Ludum, une deuxième box de jeux de société qui frappe fort

 

Ludum, c’est la nouvelle proposition d’une box de jeux de société trimestrielle, dont nous présentions le concept ici et la première boîte là.

On y choisit une catégorie (« Party », « Family », « Discovery »… ou « Total », avec le contenu des trois précédentes) et on reçoit deux titres, les mêmes pour toutes les box, sélectionnés par les « sommeliers du jeu de société » que sont Fabien et Vincent, sans savoir lesquels avant d’avoir ouvert le colis.

Un concept original, demandant tout de même une certaine confiance, et s’adressant donc surtout aux novices en « jeu de société moderne » qui chercheraient à enrichir leur ludothèque d’œuvres de qualité, mais également capable de satisfaire des connaisseurs par la proposition de relatives nouveautés et le plaisir de la surprise.

La box comporte en outre un jeu original, à bricoler soi-même, ainsi qu’une revue présentant les jeux qu’elle contient, et des approfondissements sur une mécanique, sur une oeuvre classique, sur un auteur… dans la lignée de ce qui est publié sur le site de Ludum (dans la partie « Blog »), et qui est souvent fort intéressant – par exemple récemment une série de top 5 de jeux de pose d’ouvriers, de draft, de diplomatie, de gestion de main, d’exploration, d’expression, de précision, de deckbuilding… Les auteurs sont vraiment investis dans le domaine socioludique et le montrent dans un contenu pédagogique et passionné.

Si l’idée m’enthousiasmant et que la sélection de la première box était assez satisfaisante, j’avais cependant émis quelques réserves face au « jeu original » qui n’était qu’un jeu de l’oie (pas très moderne, ni très… bien en fait), que l’on découpait dans la revue au détriment des articles, d’ailleurs pas assez exempts de fautes d’orthographe à mon goût de professeur de français… Naturellement, il ne s’agissait que de la première, et j’espérais vraiment que Ludum saurait s’améliorer pour la deuxième… Comme vous l’avez vu au titre, et comme je vais l’expliquer ensuite, le progrès dépasse toutes mes espérances !

J’ai en l’occurrence reçu la Family Box, avec la promesse qu’elle vise un public un peu plus âgé que la précédente. Je présenterai donc rapidement le contenu des autres pour m’appesantir sur celle que j’ai sous les yeux et dont j’ai testé les jeux, évidemment.

 

Party Box

Pour 26 euros, la Party Box proposait Trapwords et High Risk.

Trapwords (17 euros 50), c’est ce Taboo thématisé heroic fantasy qui m’avait agréablement surpris, comme je l’expliquais dans mon test. Je concluais par ces lignes :

« À première vue, Trapwords est désespérément classique : deux équipes, une personne qui doit faire deviner les mots à ses partenaires, sans prononcer les mots interdits secrètement décidés par ses adversaires, on a l’impression d’avoir déjà vu ça cent fois, et c’est juste.

Paradoxalement, ce qui confère au jeu son originalité risque également de le couper d’une part du public qu’il aurait pu avoir l’ambition de viser. La thématisation heroic fantasy fonctionne en effet très bien matériellement et mécaniquement, et on n’imagine pas toutes ces idées se fondre aussi efficacement dans une oeuvre plus abstraite. Or l’abstraction est généralement perçu comme une garantie pour les « jeux à mots » parce qu’elle en assure une relative universalité, quand un public « geek » peut préférer un jeu assumant plus franchement l’heroic fantasy, et quand un public non-geek peut instinctivement se détourner de Trapwords. 

C’est dommage, parce que sans rien réinventer, Trapwords s’avère très amusant, dynamique, court, matériellement généreux, assez joli, et s’accorde même le luxe de surprises et de rebondissements inhabituels dans ce genre, sans ternir son accessibilité. Peut-être pas un incontournable, mais un jeu à envisager sérieusement quand on est plus de quatre (donc trop pour profiter pleinement de Décrypto), même un nombre impair, que l’on souhaite quelque chose de plus construit que Just One et de plus exigeant que Taboo. »

 

 

High Risk (12 euros) est un très joli jeu de stop-ou-encore en montagne, conçu par Trevor Benjamin et Brett J. Gilbert, que l’on connaît bien sur Vonguru (le duo était responsable de l’excellent Mandala et de Rolling Bandits, et le premier avait réalisé Professeur Evil avec Matthew Dunstan), illustré par le talentueux Biboun (Dice Forge et son extension RébellionChimère, Professeur Evi) et édité par iello (Bunny KingdomKanagawaKing of New YorkDétectiveAdrénaline…). Un jeu de hasard et d’ambiance où il faut se bousculer sur les flancs d’une montagne malgré la météo et les autres joueurs, qui nous menacent continuellement d’une mauvaise chute !

 

Family Box

Pour 35 euros, la Family Box contenait Yokai et Queenz.

Yokai

Yokai (11 euros 50), c’est cette variation ingénieuse sur le Memory que propose Julien Griffon avec les démons japonais de Christine Alcouffe (Pharaon, Paper Tales), édité par Bankiiz (, Banquet royal) et que je présentais ici, en concluant :

« Sous ses airs de très joli Memory japonisantYokai s’avère un redoutable casse-tête. Expérience coopérative silencieuse, il n’exige pas seulement de retrouver des cartes similaires, mais de les regrouper sans autre manière de partager sa stratégie que de vagues cartes Indice, lesquelles ajoutent une surcouche tactique plutôt qu’elles n’aident directement le groupe. Au contraire d’un Panic Island qui se servait du Memory pour une expérience chaotique, assumant complètement sa volonté de créer une ambiance survoltée, sans pourtant se départir d’une part de cérébral, Yokai se pratique dans le silence des grands contemplatifs, calmes et silencieux à l’extérieur mais brûlants et tourbillonnants à l’intérieur.

Surtout quand, à l’exigence des règles de base, on ajoute la possibilité de marquer des points, et donc une compétition pour se dépasser soi-même, puis des variantes dont certaines s’apparentent à des extensions, injectant si finement leur difficulté improbable que les premières parties semblent récréatives en comparaison. Yokai est ainsi un excellent casse-tête pour deux comme pour trois ou quatre, d’une richesse étonnante, dont on achève invariablement les parties avec plaisir, la fierté de la victoire ou l’amusement d’un chaos inattendu. »

 

 

Queenz

Queenz (28 euros 50) est un jeu de société apicole de Bruno Cathala (Imaginarium7 Wonders DuelKanagawaAbyssKingdomino…) et Johannes Goupy, illustré par Vincent Dutrait (Museum, L’Île au trésor, Robinson Crusoé, Château Aventure, When I Dream, T.I.M.E. Stories), édité par Mandoo Games et localisé par Blackrock.

Les joueurs y font face à un champ de 6*6 orchidées bleues, roses, rouges, blanches et jaunes, piochées aléatoirement parmi 125 tuiles. Un pion Jardinier se trouve face à l’une des rangées. Comme dans Kameleo, on prend des orchidées de la rangée face à laquelle se trouve le jardinier, puis on l’avance d’autant de rangées dans le sens des aiguilles d’une montre que d’orchidées récoltées, sachant que l’on doit respecter trois règles : si on prend deux orchidées, elles ne peuvent abriter d’abeilles, si on en prend trois, elles doivent être de couleurs différentes et ne doivent pas abriter d’abeilles, on ne peut pas en prendre davantage. Les orchidées récupérées sont posées dans sa réserve personnelle, qui ne peut en accueillir plus de six.

 

 

Au lieu de cueillir des orchidées, on peut acquérir l’un des cinq champs disponibles, à condition de pouvoir le compléter immédiatement avec ses orchidées ou ses trois ruches. Chaque ensemble d’au moins deux orchidées adjacentes de la même couleur rapporte autant de Points de Victoire (PV) que d’orchidées. Tous les champs achetés par un joueur doivent être connectés, et si une nouvelle orchidée est adjacente à d’anciennes orchidées de la même couleur, c’est l’ensemble qui rapporte à nouveau des PV. En outre, dès que l’on associé pour la première fois deux orchidées d’une couleur, on pose le pot de miel de ladite couleur sur la case correspondante. Au cinquième pot de miel, on récupère le premier jeton Production multicolore disponible, qui vaut naturellement plus de points que les suivants.

En récupérant une orchidée avec une seule abeille (une Reine), on peut immédiatement l’échanger contre l’une des orchidées de son champ personnel, sans que cela rapporte de points.

Quand on déplace le jardinier face à une rangée vide, on gagne 1 PV et on la fournit en orchidées ; quand on récupère le dernier champ disponible, on gagne 1 PV et on fournit la réserve de champs ; quand on passe le coin rouge du plateau avec le jardinier, on gagne 1 PV et on fournit le plateau central et les champs.

 

 

La partie s’achève quand un joueur a rempli son cinquième champ, laissant l’autre jouer un dernier tour et compléter un champ même s’il n’avait normalement pas de quoi.

Aux points récupérés grâce aux champs d’orchidées de la même couleur et à la production multicolore on ajoute 1 PV par abeille sur une orchidée adjacente orthogonalement ou diagonalement à une ruche. On comprend l’intérêt de la Reine : il peut s’agir de récupérer une orchidée sans abeille près d’une ruche pour la remplacer par une abeille, ou au contraire de récupérer une orchidée abritant plusieurs abeilles dans une zone où l’on n’a finalement pas prévu de construire de ruche, ou simplement de récupérer une couleur qui nous rapporte un nombre particulièrement satisfaisant de points – lors de ma dernière partie, je possédais par exemple un parterre de 10 orchidées jaunes, ce qui me garantissait une certaine avance, compensant le fait que je n’aie pas pu récupérer la tuile Production multicolore.

On reconnaît bien sûr la patte de Bruno Cathala dans les déplacements du jardinier autour du plateau et les champs en polyominos qu’il faut assembler. Plus profondément, on reconnaît son goût pour une « simplicité alambiquée », un nombre réduit (presque simpliste) d’actions donnant pourtant lieu à de très nombreuses possibilités mécaniques et opportunités tactiques. De sorte qu’un jeu accessible et fluide effectivement compréhensible à 8 ans pour des parties n’excédant pas 30 minutes ne sera pas le titre enfantin souvent promis par de telles spécifications mais saura satisfaire même des passionnés.

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Queenz a de surcroît la chance d’être très joliment illustré par Vincent Dutrait et édité par Mandoo Games, de sa superbe couverture aux mignons pots de miel, pour une oeuvre aussi agréable à regarder qu’à jouer.

 

Discovery Box

Pour 40 euros, la Discovery Box contenait Break the Code (ou Lost Ciities : Les Rivaux) et… It’s a Wonderful World !

C’est un beau coup que de proposer le It’s a Wonderful World (35 euros 50) de Frédéric Guérard (GrandboisClash of Rage), illustré par Anthony Wolff (MontanaHuns) et édité par La Boîte de jeu (Huns, Clash of Rage, Neta-Tanka, Cerberus), clairement l’un des jeux du moment, tant par sa médiatisation que par son succès critique. Jeu de draft et de construction de moteur, il met les joueurs dans la peau d’empires politico-industriels cherchant à s’assurer la suprématie mondiale. On y reviendra prochainement dans un article détaillé, mais comme vous le voyez, c’est une addition particulièrement enthousiasmante !

 

 

Break the code (14 euros 50) est un petit jeu de déduction accessible et rapide de Ryohei Kurahashi, illustré par Mélanie Walryck et édité par iello. Entre 13 Clues et 13 Ghosts, chacun commence avec une combinaison de 5 chiffres et doit deviner celle de l’autre avant que la sienne soit devinée en posant l’une des six questions disponibles. Les réponses ne font pas que rétrécir l’éventail des possibles, elles doivent être bien mémorisées et complémentaires pour vaincre les décodeurs adverses !

 

 

Victime de son succès, Ludum n’a pas pu assurer à tous les abonnés la livraison de Break the Code dans sa Discovery Box. Une solution agréable a été trouvée avec iello, celle de proposer à la place aux 1/10ème des « lésés » le Lost Cities : Les Rivaux (14 euros 90) du mythique Reiner Knizia (Tajuto, Yelow and YangtzeAmun-ReBlue LagoonMediciSchotten Totten) illustré par Cem Kara… et sensiblement plus cher que le jeu remplacé. Il s’agit comme on s’en doute d’une nouvelle variation du classique Lost Cities (après Lost Cities : Duel), cette fois pour deux à quatre joueurs et avec un nouveau système d’enchères, une mécanique que Knizia aime et maîtrise fort bien !

La Total Box

Pour 90 euros, vous pouviez enfin recevoir la Total Box, c’est-à-dire l’ensemble des six jeux annoncés. Un tarif évidemment très économique pour une sélection aussi séduisante.

 

Le jeu original, les goodies la revue

Cette deuxième box Ludum contient déjà des goodies, en l’occurrence un nouveau petit château gourmand pour Kingdomino/Queendomino…et un bloc-notes pour Escape from the Asylum (en test bientôt), fort bienvenu.

Ludum a fait un bond de géant dès le format de sa revue. Dans sa première box, on se rapprochait du journal, et si le contenu était intéressant, cela pouvait faire davantage « flyer de luxe » qu’addition notable. On a désormais affaire à un véritable livret A4 de 16 pages sur papier glacé. Les pleines pages consacrées à chacun des jeux des différentes box sont ainsi plus complètes, et toujours assorties de conseils et d’un lien vers l’explication audio des règles par Ludum, plutôt bien faite.

Ensuite, deux pages d’interview de Cynthia Rebérac (commissaire générale du Festival International des Jeux de Cannes), expliquant le fonctionnement de l’As d’or (décerné au cours du festival) puis surtout de Bruno Cathala revenant sur l’importance des prix dans sa vie d’auteur et de joueur.

Enfin, la revue s’achève sur la présentation d’un jeu au « panthéon », l’incontournable Time Bomb, et sur les « mentions d’honneur », coups de cœur de Fabien et Vincent qui n’ont malheureusement pas pu être retenues pour les box Ludum, mais qui méritaient d’être mis en lumière, Obscurio, Deep Blue, Pharaon et Panic Diner. Une manière de plus de montrer que pour eux, la Ludum n’est pas que du marketing, mais une réalisation de leur boulimie ludique !

 

 

Au cœur de la revue, le jeu original, Échek, confié très judicieusement à Léandre Proust, justement spécialiste d’excellents petits jeux, puisqu’en 2019 il avait réalisé chaque mois un jeu de société minimaliste gratuit, ce qu’il poursuit en 2020 avec Clash of Deck, un jeu de cartes évolutif auquel il ajoute mensuellement du contenu. Sa démarche et ses créations sont présentées en détail sur sa page tipeee.

Mais si le jeu est découpable dans les pages intérieures, cela signifie-t-il qu’il faut encore charcuter la revue, comme je le regrettais dans la précédente ? Ne vous inquiétez pas, Ludum a astucieusement entouré Échek de publicités pour ses partenaires, de sorte que l’on ne découpera rien d’autre !

Mais s’il y a encore du découpage et du collage, cela risque de faire beaucoup de bricolage pour un petit jeu de société, non ? Encore une fois, Léandre et Ludum répondent à la difficulté, puisqu’il suffit de coller une page sur le carton d’emballage, puis d’y séparer les 12 tuiles et c’est tout, vous avez tout le matériel ! Au fond, vous pourriez même sauter l’étape du collage sur le carton, mais comme vous le verrez, Échek mérite d’être rejoué et donc de recycler l’emballage pour lui offrir une forme plus solide et plus agréable à manipuler.

Échek est un jeu de duel où chacun place son Roi au centre de la table face-à-face et prend les cinq autres tuiles/pions de sa couleur.

À son tour, un joueur n’a que deux choix : soit poser un pion de façon orthogonalement adjacente à un autre de ses pions (donc au début à côté de son Roi), soit déplacer l’une des pièces, à condition qu’au terme de son déplacement elle ne se retrouve pas sur une case déjà occupée, qu’elle soit encore en contact (ne serait-ce que par un coin) avec une autre, quelle qu’elle soit, qu’elle ne forme pas un espace de jeu plus grand qu’un carré de 4*4,. Puisqu’on s’est affranchi du plateau, cette adjacence permet de donner sans rien l’illusion d’un quadrillage.

Le Roi se déplace d’une seule case en ligne droite ou en diagonale. La Tour peut se déplacer d’autant de cases qu’elle le souhaite en ligne droite (mais elle ne peut passer au-dessus de pièces que de sa couleur) et peut, une fois par partie, changer de position avec le Roi à la place de l’action normale du joueur. Le Cavalier réalise un mouvement orthogonal puis un mouvement diagonal, et est la seule pièce à pouvoir se déplacer au-dessus d’une pièce ennemie. La Reine se déplace en ligne droite ou en diagonale d’autant de cases qu’on le souhaite, mais est retirée du jeu si elle est encerclée, y compris par ses troupes. Le Fou se déplace d’autant de cases qu’il le souhaite en diagonale, et permet, quand il arrive en jeu, de reprendre en main une autre pièce non-Roi pour la reposer éventuellement plus tard. Le Pion ne se déplace que d’une case en ligne droite, mais peut avancer aussitôt qu’il est posé. Toutes ces particularités sont rappelées par des pictogrammes sur les cartes correspondantes !

Dès qu’un Roi est entièrement entouré par d’autres pièces ou par l’espace de jeu, son propriétaire perd la partie. Comme il y a douze pièces en tout pour un espace pouvant en contenir un maximum de 16, chaque pose rapproche inéluctablement la partie de son achèvement et doit être pensée pour le faire aussi favorablement que possible, dans une version miniature fort maline et étonnamment respectueuse des Échecs !

 

Ludum #2, une réussite qui fait attendre impatiemment la box #3 !

Entre sa première box et la deuxième, c’est un bond de géant qualitatif qu’a réalisé Ludum, tant avec le format de sa revue, l’intérêt du jeu original, et même avec les goodies qu’avec la sélection des six/sept jeux répartis dans les trois formules.

On constate notamment que la Family Box s’adresse à un public plus âgé avec des titres plus profonds. Ce n’est pas qu’accidentel, Ludum a volontairement choisi de l’adresser à un public à partir de 8 ans au lieu des 6 originels, et envisage d’en changer le nom pour pérenniser cette évolution, qui semble se refléter également dans la Discovery Box.

Les enfants sont-ils donc laissés pour compte dans un calcul déterminant qu’en l’état, ils ne se prêtaient pas à la proposition d’abonnement surprise de Ludum ? Au contraire, la troisième box (pour le printemps) devrait s’accompagner d’une nouvelle déclinaison pour les enfants de 4 à 7 ans, une belle initiative dans un paysage socioludique qui leur est toujours plus souriant !

Avec ces mutations, Ludum a réellement prouvé la passion de ses deux fondateurs, qui ont accepté de se renouveler pour satisfaire le plus de joueurs possibles (y compris les enfants et les plus expérimentés) et répondent parfaitement à toutes les critiques que j’adressais à leur première box. Évidemment, il va s’agir de s’assurer qu’ils resteront dans la bonne voie pour la suite, qu’ils ne vont pas décevoir une confiance durement mais entièrement conquise, aussi observerons la troisième box avec toute la vigilance possible !

Et vous, que pensez-vous de cette offre ?

Toutes nos photos de la deuxième box de Ludum et des autres jeux de société présentés par VonGuru sur notre nouvel instagram !