Conclusion

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Nous arrivons au terme de cet article sur le fameux jeu vidéo Doki Doki Literature Club du studio de développement Team Salvato.

Ici, le grand plus de ce petit jeu, c’est qu’il soit disponible gratuitement sur le net, et notamment sur Steam. En plus de cela, il pèse moins de 300 Mo et pourra être installé/téléchargé en quelques minutes à peine. Si vous n’êtes pas à l’aise avec l’anglais, n’oubliez pas de télécharger le petit patch FR ici.

Au premier lancement, le jeu semble tout mignon et est accompagné de musiques très enfantines et entrainantes. Mais c’est une façade seulement, il ne faudra pas se faire avoir par ces graphismes rappelant les mangas et animes. Ne téléchargez surtout pas ce jeu pour un enfant ou bien pour quelqu’un de sensible. C’est un coup à réellement le traumatiser ! En effet, en quelques heures de jeu, tout bascule pour devenir ultra glauque et voire même violent. DDLC parle de suicide ou encore d’automutilation tandis que de nombreux glitchs très perturbants apparaissent parfois en pleine partie. On pense notamment aux yeux de Yuri qui deviennent exorbités et comme réellement humains dans la deuxième partie du jeu. Malgré tout, si l’on n’est pas touché et perturbé par la partie glauque du jeu, nous passerons un bon moment sur Doki Doki Literature Club. Les personnages sont attachants et c’est aussi ce qui fait que les mésaventures qui leur arrivent peuvent réellement nous déranger.

À côté de cela, DDLC est un jeu original et qui saura être différent de ce que l’on trouve en général. Après tout, pour ma part, c’est la première fois que je vois la possibilité de supprimer des personnages du jeu afin de générer des parties totalement différentes des autres. C’est pour le coup amusant et à l’opposé de ce qu’on a l’habitude de voir dans les jeux vidéo !

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