Difficile de faire plus compact, plus discret et plus « intégrable » à un salon. Alors que les consoles Nextgen ont pris du poids et de la taille par rapport à leurs grandes soeurs, l’Alpha affiche une compacité record.
L’alpha reprend évidemment les codes esthétiques d’une console de salon et la comparaison avec le châssis noir brillant de la PS4 n’est pas innocent. La compacité du bébé Alienware est cependant remarquable.
Avec son petit utilitaire de customisation AlienFX, l’Alpha permet même de jouer avec l’éclairage de ses leds et de personnaliser un peu l’apparence de la machine.
L’Alpha revendique clairement son appartenance Alienware et son design anguleux reprend ce que l’on va découvrir sur le nouveau Area 51 : un mélange d’agressivité et de classe.
Le positionnement des ports tout comme la petite trappe pour loger le module USB pour faire fonctionner le futur(?) Steam Controller : tout est bien pensé sur cette console.
On retrouve tout ça dans la qualité de fabrication qui, en surface, ne souffre d’aucune contestation. Je relèverai cependant le bloc d’alimentation extérieur ( comme sur une console classique ) qui ne pose pas de vrai problème en lui-même mais dont je déplore de le voir affublé d’un logo DELL. Evidemment, difficile de cacher l’ADN de la maison mère mais sur un produit comme ça je trouve que c’est une faute marketing plus que technique évidemment.
Les assemblages de la console sont parfaits et la qualité et l’épaisseur du plastique sont sans reproche : aucune vibration à constater malgré de longues heures de sollicitations. Nous allons voir que ce résultat est aussi le fruit d’une excellente conception intérieure de la console. Une vraie prouesse compte tenu de son faible encombrement.
