Conclusion
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Conclusion
Au final, nous avons vraiment apprécié l’expérience Steelrising. Effectivement, le jeu prend place dans un univers cohérent, réel : la Révolution Française. La plupart des personnages sont tirés de notre histoire. Au milieu, nous retrouvons les automates, robots créés afin de remplacer l’armée humaine de Louis XVI, dont il doute de sa fidélité. Dans Steelrising, nous incarnons l’automate Aegis, un robot doué de parole qui est aux services de la reine Marie-Antoinette et non pas du roi. C’est un robot très complexe qui est capable de prendre des décisions par elle-même.
Ici, nous avons le droit à un jeu de type A-RPG qui rappelle les Souls dans son fonctionnement, en moins complexe, surtout pour les néophytes du genre. En plus, un mode assistance est disponible afin de rendre le jeu encore plus accessible. En revanche, il se ne s’agit pas d’un monde ouvert mais bien d’un couloir à suivre tout au long du jeu vidéo. C’est un peu dommage par moment. On voudrait pouvoir visiter un peu plus le vieux Paris et entrer dans les différents bâtiments. Ce qui n’est pas possible dans la majeure partie des cas.
En lui-même, le jeu est assez intéressant niveau durée de vie. En effet, il pourra nous faire tenir entre 20 et 30 heures.
À l’usage, nous aurons remarqué quelques petits bugs ou axes d’améliorations. Notamment de nombreux soucis de collisions. Par exemple, à un moment donné, notre personnage est resté bloqué dans une touffe d’herbes. Il suffit, certes, de décaler Aegis pour continuer, mais cela nous sort un peu du jeu. De plus, il peut être compliqué de détecter que l’on a perdu de la vie contre un ennemi. Il manquerait, peut-être, une animation de la part du personnage pour nous le signaler. C’est parfois la mauvaise surprise ! Mais ce qui m’aura le plus dérangé pour jouer, c’est notre ceinture contenant nos objets. En effet, pour en changer, en plein combat, il faudra, en plus d’esquiver l’ennemi (clic droit de la souris) et garder les yeux rivés sur lui, jouer avec la touche tab du clavier pour changer notre objet. Autant dire, que systématiquement, ou presque, il m’a été nécessaire de refaire un deuxième tour. 
Steelrising possède une BO qui m’a touché. J’ai beaucoup aimé l’ambiance, les sons, et les musiques du jeu. De même, l’univers est franchement intéressant. Paris est sale, sombre, comme on s’y attend à cette époque de notre histoire. On y trouve des corps, des carcasses d’automates partout dans la ville. Sans parler des jeux d’ombres et de lumières sur certains bâtiments… Je pense surtout à une scène du jeu, où Aegis contemple Notre-Dame de Paris depuis le balcon d’un appartement. C’était tout bonnement magnifique !
Bref, j’ai aimé Steelrising et pour moi, ce sera l’or !
Merci à Nacon pour la clef du jeu !
