NVIDIA GeFORCE RTX 2060 Founders Edition

 

NVIDIA France a mis à notre disposition cet exemplaire de la RTX 2060 Founders Edition. Ces nouvelles cartes ont été annoncées lors du CES 2019 et seront disponibles à la vente à partir du 15 janvier. Le prix annoncé par le caméléon de cette Founders Edition est de 369 €. Les marques proposeront des versions « customs » dans les jours à venir avec des prix qui, selon le modèle, seront inférieurs ou supérieurs à celui de la Founders Edition. Je peux déjà vous annoncer que nous vous proposerons le test de la Gigabyte RTX 2060 Gaming OC Pro mardi prochain.

 

Un petit retour sur les cartes graphiques RTX

NVIDIA n’en est pas à son coup d’essai avec les modèles RTX, puisque cette 2060 débarque dans le prolongement logique de la 2080 Ti, 2080 et 2070. Cette RTX 2060 est construite autour de l’architecture Turing et s’annonce comme la plus abordable des RTX à l’heure actuelle. La sortie de cette carte n’est pas sans rappeler celle de la GTX 1060 qui était devenue très rapidement la référence pour le Full HD (1080p). Pour rappel, nous vous proposons un tableau récapitulatif de cette nouvelle architecture Turing. Nous y avons ajouté la GTX 1080 Ti et la version 1060 :

 

Peut-on raisonnablement comparer la RTX 2060 et la GTX 1060 ? Non, puisque l’architecture conçue par NVIDIA est complètement différente. Cette RTX 2060 FE se base sur l’architecture Turing qui intègre les RT Core (Ray-Tracing) et les Tensor Core qui n’était pas présente sur la génération Pascal.

Les Tensor Core ont pour but de faciliter principalement le deep learning nécessaire à l’intelligence artificielle pour afficher des images époustouflantes et ultra-nettes. On parle beaucoup pour le moment du DLSS qui permet un gain en terme de FPS en remplaçant l’antialiasing TAA. Nous vous en reparlons dans les tests avec notamment le benchmark Final Fantasy XV qui en est pourvu. Le nombre de jeux compatibles DLSS devrait encore augmenter dans les semaines à venir.

 

Les RT Core sont utilisés par l’API Ray Tracing, une solution pour l’éclairage, les reflets et les ombres réalistes. Turing est la première architecture à le proposer en temps réel. L’architecture Turing a aussi vu débarquer GPU Boost 4.0, dont le rôle est d’ajuster la fréquence de fonctionnement en fonction de la charge appliquée, d’un seuil de consommation électrique et de la température de la puce.

En terme de prix, le choix de NVIDIA d’opter pour une nouvelle architecture a un coût : celui de la recherche et du développement. Effectivement, ce coût se répercute et a une impact non négligeable sur le prix des RTX à l’heure actuelle.

 

La NVIDIA GeFORCE RTX 2060 Founders Edition en détails

Comme je vous l’ai dit dans l’introduction, je suis complètement sous le charme du design des cartes graphiques RTX Founders Edition. C’est simple et efficace ! Cette RTX 2060 reprend le design de cette nouvelle génération en optant pour une enveloppe métallique. Le code couleur reste habituel sur les versions Founders Edition avec un juste équilibre entre le gris argenté et le noir mat. Le refroidissement est assuré par deux ventilateurs axiaux de 90 mm. Les dimensions de la carte sont identiques à la RTX 2070 FE avec 230 x 111 x 38 centimètres.

 

Sur le dessus de la carte, on retrouve un logo rétroéclairé portant la mention « GEFORCE RTX ». Ici point de système RGB, une fois la carte sous tension, le logo s’illuminera en vert. À l’arrière, on retrouve une backplate mais qui fait partie intégrante du carter de la carte donnant ainsi l’impression d’une enveloppe fermée. Elle est de couleur grise avec la référence RTX 2060 en position centrale. Notre exemplaire ne dispose pas vraiment d’un overclocking d’usine dans le sens où nous comparons les fréquences des cartes customs par rapport au modèle proposé par le caméléon. Elle dispose d’une fréquence GPU à 1365 MHz, pour un Boost à 1680 MHz et les 6 Go de GDDR6 sur un bus de 192 bits sont cadencés à 1750 MHz.

L’alimentation 8 broches se trouve à l’arrière de la carte et non pas sur le sommet. C’est un choix que je trouve toujours très intéressant pour le cable management au sein de votre boitier.

 

Une fois le carter ainsi que la backplate retirées, on découvre le radiateur de couleur noir. Ce bloc de refroidissement dispose d’une chambre à vapeur à la base du radiateur et qui recouvre tout le PCB. Cela permet d’avoir une meilleure répartition de la chaleur qui sera ensuite transférée vers les ailettes en aluminium. Le rôle de ce dernier est de maintenir au frais le GPU, les 6 puces mémoires Samsung ainsi que les 8 phases de l’étage d’alimentation dont 2 pour la mémoire (6+2). On peut s’apercevoir sur les photos que le radiateur est plus long de quelques centimètres que le PCB. Il s’agit d’ailleurs du même PCB que celui de la RTX 2070 FE mais allégé de deux puces mémoires.

 

Par contre, si je suis pour l’emplacement choisi pour le connecteur 8 broches, je suis déçu de la conception utilisée. Même si il s’agit d’une carte d’entrée de gamme dans la série des RTX, je trouve que cela manque de finition.

Enfin, au niveau de la connectique, on retrouve un port DVI absent des versions 2070, 2080 et 2080 Ti. Ce choix peut s’expliquer par le positionnement tarifaire de cette RTX 2060. De nombreux utilisateurs disposent encore d’un écran qui requiert ce type de connectique. Un connecteur HDMI 2.0b, deux Display Port 1.4a et un USB Type-C complètent ces sorties vidéos. Je suis tout simplement sous le charme de cette carte graphique en terme de design, nous allons voir à présent ce qu’elle a dans le ventre !

 

LA CONFIGURATION UTILISÉE POUR LES TESTS

Voici la configuration que j’ai utilisé pour le test de cette carte graphique :

  • Carte mère : Asus Maximus IX APEX
  • Processeur : Intel i7 7700K à 5 GHz (50×100 MHz) 1,21 V
  • Mémoires : GSKill 3600 MHz 15-15-15-35 (uncore 4000 MHz)
  • Carte graphique : NVIDIA RTX 2060 Founders Edition (drivers NVIDIA 417.54)
  • Alimentation : CORSAIR AX1600i
  • Pâte thermique : Arctic MX-4
  • Ecran : Acer GD245HQ
  • Système de refroidissement : EK
  • Système d’exploitation : Windows 10 64 bits

 

Pour rappel, je compare les résultats obtenus avec cette NVIDIA RTX 2060 Founders Edition face aux cartes graphiques qui sont déjà passées entre nos mains. Celles-ci ont été testées aux fréquences stock et sans aucun tweak permettant d’optimiser le score.

À noter que le benchmark 3DMark a subi une mise à jour avec l’arrivée du nouveau benchmark Port Royal et j’ai remarqué une légère hausse des scores. D’ici peu de temps, je repasserai l’ensemble des cartes graphiques afin de mettre mes tableaux à jours.

Petit passage par GPU-Z afin de vérifier que les informations lues sont bien correctes. Comme on peut le voir, la fréquence GPU est bien de 1365 MHz, celle de la mémoire à 1750 MHz et enfin la fréquence Boost à 1680 MHz. N’oubliez pas que cette dernière sera supérieure lors des benchs selon la qualité de votre puce et déterminée par GPU Boost 4.0.

 

Au repos, la fréquence est de 300 MHz, en charge, la fréquence Boost max se situe entre 1935 et 1965 MHz. Les températures relevées lors de toute cette série de benchs étaient comprises entre 54 et 67°C selon le benchs utilisé. Les ventilateurs tournent au maximum à la vitesse de 1233 RPM (33%) et permettent à la carte de se montrer très silencieuse !

 

LES BENCHS COMPARATIFS : 3DMark 11 et 3DMark Vantage

Il s’agit d’un benchmark lancé en novembre 2010 par Futuremark et que j’utilise encore en 1280 x 720 (720P), permettant ainsi aux cartes d’entrée de gamme de pouvoir proposer un score honorable. Il est resté très longtemps pour pas mal de monde, le test de référence pour DirectX 11. Il se compose de quatre tests graphiques (Deep Sea 1, Deep Sea 2, High Temple 1, High Temple 2), un test de « stress » CPU ainsi qu’un test de « stress » combinant le CPU et la carte graphique. La dernière version est la 1.0.132 datant du 7 février 2014.

3DMark Vantage est un benchmark lancé en novembre 2008 par Futuremark et exploitant DirectX 10. Autant dire qu’il s’agit d’un test largement dépassé pour les configurations modernes mais pour lequel j’ai pas mal d’affection. La résolution utilisée est de 1280 x 1024. Il se compose de deux tests graphiques (Jane Nash et New Calico) et deux tests de « stress » CPU. À noter que si vous désiriez l’utiliser, n’oubliez pas de désactiver les 6 Feature Tests dans la partie « options » puisqu’ils ne sont pas pris en compte dans le calcul du score final.

 

LES BENCHS COMPARATIFS : 3DMark Firestrike 1080P – Ultra 4K

Il s’agit de la référence actuelle en terme de benchmark et sans doute le bench le plus utilisé actuellement. Il se compose de 3 niveaux de « difficultés » : Fire Strike (1920 x 1080), Fire Strike Extreme (2560 x 1440 ) et Fire Strike Ultra (3840 x 2160). Pour mes tests, j’utiliserai le premier et le troisième test en 4K afin de comparer les cartes graphiques. Il n’est pas nécessaire de disposer d’un écran 4K mais votre carte graphique doit disposer d’au moins 3 Go. Il se compose de deux tests graphiques, d’un test CPU ainsi qu’un test de « stress ». N’oubliez pas de désactiver la démo qui n’apporte rien dans le score final.

 

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LES BENCHS COMPARATIFS : 3DMark Time SPY 1440P – 4K

Time Spy utilise DirectX 12 avec une résolution de 2560 x 1440. Il s’agit à l’heure actuelle du seul benchmark qui exploite l’API Direct3D 12. Il se compose de deux tests graphiques et d’un test CPU. J’ai ajouté depuis la génération des RTX, le test en 3840 x 2160. Je prendrai le temps d’ajouter les performances avec les cartes de la génération précédente. N’oubliez pas de désactiver la démo qui n’apporte rien dans le score final.

 

LES BENCHS COMPARATIFS : Superposition

Voilà un tout nouveau benchmark de chez Unigine, tout beau, tout chaud ! Il aurait été dommage de ne pas en profiter et de ne pas l’intégrer à nos tests de cartes graphiques. Il est basé sur DirectX 11 mais une version 12 devrait arriver sous peu. Pour ce benchmark, j’ai opté pour la version Performance en 1080p Extreme. Il se compose de 17 scènes et est assez costaud afin de mettre à mal votre carte graphique.

 

LES BENCHS COMPARATIFS : 3DMark Port Royal (Ray Tracing) et Final Fantasy XV

3DMark Port Royal est le dernier benchmark en date de UL Benchmark, anciennement Futuremark. Il s’agit du premier benchmark prenant en charge le « ray tracing » et qui permet ainsi aux utilisateurs de comparer leurs performances. Le test s’effectue en 2560 × 1440. Pour rappel, cette nouvelle technologie est arrivée avec les RTX 2080Ti, 2080, 2070 et 2060. À l’heure actuelle, ce sont les seules cartes compatibles.

Le benchmark Final Fantasy XV en version 1.2 permet l’utilisation du DLSS (Deep Learning Super-Sampling). Les cartes graphiques RTX bénéficient de l’antialiasing DLSS, géré par les Tensor Core et qui doit permettre un gain en terme de FPS sans pour cela dénaturé la qualité de l’image. NVIDIA annonce un gain de 38% lors de son utilisation. À noter que l’antialiasing TAA est désactivé lors de l’utilisation du DLSS. Nous allons donc comparer les performances avec et sans DLSS sur une résolution de 3840 x 2160. C’est la seule supportée par le DLSS.

 

Comme on peut le constater, le gain obtenu grâce à l’antialiasing DLSS est de 36,8% avec la RTX 2060 et de 33,3% avec le modèle RTX 2080 Ti. J’ajouterai lors des prochains tests le jeu Battlefield V mais les résultats que j’ai obtenu ne me semblaient pas correspondre à la réalité. Je rectifierai donc mes prises de mesures afin de vous fournir des informations correctes lors d’un prochain test. De plus, une mise à jour est prévue afin de prendre en charge le DSSL dans les jours à venir.

 

L’OVERCLOCKING Etape 1 : le NVIDIA Scanner

Je n’avais pas encore eu la possibilité de vous parler de NVIDIA scanner et pour se faire, je vais utiliser l’utilitaire Precision X1 de chez EVGA. L’idée est d’obtenir une courbe des capacités en overclocking de votre GPU en réalisant un overclocking automatique. Chaque courbe sera différente puisqu’une puce n’est pas l’autre et que certaines se montrent meilleures en overclocking. Tout cela est rendu possible grâce à l’API développé par NVIDIA. Une fois que le scan aura été effectué, vous allez vous retrouver avec une courbe parsemée de points verts. Ceux-ci correspondent à une fréquence et à la tension nécessaire pour l’obtenir. Si vous désirez la valider, il faudra juste cliquer sur le point vert et l’appliquer.

 

Voici les captures obtenues après le scan. La meilleure fréquence Boost annoncée est de 2070 MHz. Je me suis donc placé sur le point vert à l’extrémité de la courbe et puis j’ai validé cette fréquence. Après avoir testé cette fréquence sur le benchmark Port Royal, celle-ci correspond bien à la fréquence maximale de 2070 MHz.

Le logiciel Precision X1 propose également un onglet test. Vous pourrez ainsi vérifier la stabilité de votre carte graphique (RT cores, Tensor Cores, Cuda Cores, mémoire…). À noter que pour l’overclocking de la mémoire, vous devrez le faire manuellement. La plupart des cartes prennent facilement 1950 voire 2000 MHz. La version 0.3.11 bêta de Precision X1 que nous avons utilisé est à présent compatible avec les cartes graphiques GTX 10xx.

 

L’OVERCLOCKING Etape 2 : oc manuel

L’idée est ici de voir jusqu’où peut aller cette RTX 2060 Founders Edition. Les ventilateurs tournent à pleine vitesse et j’ai augmenté le TDP à 119% via l’utilitaire d’overclocking. Comme c’est le cas lors de mes tests en overclocking, je vais d’abord clocker la fréquence du GPU. Ensuite, une fois la fréquence Boost maximale obtenue, je pousserai la fréquence mémoire. J’ai donc pu tester pour la fréquence du Boost allant de 2115 et 2145 MHz  et à 2050 MHz pour la mémoire.

 

L’overclocking de la fréquence GPU et mémoire m’a permis d’obtenir des gains allant de 9,9% à 13, 9% selon le bench utilisé. Il s’agit d’un gain non négligeable.

 

QUE PENSEZ DE CETTE RTX 2060 Founders Edition ?

Je pense que la comparaison avec la GTX 1060 n’a pas lieu d’être vu que nous sommes en face d’une architecture complètement différente. La RTX 2060 me semble être la solution parfaite pour entrer dans le monde des RTX et bénéficier des nouvelles technologies apportées par Turing. Elle s’adresse à l’utilisateur désireux de concevoir un PC Gaming tout en disposant d’un budget serré. Elle pourra également trouver sa place au sein d’une configuration vieillissante. Aujourd’hui, pour un budget de 350 €, elle se place comme le meilleur choix pour du Full HD sachant que la génération Pascal va disparaître doucement.

Avec un prix de 369 € pour cette version Founders Edition, le rapport prix/performance est parfaitement équilibré. N’oublions pas son potentiel en overclocking qui lui permet encore de se montrer plus performante.

En terme de performances, la RTX 2060 fait aussi bien que la GTX 1070 et se permet même d’aller batailler avec la GTX 1080 dans les benchs récents. Le benchmark 3DMark Time SPY est souvent un bon reflet des performances de la cartes graphique. La nouvelle solution d’antialiasing DLSS devrait être aussi bénéfique à cette RTX 2060 en offrant un gain conséquent en terme de performances. Il sera intéressant de relever les gains sur les prochains jeux annoncés comme bénéficiant de cette solution. Alors que nous imaginions que la RTX 2060 ne pourrait pas bénéficier des premiers effets DXR, c’est tout à fait possible pour du Full HD.

Pour terminer, n’oubliez pas que NVIDIA propose en bundle Battlefield V ou Anthem pour l’acquisition d’une RTX 2060. Les deux jeux sont offerts à partir de l’achat d’une RTX 2080 ou RTX 2080 Ti.

 

Merci à NVIDIA France pour cette RTX 2060 Founders Edition. Rendez-vous dans une petite semaine afin de découvrir le test d’une version custom, la Gigabyte RTX 2060 Gaming OC Pro. Je compte ajouter sous peu les performances obtenues avec la RTX 2070 et 2080 afin d’avoir une vue d’ensemble sur les performances de la gamme complète. N’hésitez pas à poser vos questions dans les commentaires ci-dessous.

 

NVIDIA RTX 2060 Founders Edition
9 Le testeur
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Pour
  • le DLSS prometteur
  • les performances en Full HD
  • l'overclocking pour une Founders Edition
  • le bundle offert
    Contre
    • peut-être juste les 6 Go de mémoire
      Qualité de fabrication
      Performances
      Overclocking
      Refroidissement
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      14 Commentaires

      1. Plutôt convaincante cette petite RTX 2060. Merci beaucoup pour cet article bien écrit, c’est vraiment ce qui fait la différence. Pour ce qui est du DLSS, j’ai cru comprendre qu’il s’agissait en fin de compte d’une forme d’upscaling post-traitement : pour du 1080p, l’image est en fait calculée en 720p avant d’être mise à l’échelle (150%) au dernier moment. Le résultat n’est pas très propre en basse résolution et n’est pas techniquement parlant un anticrénelage, à en juger par l’analyse de vos confrères : https://www.tomshardware.fr/2018/10/24/enquete-exclusive-sur-le-dlss-de-nvidia-upscaling-ou-pas/6/.

        Du coup, comme argument de vente, dire que la RTX 2060 est capable de faire du DLSS en 1080p, c’est-à-dire de produire du 720p, ce n’est quand même pas terrible, pour 350 euros !

        A vous de me dire si la stratégie d’nVidia est honnête…

      2. Pardonnez-moi pour le double-post (pouvez-vous s’il vous plaît rattacher ce commentaire à mon précédent, en post-scriptum ?)

        PS : J’ai essayé X1 Precision et je n’ai rien compris. Par contre MSI Afterburner dispose désormais également du « scanner », et pour l’instant c’est stable avec ma GTX 1080. Avez-vous quelque part, ou prévoyez-vous un tutoriel sur ces nouveaux outils prometteurs ?

        Bien à vous

      3. Hello Sacharpie.
        Effectivement, le DLSS n’est pas encore une technologie tout à fait clair. Par contre, sur le benchmark Final Fantasy XV, je ne vois visuellement aucune différence entre les images hormis le gain en FPS. Est-ce honnête ? oui dans le sens où cela permet de gagner en FPS sans dénaturer réellement l’image.
        Battlefield V devrait recevoir une mise à jour afin de supporter le DLSS et là, on pourra vraiment comparer la qualité des images.

        Oui, je ferai un tuto complet soit sur X1 Precision ou sur Afterburner dans les jours à venir.
        Merci pour ton retour !

        • Merci beaucoup pour votre réponse, très rapide qui plus est : nous aurons donc l’occasion d’en reparler autour de BFV, perspective plutôt stimulante (c’est tellement rare ces petites innovations du moment !) Reste aussi à clarifier l’apport réel des RTX sur le DLSS, puisqu’il pourrait a priori être appliqué avec d’anciennes générations de GPU. Quoi qu’il en soit, il y a fort à parier qu’nVidia désactivera artificiellement le DLSS sur ses cartes d’entrée-de-gamme pour ne pas phagocyter ses ventes non plus : il ne faudrait quand même pas qu’une carte graphique à 150 euros permette de jouer trop facilement en 1440p 😉

          A très vite !