carte graphique repose sur le processeur Maxwell GM107, la MSI GeForce GTX 750 TI Gaming OC affiche plusieurs différences par rapport à la carte de référence Nvidia: la puce graphique se trouve ainsi cadencée à 1085 MHz en fréquence de base, et 1163 MHz en boost, contre 1020 / 1085 pour la version standard. Dans la pratique, elle tournait à une fréquence maximale de 1230 MHz, grâce à la fonction GPU Boost 2.0. La vitesse des 2 Go de mémoire GDDR5 est quant à elle calée sur une valeur fixe : 1350 MHz. De plus, elle est équipée d'un refroidissant plus conséquent, un Twin Frozr doté de deux ventilateurs
Un choix que l’on avoue regretter quelque peu, mais qui vous allez le voir, permet au produit de conserver une grosse marge de manœuvre en matière d’overclocking, et ce, au-delà de celui que le fabricant a implémenté d’usine. Derrière, et toujours dans cette même optique de performances maximisées, MSI a renforcé quelque peu l’étage d’alimentation dessiné par Nvidia, appliquant une configuration 3+1 phases (ce qui n'empêche pas la carte d'être toujours alimentée par son seul port PCIe).
Enfin, on notera deux fonctionnalités, plutôt bien pensées, à l’attention des utilisateurs qui voudraient spécifiquement acheter ce produit pour mettre à jour à moindre frais leur machine vieillissante : la présence d’un port VGA (eh oui, ça ne nous rajeunit pas, tout ça) en remplacement d’un des 2 DVI Dual-link, et l’intégration d’un système de double BIOS, l’un répondant aux standards récents UEFI, et l’autre s’orientant plus vers une compatibilité maximum vis-à-vis de tous les types de cartes mères plus anciennes. Des bonus qui, évidemment, viendront s’ajouter aux performances globales de la carte, dont vous savez déjà qu’elles sont tout à fait appréciables.
MSI GeForce GTX 750 Ti Gaming OC – Indice global de performances en %
MSI GeForce GTX 750 Ti Gaming OC – Consommation électrique en charge
En effet, en partant d'une carte déjà excellente en tout point, c'était difficile pour MSI de rater son coup, que ça soit pour les performances brutes, ou sur la maîtrise des différentes constantes de la carte ou du GPU. Grâce à toute ses améliorations, la GTX 750 Ti Gaming arrive à gagner 5 % sur la version de Nvidia, 15% sur la GTX 650 TI, et ne retrouve plus qu'à 1 ou 2% des performances d'une HD7850.Coté des températures, consommation ou nuisance sonore, elle est une des meilleurs ! 206 watts,55°C en Burn et 44.6 dBA, le tout sur une machine en plein jeu.
MSI GeForce GTX 750 Ti Gaming OC – Nuisances sonores
MSI GeForce GTX 750 Ti Gaming OC – Températures en charge
Il ne restait plus qu'à vous parlez de deux points: l'overclocking et le prix.
L'overclocking:
On aurait pu craindre que la marge de manœuvre soit réduite par rapport au modèle de référence Nvidia, par les MHz que MSI a introduit sur sa version. Mais en pratique, on peut l'overclocker assez bien grâce au Twin Frozr inclus sur cette carte.
Le prix:
Le prix de cette carte graphique est de 150 euros. Ce qui en fait une des cartes les plus intéressantes sur le marché, avec le modèle Gainward. Les choses pourraient-elles changer avec l’arrivée R7 265, qui devrait apporter sur le même segment un rapport qualité prix supérieur ? Peut-être, quoique cette nouvelle arme d’AMD étant une nouvelle version d’un produit existant, la GTX 750 Ti devrait garder un net avantage sur les critères d’overclocking, de silence, ou de consommation. Par contre, de manière plus immédiate, c'est à une concurrence un peu étrange que la MSIGTX 750 Ti va devoir faire face : celle de son propre camp. En effet, les modèles de
MSIGTX 660 overclockées sont actuellement placés sur le même segment tarifaire, tout en proposant 10 à 15% de FPS supplémentaires… Une stratégie qui surprend, et qui si elle n'enlève rien aux qualités de la nouvelle venue, obligera forcément les utilisateurs à trancher entre un rapport performances / prix pur, et des constantes environnementales plus avenantes.
GeForce GTX 750 Ti Gaming OC – FPS
Conclusion
Pour une carte graphique à 150 euros, elle a tout pour plaire: la puissance, la marge d'overclocking, son alimentation par PCIe et son port VGA pour les anciennes tours. MSI et Nvidia ont encore réussi le pari d'une bonne carte graphique avec de bonnes performances sur les derniers jeux avec un prix mini.
De plus, la chauffe est contenue et malgré des fréquences poussées, la nuisance sonore est faible.
Pour moi, qui passe d'une GTX 640 à une GTX 750 ti, je vois une grosse différence.
Évidemment, beaucoup plus de jeux dans lesquels je peux mettre les réglages en ultra. Si vous avez une carte graphique poussive et que vous ne voulez pas vous ruiner tout en faisant un bon dans le rendu de vos jeux, je vous recommande la GTX 750Ti et particulièrement cette version.
Le MSI GT70 2PE Dominator Pro est la nouvelle évolution du portable gaming phare de MSI.
C'est un produit qui s'est bonifié avec le temps et qui propose, dans cette version, ce qui se fait de plus puissant en puce graphique pour portable, la Nvidia GTX 880M.
Armé de la sorte, le GT70 2PE est l'un des fleurons de la gamme MSI. Il faut dire que ce GT70 inspire le respect, un gabarit massif avec cependant un poids contenu sous les 4Kg ( 3,9 Kg avec la batterie ).
La fiche technique du modèle que j'ai dans les mains procure des frissons à tous les amateurs de puissance sur PC portable. Sur le papier, c'est sans doute le portable le plus puissant du moment ( si on occulte les transportables en SLI où on peut trouver des modèles équipés de 2 x GTX780M ).
Tout d'abord, un processeur I7 4800MQ épaulé de pas moins de 32Go de ram. 256Go de SSD en Raid avec un stockage de 1To "mécanique"…et enfin la GTX880M. Le tout sert un écran Full HD à dalle mate.
Esthétique / Finition
Concernant le look du GT70 tout a été dit, MSI utilise le même châssis depuis un petit moment. Apprécier son esthétique c'est avant tout une affaire de goût. De mon point de vue, le design du GT70 est un peu désuet face au châssis G750 d'Asus…il faut cependant reconnaitre que cette dernière version s'est "fluidifiée" et que, malgré une épaisseur importante, il n'est pas plus massif que son concurrent ASUS.
MSI a aussi décidé d'apporter de la sobriété à l'ensemble, on se souvient que les déclinaisons "Dragon Edition" de l'année dernière étaient plus "criantes" et rajoutaient, à mon avis, de la lourdeur à l'ensemble avec un design beaucoup trop chargé.
Le GT 70 est donc tout a fait agréable, la qualité d'ensemble est bonne notamment en ce qui concerne les connectiques latérales qui sont solidement ancrées dans le châssis.
Le clavier Steelseries est particulièrement réussi, j'ai apprécié le confort de frappe, le rétroéclairage 3 zones et aussi la course relativement profonde des touches qui rajoute à la bonne impression d'ensemble.
La connectique est très complète et facilement accessible. 3 x USB 3.0 et 2 x USB 2.0 sont sur les tranches, les sorties vidéos permettent d'avoir 3 écrans externes en simultané : HDMI, VGA et Display Port.
L'accès aux connecteurs écrans comme le réseau et l'alimentation, est situé derrière l'écran ce qui est beaucoup plus pratique que les branchements latéraux et permet de disposer d'une installation "propre" de son GT70 sur un bureau avec plusieurs écrans. C'est un excellent point compte tenu du fait que le portable MSI a aussi vocation à faire du "Desktop replacement", autant avoir une installation pratique.
A noter aussi que ce GT 70 est équipé d'un lecteur / graveur BD Rom, j'aurais préféré le voir en version slot-in mais c'est vraiment un détail.
Performances / utilisation
L'intérêt principal de ce MSIGT702PE Dominator Pro c'est la présence de la nouvelle Nvidia GTX880M, il faut le reconnaitre.
Cependant, à la fin de mes tests, je me suis rendu compte que ce portable bénéficiait de bien plus que de la nouvelle carte Nvidia. Evidemment, cette dernière conditionne grandement l'excellent niveau de performance obtenu, mais il ne faut pas oublier l'effort effectué par MSI pour entourer la nouvelle puce Nvidia.
Je vais donc commencer par évoquer tout ça.En premier lieu, un RAID 0 SSDcomposé de 2 SSD de 128Go en mSata. MSI a installédansceGT70 son contrôleur SuperRaid 2 permettant de prendre en charge 3 x SSD. Il reste donc un emplacement libre permettant de porter la capacité SSD à 384Go…et surtout d'accroitre encore la vitesse.
Néanmoins sans l'utilisation du SuperRaid 2, ce simple Raid 0 permet d'obtenir d'excellentes performances. Le démarrage de Windows est vraiment très rapide et l'utilisation générale de l'OS de Microsoft profite de cet excellent débit à mettre au profit du Raid…mais pas seulement.
Utilisation sous windows, rapidité de l'OS
En équipant son GT70 de 32Go de Ram, MSI a donc décidé de marquer les esprits mais aussi de donner l'occasion aux sceptiques d'affirmer une nouvelle fois qu'autant de Ram ne sert à rien.
Je ne suis pas du tout d'accord avec ça, depuis quelques mois, de nombreux benchs démontrent l'utilité d'un surcroît de ram avec du SSD : moins d'écritures, moins de fichiers tampons, plus grande fluidité des débits…si effectivement passer de 16 à 32Go ne donnera pas plus de FPS, l'utilisation globale du système est améliorée. Regardons la question de l'arbitrage prix / performances: en cette fin Avril, 16Go supplémentaires coûtent encore un peu moins que de rajouter un troisième SSD du même niveau et de libérer la puissance du contrôleur SuperRaid 2.
Reste qu'avec une utilisation multitâche lourde, des jeux…faire tourner ce portable au quotidien est un régal.
Les deux benchs ci-dessus montrent ( à gauche ) un SSD unique de dernière génération installé en SATA sur le GT70 et l'installation RAID ( à droite ) composée des deux SSD 128 en mSata.
Les performances du RAID 0 MSI auraient pu être encore plus haute car les deux SSD mSata3 SanDisk SD6SF1M128G sont de bons besogneux mais pas les premiers de la classe.
Réseau classique et Wifi
Je dois dire que j'étais sceptique concernant l'intérêt de la technologie Killer Doubleshot. Je dois cependant admettre que j'ai vraiment constaté un apport considérable par rapport à un portable "classique" disposant d'un contrôleur giga-Ethernet et Wifi. Clairement sur du transfert de fichiers lourds entre mon NAS et le GT70 en ethernet, j'ai constaté un gain de vitesse de presque 20%. L'écart est encore plus sensible avec le Wifi, que j'ai testé avec un éloignement important de la source ( plusieurs murs ).
Voilà donc un argument qui n'est pas que commercial, les gains dans les débits sont réels et il en va de même pour la sensibilité du wifi. Je suis d'autant plus surpris que je n'avais pas remarquer de différence avec la Z87I, carte mère MSI intégrant aussi cette technologie.
Les faits sont cependant là et confirmés après plusieurs tests… la différence est quand même relativement importante pour être signalée.
L'impact de la GTX880M
La GTX880M est donc le sommet de la gamme Nvidia "mobile". Si on veut être médisant, cette dernière n'est qu'une resucée de la déjà puissance GTX780M. En effet, point de Maxwell ici, du bon, du gros Kepler uniquement, le même que sur vos bonnes vieilles GTX680M aussi madame !
Du neuf avec du vieux car c'est surtout avec ses technologies de refroidissement et de gestion de l'énergie que Nvidia peut encore pousser le bouchon par rapport à sa bouillonnante GTX780M.
Quelles sont donc les différences avec la GTX780M ?
Ce tableau permet donc de constater le gain important en fréquence entre la 780M et la 880M. La différence de performance se fait donc uniquement là, aidée par une technique de refroidissement optimisée et une gestion de l'énergie plus pointue.
Entre un ASUS G750 équipé d'une GTX780M et le MSI GT70 en GTX880M, je peux clairement affirmer que ce dernier n'est pas plus bruyant en action ( burn test ). Je le trouve même moins "présent" lorsque GPU est à charge moyenne, il est quasi inaudible.
L'utilisation des solutions maison Nvidia Optimus et GPU Boost 2.0 produit parfaitement son effet, alors qu'à pleine charge, la température de la GTX880M frise avec les 90°c
Reste que dans la pratique, les performances sont excellentes. Elles dépassent la GTX780M de 10 à 15% ce qui n'est pas rien. Ce GT70 tient facilement sa place face à un bon PC desktop pour joueur. Les scores obtenus dans les principaux benchs permettent de constater que les jeux les plus lourds tourneront avec un maximum de confort.
La solution de dissipassion thermique utilisée par MSI est donc très performante car c'est de son efficacité que dépend les perfromances de la GTX880M. En Effet, si la fréquence de base de la carte est bien fixe, la fréquence GPU Boost dépend fortement de la qualité du châssis. En gros, plus le système de ventilation est performant, plus la fréquence GPU Boost monte.
Un autre élément qui peut être intéressant c'est le rendu "in game" de la GTX880M sous Battlefield 4…le tout comparé en simultané avec la PS4 et la Xbox One.
Le résultat visuel confirme la suprématie du PC sur ce type de jeux, il est important de prendre en compte que BF4 tourne ici en 1080P contre 900P pour la PS4 et 720P pour la Xbox One…
Bien sur, le prix du GT70 permet de s'acheter les deux consoles, une Wii U et une nuit avec Cyprien mais c'est cependant intéressant.
Autonomie
Evidemment, quand on embarque autant de puissance, il est certain qu'on ne va pas être à la fête…
Avec un i7-4800MQ qui a un TDP de 47W et une GTX880M qui doit être pas loin des 120W, il ne faut pas s'attendre à des miracles. La batterie Lithium-ion de 7800mAh témoigne de la gourmandise de notre ami.
Là aussi le GT70 s'en sort vraiment bien.
En utilisation "classique" type bureautique, on s'approche des 4 heures, ce qui est beau compte tenu de la machine, il était tout simplement impensable d'obtenir des résultats de la sorte avec un hardware de course il y a seulement quelques mois.
Ce résultat est obtenu avec le profil "normal" sous Windows 8.1 sans doute pouvons nous encore améliorer avec un profil plus économe…mais bon, on ne peut pas utiliser un matos comme celui-là à l'économie.
Si on passe à un test plus "brutal" comme Battery Eater qui correspond à une utilisation intensive de l'ensemble des ressources de la machine,évidemmentla messe est dite avec un petit 1h12….plus d'une heure quand même avec ce test vraiment extrême !
N'oublions pas qu'une telle puissance n'est objectivement exploitable dans la durée que sur secteur; le GT70 comme ses concurrents, vise le "desktop replacement".
Reste maintenant à voir l'arsenal Nvidia pour optimiser tout çac'est à dire essentiellement Battery Boost.
Nvidiaest ambitieux sur les miracles prétendument apportés par la combinaison de Battery Boost et Optimus.
La promesse du caméléon est de limiter l'appétit du portable principalement en agissant sur le nombre de fps délivré en phase de jeu.
Un plafond ( modifiable ) est donc placé à 30FPS, permettant alors de moduler la fréquence du GPU à la baisse et donc de réduire considérablement sa consommation. L'exemple de League of Legends permet de constater une autonomie presque doublée.
L'outil Nvidia permet même de modifier ce plafond suivant le type de jeu, le niveau de batterie…
Même si le rendu en prend un coup, j'ai pu constater avec une série de benchs, un bond de 40% environ de l'autonomie. C'est appréciable d'autant plus que les benchs utilisés n'étaient pas tous impactés de la même manière ( reconnaissance des jeux ).
La solution se révèle cependant satisfaisante et bien plus efficace que la gestion propre à Windows, reste maintenant à savoir si le joueur acceptera de diminuer ses fps ou se débrouillera à trouver une prise électrique…Sur ce type de portable, je pense que c'est facile à deviner; sur des solutions plus "mainstream", le Battery Boost sera un vrai plus.
Conclusion.
Ce portable MSI est une vraie bombe.
Performant avec sa puce graphique Nvidia qui n'innove certes pas mais qui profite de tout l'écosystème logiciel du caméléon pour tirer encore les performances vers le haut.
Performant aussi avec un système SSD vraiment rapide et qui peut encore s'améliorer ( avec un 3ème SSD ), un CPU puissant et un châssis qui, malgré son age, fait du bon boulot en terme de refroidissement.
Avec cette version du GT70 nous sommes sur la solution "mono-GPU" la plus performante, permettant de jouer sans compromis et, ça commence à devenir intéressant, de bénéficier d'un outil puissant avec un minimum de confort au niveau des nuisances sonores, de la connectivité, etc.
Au delà du joueur, il sera donc séduire l'utilisateur à la recherche de performances pour la création vidéo par exemple ou la 3D.
Reste à parler du budget : le GT70 Dominator Pro commence à 1990€ ( la version testée se trouve à 2299€ ). A noter aussi qu'une version équipée du i7 4940MX et des 3 SSD est disponible à…3490€.
Gros budget effectivement, mais pour l'instant, ramené aux performances et à son équipement : il n'a pas de concurrence.
Difficile de parler des coques et des housses pour nos téléphones. Encore plus difficile de faire un test d'un produit venant de chez Noreve…
C'est vrai aussi que nos esprits sont déformés par la profusion de coques et housses ultra low cost qui pullulent sur le net et dans les boutiques spécialisées.
Mais quand on pense qu'un Galaxy Note 3 croise aux environs de 600€ il est presque illogique de confier sa protection à des coques en silicon à quelques euros.
Enfin, s'il est malvenu de mettre des housses de sièges à boules massantes dans sa nouvelle Porsche, pourquoi devrait-on mettre des trucs immondes et inefficaces sur un bijou de technologie ?
Je pense que c'est là le postulat de Noreve.
Car cette marque, installée à St Tropez, joue clairement l'image du raffinement .
Avec une gamme de prix allant de 49 jusqu'à 85-90€, cela peut surprendre. Cependant, qualité, raffinement et personnalisation sont les atouts de différenciation de la marque.
On pourrait croire que Noreve ne s'attaque qu'aux riches estivants (sur)peuplant le village de Saint-Tropez pendant les beaux jours, il n'en ai rien, Si la société se développe clairement sur cette niche du haut de gamme, nous verrons plus loin que les prix pratiqués n'ont rien d'exubérant.
J'en profite donc pour tester une "coque" pour mon précieux Galaxy Note 3, tout fraîchement renouvelé après une chute de son prédécesseur mal protégé par la housse Samsung.
Design
On sort clairement de l'univers des coques et housses classiques avec les produits Noreve. Dès l'emballage, le ton est donné. Sans aller jusqu'à dire que tout ça à un petit goût de luxe, c'est plutôt à l'univers de la maroquinerie que nous pensons.
Le conditionnement du produit est résolument haut de gamme et me fait vraiment penser à l'achat d'un beau portefeuille ou quelque chose comme ça…
Le design de cette housse, tout en cuir, il faut aussi le préciser, est sobre et classe. Ce n'est pas de la housse "bling bling", on est dans la discrétion et la sophistication.
Qualité de fabrication.
La qualité de fabrication est un axe important dans la communication de Noreve.
Il faut reconnaître que la qualité du cuir mais aussi les coutures permettent de vraiment faire la différence avec un produit "classique". J'ai apprécié aussi les autres finitions, notamment au niveau des découpes pour les boutons, la connectique…
La qualité de finition se retrouve dans la partie intérieure de la housse avec une découpe spécifique pour éviter que le bouton "Home" du note soit "appuyé" quand la protection est refermée.
L'ouïe pour le haut-parleur est une ouverture protégée par une fine grille métallique complètement intégrée au cuir de la housse…là aussi le niveau de détails fait son effet.
Globalement, la qualité de fabrication de cette housse est vraiment excellente. On est clairement pas habitué à autant de précision dans les détails sur un accessoire de téléphonie.
Caractéristiques / Protection
La principale mission que l'on confie à une housse c'est évidemment la protection. Je sors d'une mauvaise expérience avec le S View Cover qui n'a été d'aucune utilité lors d'une chute du Note 3.
La housse Noreve rassure immédiatement par son épaisseur. La partie supérieure de la housse, faisant office de clapet et molletonnée.
L'autre point fondamental est l'accroche du téléphone dans sa housse, pour le coup, cette dernière s'ajuste parfaitement à mon note 3 .
Tous les connecteurs et les boutons de réglages sont accessibles; des ouvertures propres et ajustées permettent d'accéder à tout ça. Les bordures latérales de la housse sont très rigides, contribuant ainsi au bon maintient du smartphone et à la protection en cas de chute.
Reste qu'à l'utilisation, le clapet qui permet d'assurer une excellente protection et aussi le principal défaut de cette housse. Même si les témoins lumineux permettent de visualiser l'arrivée de nouveaux messages et autres, la visibilité de l'écran manque. Sur ce point la S View Cover est excellente. Il existe cependant chez Noreve une référence proposant d'avoir un accès à l'écran. Disposant de la même qualité de fabrication, elle semble assurer un meilleur confort d'utilisation; je vais essayer de me la procurer rapidement.
Conclusion.
Est-il délirant d'acheter une housse à 50€ voir plus ?
Clairement non compte tenu de la qualité proposée par les produits Noreve.
Si on doit même réfléchir un peu, il est incohérent de ne pas investir un peu plus dans ce qui protège des bijoux de plus de 600€.
Avec des finitions superbes, une gamme de cuirs à disposition et des niveaux de personnalisations intéressants,Noreve mise sur le produit d'exception. Si on doit se référer au seul "équivalent" dans la même gamme chez Samsung, la S View Cover que l'on retrouve chez les détaillants entre 49 et 59€, l'investissement n'a absolument rien d'extravagant compte tenu des qualités du produit délivré.
Jouant sur le côté 'sur-mesure" avec denombreuses options à la commande, Noreve joue clairement bien le jeu en proposant un côté élitiste / unique à des produits qui ont tendance à se ressembler.
Première prise en main du S5, ce rapide tour du propriétaire n'est pas un test mais un retour sur mes premières sensations.
Il a beaucoup de gadgets mais pas grand choses de nouveau…c'est cependant un des téléphones les plus puissants du marchéactuel.
La batterie:
L'autonomie fait un bond, la nouvelle technologie utilisée pour l'écran du S5 permet d'envisager une utilisation intensive pendant 24h sans se préoccuper de la batterie.
L'écran:
L'écran de 5.1"estsuperbe, ilest full HD – amoled. AMOLEDestunetechnologieque Samsung a mise au point: quandl'écranaffiche du noir, il ne consomme pas d'énergie.C'est clairement sa qualité et sa luminosité qui font la différence. La reproduction des couleurs est parfaite et tout ça dans n'importe quel angle de vision. Il est difficile de prendre cet écran en défaut, y compris pour voir un film ou des photos. Au moment où nous nous parlons, il n'a pas vraiment d'équivalent.
Lecteurd'empreinte digital:
Le lecteurd'empreinte digital qui estincorporéàl'écran,sertàdéverrouiller le téléphone, payer par PayPal et aussi pour les professionnels. Il estmoinsévoluéquecelui de l'iPhone5S car on ne peutqu'enregistrerque 3 doigtscontre 5 pour l'iPhone5S. De plus, il ne lira pas votredoigts'ilest de travers ! Ensuite, à la longue, le geste sera plus fatiguant et plus long à faire quesurl'iPhone5S…difficile de dire si ça ne sera pas à ranger au rang des gadgets inutiles très rapidement. On commence déjà à entendre parler de piratage de ce système…reste à savoir le sérieux de tout ça.
Appareil photo:
L'appareil photo est de 16 méga pixels. Il estéquipé de l'HDR qui sertàcompenser les contresjoursmaiscelui-cin'est pas tout à fait au point car parfois on voitqu'il y a plusieurs images superposées. Cependant, la mise au point estinstantanée et on peutmême la régler à postériori ! Malgrécela, quand la luminositéesttrèsmédiocre, on peut y voirbeaucoup de bruit sur les photos prises avec ce smartphone. On filmera aussi en ultra HD et en 120 images / seconde en 720p…
Puissance:
C Samsung Galaxy S5estéquipé du dernier processeur snapdragon s801. Ceprocesseur a 4 cœurs, il ne révolutionne cependant pas son grand frère qui équipait le S4.
Le S5esttrèsfluidemême dans les jeux….mais là encore, il en était de même avec le S4.
Le score sousAntuturestecependantlégèrementinférieur au Galaxy Note 3…un excellent score néanmoins, le club des 30 000 points sousAntutuétanttrèsfermé...
Etanchéité:
Quand le téléphoneestplongédansl'eau, on ne peut pas utiliserl'écran. C'estbiendommage pour les plongeurs ! Onpeut cependant prendre des photos sousl'eaucommefilmer. Le S5 a cependant une certification IP67 lui assurant une durée de vie de 30mn sous 1m d'eau…
Smart-Boost:
Le smart-Boost est le cumul de la 4G et le Wifi. C'estl'un de ces points fort! IL peutmonter en téléchargementjusque 100 mbps! Maisil ne peut pas êtreutilisésur le Play Store et le Samsung Store ce qui est un peudommage car c'estsurcesdeux stores quel'ontéléchargent le plus!
capteurcardiaque:
Le capteurcardiaqueestunefonctionnalité pas mal maisilexistedéjà des applications qui le font grâce au capteur photo mais Samsung riposte en disantqu'il sera plus fidèleà la réalité.
Conclusion:
Le Samsung Galaxy S5est un excellent smartphone c'est indéniable.
Son écran est exceptionnel . Son autonomie lui permet de repousser la plupart de ses concurrents…
Malgré ses gadgets qui sontsouventpiochés chez plusieursmarques (Sony,Apple,…), il ne révolutionne pas le marché. C'est vrai qu'on ne peut pas non plus avoir une révolution à chaque nouveau smartphone !
Ce qui est désespérant c'est que Samsung se met à fonctionner comme Apple : il tire sur la ficelle.
A défaut de révolutionner, le S5 aurait pu nous séduire…l'omniprésence des plastiques sur un produit approchant les 700€ relève presque de la provocation.
On a révé, quelques instants du corps d'un HTC One M8 avec le Hardware du S5…
Nom
Samsung Galaxy S5
Samsung Galaxy S4
Écran
Super AMOLED de 5,1″ avec une résolution Full HD (1920×1080 px) et une densité de pixels de 432 ppp
Super AMOLED de 5″ avec une résolution Full HD (1920×1080 px) et une densité de pixels de 441 ppp
Processeur (CPU)
Qualcomm Snapdragon 801 quatre cœurs cadencé à 2,5Ghz
Qualcomm Snapdragon 600 APQ8064T quatre cœurs cadencé à 1.9 Ghz
Puce graphique (GPU)
Adreno 330
Adreno 320
Mémoire RAM
2Go
2Go
Mémoire de stockage
16Go ou 32Go + un emplacement pour carte MicroSD
16Go + un emplacement pour carte MicroSD
Appareil photo principal
16 Mpx
13 Mpx
Caméra frontale
2.1 Mpx
2 Mpx
Type de Carte SIM
Micro Sim
Micro Sim
Connectivités
4G LTE Cat 4 (jusqu’à 150 Mbps), Bluetooth 4.0, Wifi 802.11b/g/n et 2×2 MIMO
Advance est un fabricant présent sur le marché depuis une éternité. Connu par les intégrateurs, la marque a fait de gros progrès pour monter en gamme et se débarrasser d’une image « low cost » qu’elle avait depuis son origine.
Les progrès sur la conception, le design et la qualité générale sont indiscutables mais dans l’esprit du consommateur final, Advance reste, au mieux, pour ceux qui connaissent, une marque B, au pire un « no name ».
En lançant sa gamme Spirit Of Gamer, Advance veut continuer à rompre avec cette image et séduire les gamers. Le tout évidemment, en continuant a disposer d’un positionnement prix agressif.
Sa souris Xpert-M8 est son sommet de gamme, destinée aux joueurs exigeants…le tout pour moins de 40€. Est-ce bien raisonnable ?
Présentée dans un packaging flatteur, le produit d’Advance est repérable dans les rayons. Dans cette gamme de prix, on retrouve souvent des marques B mais il faut toutefois noter qu’Asus, Gigabyte, Logitech et même SteelSeries disposent de produits.
L’impact visuel d’un packaging classieux et valorisant fait son effet en comparaison des « grandes » marques qui proposent sur ce prix leur entrée de gamme.
Pour ceux qui n’avaient pas remarqué la subtilité toute « chinoise »*, le Spirit Of Gamer est évidemment une forte analogie / inspiration du désormais installé R.O.G, Republic Of Gamers d’Asus.
Ergonomie
La prise en main est très bonne, l’utilisation de softtouch sur une grande majorité de la surface de la souris participe au bon confort.
Une molette permet de jouer sur la taille de la souris en allongeant la partie arrière, c’est une bonne idée.
Si la qualité des boutons semble tout a fait honnête pour un produit de ce prix, il y a cependant quelques critiques à faire sur leur positionnement. Rien à dire pour les boutons frontaux, mais les deux boutons situés à l’arrière de la molette sont tout simplement inexploitable en condition de jeux.
Les deux autres boutons sur le côtés gauche ne sont pas non plus d’un grand confort, le premier ( avant ) est accessible, le second aussi mais là encore, les conditions de confort ne sont pas satisfaisantes.
Reste que nous sommes sur un produit à 8 boutons programmables ce qui est plutôt rare sous les 40€.
La molette ( elle aussi cliquable ) est par contre particulièrement agréable et réactive à l’utilisation.
Design / Qualité de fabrication
Concernant le design, on entre dans le subjectif et je vais essayer de donner un avis, certes personnel, mais mesuré.
Cette Xpert-M8 est très accrocheuse commercialement parlant. J’ai abordé plus haut le packaging flatteur, le design de la souris est dans la même logique. Sur les formes et le dessin général, on se rapproche de la griffe agressive d’un Corsair , ce qui est évidemment positif. Là où je mets un bémol c’est sur l’utilisation immodérée de stickers / tags sur la souris.
Il y en a trop et ça gâche la bonne impression d’ensemble. Cette overdose de tags rabaisse la qualité perçue, ramenant le produit Advance dans les méandres de accessoires tuning de bas étages…c’est bien dommage. Sans ces inscriptions je pense qu’on aurait approchéle sans faute. Le logo lumineux on aime ou on aime pas mais après tout, Rocat l’utilise sur ses produits, c’était la petite touche d’originalité qui suffisait à l’ensemble.
Donc pour faire simple, un design efficace commercialement et un produit valorisant pour cette gamme de prix…avec quelques fautes de goûts.
Concernant la qualité de fabrication, on se rend compte du chemin parcouru par les produits commercialisés par Suza. La conception de l’ensemble est globalement très satisfaisante, j’émets cependant quelques doutes sur la durée de vie des patins mais enfin, quoi de plus normal encore une fois sur cette gamme de prix.
Les matériaux utilisés sont bons, les boutons disposent de contacts francs, le câble USB tressé est parfait ( il mériterait, esthétiquement d’être d’une section supérieure ).
Bref, encore une fois sans cette overdose de tags, on aurait approché le niveau d’un produit dont le prix est environ 15 à 20€ plus cher.
Driver et configuration
La Xpert-M8 est parfaitement reconnue sous Windows 7 comme sous Windows 8. Cependant l’accès aux macros et personnalisations ne peut se faire que part son logiciel propriétaire.
Ce dernier est fourni sur un mini CD malheureusement inexploitable ( endommagé ) dans mon cas. Cette mauvaise expérience se prolonge quand je découvre qu’aucun lien, site , ftp n’est renseigné dans la notice, sur la boite pour récupérer le logiciel…c’est particulièrement navrant de nos jours. Heureusement j’ai pu me procurer le logiciel auprès du grossiste distributeur ( et de son stagiaire efficace David ).
Là encore, comme pour la prolifération de tags sur la souris, c’est une petite faute qui vient vraiment gâcher l’essentiel. Je dois dire que c’est relativement échaudé que je lançais le logiciel SOG de paramétrage de la souris…c’est pourtant une bonne surprise qui m’attendait.
Le programme, totalement en français ( et non une mauvaise traduction ) permet de tout faire sur cette souris, du changement des couleurs du logo à la résolution en passant évidemment par les macros ( 5 profils ).
C’est très bien fait, relativement simple et pratique.
Précision / Performance
Difficile de faire une critique vraiment objective de cette Xpert-M8 : son aspect nous amène presque naturellement à vouloir la comparer avec des pointures comme la Kone XTD, la Corsair M65 ou la toute fraîche Logitech G502…des souris qui se positionnent presque au double de son prix !
Équipée d’un capteur laser Avago 9500 ( qui commence à dater ), le bébé d’Advance permet d’atteindre une précision de 5000DPI et peut exploiter un rafraîchissement de 1000Hz. Sur le papier, tout ça est remarquable encore une fois en gardant en mémoire le prix. Comme je l’ai dit plus haut, mon interrogation principale concerne la résistance des patins mais aussi un certain flottement dans la glisse qu’ils engendrent.
Néanmoins, on ne trouvera pas d’équivalent, pour le moment, sur cette gamme de prix.
Reste à voir le comportement de la souris dans le temps, la tenue de ces tags sur la coque supérieure, l’usure des patins…
Conclusion.
Si vous bavez devant les Kone XTD, les Corsair M95 et cie sans en avoir les moyens, la Xpert-M8 vous en donnera les apparences…son équipement et ses possibilités sont rares sur cette gamme de prix. Pour moins de 40€ on en a vraiment pour son argent c’est indiscutable. Il ne faut pas cependant s’attendre à rivaliser en terme de précision et de finition avec les premières citées…mais l’envisager c’est déjà admettre que, au moins commercialement, ce produit a atteint son objectif.
Le concept Brix est maintenant connu : une machine minuscule disposant d'une connectivité importante et capable de satisfaire la plupart des utilisateurs.
Avec la version "Pro", Gigabyte embarque un processeur i7 4770R disposant d'un circuit graphique en théorie éligible aux jeux : l'Iris Pro 5200.
Le Brix Pro est commercialisé comme un "barebone", il faut donc lui rajouter sa ram ( so-dimm ) et son disque dur ou SSD ( format 2.5" ).
Alors que la tendance est à l'utilisation de puces "économes" voir carremment de puces puisées dans la banque d'organes des PC portables, il n'en est rien pour le Brix Pro.
Le processeur i7 est ici une version desktop avec un TDP de 65W. Par rapport à la version classique du 4770, il perd 200Mhz et son TDP baisse un peu. C'est néanmoins la présence du circuit Iris Pro 5200 qui doit clairement changer la donne. Il est, sur ce i7 4770R, dans sa version la plus puissante avec une fréquence d'1.3Ghz.
Ce circuit graphique est à ce jour ce qu'Intel sait faire de plus puissant. Associé à un I7 du haut du panier, il est donc intéressant de connaitre son comportement en utilisation "gaming". Durant les derniers Intel Extreme Masters, la puce Iris Pro a été utilisée pour une game SC2. C'était sur un PC portable donc avec une version un poil moins performante.
Design du Brix Pro.
Le design de ce micro Pc est plutôt réussit. Bien sur, il faut que vous ne soyez pas allergique à la couleur jaune. Mais il faut dire que ce jaune combiné aux évents noirs lui donne un petit côté agressif.
C'est clairement sa taille qui séduit immédiatement. Même si les premières versions, moins musclées du Brix, étaient moins hautes, la magie est toujours là au déballage.
La surface supérieure noire brillante est évidemment sensible aux traces de doigts mais l'ensemble est, à mon avis, réussit. Cette robe arrivant à donner un côté agressif à un objet aussi petit.
Les matériaux utilisés sont de qualité, combinant le plastique et l'acier.
Le bloc chargeur est par contre relativement important, il délivre 19V pour plus de 7A…ceci expliquant cela.
Qualité de fabrication
Comme évoqué plus haut, RAS sur les matériaux utilisés. Le chassis respire le sérieux et la conception de la carte unique nous permet de constater que Gigabyte maitrise bien son sujet…mais ce n'est pas vraiment une surprise.
La conception de ce Brix permet d'intégrer sans aucun souci la ram au format So-Dimm et un SSD sans avoir à être un grand bricoleur.
La qualité d'ensemble est donc excellente et l'observation attentive du PCB comme de l'assemblage des composants sur la carte mère me conforte dans ma position : Gigabyte est sans doute l'un des meilleurs si ce n'est le meilleur en terme de qualité de fabrication pour les cartes mères et VGA.
Connectique et évolution.
Parler d'évolution quand on fait l'acquisition d'un Brix, d'un Nuc ou d'une bestiole du même genre est clairement une plaisanterie.
Néanmoins, l'ouverture de la petite bête permet de voir que l'on dispose de 2 slots So-Dimm ( pour un total max de 16Go ), d'une carte mini PCIe combo Wifi/BT 4.0, d'un port Sata évidemment mais aussi d'un connecteur mSata ( au dessus de la carte Wifi ). C'est plutôt pas mal et on peut donc envisager une solution mSata + HD mécanique Sata.
Concernant la connectique on est relativement complet : 4 connecteurs USB 3.0 un connecteur GigaEthertnet, du HDMI et un mini DisplayPort, une sortie casque convertible en spdif et…un encrage Kesington.
Un bracket Vesa est aussi livré avec l'appareil pour un montage au dos d'un moniteur.
Performances et utilisation.
Valve a utilisé un Brix Pro pour faire ses démonstrations de Steam OS durant le CES 2014. Dès la rentrée 2013, Gigabyte vantait les capacités ludiques de son prototype Brix équipé de l'Iris Pro. Evidemment, compte tenu de son format, le Brix Pro était le candidat idéal pour devenir une Steam Machine.
A y regarder de plus près cependant, on constate que tous les constructeurs déclarés pour ce projet ont dégainé de la grosse carte graphique dédiée. Le prix du Brix Pro n'étant pas à son avantage, comment envisager qu'il puisse tenir la route sur le terrain des performances graphiques alors qu'Intel annonce des performances du niveau d'une carte desktop Nvidia GT 640 ?
Dans ces conditions pas de miracle à attendre du test Catzilla en 1080P…
Des performances largement en dessous de ce que l'on obtient avec un bon portable gaming et surtout des résultats obtenues avec une élévation importante de la nuisance sonore. La ventilation se met en action et là difficile de ne pas entendre le souffle conséquent produit par le Brix Pro. En 720P, la machine se comporte un peu mieux. Alors c'est vrai, quand on analyse les statistiques que Valve met à disposition sur l'équipement de sa communauté Steam, on s'apperçoit que presque la majorité est équipée d'un circuit graphique intégré…on se doute alors que ce public est plus dans la consommation occasionnelle de jeux que dans le hardcore gaming…néanmoins avec un prix à plus de 600€, la Brix Pro ne tient pas la route face à une solution assemblée disposant d'une carte dédiée.
Reste donc cette petite machine dotée d'un gros potentiel mais qui rate sa cible annoncée…une plateforme mobile issue des machines portables utilisant des puces Nvidia ( comme la GTX880M par exemple ) pourrait permettre de disposer d'un chassis compact tout en ayant une puissance de traitement suffisante pour les jeux exigeants.
J'ai donc décidé de tester la Brix Pro comme une solution polyvalente orientée multimédia. Compte tenu du flou qui règne sur les développement de Steam OS, j'ai fait le choix de repasser par Windows pour disposer du client Steam en mode "Big Picture" et de …XBMC.
Mon but est donc simple : une console "casual" sous client Steam et un mediacenter solide capable d'alimenter ma TV 4K.
L'arrivée de la nouvelle version de Xbmc donne un meilleur support aux puces graphiques Intel. La navigation sous l'interface Xbmx devient un vrai régal compte tenu de la réserve de puissance. Les grosses vidéos 1080p et les iso Bluray ne posent aucun problème. La navigation au sein de la vidéo est parfaite.L'utilisation des quelques sources 4K en VP9 ou H265 me donne aussi satisfaction même si le niveau sonore du Brix s'élève quand on sollicite la navigation…mais on s'égare par rapport à la cible envisagée : le gaming.
En fait, ce Brix pro est intéressant mais il rate sa cible. L'utilisation d'un gros CPU ne permet pas d'équilibrer sa puissance graphique trop juste. La version en I5 obtient quasiment les mêmes résultats pour 100 à 130€ de moins.
Curiosité technique indiscutable, le choixd'unBrix Pro pour jouer ne se justifie pas.
Conclusion.
Si le Brix Pro a été exhibé par Intel et Gabe Newell comme Steam Machine de référence, comme je l'ai dit plus haut, la cible est ratée. La combinaison d'un gros CPU i7 et de l'Iris Pro n'apporte rien dans les jeux par rapport à une version i5 moins coûteuse.
Si le niveau de miniaturisation atteint par le Brix Pro est une réelle prouesse, le produit, dans cette déclinaison restera malheureusement une bête de foires. Certes l'Iris Pro 5200 démontre un sacré bond en avant d'Intel mais il est incapable de remplacer une carte dédiée moyen de gamme.
Sur le casual et comme mediacenter, le Brix Pro a sa place, cependant sa miniaturisation peut-être trop poussée se paie par des nuisances sonores souvent pénibles.
Reste un exercice de style séduisant, une démonstration de maitrise technologique de la part de Gigabyte. Le constructeur est aussi conscient que sa solution gaming miniature n'est pas équilibrée et la version AMD semble, sur le papier, plus apte à faire le job avec un Brix Gaming équipé d'une R9M275x avec 2GB de DDR5 dédiée. Cette dernière serait en fait l'équivalent d'une HD7750 Desktop ( ou GTX 650 Desktop ) ce qui pourrait permettre un autre confort dans les jeux. Restera alors à solutionner la question de la nuisance sonore…
Coup sur coup Amazon vient de présenter deux produits vraiment pertinents.
Son boîtier Fire TV éclipse largement la Chromecast même s’ils ne boxent pas dans la même catégorie tarifaire.
Avec son Dash, c’est le même constat : Si Google nous présente des produits pas encore aboutis dont le but évident est d’élargir son spectre de diffusion de publicités, Amazon lui veut imposer l’image d’une société apportant la facilité et le confort au quotidien.
Dash est un prolongement de la stratégie « alimentaire » d’Amazon, ou plus exactement un simplificateur de l’acte d’achat.
Le libraire arrive dans le commerce alimentaire avec Amazon Fresh. Cette offre concerne pour le moment 3 points de livraisons aux USA ( bientôt 4 ) et, comme son nom l’indique, couvre tous les produits alimentaires, y compris les produits frais et les produits locaux. Si le périphérique Amazon Dash n’est pas encore prêt pour envahir le marché français, l’arrivée du service Amazon Fresh est-il de la science fiction comme le prétendent les rares intervenants de la distribution au courant ?
Amazon Fresh n’est pas un concept qui a germé dans la tête de Jeff Bezos il y a quelques semaines. Le service a été lancé, en toute discrétion en 2007 pour une partie de l’agglomération de Seattle. Après 6 ans de rodage, Amazon à ouvert San Francisco et Los Angeles en 2013. Le choix de ces villes n’est pas un hasard, leur géographie « sociale » particulière est une source d’enseignements.
Une fois cette phase expérimentale validée ( gardons à l’esprit qu’Amazon test son concept depuis 7 ans ), l’objectif est de déployer le service dans 15 métropoles en 2014.
Les cibles ne sont pas uniquement concentrées sur le continent nord américain puisque Berlin serait programmé tout comme Paris et Londres sur le second semestre 2014.
Comme son nom ne l’indique pas Amazon Fresh n’est pas un service dédié uniquement au produits frais; son arrivée éventuelle viendrait tout simplement marcher sur les plate bandes d’un cybermarché « classique » proposant épicerie, conserves, divers liquides et produits ménagers, produits cuisinés, produits frais mais aussi produits locaux. En réalité, si on doit se focaliser sur ce que l’on connaît en France, c’est clairement au business des « Drives » que va s’attaquer Amazon.
La France a t-elle trop d’avance et de spécificités comme le prétendent ses acteurs locaux ?
Il est vrai que la France est le pays du fromage et des hypermarchés. Ces derniers disposent d’un maillage important du territoire national ainsi que d’une présence dans les villes moyennes voir même petites avec leurs déclinaisons « super ». La législation a stoppé leur expansion mais ces derniers peuvent aujourd’hui contourner ce barrage avec les Drives. Le rythme d’implantation est, de ce point de vue, extrêmement rapide, la plupart des vieux roublards de la GD pariant sur un durcissement de la législation à court terme.
Si le Drive est en expansion, Amazon Fresh s’attaque lui à la livraison directe qui n’a jamais réellement dépassée la frontières des 3 grandes villes françaises : Paris, Marseille et Lyon…et encore.
Terrain de jeu de Houra.fr ( Cora ) ou de Ooshop ( Carrefour ), ces enseignes concentraient l’essentiel de leur activité sur l’Ile de France ( 70% du volume pour Houra ).
Compte tenu de la complexité géographique française, l’offre Amazon Fresh ne propose pas une vraie rupture avec ce que font les grandes surfaces bien de chez nous. Les Drives sont aujourd’hui en nombre suffisant et hormis les très grandes villes (voir uniquement la région parisienne), le libraire ne viendra pas damer le pion aux barons français de la grande distribution. L’expérience US montre aussi qu’Amazon n’occupe pas ce marché pour péter tous les prix : face à Walmart, l’offre AmazonFresh est souvent plus chère. Sur le marché français, les acteurs de la GD étant réputés pour massacrer les prix et essorer les fournisseurs, il ni a pas de révolution à attendre sur ce plan là non plus.
Pourquoi Amazon veut-il alors se lancer chez nous ?
Même si les sites des cybermarchés français ne sont pas à leur avantage face à l’ergonomie ultra rodée d’Amazon, il est évident que cela ne suffira pas.
Depuis de nombreux mois, Amazon a éprouvé la plupart des transporteurs de l’hexagone pour imposer son niveau d’exigence. Son offre Premium qui implique une livraison en 24/48h maximum est une réussite. Ce service, quand on y a goûté, devient vite indispensable. Amazon Fresh proposera la même chose : un forfait annuel intégrant la livraison à domicile. C’est un premier point intéressant pour les adeptes de l’achat online parisien mais qui ne bouleverse pas les utilisateurs des Drives en province.
Reste donc l’ergonomie et la profondeur de l’offre, deux points où Amazon est très fort.
Sur l’ergonomie, le Dash enfonce le clou par son usage facile voir même naturel.
L’AmazonDash semble être une évidence, un outil de simplification, un moyen pour les gens cool d’en finir avec la corvée des courses pour pourvoir se consacrer à sa famille ou à des choses plus importantes. Le Dash est mis à disposition gratuitement par Amazon aux clients abonnés à l’offre Amazon Fresh. Le gain de temps est évident même par rapport à la meilleure application de courses en ligne du marché. Un scan sur le produit à renouveler, la dernière bouteille de soda, le paquet de chips…et la liste s’incrémente. Bien entendu une révision globale sur votre PC ou votre tablette pour croiser tout ça avec votre budget est obligatoire.
Un gain de temps pour les familles, un côté ludique pour les enfants, un confort général offert par Amazon, tout est dit dans ce spot Amazon, c’est toute une philosophie et une communication qui fonctionnent avec des produits / services qui font sens immédiatement auprès du public…contrairement à ce que nous fait Google avec ses Glass ou son Chromecast.
Maintenant si d’un point de vue de la logistique, en l’état actuel des choses, Amazon sera livrer en 24h en France sans trop de difficulté, le géant américain ne dispose pas de l’offre pouvant faire la différence. Mais Amazon Fresh dispose dans son package d’un atout de taille.
L’offre Amazon Fresh se divise en 3 parties :
La partie « FOOD » qui correspond à un cybermarché classique, essentiellement composée de produits alimentaires « industriels » , une offre facilement gérable par l’infrastructure logistique Amazon.
La partie « NON FOOD » qui est en fait un échantillon de 500 000 références en provenance du catalogue classique d’AMAZON
Enfin, la partie la plus intéressante, « LOCAL FAVORITES » composée d’une offre artisanale, hyper localisée qui comprend des plats cuisinés, des pâtisseries, des produits du terroir…
C’est bien cette partie « Local Favorites » qui peut faire la différence. En s’essayant à San Francisco, Los Angeles..Amazon s’est frotté à une clientèle proche des préoccupations alimentaires européennes. Une clientèle pointilleuse qui est à la recherche du produit sain, local…certains diront une clientèle de bobos.
Avec cette partie, Amazon Fresh peut délivrer des plats cuisinés venant d’un restaurant local, des légumes d’un producteur de la région ou encore du pain et des pâtisseries d’une boulangerie de quartier. Amazon devient donc, en plus de l’offre alimentaire « classique », un agrégateur d’offres de commerçants locaux.
Concrètement, les livreurs d’Amazon Fresh font donc le tour des partenaires locaux pour récupérer votre commande et « l’assembler » avec le reste de la commande comme par exemple des packs d’eau, des conserves…traité au sein d’un entrepôt de la marque.
L’enjeu pour Amazon est donc de signer des accords avec un maximum de commerçants locaux…les accords commerciaux garantissent au client final le même prix sur Amazon Fresh que dans l’échoppe du commerçant local. Je pense que cette offre risque de motiver certains commerçants trop content de pouvoir contribuer ( prendre une revanche ? ) à une offensive violente contre la grande distribution.
En fait, en cherchant à recruter des échoppes locales, Amazon est simplement en train d’ouvrir sa market place au commerce alimentaire tout en s’affranchissant, en France, du poids des enseignes de grandes surfaces.
Si vous combinez la simplification qu’Amazon apporte avec ses outils ( Dash ou autres ), à la profondeur de l’offre et la puissance logistique et maintenant la touche « commerce local », je pense qu’Amazon peut vraiment faire mal sur l’alimentaire, y compris chez nous.
Valve semble avoir quelques difficultés pour accoucher de la version finale de la manette dédiée à la Steam Machine.
Dans ces conditions, des inquiétudes commencent à planer sur la date de sortie officielle qui semblait se programmer pour l'E3.
Valve découvre aussi que quitte à avoir un PC déguisé en console sous la TV du salon, il serait bien dommage que celui-ci ne soit pas capable de lire des vidéos…
La partie "mediacenter" de Steam OS n'était clairement pas une préoccupation mais elle est pourtant une évidence pour la cible visée.
Durant les SDD 2014 on avait compris que la partie tactile du Steam Controler devait disparaître. On sait maintenant qu'elle laisse sa place à 3 nouveaux boutons : Stop, Play et Steam.
La version finale n'est cependant pas encore dans les tubes et les constructeurs qui se sont engagés dans le projet attendent la finalisation du cahier des charges ( un fabricant tiers pourra concevoir un Steam Controler ) et aussi les jeux et possibilités de la plateforme Steam OS. Pas mal de grosses marques pensaient faire un lancement en fanfare pendant l'E3 2014…pour le moment l'inquiétude progresse.
Reste que la beta actuellement disponible de Steam OS n'est pas là pour rassurer : elle s'installe facilement et reconnaît le hardware récent sans souci important mais elle permet aussi de constater la faiblesse du catalogue réellement disponible.
Certes, on parle de Project Cars ou encore de Tropico 5…mais c'est extrêmement faible au regard du catalogue Steam…sous Windows. Reste alors une sensation une fois qu'on a goûté au hardware d'une future Steam Machine : une console PC en mini Itx avec un SSD ça marche bien aussi sous la TV en windows avec le client Steam en mode big picture…
Le classement des plus gros fabricants de smartphone est dominé par Samsung, loin devant Apple.
Si les marques mettent en avant la nationalité de leur siège social, il ne faut pas oublier que Coréens ( Samsung ou LG ) comme Américains ( Apple ou encore Motorola ), font tous fabriquer massivement en Chine.
Dans ces conditions, ce n'est pas vraiment une surprise de retrouver Huawei, TCL ou encore HTC, ZTE et Lenovo pousser la porte et prétendre au podium.
Portées par la puissance de leur marché intérieur, les marques chinoises grignotent inexorablement du terrain.
Jusqu'à présent, l'entrée de gamme et le low cost, étaient leurs terrains de chasse mais en produisant sur son sol les derniers iphone comme les étendards de Samsung, il ni avait pas de raison pour ignorer le haut du panier.
Reste qu'à l'international, les marques chinoises pâtissent toujours d'une mauvaise image de marque, l'image du low cost et c'est donc la plupart du temps avec des faux-nez qu'elles attaquent les marchés occidentaux.
Le plus solide et "exportable" Lenovo vient pour cela de racheter Motorola à Google, le géant TCL qui cartonne dans les TV sous la marque Thomson, rode ses smartphones en Europe avec des produits estampillés Alcatel. Reste Tinno qui fabrique les smartphone "marseillais" Wiko, Huawei qui fait le buzz à tous les salons et contre ZTE ou plus récemment OPPO qui présentent des produits capables de faire rêver les utilisateurs les plus exigeants.
L'exemple d'OPPO est particulièrement révélateur, cette marque encore totalement inconnue il y a quelques mois malgré un succès d'estime dans les lecteurs BluRay de salon, fait l'actualité depuis quelques semaines avec un teasing bien orchestré d'un modèle ultra musclé de 5,5" capable de rendre envieux tous les utilisateurs d'un note 3.
Avec un APN capable, en théorie, de faire des photos de 50Mpix et de filmer en 4K , un écran de 538PPI et un hardware affûtés, le Oppo Find 7 s'annonce costaud techniquement et agressif commercialement car sous les 500€.
THL arrive lui aussi, sur la pointe des pieds et sous sa propre marque, avec un modèle 6" Full HD équipé d'un processeur 8 coeurs MT6592 cadencé à 1,7 GHz, un GPU ARM Mali-450 MP4, 2 Go de RAM, 32 Go de ROM, deux emplacements carte SIM, la 3G WCDMA 850/2100 MHz, le Wi-Fi, le GPS, le Bluetooth 4.0, le NFC, une connectique Micro USB OTG, un double appareil photo avant/arrière de 13 mégapixels, une Rom Android 4.2 Jelly Bean et une batterie de 2500 mAh ( une seconde batterie est même livrée avec l'appareil )…le tout pour un prix public voisin de 300€ TTC !
J'ai pu avoir l'appareil en mains pendant quelques temps et il est vraiment surprenant.
En premier lieu, la qualité de son écran est vraiment bluffante, mon point de comparaison étant mon Note 3 personnel…positionné au double du prix. Un écran de 6" Full HD Gorilla Glass du plus bel effet.
L'aspect extérieur du téléphone nous rappel très fortement ce que fait Samsung avec le capot arrière notamment et le tour du châssis "chromé" ( plastique véritable of course ). Tout cela est de bonne qualité, toujours en comparaison avec le Galaxy Note 3, on constatera que le THL est un poil en dessous du Coréen mais ce n'est pas non plus monstrueux et sans doute pas dans le même rapport que l'écart de prix.
On remarque aussi en ouvrant l'emballage, la présence d'une coque de protection et …d'une seconde batterie, un point positif pour sécuriser l'acheteur éventuel d'une marque encore invisible en Europe.
En terme de performances, là encore c'est une bonne surprise, les tests Antutu permettent de mesurer un score de plus de 26 000, le plaçant quasiment au niveau d'un Galaxy S4.
A l'utilisation ce smartphone TCL est clairement agréable, performant et son écran ne laisse pas indifférent. Légèrement plus lourd que le Note 3, sa différence de taille d'écran fait des merveilles. Sa batterie de 2500maH semble tenir le choc et la livraison d'une soeur jumelle dans le carton est clairement un point fort.
Il est difficile d'en dire plus si ce n'est que pour moi le principal point négatif est l'absence, au moment où j'écris, de compatibilité avec le réseau 4G.
Mais je ne manquerai pas de suivre ce produit qui est une vraie surprise compte tenu de son rapport qualité / prix. Je nuance aussi mon avis global compte tenu du temps relativement court dont j'ai disposé pour me faire un avis sur ce smartphone. Néanmoins, avec un prix public à 300-320€, il devrait faire un carton, son concurrent principal ( au niveau de la taille ) étant le Nokia 1320, sous Windows Phone, positionné tout juste sous les 300€.
Ce premier contact avec un marque chinoise est donc plus que positif, je pense aller plus loin avec des tests des derniers produits Huawei et Oppo dans les prochains jours.
Quelques mois après un lancement aux USA, Google sort sa Chromecast en France.
Commercialisée à 35€ contre 35$ aux US, la Chromecast est maintenant disponible immédiatement via Google ou encore Amazon.
La clé Chromecast est un "accessoire" Google qui se branche en HDMI sur une TV et qui permet de recevoir un certain nombre de contenu en pilotant la diffusion avec son téléphone, sa tablette ou son ordinateur.
Pour commencer, la Chromecast ne peut fonctionner de manière autonome. Cependant, d'Androïd à Windows ou Linux en passant par OSX, la tolérance est relativement large ( point de Windows Phone pour le moment ).
Vous l'aurez compris, le dernier jouet de Google n'est pas une clé Androïd au sens strict du terme mais une clé "Chrome". C'est donc autour du navigateur que ses fonctionnalités se déclinent.
L'opération séduction sur ce produit commence dès le packaging, sobre et classe, il est intégralement en Français et résume très simplement la manière de mettre en route la Chromecast…en fait tout cela est détaillé en seulement 5 lignes.
Les pré requis sont donc très clairs : un écran HDMI, un réseau Wifi. Si votre écran dispose d'un port USB, un câble fourni permettra d'alimenter la Chromecast; si ce n'est pas le cas, un transformateur est aussi livré avec l'ensemble.
La mise en route est là aussi extrêmement simple : à partir de votre téléphone ou de votre tablette vous vous connectez facilement à la chromecast grâce à l'application téléchargée préalablement. L'application réalisera simplement une connexion adhoc entre les deux appareils vous permettant alors de rentrer le code de sécurité de votre wifi. Une fois cette étape réalisée, la Chromecast est prête et effectue quelques bonnes mises à jour des familles.
Reste ensuite à exploiter ce gadget dans la vie de tous les jours…et malheureusement sur ce terrain Google bride lui même son appareil compte tenu du nombre restreint d'applications :
Youtube
Google Play Music
Google Play Vidéo
RedBull TV
France TV Pluzz
SFR TV
Canal Play
Plex
Vevo
Le premier test se déroule avec Youtube évidemment.
Autant le dire tout de suite, si vous êtes chez Free, la Chromecast n'améliorera rien à votre quotidien, au contraire. Si vous savez contourner les brides de Free ou, que vous êtes chez un autre opérateur, cette première application vous procurera une grande satisfaction. L'interface côté "utilisateur" ( sur votre tablette ou téléphone) est simple et côté TV, la navigation est fluide et surtout le rendu est excellent, sans doute du HD mais pas au dessus. Sur un téléviseur de grande taille ( j'utilise un 70" ), c'est tout a fait correct.
Le sentiment est le même avec l'application Redbull TV qui propose aussi de regarder des stream live d'émissions. Là aussi c'est fluide et dans une définition tout à fait convenable.
Une fois la diffusion sur la Chromecast lancée, on peut quitter l'application cliente et reprendre totalement la main sur sa tablette ce qui peut permettre d'envisager l'utilisation d'autres applications permettant d'obtenir de l'intéractivité comme Twitter, des clients de chat ou autres…
Le premier élément de doute arrive à ce moment : à quoi sert réellement l'appli qui contrôle tout ça sur votre tablette ou téléphone ? Une super télécommande ? l'impossibilité de régler le volume ou encore l'absence d'ergonomie concernant l'avance, retour ou pause démontrent déjà un souci majeur à mon avis : tout cela n'est pas très cohérent.
D'autant plus que cette fameuse partie client dispose de toutes les ressources de l'appareil où elle tourne. En effet, ce n'est pas votre tablette qui stream vers la TV mais directement le Chromecast qui recueille les informations envoyées par la partie client et va chercher le flux directement sur la box. Le hardware du "client" n'est absolument pas sollicité.
Si l'application Google Play Vidéo s'en sort mieux, j'ai alors cherché à m'amuser avec Plex qui est ce qui se fait de mieux en terme de mediacenter.
Une fois la partie serveur installée sur un PC ( indispensable, c'est lui qui va générer le flux de votre médiathèque à la demande ), l'appli dédiée ( payante ) fait le boulot et c'est techniquement acceptable en ce qui concerne la gestion de la bibliothèque. Par contre, les latences nuisent fortement au confort de navigation. Quand à la diffusion d'un film, on touche alors les limitations du wifi. Impossible de disposer de profiter d'un film en haute qualité type mkv de plusieurs Go. Il est donc indispensable d'intervenir sur la partie serveur pour que le stream envoyé à la chromecast soit limité à du 720p grand maximum.
Dans ces conditions, la lecture ne pose pas de problème mais la navigation reste chaotique: autant oublier.
Très clairement, pour ceux qui rêvaient de remplacer leur médiacenter, popcorn hour ou Xbmc…vous pouvez oublier. Même avec un PC gavé aux hormones pour streamer ou transcoder le film, les limitations du wifi sont, au moment où on se parle, incontournables. Le fait que la partie hardware du chromecast soit ultra-light, ne permet pas non plus d'espérer une solution miracle sur ce principe.
Reste donc les utilisations dites TV de rattrapage, VoD type Netflix et CanalPlay ou encore Google Play Music : là le joujou de Google s'en sort bien même si je m'attendais à plus d'interactivité. En réalité, son confort d'utilisation dépendra de votre bande passante internet. Il faut bien comprendre que le flux vient directement de l'internet : fibre nécessaire voir excellent adsl2+ voir vdsl.
L'application permettant de "caster" une vidéo ou un contenu "Chrome" de votre PC vers la TV est aussi intéressante…mais ça ne suffit pas, il existe déjà des solutions qui font ça depuis un moment
Après 48H de tests intensifs, je pense garder la Chromecast branchée pour le plaisir de regarder des Vidéos Youtube facilement sur grand écran…j'attendais beaucoup plus.
On me dit d'attendre l'arrivée de Netflix, les applis des développeurs qui vont déferler…mais j'ai déjà tout ça et c'est bien là tout le problème :
Qui cible Google avec cette Chromecast ? La France est le pays des box qui offrent toutes de multiples possibilités mais la France est aussi le pays où le très haut débit prend du retard…avec la Chromecast, tout dépend du débit.
Pour conclure :
Si comme moi vous avez un player multimédia élaboré branché sur un VRAI réseau ( j'ai un popcorn hour relié à un NAS ), si votre box internet vous délivre 300 chaînes toutes aussi bidons…le google Chromecast ne vous apportera rien.
Cependant, l'évolution des TV, la forte croissance du contenu OTT qui prend largement le dessus sur le contenu TV classique…tous ces éléments permettent de penser que la solution Chromecast est une première étape. Cela fait des mois voir des années que j'écris que la TV de papa est morte; techniquement c'est un fait. Il manque cependant à la Chromecast beaucoup d'éléments pour tuer les box adsl. Je reste aussi dubitatif concernant l'utilisation exclusive du wifi ( qui participe cependant à la simplicité du concept ) mais dont les limitations vont à l'encontre de l'augmentation de la qualité vidéo ( 1080P, 2K, 4K…) et de la taille des écrans.
Sur ce point, ce que j'ai vu de plus novateur reste l'approche de Microsoft avec sa Xbox One. Là aussi il y a Youtube, là aussi il y a Netflix et tellement plus…mais il y a surtout une vraie révolution au niveau de l'interface et de l'usage…reste évidemment un gouffre au niveau du prix.
Je reste donc perplexe mais attentif à l'évolution de Chromecast, l'arrivée éventuelle d'une solution similaire par Amazon sera à surveiller mais je crois que dans un pays où les Box ADSL sont reines, la Chromecast n'est pour le moment qu'une curiosité. La force de frappe d'un Google peut changer la donne mais au moment où j'écris ces lignes, la Chromecast n'est qu'un gadget pour moi.
Alors que durant l'année 2013 la plupart des constructeurs majeurs de châssis se sont rués sur la marché du Mini ITX, Corsair à lui rongé son frein…aucune référence à son catalogue.
La marque semblait même à contre courant en présentant son énorme 900D, une maxi tour de presque 20Kg.
L'arrivée de l'Obsidian 250D est donc un petit événement pour Corsair et c'est surtout sa seule référence disponible dans ce format pour le moment.
L'effervescence autour des steam machines et la tendance à la miniaturisation ne pouvaient plus être ignorées par le constructeur.
Reste qu'avec une stratégie qui consiste à faire des boîtiers magnifiques mais massifs, l'Obsidian 250D, avant même d'être visible, suscitait des interrogations.
Ne tournons pas autour du pot, de mon point de vue, l'attente valait vraiment la peine, le 250D est une vraie réussite.
Unboxing vidéo du Corsair Obsidian 250D
Design / Ergonomie
Côté design, le 250D ne peut pas renier ses origines, on retrouve le style sobre et épuré dont dispose la ligne Obsidian. Pour faire simple, le 250D semble être un 350D compressé.
Le format est presque celui d'un cube ( 290 x 277 x 351 mm ) et, contrairement à mes inquiétudes sur la capacité de Corsair à faire du "petit", il est relativement compact. Enfin, n'oublions pas que Corsair cible les utilisateurs exigeants, donc je modère le terme "compact" en précisant qu'il est compact pour un boîtier mini-Itx destiné à envoyer du gros !
La façade est facilement amovible et les capots latéraux disposent de nombreux évents afin d'assurer le bon refroidissement de l'ensemble. Comme pour la plupart des produits Corsair, on a vraiment le sentiment d'avoir un produit solide et sérieux entre les mains. Même si l'aluminium ne trouve pas sa place sur ce boîtier (simple placage sur la façade ), le design Corsair qui n'est pourtant en rien révolutionnaire, fait son effet.
Le capot supérieur dispose d'une surface vitrée permettant de mettre en évidence le coeur du système ( CPU / Ram ).
Parler d'ergonomie sur un boîtier mini-itx est un exercice compliqué. L'Obsidian 250D n'est pas un châssis qu'on glissera dans un meuble TV, ce n'est pas sa vocation. Par contre, pour construire une configuration solide et n'ayant rien à envier à un PC ATX classique ( à l'exception du SLI ), dans ce cas là le 250D fait des merveilles.
Alimentation classique, refroidissement liquide, carte graphique jusqu'à 300mm et 140 à 145mm disponibles pour un ventilateur de CPU. Le tout avec une étonnante facilité de montage pour un mini-itx. L'excellente conception du châssis permet d'envoyer les mains relativement facilement et encore de loger 2 Hd 3.5" et 2 HD 2.5" dans un système de baies astucieux.
Enfin, il est à noter que l'ensemble des manipulations "classiques" peut se faire sans aucun outil. Seul le démontage du berceau 5.25" nécessite d'enlever 4 vis.
Qualité de Fabrication
Difficile de prendre en défaut un produit Corsair sur le terrain de la qualité de fabrication. Le 250D n'échappe pas à la règle.
L'assemblage du boîtier est parfait, la qualité de la peinture est très bonne, ( c'est souvent un problème chez certaines marques ). La câblerie d'origine est bien pensée et encore une fois, le système de baies pour les disques durs permet de monter ces derniers sur silent bloc.
Débarrassé de l'ensemble de ces capots, la rigidité de la structure métallique vient confirmer cette excellente qualité de fabrication.
Fonctionnalités
La conception et l'agencement de ce châssis font clairement des miracles. Toutes les cartes graphiques jusqu'à la 780Ti ou la 290X peuvent s'installer dans le 250D. Si vous souhaitez rester en aircooling, le dégagement supérieur permet d'installer un ventirad performant. Quand à une installation d'un kit watercooling, la face avant permet de recevoir un kit radiateur 120mm ( un ventilo de 140mm est d'origine ), les plus extrémistes pourront envisager de monter un radiateur de 240mm sur le côté . Cependant, même si la carte graphique dispose de suffisamment de place, un watercooling du GPU me semble difficile. Néanmoins, les plus bricoleur pourront se risquer sur ce sujet car une fois l'option 240mm engagée, la place récupérée à l'avant du boîtier permet d'envisager une pompe et un réservoir.
Équipements et Bundle
Si on s'attend à recevoir un maximum de visserie, câbles et autres, on sera sans doute déçu au premier contact. Cependant soyons objectif : le 250D arrive avec des ventilateurs corrects, des filtres à poussière de partout, un système de baies avec montage des HD sur silent blocs…en réalité difficile de faire plus complet sur un mini Itx.
Rapport Qualité / Prix
La qualité se paie a t-on l'habitude de dire. Corsair cultive cette habitude avec son positionnement haut de gamme.
Pourtant, avec un prix compris entre 89 et 95€, l'Obsidian 250D va faire de l'ombre à pas mal de marques ne disposant pas de l'aura de la marque américaine.
Pétris de qualités, l'Obsidian 250D satisfera l'utilisateur exigeant en lui donnant en plus des perspectives d'évolutions, ce qui n'est pas une mince affaire sur un boîtier mini Itx.
La gamme "ultime" des processeurs Intel va bientôt être renouvelée. L'arrivée des processeurs Haswell-E et du chipset X99 serait même imminente.
Si l'on en croit les dernières fuites, le chipset X99 pourrait permettre à Intel d'introduire son premier contrôleur DDR4 en quad-channel.
10 ports SATA 3.0 et 14 USB dont 6 à la norme 3.0 viendraient modifier la donne en terme de connectivité par rapport à l'ancienne génération.
Mais ce chipset s'adressant à une clientèle exigeante, c'est sur la gestion du PCI Express qu'il faut bien regarder; c'est sur ce chipset qu'Intel recommande l'installation de multi-GPU.
Le chipset permetterait donc de gérer 5 x PCIex 2.0 en 8x ( 4 cartes graphiques et un SSD sur PCiex par exemple ).
Le socket sera du LGA 2011 (Version 3 ) et il est clairement annoncé que les CPU X et K pourront bénéficier d'un support d'overclocking conséquent sur cette plateforme.
L'annonce est attendue pour Juin avec une disponibilité réelle sans doute sur la fin de l'été ?
Cependant, depuis quelques jours, encore d'autres fuites annoncent qu'Intel aurait décidé d'accélérer la cadence en procédant à l'intruduction des références "X" en Haswell-E 5000 dès le second trimestre ( i7-5960X ).
Concernant les prix des futurs Haswell-E, pas vraiment de suprise, on s'attend à ce qu'Intel se calque sur sa série 49xx. La vraie surprise viendra du prix de la DDR4.
Enfin, il semble que les nouveaux CPU Haswell-E arriveront en 6 et 8 coeurs avec Turbo-boost et hyper threading. Ils embarqueront 20Mb de cache L3 et le tdp sera de 140w !.
En recevant la Roccat Kone XTD, je découvrais une souris que je ne connaissais pas…pourtant sortie fin 2012, je n'avais pas eu l'occasion d'avoir cette souris entre les mains.
Roccat n'est pourtant pas un inconnu mais on peut considérer que sa diffusion est tout de même "confidentielle" voir élitiste.
Après avoir testé les Corsair M95 et Logitech G602 récemment, je me décidais donc à découvrir cette Kone XTD.
Moins connu que les leaders du secteur, Roccat est une marque allemande qui se focalise uniquement sur le gaming pur et dur.
Symbolisée par un tigre, la marque affiche clairement la couleur : pas de compromis.
Le premier contact avec cette souris est une révélation. Très clairement, la prise en main est excellente et le contact avec les matériaux très agréable.
La majorité du corps de la souris est composée de Soft Touch, cette matière qui s'apparente à du caoutchouc lisse qui a la particularité de ne pas retenir la transpiration et surtout de ne pas la favoriser comme certain revêtement.
Le positionnement des boutons est tout juste parfait, la molette inspire confiance et glisse parfaitement.
Son poids, relativement léger pour une souris de ce gabarit (90g sans lest ) favorise le confort de déplacement et les patins en téflon procurent vraiment une parfaite qualité de glisse.
A noter que la Roccat Kone XTD est livrée avec un kit de 4 lests de 5 grammes.
La sensation en ce qui concerne les 12 boutons présents est particulièrement bonne, on pourra cependant remarquer que les petites mains perdront en confort en ce qui concerne les boutons situés devant la molette.
Les deux bandes en plastiques classiques ( qui intègrent les LED ) contribuent paradoxalement au confort de l'ensemble en rajoutant deux zones aux températures différentes ( en raison de la différence de matière ).
Design / Qualité de fabrication
Le design de cette Kone XTD n'a rien de révolutionnaire. C'est cependant cette sobriété qui fait son charme…sobriété encanaillée par la présence du Tigre Roccat et par les 4 Led configurables qui viennent "marbrer" le châssis. Cette alliance de sobriété et de sensation de solidité ( certains diront "germanique" mais la Kone XTD reste fabriquée en Chine…) balancée par les LED et le gros logo Roccat, fonctionne bien, le produit est esthétiquement équilibré malgré une absence d'audace dans le dessin.
En ce qui concerne la qualité d'assemblage, on frise là aussi le sans faute. Aucun jeu dans les boutons, le mouvement de la molette est parfait. Le câble de connexion est relativement long, son gainage lui assure la rigidité nécessaire. Si on veut vraiment chercher la petite bête, on pourra parler du capot du logement des lests, un peu trop "léger" par rapport à l'ensemble.
Driver et configuration
La souris est reconnue immédiatement par Windows…comme une souris classique. Cependant, une fois le driver propriétaire installé, on change de dimension. Les possibilités de paramétrages sont tout simplement démentielles.
De la possibilité de créer 5 profils en passant par la couleur des leds, tout est faisable. Les musts étant un calibrage de la souris suivant la surface utilisée,un changement de résolution du capteur à la volée et…un compteur d'opérations totalisant vos clics et actions !
Reste le paramétrage des couleurs et de l'animation des leds…plus fun mais très complet là aussi.
Précision / Performance
La Roccat Kone XTD dispose d'un capteur laser haut de gamme Pro-Aim R3 avec une résolution de 8200dpi et un rafraîchissement capable d'aller jusqu'à 1000hz; elle est aussi capable d'encaisser des déplacements de l'ordre de 5 mètres / seconde !
En gros tout ça assure une précision extrême capable de satisfaire le joueur exigeant mais aussi l'utilisateur pointu qui bosse sur photoshop ou des logiciels de CAO.
Rapport Qualité / Prix
Évidemment tout le monde n'est pas prêt à mettre 80-90€ dans une souris. La Kone XTD croise dans ces eaux là avec les Corsair M95, G602 et autres Razer…elle est même plus agressive car on peut la trouver facilement sous les 80€. Compte tenu des prestations apportées, on peut dire qu'elle est véritablement bien placée. Polyvalente malgré un ADN purement gamer, son confort de prise en main et sa précision lui permettent de dépasser le cercle du 100% gaming.
Le verdict
C'est en premier lieu une agréable surprise et un coup de coeur. Surprise car je dois dire que je ne m'attendais pas à trouver autant de qualité sur cette souris. C'est en premier lieu le feeling et donc le confort qui ont fait la différence de mon point de vue.La polyvalence apportée par la précision de son capteur et son placement tarifaire viennent enfoncer le clou.
NB : suite à un de vos retour, vous pourrez trouver la Roccat Konte XTD avec un code promo sous les 70€ ici
L'Oculus Rift fait parler de lui depuis de longs mois, lancé avec un financement participatif en 2012, la commercialisation se fait attendre.
Cette année 2014 doit être la bonne année pour un lancement du produit.
Entre la version 1 du kit de développement et ce que nous avons vu au CES, il y a déjà un monde.
Si le Kit de développement permet de saisir tout le potentiel des lunettes VR, la version du CES 2014, équipée d'un écran OLED HD et d'un taux de rafraîchissement ramené de 16ms à 1ms est un saut important dans le rendu de la réalité. L'amélioration du gyroscope et la technologie infrarouge du Crystal Cove permettent de fluidifier les mouvements et d'augmenter la précision du positionnement virtuel dans l'espace ( notion de distance, d'équilibre..).
C'est peut-être là le principal souci d'OculusVR; plus ils travaillent, plus ils expérimentent et plus ils modifient la structure commerciale du projet ( source d'approvisionnement, mode de fabrication, contrat avec des tiers…prix de vente final et donc business plan ).
Ceux qui ont eu la chance de tester le Rift DK1 et le Crystal Cove comprennent facilement le bond en avant effectué en moins de 18 mois.
Malgré tout ça, le fondateur, Palmer Luckey, dans une récente interview, laissait entendre que la version finale serait encore bien différente du Crystal Cove que l'on se doit de considérer, pour le moment, comme un Developer Kit 2.
L'arrivée du Head Tracking Positionnel ( la web cam et les led blanches sur le DK2 ) a permis de donner au système la sensation de profondeur ( zoomer sur l'image pour donner à l'utilisateur l'illusion de la profondeur et des distances ), la version finale devrait en outre encore augmenter sa résolution pour encore plus de réalisme . Le design final est aussi en cours de finalisation, très éloigné du DK2 : plus léger, intégration d'écouteurs ?
Toutes ces améliorations et ces intégrations de nouvelles technologies ont obligatoirement un impact sur le prix de vente final. Portant là encore, OculusVR cultive les paradoxes en disant qu'ils ne veulent pas que leur kit soit un gadget pour riches…mais que seul un PC musclé ( et donc pas une console Next gen ) pourra les gérer.
A suivre donc mais on semble s'orienter vers un lancement commercial de l'Oculus Rift pour Juin 2014…pourquoi pas pendant l'E3 ?
Comme tous les secteurs d'activités, l'informatique est soumise aussi aux phénomènes de modes…en ce moment, c'est le mini-Itx qui nous chauffe les oreilles, la faute à la Steam Box sans doute.
Alors quand Cooler Master nous propose un boîtier "stackable" et ultra évolutif avec son HAF Stacker 935, c'est effectivement un beau contre-pied qui vaut le coup, rien que pour ça, de s'attarder un petit peu dessus.
Tout d'abord, pour ceux qui n'ont jamais entendu parlé de ce boîtier, il faut tout de suite préciser que le HAF Stacker 935 se compose de deux parties.
Le boîtier principal qui est déjà une belle bête avec une haute de 72cm pour un poids à vide de 12.6Kg et un second boîtier, beaucoup plus modeste avec moins de 25cm de hauteur pour un poids de 5.5Kg.
La construction générale est en acier et plastique comme la majorité de la gamme Cooler Master, par contre, c'est un HAF ( comprenez High Air Flow ) donc le mesh est très présent sur les deux châssis, dans le but, évidemment, d'optimiser la circulation d'air.
Unboxing vidéo du HAF Stacker 935.
Design et ergonomie du HAF Stacker 935
Le design général reprend ce que l'on connaît de la gamme HAF, peut-être en un peu plus sobre. Les deux châssis sont donc optimisés pour la circulation d'air et le refroidissement. Je vais me répéter mais ce type de produit n'est pas destiné à tous les publics. Pour ceux qui veulent de la sobriété et du silence, il y a les Silencios. On est évidemment pas dans la discrétion esthétique mais le HAF 935 malgré la taille de son équipage fait moins "tuning" et agressif que les autres membres de sa famille.
Qualité de fabrication.
La qualité d'assemblage des deux composants du HAF 935 est très bonne, les finitions sont excellentes et on peut envoyer les mains sans problèmes. L'accessiblité du châssis principal au format E-ATX est parfaite pour le montage avec de nombreux passages de câbles. Les emplacements pour le stockages sont aussi très accessibles et tous sur glissières ( à l'exception des baies 5"1/4 ).
Fonctionnalités.
Le but du HAF Stacker 935 est de proposer un concept évolutif permettant de loger un système haute performance complet et une autre "unité" dans le même ensemble.
Un système d'accrochage de type glissière permet ainsi de solidariser les deux éléments du HAF 935. On remarquera que cet assemblage est quasi indispensable puisque le sommet du boîtier principal est ajouré et qu'il ne dispose pas d'un capot pour être utilisé sans son petit frère.
Et c'est sans doute à ce niveau qu'on peut formuler la principale critique sur le HAF 935. Dès l'emballage, Cooler Master nous promet la cohabitation de deux systèmes…c'est possible dans la théorie, pas vraiment fonctionnel dans la pratique.Si le châssis principal ne souffre d'aucune critique concernant ses capacités à intégrer tout type de configurations haut de gamme voir multi GPU, on ne peut pas vraiment en dire autant du HAF 915R, le "compagnon" Mini ITX qui vient se loger sur le châssis principal.
En réalité, le HAF 915R doit être considéré dès l'origine au mieux comme un boîtier pouvant accueillir un NAS ou un système réduit au format Mini Itx mais sa conception ne permet pas de monter un ventirad performant ou encore de réaliser un cablage propre. En plus, compte tenu de la conception du boîtier principal, le 915R "profitera" de toute l'évacuation thermique du premier. Enfin, une fois un système mini-Itx installé dans le 915R, il est difficile de loger un radiateur correct pour un gros watercooling. En effet, le 915R permet d'installer un radiateur conséquent mais uniquement sur une paroi latérale ( 360mm ou 240mm peuvent être utilisés).
Reste qu'une fois ce constat effectué, si le 915R est utilisé comme unité de stockage supplémentaire et station d'accueil d'un radiateur imposant pour son watercooling, le concept prend alors tout son sens. D'autant plus que le 915R ne dispose pas de bouton power ni de baie usb en façade…difficile donc de l'exploiter comme une unité autonome.
Équipements et Bundle.
Cette section vient enrichir les rares points faibles du HAF 935. Si la modularité du boîtier est exemplaire, les équipements de série sont eux aux abonnées absents. On pense évidemment à l'éventuelle baie du 915R absente ne permettant pas d'avoir un simple bouton power ou encore de l'USB alors que sa capacité à recevoir un système mini-Itx est annoncée sur l'emballage.
Reste la ventilation…deux ventilateurs sont livrés avec l'ensemble. Un 120mm pour le système principal et un 92mm pour le HAF 915R. C'est extrêmement faible bien entendu surtout quand on pense que le HAF 935 est capable d'en recevoir 12 au total.
Il aurait été appréciable de bénéficier aussi de câbles sata de longue taille afin de pouvoir effectuer un montage de qualité et d'exploiter là aussi les 16 emplacements d'extension du système ( 12 x 3.5" et 4 x 5.25" ).
à gauche le 915R accueillant un système Mini ITX / à droite le 915R est utilisé pour loger un radiateur pour un kit watercooling performant
Conclusion…j'achète / j'achète pas ?
Pour faire une conclusion limpide, il faut tout de suite rappeler le paradoxe du HAF 935. Son composant supérieur, le 915R est au format Mini Itx, capable de recevoir un système complet…mais ce n'est pas son objet initial. L'acheteur doit impérativement prendre ce constat en considération car il risque la déception et surtout de devoir ressortir le portefeuille pour corriger une incompréhension.
Une fois cette remarque bien intégrée, le HAF Stacker 935 dispose de nombreux atouts.
En permettant de disposer dans un seul système d'au moins deux machines avec des composants hautes performances, Cooler Master cible clairement les power users jonglant souvent entre deux machines.
Si vous êtes dans ce cas, le HAF 935 est la brique principale d'une installation performante.
D'autant plus que Cooler Master a l'intention de proposer une gamme d'accessoires permettant d'étendre les fonctionnalités de sa gamme Stacker, on a ainsi pu voir au CES 2014 des rails, des cages additionnelles pour HD, des panneaux vitrés pour les 915…
Si vous êtes donc un utilisateur intensif et sans compromis, n'envisageant un PC que watercoolé et musclé et cherchant à faire un peu de place sur son bureau…le HAF 935 est un bon choix pour vous.
Samsung vient officiellement d'annoncer une nouvelle génération de montres connectées pour remplacer, quelques mois à peine après sa sortie, la Galaxy Gear.
La Gear 2 et Gear 2 Neo perdent tout d'abord l'appellation "Galaxy" puisqu'elles n'utilisent plus Androïd mais Tizen, l'OS alternatif sur lequel Samsung capitalise depuis quelques années.
Les points communs aux deux nouvelles montres Samsung :
L'écranestmaintenantrésistantàl'eau et anti poussièrecontrairementà la première version.
Les bracelets sont interchangeables.
La nouvelle gamme dispose de fonctionnalités "fitness" avec podomètre et capteur cardiaque.
Tizen remplace Androïd.
Évolution du processeur interne, anciennement simple core 800Mhz vers dual core 1Ghz.
Les nouvelles Gear pourront être utilisées comme des baladeurs MP3 autonomes (4Go stockage) par connection d'écouteurs BT 4.0
Batterie de 300 mAh supposée leur assurer 2 à 3 jours en usage normal, et 6 jours d’autonomie en usage modéré ( j'ai de gros doutes ).
La Gear 2 Neo se présente comme l'entrée de gamme, dépourvu du capteur photographique que l'on trouvait sur le bracelet de la Galaxy Gear ( à l'utilité douteuse ). Elle est aussi plus légère ( environ 55g contre 74g pour la Galaxy Gear ).
La Gear 2 "classique" dispose d'un capteur 2Mp sur le châssis et non plus sur le bracelet.
La nouvelle gamme Gear serait disponible autour du mois d'Avril, le prix devrait se maintenir autour des 300€.
Microsoft serait sur le point de proposer aux OEM un rabaisconsidérablesur le prix de la licence Windows 8.1.
La remise en question serait à destination des gammes de produits sous les 250-300$. On pensera donc évidemment aux tablettes 7-8", aux entrées de gamme en 10" mais aussi à la famille des Chromebooks que de nombreux constructeurs semblent adopter.
On savait déjà que Microsoft appliquait une politique tarifaire particulièrement agressive concernant Windows Phone ou encore Windows RT afin d'augmenter rapidement sa part de marché. Concernant Windows 8.1, le rabais annoncé pourrait permettre de toucher la licence aux alentours de 15$ ce qui signifie tout simplement une baisse de 70% par rapport au tarif OEM normal.
Si les tablettes petits prix viennent tout de suite à l'esprit, Microsoft semble plus inquiet du developpement des Chromebook et Chromebox.
On se souvient d'un mouvement similaire au moment de la percée des netbooks, Microsoft n'avait pas anticipé le succès de cette famille et avait tardivement bradé sa licence Windows XP et proposé ensuite aux OEM une version dégradée de son dernier OS : Windows 7 Starter.
Si aucune déclinaison "castrée" de Windows 8 n'est annoncée pour le moment,, je vois mal cependant Microsoft accorder sans contrôle un rabais aussi conséquent sur une licence pleine,qui pourrait alors se retrouver sur autre chose que des machines low cost.
MSI a orienté fortement sa stratégie sur le gaming ces dernières années.
Cela a commencé par le portable puis sa ligne de composants a aussi été repensée pour suivre cette évolution, un peu à la suite d'Asus il faut bien le reconnaître.
En étant très objectif, on a vraiment assisté à un saut qualitatif des produits MSI depuis quelques mois. Tout d'abord les portables qui souffraient encore d'une image négative en terme de finition et de fiabilité. Les dernières séries GX reflètent bien ce changement. Encore un tout petit peu derrière en terme d'esthétique, le meilleur est à venir sur 2014 pour MSI.
L'autre transformation s'est produite sur la gamme de composants.
Les cartes mères jouissaient d'une image plutôt positive mais la montée en gamme a été significative et la reconnaissance de la marque en terme de qualité / performance a, à mon sens, fortement progressé sur 2013.
C'est encore plus frappant sur les cartes vidéos où le bond en terme de notoriété, de qualité perçue et de positionnement a été le plus impressionnant.
[one_third][/one_third]
Les déclinaisons "gaming" et "Lightning" des cartes Nvidia ou Ati en provenance de chez MSi sont des références qui accumulent les récompenses…payer plus cher pour une de ces cartes est devenu complètement légitime alors que jusque là, malgré une place importante parmi les "faiseurs" de VGA, MSI passait souvent pour le second choix auprès du consommateur.
Cette légitimité gaming et plus exactement "haut de gamme" maintenant clairement établie, MSI est en train de décliner le concept en proposant du clavier mécanique, des barrettes….
Cette volonté de déclinaison est limpide et c'est presque par hasard, sur le facebook de MSI GB qu'on a découvert cette annonce pour le 6 Mars…
Alors MSI va t-il faire comme Asus, c'est à dire sa propre gamme de PC Desktop ?
A mon avis, MSi n'a aucun intérêt à faire ça…cependant, pour ceux qui ont de la mémoire ( ou pas mal d'années ), on se souviendra que MSI a exploité pendant quelques années le business des barebones, se retrouvant presque seul en face de Shuttle à la grande époque.
Compte tenu de la gamme mini ITX, des cartes graphiques petites tailles et Maxwell mais aussi de l'actualité 2014 autour des Steam Machines Msi va sans doute prendre tout ça, l'agiter bien fort et servir au marché un barebone MiniITX gaming.
Rendez-vous est pris pour Mars pour assister à la résurrection des barebones.
Nous sommes maintenant à une petite semaine de la sortie officielle de la nouvelle bombe de Nvidia : la GTX Titan Black.
Reprenant l'architecture Kepler et un GK110-430, le nouveau ultra haut de gamme de Nvidia sera positionné entre 890 et 990€.
D'après des informations en provenance de chez Nvidia, cette Titan Black serait 15% plus rapide que la Titan "classique" dont elle reprend le positionnement tarifaire.
La date d'arrivée sur le marché serait pour le 18 Février.
Toujours en Kepler, le look de la carte serait quasi identique à la première Titan. L'arrivée de cette carte met sans doute fin aux rumeurs sur une 780Ti 6GB qui n'aurait aucun sens.
Gigabyte veut s'imposer sur le marché du PC Portable. Avec son P27K, la marque thaïwanaise nous propose un PC polyvalent, fortement orienté gaming avec un look plutôt agressif.
La version entre nos mains est équipée d'un processeur Core i7 4700MQ, 8Go de Ram ( nous avons aussi testé avec 16Go ) et une GTX 765M, la partie stockage est assurée par un disque sata de 1To à 5400 tours alors que le système d'exploitation dispose d'un SSD de 128Go.
L'affichage est effectué par une dalle mate de 17.3" en technologie TN ce qui est un bon point pour un portable joueur. Le tout pour un poids contenu de 3.3Kg.
Affiché à 1089€, le Gigabyte P27K dispose en plus d'une garantie de 2 ans, son positionnement est donc particulièrement intéressant : à ce niveau de prix on trouve des MSI GE70 avec une configuration quasi identique mais sans SSD ou encore du Asus N750 avec une vidéo GT750M bien en dessous en termes de performances.
La Configuration en détails :
Processeur Intel i7 4700MQ 2.4 à 3.4Ghz
Chipset Intel HM87 Express
8Go DDR3 1600 de Ram ( sur la carte mère ), 2 slots disponibles , 24Go Max
Vidéo Nvidia GTX765M 2Go GDDR5
128 SSD mSata + 1To 5400 tours, 1 Sata 2.5" disponible + 1 mSata disponible sur la carte mère
Moins performante que la GTX 770M, la 765M ( qui est en fait une 760M surcadencée, sa fréquence de base passant de 657 Mhz à 850 Mhz ) permet de disposer d'un niveau de performances s'approchant d'une carte desktop PC du type 650Ti.
Autant dire que la plupart des jeux récents tournent dans d'excellentes conditions, y compris en Full HD. Sur les plus gourmands, il faudra descendre le niveau de détails pour garder une bonne fluidité. On obtiendra cependant du 50-60 FPS sur Crysis 2 en 1920×1080.
Esthétique – Finition
Avec une esthétique racée, le P27K séduit par rapport à ses concurrents plus classiques. Encore une fois, on ne peut s'empêcher de penser à l'Asus G750 même si nous ne sommes pas sur un design aussi élaboré. Néanmoins pour un produit à peine au dessus des 1000€, le Gigabyte attire l'oeil.
Seul un plastique granuleux vient gâcher le tableau d'ensemble sur la plasturgie intérieure et plus particulièrement sur le tour de l'écran.
Le clavier est particulièrement confortable et réactif. Son rétro éclairage blanc est appréciable; on notera que comme ses concurrents, le trackpad est d'une surface insuffisante malgré ses qualités de précisions.
Mais le plus important n'est pas à l'extérieur…c'est en effet par ses capacités de maintenance et d'extension que le P27K marque des points.
Avec une accessibilité particulièrement bonne, le P27K permet d'envisager avec sérénité la vie de ce portable costaud. C'est en effet le système de refroidissement qui vient rapidement perturber la vie d'un possesseur de portable musclé. Bruit, chauffe…tous ces maux résultent la plupart du temps d'un encrassement du système de refroidissement ou encore de la défaillance du ventilateur principal. Ici, la trappe d'accès permet de démonter et nettoyer sans aucune difficulté. La facilité avec laquelle les composants de refroidissement sont accessibles est flagrante dans la vidéo mise en ligne sur youtube.
Enfin pour finir, l'autonomie du portable Gigabyte est vraiment excellente, jusqu'à 4h15mn avec le BatteryMark c'est à dire 45mn de plus que la majorité de ses concurrents.
En conclusion, nous avons là un produit vraiment intéressant. à 1089€, disposant d'une look flatteur et de performances dans la norme. Ses capacités d'extensions et de maintenance en font un choix pertinent pour tout ceux qui envisagent de garder un portable plusieurs années.
En grosses difficultés financières, Sony vient de confirmer une rumeur qui courrait depuis quelques temps : la cession de sa division PC et de sa marque VAIO au profit d'un fond d'investissement japonais.
La cession sera effective au premier juillet et permet une continuité de l'activité PC et la survie de la marque Vaio. Cette marque sera exploitée, dans les premiers temps de la reprise, seulement au Japon.
Pour l'exercice 2013-2014, Sony table sur une perte de 810 Millions d'euros alors que le géant japonais avait pour objectif d'être bénéficiaire au début de l'exercice.
Sony avait planifié le lancement d'une nouvelle gamme AIO et d'une gamme VAIO Chrome pour cet été.
Mais la division PC, qui traînait des pertes depuis des années, n'est pas le seul organe malade chez Sony.
La division TV continue de causer des soucis tout comme le reste de l'électronique grand public. Le succès partiel du lancement de la PS4 redonne de l'espoir à la firme, cependant, les difficultés de livraisons de la console Nextgen ne permettent pas d'être dans un climat de sérénité.
Sony annonce vouloir se concentrer sur la téléphonie, les tablettes et garder espoir dans sa division TV où les produits 4K sont prometteurs.
Dans la jungle des portables gamers, le combat devient de plus en plus rude.
Toshiba dispose d'une bonne légitimité sur ce secteur avec sa gamme Qosmio.
Le Qosmio X70-A-137 joue une partition relativement classique. Positionné à environ 1299€, il est équipé d'un i7-4700MQ, de 8Go de Ram ( extensible à 32GO ), d'une carte graphique Nvidia GTX 770M et d'un combo lecteur / graveur Bluray; le tout déservant un écran 17.3" full HD type Truebrite à rétroéclairage LED.
Avec un prix public sous la barre des 1300€, le Qosmio X70-A-137 se démarque de ses concurents par quelques petits plus.
Sur cette gamme de prix, le processeur Intel i7 4700MQ et la GTX 770M règnent en maître mais la présence d'un graveur Bluray et de deux disques 1To sont plus rares.
La configuration en détails :
Nous ne reviendront pas sur le couple I7 + GTX 770 qui représente un duo performant pour faire tourner dans de bonnes conditions les jeux du marché.
L'écran full HD type TrueBrite peut étonner par sa luminosité, son rendu brillant agacera cependant les joueurs exigeants même si sa bonne réactivité lui redore le blason.
Le Bluray est plus rare à ce niveau de prix mais si ce portable se destine aux joueurs, est-ce un argument ? Un écran mat et un ssd auraient sans doute remportés plus de suffrages.
Concernant la connectiue, on est relativement complet pour cette gamme de produit :
1 × Moniteur externe (VGA)
1 × Ethernet RJ-45
1 × Prise casque (stereo)
1 × Microphone externe soutenant le sleep-and-charge.
1 × Lecteur de cartes mémoires (SD™ Card jusqu'à 2 GB, miniSD™/microSD™ Card avec adapatateur jusqu'à 2 Go, SDHC™ Card jusqu'à 32 Go, SDXC™ Card jusqu'à 64 Go et MultiMedia Card™ jusqu'à 2 Go)
2 × USB 3.0
2 × USB 3.0 avec USB Sleep-and-Charge
1 × Sortie HDMI avec support Ultra HD et 3D
1 × Web Camera 2.0MP FHD (1 980 x 1 080) avec microphone
Le Qosmio X70-A-137 se situe dans la fourchette haute de ce que l'on retrouve avec le couple i7/GTX770M, la différence n'est pas du tout palpable mais il faut néanmoins noter qu'il est devant.
La déception de la finition :
C'est en fait par là que j'aurais pu commencer, sans doute beaucoup d'acheteur ne feront pas le choix de ce Qosmio pour ça. On en peut pas dire que le X70 est fragile ou mal assemblé mais les choix de ses matériaux, les peintures…tout cela nous ramène presque 5 ans en arrière. Quand je creuse ma mémoire et que je me rappel MSI hier et maintenant…j'ai juste l'impression que Toshiba a oublié ce paramètre.
Le chargeur massif à la connectique ésothérique finit par achevé le plus bouillant des acheteurs.
C'est d'autant plus regrettable que le X70 semblait vouloir séduire au dela du gamer…la première rencontre avec lui n'est cependant pas un coup de foudre. Il faudra bien des efforts ou alors un acheteur totalement insensible à la beauté du produit pour franchir le cap et profiter, malgré tout, d'un produit perfomant et bien équipé.
Func est passé dans le giron de Fractal Design il y a peu. Jusqu'ici, on connaissait Func pour ses tapis et ses souris. L'arrivée du KB-460 marque la volonté du constructeur d'élargir son horizon puisque un casque est aussi au programme.
Dans un secteur pas mal encombré, se faire une place avec un clavier mécanique n'est pas un pari gagné d'avance.
Avec un prix public à 99€, le Func KB-460 est positionné face aux SteelSeries 6Gv2 et 7G, Cooler Master QuickFire ou encore Logitech G510s. Il dispose de pas mal d'arguments pour lutter face aux ténors :
Un vrai clavier mécanique équipé de switch Cherry MX Red
Un rétroéclairage à intensité réglable
un Hub USB 2.0 2 ports.
Ergonomie / Design.
Lorsque l'on regarde le Func KB-460, la première sensation qui se dégage c'est la robustesse. Le design est sobre et s'approche de ce qu'on trouve chez Corsair par exemple.
Le cable USB de bonne longueur est renforcé, un hub usb 2.0 permet de brancher une clé de stockage ou sa souris.
Le rétroéclairage est réglable en intensité avec les touches du pavé numérique. Par contre le rétroéclairage est exclusivement rouge.
Le KB-460 dispose d'un repose poignet dont le système d'accroche est le seul vrai reproche que l'on peut faire au clavier de Func. C'est une sorte de système de clips qui n'est pas très efficace quand on bouge le clavier régulièrement sur son bureau.
Le point fort du clavier est l'utilisation d'un caoutchouc noir "soft touch" qui donne un aspect classieux tout en évitant les traces de doigts. Cette matière recouvre toute la partie supérieure du clavier, touches et repose poignet compris.
Des fonctionnalités multimédias ( volume…) sont disponibles ainsi que les raccourcis macros. Le soft livré avec le clavier permet de programmer ces dernières et de gérer des profils. Ce logiciel est simple et efficace, on est loin des usines à gaz de certaines marques.
Qualité de frappe.
Il faut bien entendu aimer le style clavier mécanique. Si vous n'étes pas joueur ou nostalgique des "vrais" claviers ( comme moi ), alors passez votre chemin.
Il faut reconnaitre que j'ai été particulèrement séduit par la qualité de frappe même si j'utilise depuis bien longtemps des claviers en MX Red. J'attribue ce petit plus à l'utilisation du Soft Touch qui a pour conséquence d'adoucir la frappe sèche comme on peut la trouver sur le Corsair K70 par exemple.
On se retrouve aussi avec une frappe un petit peu moins bruyante que sur ses principaux concurrents mécaniques.
Qualité de fabrication.
Là aussi difficile de prendre en défaut le Func KB-460. La qualité générale est exemplaire, la rigidité du clavier démontre à elle seule la qualité d'ensemble. Si on veut vraiment chercher, le petit hub USB 2 ports ne semble pas du même niveau et sera à surveiller surtout auprès des utilisateurs les plus "violents".
Conclusion :
Le Func KB-460 est une réussite. Avec son prix à 99€, il dispose d'une qualité et de fonctionnalités que l'on retrouve normalement sur des produits situés sur la tranche supérieures de prix . C'est assurément un excellent choix.
Alors que le président de Micromania parlait d'un potentiel "accident industriel" pour la Wii U, Nintendo doit se résoudre à prendre des décisions radicales.
Avec des chiffres de ventes catastrophiques sur la fin d'année 2013, Nintendo ne peut que constater les dégats : de résultats 70% en dessous des objectifs fixés par la marque.
Alors que l'année 2013 devait être forte avec de soldes sorties pour accompagner la Wii U, là aussi les ventes de jeux ne sont pas au rendez-vous. Le japonais attendait un CA de 38 millions de $ et doit se résoudre à seulement 19 Millions.
Les affaires se corsent avec l'effritement des ventes de la 3DS, ce qui ne permet pas à Nintendo de limiter les dégats.
Pourtant dans les faits, la Wii U est un catalogue de bonnes idées : le second écran, les capteurs, le casual…beaucoup de concepts clés sont là. Trop tôt et sans doute pas aboutis.
Pour les développeurs, le mal est fait : Nintendo a mis sur le marché une console sans se soucier de donner les bons outils aux studios tiers…maintenant la guerre PS4 / Xbox One ne va plus laisser beaucoup de place dans les agendas ni dans les coeurs de ces derniers.
Reste maintenant à connaitre la stratégie de Nintendo pour le futur. Son président a annoncé qu'il ne quitterait pas le navire mais que l'entreprise devait se tourner vers de nouveaux horizons : le jeu sur tablettes par exemple.
La Wii U semble promise à une nouvelle baisse des prix et sans doute une nouvelle stratégie commerciale alors que des titres sympathiques sont attendus pour 2014…en espérant que cela puisse la maintenir en vie encore quelques temps.
UPDATE
Le site NINTENDO News nous apprend que le constructeur est déjà passé à autre chose avec deux projets bien avancés : Fusion DS et Fusion Terminal, des consoles qui doivent remplacer la DS et la Wii U.
Le hardware des deux futures consoles semble déjà connu, ce qui est quand même étonnant :
Depuis quelques mois, nous sommes tenus en haleine par les annonces de Valve. La Steam Box, Steam OS, les Steam machines…ce projet qui se concrétisait chaque jour un peu plus n'était-il pas l'annonce d'un grand tournant dans le monde du jeu vidéo ?
Une étape décisive pour en finir avec le joueur vache à lait, un coup de pied dans les fesses d'une industrie vorace…un bras d'honneur des vrais joueurs à Microsoft et Sony.
Ce fantasme quasi gauchiste d'une console ouverte, évolutive, simple et qui ferait entrer le PC dans le salon, les plus vieux le connaisse depuis des années, bien avant kickstarter et toutes les autres usines à projets fumeux…à l'époque ça s'appelait Indrema et surtout le projet Phantom.
[one_third][/one_third]
Utiliser le hardware du monde PC et lui donner l'ergonomie d'une console tout en rajoutant la liberté d'un code opensource…un rêve pour beaucoup, un cauchemar pour d'autres.
L'industrie du PC a profité de ce CES 2014 pour se livrer à une véritable orgie d'optimisme sur le projet de Valve…La Steam Box n'était là que pour explorer les domaines du possible en 2013, en 2014, le Steam OS sera finalisé et dès cet instant, une liste de constructeurs proposeront sur le marché la console participative et révolutionnaire…
Pensez-vous donc, un catalogue dématérialisé, des prix bas sur les jeux, des "consoles" dont le positionnement est compris entre 500 et 6000$, la possibilité de mettre les mains dedans et de récupérer tous ses doigts…fini la dictature des méchants Microsoft et cie, une nouvelle ère est en route.
Sur le hardware rien de neuf, sur le software des interrogations.
Pourtant comment s'enthousiasmer réellement sur ce projet qui n'apporte rien de neuf au niveau hardware, comment envisager de jouer sur une plateforme Linux, donc OpenGL alors que DirectX est partout ? Valve a répondu depuis longtemps en produisant sa propre documentation affirmant qu'OpenGL apporte plus de performances que DirectX…y compris sous windows.
Alors pourquoi diable continuons nous, dans le monde du PC, à nous ennuyer avec ce DirectX ? La faute sans doute à la puissance malfaisante de Microsoft, son influence sur les développeurs et surtout, sans doute, à cause de l'argent qui corrompt…et bien non en fait, la réalité c'est que les performances sont très proches et la plupart du temps à l'avantage de l'API Microsoft.
DirectX gardant pour lui une utilisation plus simple, une maîtrise technique plus rapide et une documentation plus détaillée…ce qui évidemment pèse dans le choix des développeurs. Si on se place sur le terrain de DirectX, on pensera aussi à la Xbox One et à son hardware "PC"…il deviendra plus simple et économiquement rentable de développer sur DirectX, on s'assurera la portabilité des jeux Xbox One / PC et vice versa. Mais OpenGL trouve aussi son utilisation dans les Macs, les produits androïd, téléphones, tablettes…son attractivité s'est considérablement renforcée même si je vois mal, au moment où on se parle, un développeur travaillant sur CoD, envisager un portage vers une OUYA ou une tablette. Mais là encore, ne nous projetons pas trop, la vitesse d'évolution des puces utilisées par androïd étant particulièrement impressionnante.
[one_third][/one_third]Il reste cependant la gestion des cores multiples par un noyau Linux, clairement plus efficace…là encore les choses changent même si de nombreux jeux PC viennent encore démontrer que le nombre de cores ne fait pas tout le temps la différence sur les performances.
Le choix de Linux, s'il donne un côté sympathique à la démarche, n'est pas une option dictée par la technologie ou la performance; en même temps, aucune autre alternative n'était vraiment envisageable pour s'affranchir de Microsoft.
Reste le hardware des Steam Machines où on ne trouve évidemment rien de bien nouveau, l'utilisation de la "banque d'organes" PC permettant de disposer de configurations jouables.
Il est intéressant à ce titre de regarder les statistiques livrées par Valve sur le hardware de son parc d'utilisateurs pour savoir sur quoi jouent les gens qui utilisent Steam ( Valve a annoncé en clôture du CES, disposer de 75 millions d'utilisateurs actifs ), en gros la majorité joue sur du dual core, avec une carte vidéo très moyenne ( souvent intégrée )…Il n'est donc pas étonnant de voir une première Steam Machine en i3.
C'est pourtant des fabricants de hardware que vient la meilleure nouvelle pour Valve.
C'est effectivement la mobilisation massive et enthousiaste de ces derniers qui laissent penser que le projet Steam Machine pourrait être un succès. En 2013, à ce même CES, Valve annonçait travailler avec un constructeur local ( Xi3 ), un an plus tard, alors que le prototype est en phase de tests, des noms majeurs de l'industrie viennent apporter leur soutient et présenter leurs machines.
Tout d'abord Nvidia a très tôt indiqué qu'il allait s'employer à accélérer la prise en charge d'OpenGL sur ses cartes et à optimiser ses performances. Plus tardivement, AMD a affirmé que le portage de son API MANTLE sur Linux était une priorité. De son côté Valve a aussi indiqué que SteamOS pourrait tourner avec du graphique intégré Intel. Autant d'éléments pour expliquer une diversité d'offres "hardware" ainsi qu'un grand écart au niveau des prix.
C'est cependant l'énergie et l'enthousiasme d'Alienware qui m'ont le plus surpris.
[one_third][/one_third] La légitimité d'Alienware apporte clairement de l'épaisseur au projet de Valve. Même si certains diront que ce n'est plus le sang des passionnés qui coule dans les veines de la marque, c'est encore plus révélateur pour moi de savoir que le marketing de Dell ( sa maison mère ) a validé une implication massive de la marque avec une stratégie agressive. C'est en effet la première fois que la marque communique et va continuer de communiquer sur un produit qui n'est pas encore présent sur le marché, au risque de se tirer une balle dans le pied sur son business actuel.
Car Alienware est ambitieux sur sa Steam Machine, au point de vouloir y consacrer la majorité de son budget marketing sur 2014 et de programmer un positionnement tarifaire calqué sur ceux de la Xbox One et de la PS4 ( 499 -599€).
Compte tenu des productions PC de l'alien, on se doute que sur les caractéristiques techniques, ça ne va pas jouer petit bras…par contre son agressivité en terme de prix serait une première.
Au final, que penser des Steam machines ?
L'industrie du PC encaisse les mauvais chiffres depuis des années. Des ventes en chute libre, une certaine lassitude des consommateurs devant le manque d'innovation déterminante…tous ces éléments font apparaître le moindre soubresaut ou projet original comme "la" révolution capable de sortir ce marché du coma ( Occulus Rift, Leap Motion, Steam OS…).
L'arrivée des consoles NextGen a renforcé l'inquiétude sur l'avenir du PC.
Ces dernières étant des PC déguisés, connectables et ouverts, le risque de disparition du bon vieux PC musclé semble se rapprocher au profit d'un environnement domestique où la tablette, le smartphone, le PC tout en un et la console se répartiraient les tâches dans l'harmonie connectée la plus totale ( C'est bien entendu chez Microsoft que cette promesse est la plus forte ).
Si l'on souscrit à cette thèse alors la Steam Box ne serait qu'une tentative pour retarder une échéance programmée.
Pourtant de nombreuses personnes pensent que la console ( NextGen, Androïd ou autres ) n'a pas encore tuée le PC, je suis de ceux là.
Tout d'abord car l'arrivée des consoles nextgen est une opportunité. Leur hardware en provenance du monde PC, greffé dans un environnement cloisonné, va demander aux développeur de se creuser la tête. C'est en effet sur des puces PC ( AMD en l'occurrence ) que ces derniers vont plancher et tenter d'en tirer le maximum. Nous ne nous attarderons pas sur la conception des Xbox one et PS4 avec l'APU AMD. Dans le monde du PC, jusqu'ici pour gagner en performances, les développeurs ne pensaient pas "optimisation" mais "upgrade" vidéo.
Dans le cas particulier de la Xbox One, c'est l'api DirectX qui va être utilisée et torturée..la même que celle de nos bons vieux PCs qui pendant ce temps bénéficient de l'évolution technologique des puces. Idem pour l'exploitation de l'architecture multicores des CPU.
Reste AMD avec Mantle qui cherche à donner aux développeurs des outils pour utiliser son architecture CPU/GPU plus en profondeur…on a vu ce que Mantle pouvait donner quand il est utilisé .
Tout cela peut-il profiter aux "consoles" sous SteamOS ? Oui certainement car l'industrie du PC sent le danger mais la restriction majeure reste pour moi le noyau Linux. Cependant les Steam Machines ouvrent la voie et la puissance de certaines marques associées au projet de Valve peut faire la différence.
Je pense néanmoins que Microsoft peut réagir et mettre tout le monde d'accord. Depuis l'annonce de Windows 8, Microsoft a admis avoir délaissé le jeu sur PC et a exprimé de francs regrets sur son focus exclusif Xbox. « Nous étions probablement trop focalisé sur (nos) consoles » avait alors déclaré Phil Spencer, Coporate Vice President du géant. Dans son projet de fusion de ses OS, Microsoft pourrait avoir une carte intéressante à jouer.
Mais la vraie question est : Microsoft veut-il vraiment revenir dans la course ? Si c'est bien lui qui a porté l'industrie du PC pendant des années, aujourd'hui les marques ne veulent plus confier leur destin uniquement au bon vouloir stratégique de Redmond…les Steam Machines seraient alors une première réponse. Compte tenu de la léthargie dans laquelle est le monde du PC depuis des années, ce n'est déjà pas si mal.
Le spectre de Google ne cesse de s'élargir. Du moteur de recherche du début, l'américain couvre maintenant la téléphonie, les tablettes, les OS pour PC, la cartographie, les voitures sans conducteur sans parler des lunettes…Avec Nest Labs, Google va encore plus s'installer dans les foyers en investissant lourdement dans un secteur dont tout le monde parle : "l'internet des objets".
Nest Labs a déjà une certaine notoriété avec son histoire, l'entreprise a en effet pour co-fondateur le père du design de l'iPhone, Tony Fadell.
L'homme est évidemment imprégné de la culture Apple et de l'attention au design et à l'interface des produits technologiques.
La première création de Nest Labs n'est qu'un simple thermostat, objet des plus classique auquel l'équipe de Tony Fadell a apporté sa culture de la simplification et évidemment un design ringardisant profondément ses ancêtres.
Nest Labs a rajouté un détecteur de fumée connecté à son offre, produit juridiquement indispensable aux USA et en Europe…Tout cela ne fait cependant pas vraiment rêver. Cependant quand on sait que Nest est l'une des 3 plus grosses acquisitions de l'histoire de Google ( 3.2Md $ en cash ) , il semble bien évident que les ambitions sont grandes.
La plupart des utilisateurs pensent évidemment à la domotique mais il ne faut pas oublier que pour le moment les objets de Nest ont aussi pour caractéristiques d'être des "sondes" de votre vie domestique. En plus de simplifier l'usage du thermomètre, ces outils permettent une collecte des données fabuleuse, venant encore enrichir les bases de données de Google…
Microsoft a décidé d'accélérer son rythme d'évolution de ses OS. Courant de ce mois d'Avril , à l'occasion de sa conférence BUILD, on devrait en savoir plus sur le futur de Windows avec en premier lieu l'arrivée d'un Windows 8.2 sur le début du premier semestre 2014 et enfin sur son remplaçant, "Threshold" ( que beaucoup nomme Windows 9 ).
Le grand dessein de Microsoft avec THeshold, serait d'unifier les versions hétéroclites de Windows 8 ( entendez par là, Windows Phone, Windows RT, Windows "Xbox"…)
En fin d'année dernière, Julie Larson-Green, responsable des terminaux développés par Microsoft, au cours d'une conversation avec les médias, annonçait que le géant des logiciel avait pour ambition de fusionner tous les OS, permettant ainsi de tirer un trait sur Windows Phone et Windows RT.
La chute des ventes de PC et la concurrence d'androïd sont les préoccupations principales qui sont venues hanter les développeurs pour ce projet.
Pour le moment on ne sait pas grand chose : d'un update majeur de Windows 8 à un OS reprenant l'univers ergonomique de 8 tout en étant en rupture sur sa conception….il faudra attendre au moins le mois d'Avril pour en savoir plus.
Samsung semble donc bien décidé à lancer une nouvelle gamme baptisée Neo
Il y aura donc une Galaxy Tab Neo un Galaxy Note Neo et sans doute d'autres déclinaisons.
Si l'on peut penser que ce Neo sera sans doute une version light du Note 3, il serait cependant plus puissant qu'un Galaxy S4 avec l'utilisation d'un SoC hybride 6 cores Exynos 5260.
Dans les faits, l'écran serait un poil plus petit avec 5,55" tout de même et une définition 720P.
La ram sera castrée avec 1Gb de moins et c'est surtout l'APN qui serait nettement moins performant que celui du Note 3 mais identique au Galaxy Note 2.
Néanmoins pas vraiment de compromis sur la batterie. Un lancement semble être programmé pour Avril.
Lorsque le projet Pebble a été lancé sur Kikstarter, l'engouement a été immédiat pour cette montre connectée.
C'est à ce jour une des plus grosse réussite de kikstarter justement. En 2012, la montre en elle-même a sucité l'intérêt d'un public important avec un constat contrasté : beaucoup de qualités mais des défauts majeurs avec en premier lieu un look massif et austère.
A l'occasion du CES 2014, la version "premium" de la Pebble fait par contre l'unanimité sur ce point ( la première version reste au catalogue avec un prix voisin de 100€.
Cadre acier, bracelet qualitatif et design très masculin, la nouvelle Pebble se rapproche des canons d'une montre que l'one aime proter et non d'un gadget sympa mais laid.
Le coeur de la Pebble lui ne change pas, au niveau de sa conception, seul l'écran est maintenant un Gorilla Glass comme on trouve sur un grand nombre de tablettes, résistant mais ne disposant pas de la solidité d'un verre d'une montre haut de gamme traditionnelle.
L'écran reste malgré tout non tactile et c'est là le seul reproche qui reste à faire à la Pebble car le reste de ses qualités demeurent avec notamment une autonomie excellente par rapport à ses concurrentes : près d'une semaine.
C'est en tout cas ce que laisse penser la carte d'invitation pour le CES 2014 que distribue Parrot à ses invités.
La silhouette laisse clairement entendre qu'un "update" profond de l'AR Drone sera la star du stand français.
Pour mémoire l'AR Drone est un succès commercial et l'année dernière, Parrot avait présenté un module connecté capable de faire remonter les informations des plantes, arbustes et autres diversités botaniques.
Le nouveau gadget avait là aussi fait sensation mais, encore une fois, l'attention des visiteurs continuait à se porter sur l'AR Drone.
Alors que de nombreux drones pilotés par Androïd et IOS arrivent sur le marché, il reste à voir si Parrot va frapper un grand coup…
Annoncé depuis fin septembre, Steam OS équipera la futur tentative de Valve de s’introduire dans nos salons.
Conçu pour les futurs Steam Box, ce système d’exploitation basé sur Linux est disponible en téléchargement depuis ce vendredi, et il est possible à tous les testeurs en herbe d’essayer le système d’exploitation de Valve.
Une aide vous est proposée afin de mener à bien vos investigations. Pour ma part je vais tester ça cette semaine et je vous ferai un petit retour sur mes impressions.
Les articles hebdomadaires des sorties manga étaient en pause depuis très (trop) longtemps. Les voici enfin de retour sur Vonguru ! Nous restons toujours sur un format d’un article par semaine récapitulant un maximum des sorties manga prévues. Si vous souhaitez jeter un œil au dernier article récapitulatif, c’est par ici.
Aller, c’est parti pour les sorties manga de la semaine du 25 novembre au 1er décembre 2024 !
Lundi 25 novembre
Hana Boy’s Love
À 25:00 à Akasaka ; tome 4 par Hiroko Natsuno
À genoux, suppliant d’être aimé ; one-shot par Nonono Yamada
Je ne veux pas rompre ! ; tome 2 par Santaro
L’Échappée Belle ; tome 3 par Mone Sorai
Le temps des adieux ; one-shot par Nishima Nakamichi
En ce moment, énormément de produits sont en promotion à l’occasion de la Black Week et du Black Friday. Pour l’occasion, la marque GoPro ne déroge pas à la règle et propose sa nouvelle GoPro Hero à -17%. Une belle réduction malgré tout. Pour en savoir plus sur la GoPro Hero, n’hésitez pas à consulter notre test et notre article complémentaire à son sujet !
Caractéristiques de la GoPro Hero
Ultra-compact, le modèle ne pèse que 86 g : avec un volume réduit de 35 % et un poids réduit de 44 % par rapport à la Hero12 Black, la Hero est suffisamment petite et légère pour vous suivre dans toutes vos aventures. Emportez là dans votre poche ou votre sac à dos ou capturez des images en la fixant sur votre corps, un équipement, ou en la tenant à la main.
Robuste et étanche jusqu’à 5 m : entièrement étanche et dotée de la durabilité légendaire de GoPro, Hero est prête à capturer vos aventures dans la boue, la neige ou l’eau (jusqu’à 5 m), ou simplement sur le pavé d’une ville que vous explorez.
Écran tactile intuitif : l’écran LCD de Hero vous permet de cadrer parfaitement vos photos, tandis que les commandes tactiles vous permettent de passer d’un mode de capture à l’autre en balayant l’écran et d’ajuster les préférences de la caméra en tapotant dessus.
Options de fixation : les tiges de fixation intégrées de Hero la rendent compatible avec une grande variété de fixations GoPro pour vous aider à réaliser toutes les prises de vue que vous pouvez imaginer. Enregistrez des séquences de type point de vue et revivez des moments incroyables exactement tels que vous les avez vus, ou capturez sous de nouveaux angles inattendus.
Ce qui est inclus : caméra Hero, fixation adhésive incurvée, boucle de fixation et vis moletée, câble USB-C
-17% dès maintenant !
Dès à présent, vous allez pouvoir acquérir la nouvelle GoPro Hero avec une jolie réduction de 17% chez Amazon notamment. Vous la trouverez aussi chez Rakuten ou Le BHV. Cela la ramène donc à 189,99 € au lieu de 229,90 €.
Pour retrouver toutes nos actualités GoPro, c’est par ici.
Alexa continue d’apprendre chaque jour, découvrez ses nouveautés
Aujourd’hui, nous vous proposons comme chaque samedi de découvrir les dernières nouveautés d’Alexa, le désormais célèbre assistant connecté d’Amazon. Pour retrouver tous nos tests, c’est parici que ça se passe. Dernièrement, la firme américaine a d’ailleurs lancé Echo Show 15 dont nous vous parlions plus en détail juste ici. Retrouvez également le test complet des écouteurs Amazon Echo Buds.
Encore plus récemment, nous vous avons proposé le test de l’Echo Pop, mais aussi du nouveau Echo Show 5 et Echo Auto ! Sans oublier plus récemment le test de l’Echo Show 8 3e génération. Plus récemment encore, c’est le Hub qui a fait son arrivée à la rédaction et il y a peu de temps, nous avons accueilli le tout nouveau Echo Spot !
Place maintenant aux nouveautés #203.
Un automne avec Alexa
Il fait froid dehors, Alexa peut vous aider à rendre votre « home sweet home » encore plus chaleureux. Ce mois-ci, les jours raccourcissent mais son stock d’idées reste intact. Entre routines bien-être et astuces relaxantes, elle a de quoi vous aider à maîtriser l’art de l’hibernation.
C’est parti pour un automne cosy !
Un nid douillet comme le cloud d’Alexa
« Alexa, emmène-moi dans l’espace »
Et si je vous disais que vous pouviez faire un voyage lointain en restant confortablement dans votre canapé ? Demandez depuis votre Echo Show ou sur votre Fire TV.
« Alexa, aide-moi à bien dormir »
Déterminez votre chronotype et obtenez les conseils d’un expert du sommeil pour vous aider à mieux dormir.
« Alexa, joue la playlist Spa Day sur Amazon Music »
Une journée spa depuis votre chez-vous ? C’est possible avec cette playlist.
Une routine bien-être de saison
« Alexa, quelle est la pose de yoga du jour ? »
Que vous soyez yogi aguerri ou yogi du dimanche, elle a une pose à vous proposer quotidiennement.
« Alexa, quel est le conseil bien-être du jour ? »
Avec un conseil bien-être par jour, vous allez passer un hiver radieux.
« Alexa, quels sont les légumes de saison ? »
Rien de mieux que de bons légumes de saison pour garder la pêche.
« Alexa, donne-moi une recette de soupe de saison »
Et pour avoir la patate, demandez les recettes qui vont avec !
Des promos sur une large sélection de produits tech !
Avec le Black Friday, Anker Innovations dévoile ses offres promotionnelles exclusives sur une sélection de produits de ses marques phares : Anker, eufy, Nebula et soundcore. Destinées à répondre aux attentes d’un large public, ces promotions couvrent une gamme variée d’accessoires, incluant des caméras de surveillance, des aspirateurs robots, des chargeurs rapides, des batteries externes, ou encore des équipements audio.
Voici les offres Black Friday :
cosmos 4K SE : 1199,99 € au lieu de 1499,99 € — soit 21% de remise
capsule 3 :449,99 € au lieu de 499,99 € — soit 10% de remise
Jusqu’à -30 % sur les traceurs Invoxia à l’occasion du Black Friday
À l’occasion du Black Friday, Invoxia, pionnier européen des traceurs GPS et de santé pour chiens, réduit ses prix du 22 novembre au 2 décembre 2024 sur l’ensemble de ses produits. C’est une occasion à saisir pour sécuriser ses biens et surveiller la santé de ses compagnons à quatre pattes.
Détails de l’offre sur le site d’Invoxia :
● Tracker GPS Classic, 3 ans d’abonnement inclus + pochette, à 109 € au lieu de 141,99 €
● Tracker GPS Pro, 1 an d’abonnement inclus + pochette, à 129 € au lieu de 161,99 €
● Tracker GPS Classic, 3 ans d’abonnement inclus + Mini Tracker GPS, 3 ans d’abonnement
inclus + pochette, à 199 € au lieu de 260,99 €
● Minitailz, 3 ans d’abonnement inclus, à 299 € au lieu de 458,90 €
Détails de l’offre valable sur Amazon :
● 15% sur le Tracker GPS Classic (129,00 €, 3 ans d’abonnement inclus)
● 20% sur le Tracker GPS Pro (149,00 €, 1 an d’abonnement inclus), et le Mini Tracker
(119,00 €, 3 ans d’abonnement inclus)
● 30% sur le Bike Tracker (149,00 €, 3 ans d’abonnement inclus)
Ces offres sont disponibles du 22 novembre au 2 décembre 2024, dans la limite des stocks.
Pour retrouver nos tests et actus concernant la marque Invoxia, c’est par ici.
10:10 Games, en collaboration avec Funko, Inc. et Universal Products & Experiences, ont lancé hier le mode coopératif en ligne pour Funko Fusionsur PC (Steam), et dès la semaine prochaine sur PlayStation 5 et Xbox Series X|S. Ce mode coopératif rassemblant jusqu’à 4 joueurs en équipe, est lancé sur trois des sept mondes principaux de l’histoire de Funko Fusion :
Jurassic World
Hot Fuzz
Battlestar Galactica
Découvrez la liste des mises à jour en vidéo :
Le DLC Invincible Pack est désormais disponible
Atom Eve et Rex Splode sont ajouté en tant que nouveaux personnages jouables dans tous les mondes, y compris le niveau Invincible Cameo. Le pack comprend également deux tenues alternatives : « Alternate Eve », inspirée du look d’Atom Eve dans un univers parallèle de la saison 2 de Invincible, ainsi que le légendaire costume bleu d’Invincible.
Inspirée de la série de bandes dessinées créée par Robert Kirkman et Cory Walker, avec la contribution de Ryan Ottley, Invincible est également une série animée pour adultes saluée par la critique, co-produite par Skybound Animation et Amazon MGM Studios. Cette série à succès fera son grand retour pour une saison 3 sur Prime Video le 6 février 2025.
Les joueurs peuvent également obtenir dès aujourd’hui Trap Jaw en tant que DLC gratuit pour Funko Fusion. Ce nouveau personnage jouable, issu de Masters of the Universe, est disponible sur Steam, PlayStation 5 et Xbox Series X|S.
Ces dernières nouveautés s’ajoutent aux récentes sorties de DLC gratuits, offrant de nouveaux personnages jouables et des tenues bonus, tels que Sun Wukong, le Monstre de Frankenstein, le pack de tenues de Retour vers le Futur, ainsi que le pack bonusJurassic World avec le Dr. Ian Malcolm. Sans oublier le premier DLC payant de Funko Fusion, le pack Bob Ross. Les joueurs peuvent également s’attendre à davantage de contenu excitant, notamment le DLC The Office, annoncé le mois dernier lors du New York Comic-Con.
Funko Fusion est désormais disponible en essai gratuit sur PlayStation 5, permettant aux membres PlayStation Plus Premium de jouer gratuitement dès aujourd’hui pendant deux heures.
Funko Fusion est disponible sur PlayStation 5, Xbox Series X|S, et Steam, avec des éditions physiques pour consoles également disponibles chez certains revendeurs. Le jeu sera lancé en version numérique sur Nintendo Switch et PlayStation 4 le 6décembre 2024, avec des éditions physiques prévues pour début 2025.
PDP lance la nouvelle manette Xbox sans fil REALMz Minecraft – Diamond Print
Turtle Beach Corporation et Performance Designed Products LLC (PDP), annoncent que la manette REALMz – Minecraft Diamond Print est disponible. Parfaite pour les fans de Minecraft sur Xbox Series X|S, Xbox One et Windows PC, cette manette en édition limitée se situe entre accessoire et objet de collection. Elle est dotée d’un design unique inspiré des diamants et le célèbre personnage Steve se trouve dans la poignée. Les fans qui l’achèteront recevront également un code pour obtenir l’objet numérique exclusif Minecraft Time Flies Tee. Conçue pour Xbox et sous licence officielle des studios Mojang, la nouvelle manette sans fil REALMz – Minecraft Diamond Print pour Xbox et PC est commercialisée au prix de 79,99 € exclusivement sur www.pdp.com et www.turtlebeach.com.
« Notre manette sans fil REALMz – Minecraft Diamond Print est le cadeau idéal pour les fans de Minecraft et les joueurs sur Xbox et PC », a déclaré Cris Keirn, PDG de Turtle Beach Corporation. « Il s’agit d’une nouvelle collaboration avec l’une des plus grandes marques de divertissement au monde, et nous sommes ravis d’offrir aux joueurs de Minecraft une manette unique en son genre, dont le design reprend le personnage emblématique du jeu, Steve. »
Les gamers et les fans de Minecraft sur Xbox Series X|S, Xbox One et les PC peuvent désormais plonger dans l’univers immersif de leur jeu préféré, comme Minecraft :Java & Bedrock, avec la nouvelle manette sans fil Minecraft. En plus de son design unique inspiré des diamants et de la figurine de Steve à collectionner située dans la poignée, la REALMz – Minecraft Diamond Print est légère et ergonomique. Son look transparent est agrémenté d’éclairages LED personnalisables qui peuvent être ajustés à l’aide des boutons ABXY. Elle dispose d’une autonomie de 40 heures, d’une portée sans fil de 9 mètres, et de deux moteurs de vibrations et de gâchettes à impulsion. Elle est aussi dotée d’une prise audio intégrée de 3,5 mm et de commandes audio au pavé directionnel brevetées pour le réglage du volume, l’équilibrage du son du jeu et du chat, et la mise en sourdine du micro. Il est possible de remapper les boutons, reconfigurer les gâchettes, ajuster les zones mortes, et mettre à jour le micrologiciel en utilisant l’application gratuite PDP Control Hub sur Xbox et PC.
Pour plus d’informations sur les derniers produits et accessoires PDP, rendez-vous sur les sites www.pdp.com et www.victrixpro.com.
Black Friday du 22 novembre au 02 décembre sur une large gamme de produits Konyks
Vous l’aurez compris, l’heure est au Black Friday, et la marque française Konyks que nous apprécions beaucoup vous a préparé une sélection à ne pas louper !
C’est avec une immense joie que l’éditeur Ki-oon annonce que Gou TANABE sera l’invité d’honneur de la prochaine édition du Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême, qui aura lieu du 30 janvier au 2 février 2025 !
L’auteur des ouvrages de la splendide collection Les chefs-d’œuvre de Lovecraft sera présent sur le stand Ki-oon pour des séances de dédicaces et fera une masterclass au théâtre de la ville le jeudi 30 janvier.
Mais ce n’est pas tout ! Rendez-vous à l’espace Franquin pour une plongée au cœur des œuvres du mangaka grâce à une incroyable exposition, Gou Tanabe x H.P. Lovecraft : visions hallucinées.
Vous pourrez y découvrir les méthodes de travail de Gou TANABE ainsi que ses interprétations des grands récits de H. P. Lovecraft, plus d’une centaine de dessins originaux et d’extraits des textes originels seront ainsi présentés à travers une scénographie monumentale …
Restez connectés, d’autres surprises et d’autres détails arrivent très vite !
Prochaine sortie de Gou TANABE : Les Chats d’Ulthar
(Gou TANABE, seinen, 15 x 21 cm, one-shot, 18 euros)
À Ulthar, les chats sont omniprésents. Ils envahissent ses rues et observent ses habitants… Personne n’a le droit de s’en prendre à eux depuis qu’un terrible événement a prouvé leur esprit de vengeance…
Barzai, savant respecté de la ville, est à l’origine de cette règle hors du commun. Mais nul n’est à l’abri de l’orgueil, pas même le plus sage des hommes. Obsédé par la connaissance, il brise tous les tabous, quitte à s’attirer la colère des dieux…
Kuranès, lui, est possédé par le rêve de la fabuleuse cité imaginaire de Céléphaïs. Pour l’atteindre, il est prêt à tout, même à risquer le sommeil éternel…
Après le mythe de Cthulhu, découvrez trois nouvelles du cycle du rêve par le maître de l’occulte, H. P. Lovecraft ! Ici, les hommes sont les artisans de leur propre malheur… Noirceur d’âme, hubris ou illusion, peu importe la raison : la défaite est inéluctable face aux esprits qui régissent le monde !
La manette est disponible au prix de 59,99 € sur www.pdp.com et chez les revendeurs partenaires, tandis que l’étui de transport pour la console nipponne est affiché au prix conseillé de 19,99 €.
On retrouvera sur la face avant de la manette un beau visuel de cette dernière avec le fantôme apeuré de jour et un petit aperçu de son rendu de nuit. On notera au passage qu’il s’agit d’une manette officielle puisque la mention Nintendo Switch en haut à gauche est présente, sans oublier celle concernant Super Mario dont est tiré le personnage. À l’arrière on retrouvera ses principales caractéristiques, le tout en 6 langues.
La marque mettra ici également en avant ses réseaux sociaux et indiquera la présence d’un câble pour réaliser la charge de la manette. À droite et à gauche pour terminer, nous aurons un visuel de jour d’un côté et de nuit de l’autre.
Parlons maintenant de l’étui de transport qui arrive sur la même charte graphique au niveau de son emballage. Là encore, on retrouvera sur la face avant de la manette un beau visuel de cette dernière avec le fantôme apeuré de jour et un petit aperçu de son rendu de nuit. On apprendra également au passage qu’il s’agit d’un étui compatible avec tous les modèles de Nintendo Switch, un bon point !
À l’arrière, en 5 langues, on nous indiquera que la conception est unique et phosphorescente, que le support intégré soutient l’appareil pour jouer en déplacement, qu’il dispose de plusieurs poches de rangement pour accessoires et pour finir, qu’il est fabriqué à partir de matériaux recyclés.
Refaisons un tour du côté de la manette. Dotée d’une autonomie de 40 heures, elle accompagnera les joueurs lors de longues sessions. Elle dispose également de capteurs de motion control, d’une portée sans fil à faible latence de 9 mètres, et de deux boutons arrière programmables.
En revanche, elle ne dispose pas de la fonction de vibration présente sur les manettes officielles de Nintendo, une limitation fréquente dans les modèles de fabricants tiers. Pour une personnalisation supplémentaire, la Boo Hoo inclut deux boutons arrière programmables. Leur configuration est simple : il suffit de maintenir un bouton « fonction » tout en appuyant sur un des boutons arrière pour le configurer avec une commande au choix.
La manette sans fil Boo Hoo est décorée avec des motifs vraiment uniques qui brillent dans le noir après avoir été exposés à la lumière, ce qui me rappellent beaucoup les étoiles que l’on mettait sur le plafond de nos chambres enfants ! (Et que mon fils a également).
L’étui repose sur l’exacte même concept et est également très joli. On pourra mettre sa Lite et sa Nintendo « classique » sans problème. Elle est légère, pratique, en plus d’être originale. Elle est aussi très appréciée des enfants de la maison.
Pour rappel, la manette est disponible au prix de 59,99 € sur www.pdp.com et chez les revendeurs partenaires, tandis que l’étui de transport pour la console nipponne est affiché au prix conseillé de 19,99 €.
Profitez d’une connexion Internet rapide dans toute la maison à prix réduit avec devolo
Magic 2 WiFi 6 Adaptateur d’extension
Avec l’adaptateur d’Extension Magic 2 WiFi 6, vous étendez votre réseau domestique Magic avec l’adaptateur CPL le plus rapide du moment. La vitesse maximale du CPL peut atteindre 2.400 Mbps et la performance du WLAN jusqu’à 1.800 Mbps.
Offre spéciale : 180,40 € au lieu de 189,90 €, disponible sur Amazon.
Magic 2 WiFi next Adapteur d‘Extension
Grâce à l’excellente technologie CPL, la pleine puissance de votre connexion Internet est transmise directement dans chaque pièce via les câbles électriques avec un débit pouvant atteindre 2.400 Mbps. Par WLAN, l’adaptateur devolo émet jusqu’à 1.200 Mbps. Chaque prise de courant devient ainsi un point d’accès WLAN pour un Multiroom-WiFi performant.
Offre spéciale : 105,81 € au lieu de 139,90 €, disponible sur Amazon.
devolo Magic 2 WiFi 6 Multiroom Kit
Le premier adaptateur CPL WiFi 6 au monde est également le plus rapide et donne un coup d’accélérateur à votre connexion WiFi à la maison ! Avec des performances WiFi 50 % supérieures à celles de n’importe quel autre adaptateur CPL WiFi 5, chaque utilisateur profite du haut débit atteignant 1.800 Mbps. Grâce à l’OFDMA (Orthogonal Frequency-Division Multiple Access), les canaux de fréquence sont utilisés de manière flexible, avec à la clé la meilleure connexion WiFi possible pour tous, que ce soit pour l’envoi ou la réception des données, même lorsque plusieurs personnes utilisent le WiFi simultanément.
Offre spéciale: 408,40€ au lieu de 429,90€ sur Amazon.
Pour retrouver tous nos articles et actus sur la marque, c’est par ici.
Tineco propose aussi de jolies promotions à l’occasion du Black Friday 2024
Tineco revient avec des promotions exceptionnelles pour le Black Friday. Du 21 novembre au 2 décembre, profitez d’offres sur une sélection de produits innovants. Ce rendez-vous incontournable est l’occasion idéale pour équiper votre maison tout en faisant des économies. Découvrez sans attendre les promotions exclusives de la marque !
Floor One S7 Pro
Le Floor One S7 Pro offre un nettoyage optimisé grâce à sa capacité à aspirer et à laver simultanément. Des fonctions avancées, telles que le système d’autopropulsion SmoothPower, le nouveau rouleau-brosse double face et la technologie iLoop Smart Sensor, offrent une facilité d’utilisation optimale, complétée par un cycle d’auto-nettoyage complet pour un entretien simple et efficace.
Avec une maniabilité exceptionnelle et la capacité de s’attaquer aux salissures humides ou sèches, le Floor One Stretch S6 est un outil indispensable pour tous les ménages. Spécialement conçu pour nettoyer les zones difficiles d’accès, il est doté d’un système d’inclinaison à 180° qui permet à l’aspirateur de rester complètement à plat et d’un système de nettoyage des bords sur trois côtés qui ne laisse aucun coin non nettoyé. Après utilisation, son système d’auto-nettoyage FlashDry élimine les problèmes d’entretien manuel en lavant et en séchant l’ensemble de l’appareil, du rouleau à chaque composant interne.
Avec sa brosse motorisée 3DSense intégrant les technologies DustSense, EdgeSense et LightSense, l’efficacité du nettoyage du Pure One A50S est boostée de 66 %, pour des sols impeccables. Doté d’une puissante aspiration de 185W, il capture sans effort poussière, poils d’animaux et gros débris grâce à son système ClogLess, qui évite les blocages. Sa technologie ZeroTangle démêle automatiquement les cheveux pour un entretien simplifié. Enfin, avec une autonomie de 70 minutes et un grand bac à poussière de 1L, le Tineco A50S Plus est votre allié pour un nettoyage continu et sans compromis.
Grâce à sa double fonction d’aspiration et de nettoyage humide, le Floor One S5 élimine efficacement les tâches collantes, les poils d’animaux et la poussière en une seule opération. Conçu pour les sols durs, cet aspirateur-balai sans fil est équipé d’un écran LED intuitif et d’un guide vocal pour une expérience utilisateur optimisée. Sa batterie longue durée de 35 minutes et sa puissance de 220 watts permettent de nettoyer de grandes surfaces sans interruption. De plus, ses rouleaux autonettoyants simplifient l’entretien, tandis que le filtre HEPA garantit une filtration optimale. Livré avec une gamme complète d’accessoires, notamment des rouleaux de brosse, une solution de nettoyage et un support d’accessoires, le Floor One S5 est votre allié incontournable pour un sol impeccable, sans effort.
Avec une aspiration puissante de 175W et une autonomie impressionnante de 70 minutes, le dernier Pure One Station 5 de Tineco s’impose comme un incontournable pour un nettoyage efficace et sans effort. Équipé d’une brosse ZeroTangle, il élimine facilement les cheveux et les grosses saletés, tout en protégeant vos sols grâce à son système de filtration HEPA à 6 niveaux. Sa capacité de 3 litres et son autonettoyage intelligent offrent une expérience pratique et hygiénique, complétée par une station d’aspiration et une charge sans fil. Un appareil pensé pour répondre à tous vos besoins domestiques.
Black Friday de Dreame : jusqu’à 400 € de réduction sur les produits les plus vendus
Dreame Technology est ravi de donner le coup d’envoi de sa plus grande vente du Black Friday : jusqu’à – 400 € sur des produits pour l’entretien de la maison ! Du 21 novembre au 2 décembre, Dreame propose des réductions imbattables sur ses best-sellers : aspirateurs robots, aspirateurs laveurs, aspirateurs-balais sans fil, tondeuses à gazon et sèche-cheveux.
Disponible sur le site officiel de Dreame, Amazon, Boulanger, Darty, Cdiscount, etc. C’est l’occasion rêvée de rafraîchir sa maison avec une technologie de pointe à un prix fantastique.
Offres à ne pas manquer du 21 novembre au 2 décembre 2024 :
Robots aspirateurs
Robot aspirateur-laveur Dreame X40 Ultra Complete: 1 099€ au lieu de 1 499€ (-400€ ou -27%).
Amazon présente l’Echo Show 21, son Echo Show le plus grand à ce jour, et un tout nouvel Echo Show 15
Ces nouveaux appareils offrent une meilleure qualité audio que l’Echo Show 15 original, offrant un son puissant et imposant, le double de basses et une technologie d’adaptation à la pièce. Nous avons également modifié la caméra à cadrage automatique pour améliorer les appels vidéo. Elle permet d’offrir un champ de vision plus de deux fois plus grand et un zoom 65 % supérieur à celui de l’Echo Show 15 de première génération. Ainsi, vous restez toujours dans le cadre pendant les appels vidéo, même lorsque vous vous déplacez dans votre cuisine. De plus, Amazon a ajouté une technologie de réduction du bruit pour que les appels avec vos proches soient encore plus clairs, peu importe ce qui se passe en arrière-plan.
Les Echo Show 15 et 21 simplifient la gestion de votre maison connectée. Les deux appareils sont dotés d’un hub domotique intégré, ils sont compatibles Matter et peuvent se connecter directement aux appareils Wi-Fi, Thread et Zigbee. Ils peuvent également contrôler une gamme d’appareils localement, tels que les ampoules connectées, les interrupteurs et les prises, pour un temps de réponse encore plus rapide. De plus, il s’agit des premiers appareils Echo équipés du Wi-Fi 6E, ce qui améliore l’expérience de diffusion de vidéos et de musique sur Fire TV.
Voici quelques-unes des principales façons dont l’Echo Show 15 et l’Echo Show 21 peuvent vous aider à organiser votre journée :
L’organisation du foyer en un coup d’œil
Les Echo Show 15 et 21 simplifient le quotidien de toute la famille. Choisissez parmi les meilleurs widgets qui affichent en permanence les informations les plus importantes pour votre foyer, comme la liste de course, la liste des tâches ou le calendrier familial. Les utilisateurs ont déjà créé et géré plus d’un milliard d’événements dans leurs calendriers avec Alexa.
Votre écran de cuisine connecté et votre centre de divertissement audio
Les utilisateurs adorent utiliser leur Echo Show 15 pour diffuser des films et des épisodes de séries à partir de leurs apps Fire TV préférées telles que Netflix, Disney+ et YouTube, et pour suivre les actualités matinales de leurs sources privilégiées en prenant leur petit déjeuner. Le grand écran de l’Echo Show 21 améliore encore cette expérience. Les utilisateurs d’Echo Show 15 regardent déjà 7 fois plus de vidéos par mois que sur tout autre appareil Echo Show, et ils regardent même plus de contenu cette année que l’année dernière. Consultez votre liste de vidéos favorites et accédez rapidement à vos applications préférées, directement depuis l’écran d’accueil. Vous pouvez même commencer à regarder Prime Video sur votre Echo Show 15 ou 21 pendant que vous préparez le dîner et passer facilement sur votre télévision équipée de Fire TV dans le salon pour terminer en mangeant.
La fonctionnalité « Musique et Plus » permet d’afficher votre musique préférée, vos podcasts et vos contenus radio issus de différents fournisseurs, le tout en un seul endroit.
Un beau cadre photo qui s’intègre naturellement à votre intérieur
Avec leurs grands écrans, ces appareils ressemblent à de superbes cadres photo fixés au mur et se fondent naturellement dans le décor de votre maison. Ils sont idéaux pour mettre en valeur vos souvenirs de famille ou une sélection d’œuvres d’art. Il suffit de dire « Alexa, mets mon cadre photo » pour transformer votre écran d’accueil en un élégant diaporama numérique plein écran. De plus, les membres Prime bénéficient d’un stockage illimité de photos en haute résolution avec Amazon Photos.
Maison connectée, mode de vie plus intelligent
Des millions de nos utilisateurs dans le monde ont une maison connectée et possèdent plus de 20 appareils connectés à Alexa et l’utilisent pour contrôler ces appareils plus d’un milliard de fois par semaine. Grâce au nouveau hub domotique intégré, les Echo Show 15 et 21 facilitent la configuration et le contrôle des appareils compatibles, via la voix ou en touchant simplement le tableau de bord « Maison Connectée ». Allumez facilement toutes les lumières de votre salon en même temps, visualisez les flux des caméras, etc.
Restez en contact avec votre famille et vos amis
Les clients du monde entier utilisent les fonctionnalités de communication Alexa des milliards de fois par an. Grâce à la caméra améliorée et la nouvelle technologie de réduction du bruit, les appels de groupe avec la famille et les amis sont encore de meilleure qualité, que vous appeliez rapidement pour demander des nouvelles ou que vous fassiez plusieurs tâches à la fois lorsque vous vous déplacez dans la cuisine. Vous pouvez également utiliser ces appareils pour jeter un œil à votre maison ou à vos animaux de compagnie pendant que vous êtes absent pour la journée.
Prix et disponibilité
L’Echo Show 15 (329,99 €) et l’Echo Show 21 (439,99 €) sont désormais disponibles et sont livrés avec une télécommande vocale Alexa et un équipement de montage mural. Vous pouvez personnaliser davantage votre appareil pour l’adapter à votre décoration intérieure avec des accessoires : des cadres marron clair ou blanc qui s’enclenchent sur les bords (39,99 € pour Echo Show 15 et 43,99 € pour Echo Show 21), ainsi qu’un support réglable premium (109,99 €).
Pour retrouver tous nos tests de la gamme, c’est par ici.
Black Friday – Jusqu’à 30% de remise du 21 novembre au 15 décembre avec XGIMI
Depuis 2013, les vidéoprojecteurs XGIMI à la pointe de la technologie ont aidé d’innombrables personnes dans le monde à créer des expériences audiovisuelles véritablement immersives. En collaboration avec des partenaires réputés tels que Google, Harman Kardon et Texas Instruments, XGIMI construit des appareils de divertissement tout-en-un, perfectionnés grâce à leur philosophie axée sur l’utilisateur.
Grâce à une innovation de pointe, des configurations simplifiées et des conceptions uniques, XGIMI s’efforce toujours de développer les meilleurs vidéoprojecteurs domestiques et portables pour le plaisir de tous.
Profitez de réductions exceptionnelles sur la gamme de vidéoprojecteurs XGIMI, en vente exclusivement sur Amazon du 21 novembre au 15 décembre.
Que vaut le nouveau Amazon Kindle (11e Gen) 2024 ?
Le mois dernier, Amazon a annoncé sa toute nouvelle gamme de liseuses Kindle. Parmi eux a été dévoilé le Kindle 11e Gen, le plus compact, disponible en noir et en vert Matcha. Pesant seulement 158 g, le nouveau Kindle entrée de gamme est suffisamment petit pour tenir dans la main ou dans la poche arrière, et il est muni de fonctionnalités Kindle de bases que nous allons décrypter ensemble.
Il est désormais disponible à partir de 109,99 € pour la version avec publicité. Il faudra rajouter 10 € pour la version sans.
Place au test !
Unboxing
On recevra ici une boîte en carton recyclé toute simple, avec sur la face avant un visuel du modèle, certes noir, mais avec la mention de la couleur choisie, à savoir ici vert matcha. En haut à gauche on retrouvera le nom de la marque, Amazon, et au milieu le modèle, à savoir le 11e génération et ses 16 Go de stockage.
À l’arrière nous retrouverons le contenu de la boîte, ses principales caractéristiques techniques, sans oublier la mention indiquant qu’il n’y a pas de chargeur à l’intérieur, mais nous commençons à avoir l’habitude avec les Kindle. Pour le détail, ça se passe comme d’habitude à la page suivante.
Caractéristiques techniques
Écran
Écran Amazon 6” avec éclairage intégré ; 300 ppp ; technologie d’affichage de polices optimisée ; 16 niveaux de gris.
Dimensions
157,8 x 108,6 x 8,0 mm. Ces dimensions correspondent à la taille totale de l’appareil.
Poids
158 g. Les dimensions et le poids exacts peuvent varier selon la configuration et le processus de fabrication.
Configuration requise
Aucune ; l’appareil est sans fil et aucun ordinateur n’est requis pour le téléchargement de contenu.
Stockage sur l’appareil
16 Go ; peut contenir des milliers de livres.
Stockage dans le Cloud
Stockage gratuit dans le Cloud pour tout le contenu Amazon.
Autonomie de la batterie
Une seule charge permet une autonomie allant jusqu’à six (6) semaines, avec la connexion sans fil désactivée et la luminosité réglée sur 13, à raison d’une demi-heure de lecture par jour. L’autonomie de la batterie peut varier en fonction de l’utilisation, notamment en fonction des paramètres d’éclairage et de l’utilisation de la connexion sans fil.
Temps de charge
Charge complète en moins de 2 heures via un adaptateur secteur USB-C 9 W.
Connectivité Wi-Fi
Prend en charge les réseaux 2,4 GHz et 5,0 GHz avec prise en charge des protocoles de sécurité WEP, WPA, WPA2, WPA3 et OWE utilisant l’authentification par mot de passe ou le standard Wi-Fi Protected Setup (WPS). Ne prend pas en charge la connexion à des réseaux Wi-Fi ad-hoc (ou peer-to-peer).
Le Kindle le plus léger et compact de la gamme : désormais avec un éclairage avant encore plus lumineux (réglé au maximum), un contraste plus élevé et des changements de page plus rapides pour une expérience de lecture améliorée.
Lecture sans effort, quelle que soit la luminosité : lisez confortablement grâce à l’écran antireflets 6″, à l’éclairage avant réglable (désormais 25 % plus lumineux lorsqu’il est réglé au maximum) et au mode sombre.
Évadez-vous au fil des pages : déconnectez-vous de vos messages, e-mails et réseaux sociaux, et profitez d’une expérience de lecture sans distractions.
Lisez un long moment : profitez d’une autonomie allant jusqu’à 6 semaines avec une seule charge.
Emportez votre bibliothèque avec vous : avec 16 Go de mémoire, votre Kindle peut stocker des milliers de livres, magazines et bandes dessinées.
Découvrez de nouvelles histoires : avec l’abonnement Kindle, accédez à des millions de livres, des milliers de livres audio et une sélection d’abonnements magazines.
Conçu dans un souci de durabilité : 75 % des plastiques et 90 % du magnésium utilisés dans la fabrication de ce Kindle proviennent de filières de recyclage, et 99 % de son emballage est à base de fibre de bois issue de forêts gérées de manière responsable ou de filières de recyclage.
Au quotidien, j’utilise toujours la dernière Oasis, qui date déjà de 2019 ! J’ai donc été un peu surprise de revenir à un modèle de ce format, bien que cela fut (presque) celui de ma toute première liseuse, il y a un peu moins de 10 ans.
Notre Kindle 11e Gen est donc doté d’un écran antireflet de 300 ppi qui permet désormais un changement de page plus rapide, un taux de contraste plus élevé et un éclairage avant 25 % plus lumineux lorsqu’il est réglé au maximum, c’est-à-dire, selon Amazon, aussi lumineux que celui du nouveau Kindle Paperwhite. Toujours côté écran nous serons ici sur un format 6″ antireflets que j’ai trouvé particulièrement agréable.
Le Kindle 11e Gen se présente dans une nouvelle couleur vert Matcha fraîche et originale, offre des semaines d’autonomie avec une seule charge et dispose de 16 Go de stockage pour contenir des milliers de livres, ce qui en fait l’appareil idéal pour lire où que vous soyez.
À l’ouverture, ma première pensée fut « Oulala, c’est trop petit ». Oui, je viens d’une liseuse gamme Oasis, pour rappel. Derrière moi mon mari, qui utilise tous les jours la BOOX Note Air3 C, en somme, une tablette, hein, vu le format, m’a dit « Oulala, c’est trop petit » (lit-il dans mes pensées ?) Et puis, après avoir mis en route le Kindle, l’avoir manipulé et démarré un livre, regardé un peu ses paramètres, non, ce n’est pas trop petit. Elle tient dans la main, elle ne tombe PAS sur mon nez lorsque je lis le soir tard au fond de mon lit. Elle est légère, compacte, fine et parfaite pour les petites mains.
Elle est simple, et avons-nous toujours besoin d’une liseuse à multiples gadgets, touches, fonctionnalités ? Eh bien, je ne crois pas.
Vous pourrez vous connecter à votre Wi-Fi dès l’installation et vous connecter également à votre compte Amazon. De là, vous aurez accès à votre bibliothèque existante (si vous en avez une). Vous aurez également la possibilité de faire le choix de l’abonnement Kindle afin d’accéder à des millions de livres. Vous aurez d’ailleurs 14 jours d’essai gratuit et ensuite, ce service vous sera facturé 9,99 € / mois.
Côté publicité, vous aurez toujours la possibilité, si vous avez acheté la version avec pub, de les enlever moyennant finance. Je préfère et de loin de mon côté payer 10 € de plus et ne pas avoir de publicité, d’autant plus si vous n’avez pas d’étui de protection qui cache votre écran lorsqu’il est en veille. Pour cela, voici la marche à suivre
Sélectionnez Appareils, puis sélectionnez votre liseuse Kindle ou votre tablette Fire.
Sous Offres spéciales, cliquez sur Supprimer les offres. Une fenêtre contextuelle affiche alors le prix de la suppression des publicités. Sélectionnez Mettre fin aux offres et payer les frais pour continuer.
Vous aurez la possibilité de choisir le mode sombre, c’est-à-dire, d’inverser le blanc et le noir selon vos besoins. Toujours côté fonctionnalités, on appréciera la configuration pour les enfants ici, très utiles pour l’apprentissage de la lecture par exemple et suivre la progression de chacun.
Côté autonomie, je n’ai pas réussi à venir à bout de la batterie. En effet, on nous parle de 6 semaines avec une seule charge complète. Après avoir lu de longues heures « Le Charme Discret de l’Intestin », car oui je ne l’avais encore jamais lu !!! Je n’ai réussi à tomber la barre à plus de 90 %. Il va donc se passer un long moment avant d’avoir besoin de la recharger, pour rappel, muni de son câble USB-C, une vraie petite révolution tant ce port s’est démocratisé au fil des années.
Conclusion
Nous sommes ici sur le Kindle 11e Gen le moins cher de sa gamme, le plus compact mais aussi le plus simple et le plus basique. Il conviendra donc aux moins exigeants d’entre nous mais aussi à toutes les bourses. Cela fait de lui également une excellente idée cadeau. Il se glisse partout, même dans une poche arrière de jean. Extrêmement léger, on ne se fatigue pas à la lecture, même lors de longues sessions et même en lisant par exemple, dans des positions tout à fait improbables au fond de son lit.
Pour nous, c’est donc un VG d’or. Pour rappel, vous le retrouverez à partir de 109,99 € pour la version avec publicité. Il faudra rajouter 10 € pour la version sans.
Profitez de réductions exceptionnelles sur le chauffage intelligent tado° X pendant le Black Friday : jusqu’à 50 % de réduction
Kit de démarrage à 99,99 € – soit 50% de réduction
Faites passer votre chauffage de « simplet » à ultra intelligent grâce au kit de démarrage tado° Thermostat Intelligent X pour moins de 100 €, soit 50 % de réduction sur le prix habituel. Le kit de démarrage comprend un Thermostat Intelligent X et le routeur de bordure Thread Bridge X.
Tête Thermostatique Intelligente X – Pack Trio à 149,99 € – soit 45% de réduction
La Tête Thermostatique Intelligente X est désormais également équipée d’une batterie facilement amovible qui se recharge à l’aide d’un câble USB-C, ce qui permet d’éviter les tracas et les dépenses liés au changement des piles et signifie que le boîtier principal n’a pas besoin d’être déconnecté du radiateur.
La Tête Thermostatique Intelligente X dispose également d’une sécurité enfant. Le Pack Trio Tête Thermostatique Intelligente X coûte habituellement 274,99 €.
Contrôle Connecté et Intelligent de la Climatisation V3+ avec support à 59,99 € – soit 48% de réduction
tado° permet aux ménages d’être aussi intelligents dans le contrôle de leur climatisation que dans le contrôle de leur chauffage grâce au Contrôle Connecté de la Climatisation V3+. Il fonctionne avec n’importe quel climatiseur ou pompe à chaleur domestique doté d’une télécommande infrarouge qui affiche les paramètres actuels, garantissant aux familles la possibilité de garder leur espace plus frais.
Grâce à la programmation et aux fonctions intelligentes telles que la détection automatique de présence et d’absence via la géolocalisation et la détection de fenêtre ouverte, le contrôle intelligent de la climatisation tado° refroidit une maison uniquement lorsque cela est nécessaire et contribue aux économies d’énergie. Les produits V3+ ne sont pas compatibles avec la gamme tado° X.
Le manga Watch Dogs Tokyo est disponible chez Pika !
Si vous êtes un fan de jeux vidéo mais aussi de mangas, vous serez peut-être heureux d’apprendre la sortie d’une nouveauté qui plaira aux deux communautés. Effectivement, Pika éditions, en collaboration avec Ubisoft, viennent tout juste d’éditer Watch Dogs Tokyoinspiré du fameux jeu vidéo, du même nom. Il est disponible dès aujourd’hui en librairie.
Watch Dogs Tokyo en librairie dans la collection Pika Seinen
« L’adaptation officielle en manga du jeu vidéo Watch Dogs® développé par Ubisoft !
Lorsque le gouvernement japonais introduit J-ctOS, un logiciel développé par la corporation Blume Japan, le quotidien de la société change radicalement. Seulement, la population n’est pas consciente que cette technologie d’un genre nouveau risque de la priver de sa liberté… Face à ce système invasif et corrompu, un groupe de hackers de l’ombre appelé Dedsec, décide d’agir pour révéler au grand jour cette machination. Gôda, un agent de police avide de justice, se prend alors peu à peu dans une toile morale qui le dépasse…
Face aux corporations tokyoïtes corrompues, le piratage est leur arme ! »
Disponible dès maintenant
Watch Dogs Tokyo est disponible dans toutes les librairie dès à présent. Il s’agit d’un manga dessiné par Kamo Syuhey et scénarisé par Seiichi Shirato. En France, il est traduit par Jean-Benoît Silvestre. Nous avons ici affaire à un livre classique mesurant 130 x 180 mm et au tarif de 8,20 €.
La série est déjà terminée au Japon. Chez nous, un nouveau tome sera édité tous les trois mois. En théorie, l’intégrale devrait donc être accessible d’ici milieu d’année 2025.
En attendant de pouvoir vous le procurer, vous pouvez découvrir un extrait de ce nouveau manga en cliquant ici.
Phantom Busters : un problème de spectre ? Appelez-les !
En avril prochain, les éditions Ki-oon vous invitent à suivre le quotidien survolté de quatre lycéens que rien ne lie à part… les esprits ! Le premier peut les voir, le deuxième peut les entendre, le troisième peut les manger et le dernier refuse tout simplement d’y croire : ils se complètent à merveille et, ensemble, ils vont créer un club pour les traquer. Bienvenue dans l’univers de Phantom Busters !
La nouvelle génération de chasseurs de fantômes est dans la place ! Ils sont beaux, ils sont funs, ils sont jeunes et… entre 2 mangas et 2 heures de cours, ils s’en vont faire leur fête aux spectres !
Avec Phantom Busters, Neoshoco nous offre un manga moderne, frais et décalé, aux héros d’un charme foudroyant ! Une comédie surnaturelle à la sauce exorciste totalement déjantée qui nous rappelle à quel point l’amitié peut tout changer.
Laissez-vous entraîner par 4 beaux gosses dans le vent aussi gauches que courageux : Phantom Busters, en librairie le 3 avril 2025 !
Phantom Busters – Sortie du tome 1 le 3 avril 2025
(Neoshoco, shonen, 6,95 euros, série en cours)
Eugene Korekishi s’apprête à intégrer le lycée de Kamakura, ville du Japon réputée pour ses phénomènes paranormaux. En petit génie des sciences, il ne croit pas à ces légendes… jusqu’à ce qu’il soit attaqué par un spectre le lendemain de la rentrée ! Il est sauvé de justesse par deux camarades : Mogari, un adolescent capable de dévorer les ectoplasmes, et Kaoru, médium sensible aux esprits.
Si Mogari, descendant d’une illustre famille d’exorcistes, a pu quitter son village perdu dans les montagnes, c’était à condition de chasser les fantômes à Kamakura… Mais il a surtout envie de profiter de ses années lycée ! Pour joindre l’utile à l’agréable, il décide de fonder avec Eugene et Kaoru un club d’activité secret : les Phantom Busters !
Spectres et autres esprits n’ont qu’à bien se tenir ! Entre deux cours, les Phantom Busters enchaînent actes de bravoure et gaffes d’amateurs… Occultisme, action et humour se bousculent dans ce titre totalement déjanté !
Aujourd’hui, nous sommes mercredi, jour des sorties cinéma. Que vous soyez amateur de comédies, de frissons, de drames, ou encore d’animation, suivez le guide de Vonguru et retrouvez, comme chaque semaine, le récapitulatif des sorties cinéma à ne pas manquer.
Inconditionnels des salles obscures, c’est par ici que cela se passe. Au programme : Diamant Brut, La plus précieuse des Marchandises, Le Panache, et Hayao Miyazaki et le héron.
Pour connaître les sorties de la semaine dernière, c’est par là !
Sorties cinéma du mercredi 20 novembre 2024
Sortie cinéma – Diamant Brut
De Agathe Riedinger – Avec Malou Khebizi, Idir Azougli, Andréa Bescond / Genre : Drame
Synopsis – Liane, 19 ans, téméraire et incandescente, vit avec sa mère et sa petite sœur sous le soleil poussiéreux de Fréjus. Obsédée par la beauté et le besoin de devenir quelqu’un, elle voit en la télé-réalité la possibilité d’être aimée. Le destin semble enfin lui sourire lorsqu’elle passe un casting pour « Miracle Island ».
La plus précieuse des Marchandises
De Michel Hazanavicius – Avec Jean-Louis Trintignant, Dominique Blanc, Denis Podalydès / Genre : Animation, Drame, Historique
Synopsis – Il était une fois, dans un grand bois, un pauvre bûcheron et une pauvre bûcheronne. Le froid, la faim, la misère, et partout autour d´eux la guerre, leur rendaient la vie bien difficile. Un jour, pauvre bûcheronne recueille un bébé. Un bébé jeté d’un des nombreux trains qui traversent sans cesse leur bois. Protégée quoi qu’il en coûte, ce bébé, cette petite marchandise va bouleverser la vie de cette femme, de son mari , et de tous ceux qui vont croiser son destin, jusqu’à l’homme qui l’a jeté du train. Leur histoire va révéler le pire comme le meilleur du cœur des hommes.
Le Panache
De Jennifer Devoldere – Avec Joachim Arseguel, José Garcia, Aure Atika / Genre : Comédie dramatique
Synopsis – Colin, 14 ans, fait son entrée dans un nouveau collège et il flippe : comment s’en sortir quand, comme lui, on est bègue ? Sa rencontre avec Monsieur Devarseau, charismatique prof de français, va le pousser à affronter ses peurs et sortir de son isolement. Maintenant Colin a une bande de copains et un projet : monter sur scène pour jouer Cyrano devant toute l’école.
Hayao Miyazaki et le héron
De Kaku Arakawa – Avec Hayao Miyazaki, Toshio Suzuki / Genre : Documentaire
Synopsis – Hayao Miyazaki ouvre les portes du Studio Ghibli et dévoile les coulisses de la création du Garçon et le Héron. Neuf années d’une création acharnée, où le réalisateur, poussé par son producteur et complice Toshio Suzuki, repousse jour après jour les frontières de son art. Une véritable plongée dans l’intimité du génie de l’animation.