Difficulté, histoire et rejouabilité
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Difficulté
Comme je l’évoquais dans les précédentes pages de cet article, dans DDLC, il n’y a absolument aucune difficulté pour avancer dans le jeu. En effet, il suffit de cliquer et de faire des choix pour avancer dans l’histoire. Le plus « dur » sera peut-être de faire les bons choix pour arriver à la fin que l’on souhaite et/ou la partie horreur psychologique qui peut être vraiment difficile pour les personnes.
Histoire
Nous incarnons dans DDLC, l’amie d’enfance de Sayori, vice-présidente du club de littérature. Notre personnage est un fan de mangas et d’animes. Ce dernier envisage de rejoindre d’ailleurs le club des animes. Néanmoins, par une tournure d’évènements, Sayori arrive à nous faire entrer dans son club où nous rencontrons Monika (la présidente), Natsuki et Yuri.
Le but de ce club étant de partager la passion commune des protagonistes pour la littérature et de préparer le festival en vue de pouvoir recruter davantage de membres. Monika prêtera alors les personnages à un exercice : celui d’écrire des poèmes et les lire aux membres du club.
Ainsi, grâce aux poèmes que vous rédigerez, vous aurez l’opportunité de passer des moments privilégiés avec certains personnages de l’histoire. Vous imaginerez donc que plusieurs scénarios sont totalement possibles selon quelle fille vous choisissez parmi Natsuki, Yuri et Sayori. Néanmoins, de prime à bord, il ne semble pas possible de choisir Monika.
Attention aux spoilers. Si vous souhaitez découvrir le jeu par vous-même, finissez-le au moins une première fois avant de lire la suite de l’article.
Selon les choix que vous ferez, vous vous rapprocherez de l’une des trois filles, au détriment des autres. Bien entendu, le choix que vous ferez pourra amener l’une d’elles à des évènements tragiques. Vous apprendrez par exemple que l’amie d’enfance de votre personnage : Sayori, est dépressive depuis qu’elle est enfant. Vous comprenez aussi au détour d’une conversation qu’elle a des sentiments pour vous et qu’elle a beaucoup de mal à vous voir fréquenter les autres filles du club de littérature.
Plus tard, si vous ne choisissez pas Sayori comme petite amie, elle finira pas se suicider dans sa chambre le jour du festival.
Et c’est à partir de là que le jeu bascule dans le « creepy as fuck ». En découvrant cela, notre personnage pète littéralement un plomb (normal en même temps), le jeu se termine et vous ramène sur l’écran d’accueil qui est maintenant glitché. À partir de là, vous pouvez choisir de recommencer une partie mais elle ne sera plus du tout comme avant !
Durée de vie et rejouabilité
La durée de vie de Doki Doki Literature Club est assez impressionnante, surtout pour un jeu gratuit. À titre personnel, j’ai fini une première fois le jeu en environ 11 heures. Néanmoins, il est clairement possible de le relancer afin de découvrir les scénarios que l’on aurait manqué avec les autres personnages et peut-être de voir d’autres fins.
Pour un jeu totalement gratuit, je trouve cela vraiment chouette ! De plus, si vous avez apprécié DDLC, vous pouvez choisir d’acheter Doki Doki Literature Club Plus pour rajouter davantage de scénarios possibles et donc augmenter encore le temps de jeu possible.
Une boutique de goodies disponible !
Si vous avez apprécié l’univers de DDLC, sachez qu’une boutique est disponible sur le net afin de vous procurer des t-shirts, sweats ou tasses à l’effigie des personnages du jeu vidéo. Il s’agit par exemple de t-shirts tout roses avec les personnages. De prime à bord, c’est hyper mignon mais cela peut clairement être perturbant si vous croisez quelqu’un qui connaît bien le jeu en question !
