Une coopération entre Huawei et de nombreux pays africains

 

C’est le Wall Street Journal qui dévoile une nouvelle informations dans l’affaire Huawei. Alors que la marque fait face à des difficultés de négociations avec Donald Trump et son gouvernement, la marque a récemment présenté son OS censé remplacé Android au cas où aucun accord ne soit trouvé.

Cette fois-ci, la marque chinoise est accusé d’avoir vendu du matériel de surveillance à prés de 24 pays africains. Ces outils auraient par ailleurs menés à l’arrestation de plusieurs opposants politiques aux gouvernements de ces pays. Les outils vendus seraient en autres des logiciels de reconnaissance faciale destinées à arrêter certains opposants politiques à ces pays. Pour Huawei, c’est un gros coup dur puisque ces révélations renforcent la positions du gouvernement américain, qui les soupçonne d’espionnage depuis plusieurs mois.

Les pays avec qui faisaient affaire Huawei (la Tunisie, le Rwanda, l’Égypte, le Ghana, le Nigeria, la Côte d’Ivoire, le Cameroun, l’Ouganda, le Kenya, la Zambie, le Mozambique, Madagascar et l’Afrique du Sud) ne se sont pas contentés de logiciels de reconnaissance faciale. En effet certains employés (techniciens et ingénieurs) du groupe chinois auraient entraîné les autorités de ces pays avec comme objectif de surveiller les opposants aux régimes locaux.

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Certains pays tels que l’Ouganda avec qui les opérations se sont très bien déroulés, continuent de faire affaire avec Huawei à tel point que leur logo est arboré dans certains commissariats. En Algérie, Huawei a poussé les ougandais à jouer aux VRP de sorte à obtenir un partage de technologie avec le gouvernement de Abdelaziz Bouteflika.

Si vous souhaitez plus de détails sur ces affaires, je vous renvoie vers l’article de nos confrères des numériques.

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