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Prise en main
La prise en main de cette référence, se fera tout en douceur. Encore plus, si vous avez l’habitude de ce format de clavier. Effectivement, c’est un peu le même style que les claviers d’ordinateurs portables ou encore comme le dernier clavier de Corsair, le K100 Air Wireless, si ce n’est qu’il s’agit de commutateurs membranes ciseaux. Le KW 9100 Slim est un clavier très classique, en 104 touches et ne possédant aucune fioriture. On lui trouvera même quelques touches bien pratiques pour la bureautique. Je pense notamment à la touche pour lancer le navigateur, verrouiller la session ou encore démarrer la calculatrice. Exit ici les « Windows + L » au travail. De même, ayant l’habitude d’utiliser régulièrement la calculette, je faisais habituellement « Windows + R » et « calc » pour la démarrer. Ici, une touche et c’est parti ! Plutôt pratique pour travailler. De même, nous avons le droit aux classiques touches multimédias pour gérer le son du PC. Bref, rien d’exceptionnel mais tout est bien fonctionnel.
Avec son KW 9100 Slim, Cherry propose une baguette magnétique amovible qui se place sous le clavier pour le surélever. Contrairement, à la majeure partie des claviers du marché, nous n’avons pas de pattes surélévatrices fixées à la référence. Il faudra spécifiquement installer la baguette si vous en avez besoin. C’est assez pratique de pouvoir la retirer si on en a pas besoin. Néanmoins, à titre personnel, je l’utilise et j’ai constaté qu’elle se défait systématiquement quand je ramène le clavier vers moi. Il faut alors retourner le clavier et la réinstaller à chaque fois… C’est assez pénible au quotidien, je ne vous le cache pas.
En ce qui concerne l’autonomie, la marque vente une batterie pouvant tenir des semaines. Malheureusement (ou heureusement ?), en deux semaines de test, je ne l’ai clairement pas vidée. Cela est sûrement dû au fait, que nous n’avons pas de RGB ni même aucun éclairage visible. Si ce n’est quelques diodes par-ci par là pour indiquer que la majuscule est activée ou encore le pavé numérique.
Sinon, pas de logiciel avec cette référence. Il faudra tout gérer avec les touches présentes sur le clavier.
Design et matériaux
Le clavier en lui-même est bien fini et élégant. Il est très typé bureautique et ne possède aucune fioriture. En effet, nous retrouvons les touches, une petite bande plastique et c’est tout pour le délimiter. On est loin des claviers pour gamers très typés. Au dessus des touches directionnelles, nous avons le droit à un petit logo métallique reprenant le logo de la marque Cherry. Cela finit bien le clavier et donne un petit style sympa.
Les touches du KW 9100 Slim reposent sur une plaque de couche en plastique lisse, en dessous, on peut distinguer une plaque blanche/grise foncée, qui fait bien ressortir les touches. Cela délimite bien le contour de chaque touche.
En dessous, nous retrouvons un plastique gris et des patins en caoutchouc pour maintenir notre référence du jour. Bien entendu, c’est aussi ici que l’on aura les numéros de séries et autres informations de recyclage.
À l’arrière maintenant, il y a quelques boutons disponibles afin de passer le clavier en mode Bluetooth ou dongle. De plus, c’est aussi là que l’on pourra brancher le câble USB pour le recharger. À cet endroit, nous aurions apprécié la présence d’un emplacement pour ranger notre fameux dongle. En cas de déplacement, c’est le coup à le perdre facilement. Une « option » que l’on voyait notamment sur le clavier membrane wireless de Corsair, le K57 Wireless.
Bruit
Question bruit, s’agissant d’une référence membrane, nous sommes ici sur quelque chose de relativement silencieux. Même pour les plus « bourrins » du genre. Je ne suis pas spécialement discrète lorsque je tape sur un clavier. Mais ici, cela reste discret, surtout par rapport à mon K100 Air Wireless. Forcément, ce sont des switches membranes.
