Team VG : quelles sont vos séries Netflix préférées ?

 

Chez Vonguru, nous sommes des passionnés, aux goûts différents. Cependant, si nous avons bien une chose en commun (parmi tant d’autres), c’est notre amour pour l’univers geek au sens très large du terme : jeux vidéo, films, séries, romans, comics, mangas, la technologie…. Aussi avons-nous pris l’habitude de partager cette passion commune dans une série d’articles collaboratifs, les Team Vonguru, mobilisant une partie de la rédaction autour d’un sujet particulier sur lequel nous espérons également avoir votre avis.

Aujourd’hui, on s’attaque à Netflix, et plus particulièrement à ses séries !

Pour connaître nos débats précédents, découvrez sans plus tarder nos Team VG sur le septième art, à commencer par notre top 2018le top et flop cinéma et séries de 2016 puis le top films et séries de 2017Avengers : Infinity War, nos théories sur la saison 7 de Game of Thrones puis notre avis sur cette saisonnotre Disney préféré du Second âge d’orBlade Runner 2049, A Perfect DayMindhunter, la saison 4 de Black Mirror, les saisons 1 puis 2 de Stranger Things, les films parfaits d’Halloween.

Nous avions élargi notre intérêt pour les manifestations de la culture geek aux meilleurs méchants de fiction, aux héroïnes geek, aux X-Men et aux personnages Marvel, aux adaptations de zombies, à nos livres de SF de prédilection, à la saga Mass Effect, à notre console et notre style de jeu préféré, à notre bilan de la Nintendo Switch, à nos YouTubeurs et applications préférées, à la réflexion sur la loi et l’image de la femme dans le dixième art, et aux jeux les plus attendus de 2019. Il avait également été question dans les Teams VG de nos configs PC,  de notre vision des vacances connectées, de nos smartphones coup de cœurdes gadgets dont on ne peut plus se passer, du média qui domine à la maison, de la configuration de nos PC, de notre notre rapport aux crypto-monnaiesdes casques utilisés au quotidien, ainsi que du Computex 2018, de notre programme pour une fête d’Halloween puis de Noël parfaite, de vacances et autres activités geeks, de la rentrée, de nos coups de cœur high-tech de l’année 2018 et dernièrement de ce qu’il faut retenir du CES 2019.

 

SIEGFRIED « MOYOCOYANI » WÜRTZ


Netflix est, sans réelle concurrence, le premier service de streaming de notre époque, et son impressionnant succès, comme son impressionnant dynamisme, ont à bon droit leur place dans l’histoire de l’industrie du divertissement. Pourtant, en tant que plate-forme de streaming, son offre est extrêmement instable, toute œuvre pouvant sans crier gare quitter le catalogue et y revenir, et en cela pas particulièrement plus intéressante qu’OCS ou Prime Video. Et en tant que producteur/distributeur de films originaux, Netflix n’avait guère, il y a quelques mois encore, que de quoi faire rire. À l’exception d’Okja, éventuellement Beats of No Nation, sa politique de confiance dans ses créateurs n’avait permis que des longs-métrages au mieux moyens mais très regardables (Anon, Jessie, Un 22 juillet) ou défendables (Annihilation, Bright), plus souvent un peu faibles (The Bad Batch, Apostle, Bird Box, High Flying Bird, Mudbound)  voire vraiment pas bons (Mute, Aucun Homme ni Dieu, Illang, Outlaw King, Mowgli, the Cloverfield Paradox, Opération finale), ou strictement commerciaux (les Christmas Prince et autres Princesse de Chicago, ou des milliers d’autres produits dans l’indifférence générale et permettant d’augmenter artificiellement l’offre). Heureusement, Roma, Bandersnatch, La Ballade de Buster Scruggs, viennent depuis peu remonter la barre et rassurer sur la suite du programme, les Chandor, Scorsese et autres del Toro annoncés.

 

 

Ce qui attire et retient vraiment les clients-spectateurs, ce sont les séries originales Netflix, ce qui au fond est si paradoxal que cela tient d’une espèce de miracle : comment une plate-forme peut-être produire d’un côté des films aussi proverbialement mauvais et de l’autre des séries aussi admirées, dans une démarche similaire de confiance dans les créateurs ? Toujours est-il que les séries bonnes à excellentes y sont légion, dans tous les genres et tous les formats, et ce depuis des années sans discontinuer, justifiant entièrement « le point Netflix » : plus une soirée est longue et détendue, plus il y a de chances qu’une personne finisse par demander aux autres ce qu’ils regardent sur Netflix, sous-entendu « comme séries sur Netflix ».

 

 

Comme tout le monde, j’en ai vu et en regarde un certain nombre, et suis régulièrement impressionné. Il faut dire que ce qui frappe en premier lieu, ce sont les moyens octroyés à ces séries, et la compétence technique qu’ils autorisent, aussi bien en termes d’effets spéciaux que de costumes ou de photographie. Comment ne pas être frappé par la qualité visuelle d’Altered Carbon, de Star Trek Discovery, de Nightflyers, dans un autre registre de The Haunting of Hill House, surtout quand cette qualité accompagne souvent une histoire valable, cherchant sincèrement à développer des thèmes intéressants ? Cette capacité à l’ampleur joue ainsi beaucoup dans mon appréciation pour l’une de mes séries Netflix préférées, The Crown, chronique des débuts de règne d’Elizabeth II où tout est grand, les décors, les personnages et leurs luttes, les dialogues ciselés. The Crown possède en outre une qualité que j’exige aujourd’hui des séries, son élaboration téléologique, envisageant une fin et la prenant en compte. Après deux saisons seulement, on attend ainsi un renouvellement profond de la formule pour la troisième saison, où tout le casting sera changé au profit d’acteurs plus âgés, pour représenter la maturité du règne.

 

 

C’est cette même alliance entre compétence visuelle et histoire forte qui avait valu à Daredevil toute mon attention. Voilà une série de super-héros qui a du style, une personnalité chromatique et chorégraphique, et qui donne toute la place à ses personnages secondaires pour guider l’intrigue. Je n’en parle pas plus longuement parce que j’ai déjà longuement vanté la série, mais j’avais découvert avec d’autant plus d’étonnement Jessica Jones, située dans le même univers, et pourtant plus terne et centrée exclusivement autour de son anti-héroïne. Marvel est donc capable de laisser à chaque composante d’un univers partagé une identité propre ? La surprise est d’autant plus agréable que l’histoire d’une super-héroïne ayant abandonné le costume pour sombrer dans l’alcoolisme suite à des abus possède toute l’obscurité qui manque au MCU. Quel dommage que le Marvel Netflix Universe se développe en saisons de 13 épisodes, donc beaucoup trop longuement pour conférer un rythme efficace à tous ses personnages…

 

 

La série que j’attends chaque année avec le plus d’impatience n’a cependant aucune similarité avec les deux précédentes. Encore une fois, j’en ai déjà parlé par ailleurs et ne vais donc pas m’étendre, mais comment évoquer mes séries préférées de Netflix sans recommander vivement Bojack Horseman, la série d’animation dont je me régale le mieux après South Park et Rick and Morty, et juste avant Samurai Jack ? Ce n’est à vrai dire même pas tant que le protagoniste m’en intéresse fondamentalement, et je conçois volontiers qu’il puisse être fastidieux de le suivre dans son cycle de progression/régression. Même le dessin est inégal, et le cynisme savoureux sans être indépassable. Non, ce qui rend Bojack Horseman si supérieur, c’est sa direction artistique, qui permet à quelques épisodes d’être plus bluffants ou bouleversants que n’importe quel épisode de n’importe quelle série live.

 

 

Concluons synthétiquement avec d’ultimes conseils : Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire souffre souvent d’étrangetés de rythme, et parfois d’un sentiment de répétition, voire d’incohérence ou de frustration entre la compétence de certains personnages et leur incapacité à faire progresser l’intrigue. Mais sa fantaisie inédite, et un final simplement incroyable d’aspérités et d’émotions justifient toutes les concessions. Je ne sais pas si une deuxième saison de Dark peut être aussi bonne que la première. Enfin même si la suite n’en est pas encore réalisée, et que l’on reste donc sur une montagne de questions et de mystères, la série allemande est magistrale en humanité, en écriture et en esthétique, et cela vaut bien de passer outre l’hermétisme des premiers épisodes. Enfin je reste sous le choc de Bodyguard, sans doute parce que son visionnage est très récent. Je n’avais pas prévu qu’une mini-série en huit épisodes en forme de thriller sur un garde du corps me prendrait à ce point aux tripes, un véritable bijou de tension qui ajoute à cela la suprême qualité d’être achevable en quelques heures à peine.

 

 

J’aurais envie de dire du bien également de Kingdom, qui mêle avec réussite histoire de zombies (un genre que je n’apprécie ordinairement pas) et série en costumes, dans l’ancienne Corée, mais la première saison n’en compte que six épisodes, pas assez pour que son inachèvement satisfasse. Il faudra en attendre au moins la suite pour que je vante l’influence de la Cité interdite (ou de Hero) sur une série Netflix de zombies… C’est d’ailleurs le contraire pour Sense8, que j’avais longuement abandonné au début de la saison 2 parce que je finissais par m’ennuyer ferme, et dont la deuxième moitié de seconde saison est assez magique, avant un épisode spécial sans grand intérêt. Il est évidemment difficile de recommander un aussi long visionnage pour une poignée d’épisodes, et impossible de ne pas le tenter malgré tout, il serait dommage de passer à côté de ça… Sur une note plus légère, j’ai peur que The Good Place commence à se perdre en chemin, et serais rassuré d’apprendre que la prochaine saison sera la dernière et envisagée ainsi depuis le début par ses concepteurs. Si l’on s’efforce d’ignorer cette crainte, les deux premières saisons au moins sont plus savoureuses et prenantes qu’un grand nombre de séries comiques, au point qu’on y retrouverait quelque chose de Community ou de How I Met dans ce déferlement absurde de punchlines et de gags, avec une véritable intrigue qui progresse et des saisons courtes, tout ce qu’il faut pour se jeter dessus !

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Paul Antoine « Orla » Colombani


Netflix est Chronos, il dévore notre temps et propose chaque année une ribambelle de nouveaux films et de nouvelles séries. Difficile de choisir dans ce méli-mélo créatif, même si certaines oeuvres paraissent plus intéressantes que d’autres, plus réfléchies aussi. Je pensais commencer par dire tout le bien que je pense de Black Mirror mais, sur une thématique similaire (sans atteindre la même profondeur) You s’en sort plutôt bien. La série, adaptée du roman Parfaite de l’autrice Caroline Kepnes, est d’abord diffusée sur la chaîne Lifetime. Toutefois, pour les pays francophones et le Canada, celle-ci est diffusée depuis le 26 décembre sur le service de flux continu américain. Ce dernier proposera en exclusivité la deuxième saison de You

La série propose de suivre la vie de Joe Goldberg, jeune libraire new-yorkais incarné par Penn Badgley, alors que celui-ci se remet d’une rupture douloureuse et rencontre Guinevere Beck, jouée par Elizabeth Lail, actrice récurrente dans la série Once Upon A Time. A priori une énième histoire de séduction, jusqu’à la fin du premier épisode où la série prend un tournant, certes attendu, mais intéressant. Joe Goldberg est un stalker c’est-à-dire qu’il use et abuse des réseaux sociaux afin de s’immiscer dans la vie de sa proie. Toutes sortes d’obstacles (humains notamment) entravent son amour (on reviendra sur ce terme un peu après), des épreuves, inventées par le jeune libraire, afin d’atteindre l’objet du désirYou est un conté de fées mortuaire, il raconte bien le périple d’un prince pour sauver une princesse et atteindre la conclusion éculée : être heureux et avoir beaucoup d’enfants. La série trouve un souffle intéressant en nous permettant d’avoir accès aux pensées et réflexions de Joe Goldberg et, à intervalles irréguliers, à celles de Guinevere Beck. La voix off et les flash-back qui accompagnent le spectateur ouvrent l’esprit monstrueux de Joe et les réminiscences d’une vie passée que l’on pressent complexe et difficile. Pas de méprise : la série ne légitime aucunement les actes du libraire, même si elle fonde son propos en rapport aux sévices subis dans l’enfance. En somme, le fils perpétue les actions du père. Je ne sais pas s’il faut y voir une réflexion sur une société dite patriarcale ou sur l’éducation à donner, c’est-à-dire que si le père enseigne la vertu au fils, le fils lui-même devient vertueux.

Dans tous les cas, la série nous interroge sur plusieurs points : d’abord, et évidemment, sur la puissance de nos données, sur une utilisation perverse et vicieuse de ces dernières. Black Mirror a déjà proposé une réflexion similaire sur la technologie mais plutôt dans le cadre de dystopies ; au contraire, You est terre-à-terre et attaché à notre quotidien : la rencontre fortuite avec un Dr. Jekyll et un Mister Hyde. Pourquoi parler, dès lors, d’amour ? Soyons clair : Joe Goldberg définit ses sentiments pour Guinevere Beck comme de l’amour et parle bien de relation amoureuse. Le jeune libraire présente une apparence positive, il s’occupe d’un enfant, qu’il initie à la lecture (et le contraint à lire des ouvrages en particulier…), possède un physique avantageux, est un bon partenaire sexuel et cherche à développer les meilleures parties de Beck (notamment son talent pour l’écriture). C’est précisément cette idée qui me parait intéressante : que recherche-t-on chez l’autre, quels sont les limites à imposer à l’autre en fonction de soi ? ; à une époque où des services promulguent l’individualité et le bien apparent, comment conceptualiser l’amour qui doit être (pour ce que j’en sais…) une relation harmonieuse entre deux êtres, où l’un laisse s’exprimer l’autre autant que l’autre laisse s’exprimer l’un. Evidemment, à cela s’ajoutent les actes perpétrés par Joe Goldberg qui rendent, bien entendu, le personnage monstrueux et compréhensible. Soyons précis : il ne s’agit pas de légitimer, loin de là, mais de voir le raisonnement dans le cerveau de Joe Goldberg pour parvenir à une action pareille. Comme si on dévoilait le mal, au lieu de simplement le montrer.

Bref, d’un propos banal, les show-runners réussissent à tisser une réflexion intéressante sur la psyché, sur la valeur de l’amour et le conditions d’émergence du mal. Néanmoins, cela ne veut pas dire que l’on échappe à quelques caricatures et à des facilités scénaristiques.

Team VG serie Netflix You

 

Etienne « Ysarock » Moureton


Sans pour autant y passer ma vie, j’avoue dédier une bonne partie de mon temps libre à regarder des séries. Évidemment comme tout le monde, le meilleur moyen pour ça s’est trouvé être Netflix. Mes connaissances cinématographiques étant très limitées, je vais ici vous parler des mes séries coup de cœur et non de celles ayant retenu mon attention sur un plan purement technique.

C’est avec grand regret que je n’ai pas le temps de pouvoir voir toutes les pépites qui sortent sur la plateforme ! Qu’elles soient produites par Netflix ou non, je sélectionne mes séries au fur et à mesure de sorte à toujours avoir une liste et ne pas me retrouver sans programme un soir d’ennui… Alors sans parler des magiques Narcos et autres Jessica Jones (dont a déjà parlé Moyocoyani), voici ma sélection personnelle !

Si certains lecteurs se révèlent être des fans incontestés de Breaking Bad, je ne peux que vous conseiller de regarder cette pépite qu’est Better Call Saul ! Ici, la série reprend la vie de Saul Goodman avant qu’il en prenne le pseudonyme. Vous suivrez donc la vie de Jimmy McGill avant qu’il ne devienne l’avocat corrompu de notre bien-aimé Heisenberg. Au travers des différentes saisons, de nombreux personnages issus de Breaking Bad referont leur apparition et permettront de mieux comprendre leur relation dans la série originale. En gage de qualité, la série a été jugée aussi bonne que son prédécesseur et comme l’un des meilleurs préquels ! Effectivement, elle en reprend tous les codes et vous permettra de vous replonger dans cette univers déjà disparu depuis bien trop longtemps, bien qu’un film soit en préparation.

 

 

Enfin, j’aurais pu m’attarder sur un autre gros succès de la plateforme mais j’ai décidé de vous parler d’une série moins connue, et qui n’est pas une série originale Netflix : Lazy CompanyC’est donc une série française parue pour la première fois en 2013 composée de 3 saisons. Elle se déroule quelques jours avant le débarquement en Normandie et raconte le destin d’une escouade de soldats américains souvent pas très adroits… Le tout sur un ton très humoristique et décalé bien que très agréable tant au niveau de la réalisation que du fond. On y retrouve parfois l’esprit et l’humour de Kaamelott aussi présent dans Hero Corp, ce qui plaira aux fans de celles-ci. De même, vous retrouverez de nombreux acteurs présents dans ces licences à l’instar d’Alban Lenoir. Les épisodes se veulent très courts (20 minutes) et peu nombreux par saisons (seulement dix épisodes à chaque fois), la série se finit donc très rapidement ! Alors si vous êtes curieux de voir à quoi ressemblait Hitler en bonne sœur, je ne vous invite qu’à foncer !

 

 

 

 

Lucile « Macky » Herman


 

Si vous avez lu notre critique à 6 mains sur The Haunting of Hill House, vous savez que c’est LA série qui m’a le plus marqué en 2018. Je n’ai pas tari d’éloges à son sujet et j’ai eu grand plaisir à la regarder à nouveau. Pour ceux qui ne sauraient pas du tout de quoi je parle, il s’agit d’une série télévisée d’horreur (sur fond de surnaturel) américaine comptant 10 épisodes d’une cinquantaine de minutes environ, créée par Mike Flanagan et mise en ligne en totalité le ur Netflix. C’est une adaptation du roman homonyme de Shirley Jackson (1959), transposée à notre époque, et qui constitue donc une histoire complète en une seule saison.

À l’été 1992, Hugh et Olivia Crain s’installent temporairement dans un ancien manoir, Hill House, avec leurs cinq enfants : Steven, Shirley, Theodora (Theo), Luke et Eleanor (Nell). Ils subissent des événements paranormaux, les forçant à quitter la maison dans des conditions mystérieuses. En octobre 2018, soit 26 ans après, les frères et sœurs Crain et leur père, Hugh, se retrouvent réunis après une nouvelle tragédie, qui les force à affronter leurs démons intérieurs tout en pleurant leurs pertes.

Habituellement, je ne suis pas du tout friande des séries/films horrifiques. Je ne supporte pas les jump scares, ni le fait d’être angoissée et pourtant, The Haunting of Hill House est si bien réalisée, si bien amenée et si intelligemment construite que je n’ai pu que tomber amoureuse. Ici, les métaphores sont nombreuses. Les secrets ne demandent qu’à nous être révélés et la série parvient à nous maintenir en haleine jusqu’au bout. C’est une série puissante que je ne peux que vous recommander. N’hésitez pas à jeter un œil à notre critique, que nous vous garantissons 100% sans spoil.

 

The Haunting of Hill House affiche