Qualités et fonctionnalités
Sommaire
Qualités et fonctionnalités d’un casque assumé gaming
Commençons par la base : le IMMERSE GH50 WIRELESS est extrêmement confortable. Les premiers jours, je pouvais sentir une légère pression crânienne mais à laquelle je me suis vite fait, qui n’était pas fondamentalement dérangeante et invitait juste à ne pas porter le casque sans discontinuer sur l’ensemble de la journée (ce que je peux avoir tendance à faire), légère pression qui garantit au moins que le casque est solidement fixé pour une immersion maximale. Et l’autonomie promise de 22 heures m’a paru tenue, d’autant que contrairement à d’autres modèles, le IMMERSE GH50 WIRELESS prend son temps pour s’éteindre en l’absence de son à diffuser.
Ce confort s’étend bien sûr à la qualité du son, naturellement très propre et sans aucune latence ressentie, et admirablement personnalisable et améliorable grâce au logiciel Nahimi, qui offre bien des options extrêmement simples et avec une ergonomie bien agréable pour retravailler autant le son reçu par le casque que le son émis par le micro. Simplement incontournable si vous souhaitez profiter au maximum du casque et le pousser au-delà des caractéristiques correctes qui sont les siennes par défaut.
Sa connectique mérite quelques explications. En l’absence de bluetooth, le sans-fil passe par un connecteur USB (auquel on peut adjoindre un adaptateur inclus pour le connecter en USB-C), ce qui a l’avantage d’une connexion complètement instantanée. La portée n’est pas la plus remarquable que j’aie constatée dans mes tests récents, mais aurez-vous réellement besoin de vous éloigner de 10 mètres de votre ordinateur ? Disons que je ne vais pas lui faire le reproche de couper mon podcast quand je sors les poubelles, cette portée n’étant sinon jamais un problème. Un petit voyant lumineux sur le connecteur indique que le casque est bien allumé et appairé – mais je peux trouver cet indicateur dommage, parce que vous aurez donc en permanence une petit lumière blanche qui pourra accrocher votre regard, sur PC principalement.
Vous pourrez utiliser le câble jack inclus pour passer en filaire (le câble USB était réservé à la recharge), ce qui éteint immédiatement le casque. Vous entendrez évidemment le son émis par l’appareil connecté, mais ne pourrez alors plus utiliser la molette de volume, ce qui est tout de même bien dommage, ni le micro.
À propos du micro, j’ai enregistré quelques podcasts avec Batman Legend en l’utilisant, et vous pourrez juger de sa qualité aussitôt que ces podcasts seront en ligne – j’en proposerai alors un juste ici. Pour ce podcast, j’ai à peine utilisé Nahimic et j’ai laissé le micro droit, bien que, comme je l’ai précisé plus haut, il soit pliable, étant donné qu’aucune source de bruits parasite ne nécessitait de l’orienter plus spécifiquement et que mes interlocuteurices me disaient m’entendre parfaitement. Je partage ces quelques détails pour vous permettre d’avoir tout le contexte audio des conditions d’enregistrement du podcast avec le IMMERSE GH50 WIRELESS.
Un bouton sur le casque permet d’éteindre et d’allumer le micro instantanément, option fort pratique, et même si ce bouton se trouve juste au-dessus du bouton d’allumage du casque, parfaitement identique en termes de toucher, vous les confondrez très peu. On pourra juste regretter que rien ne vous rappelle si le casque est présentement allumé ou éteint, un problème que n’ont bien sûr pas les casques dont l’extinction du micro est gérée par un interrupteur (avec des positions On et Off identifiables) ou par le fait de lever le micro. On aurait pu imaginer que le voyant du connecteur USB du casque ait au moins cette fonction (en s’allumant par exemple quand le micro est allumé), ou un code sonore lorsqu’on appuie sur la touche, mais ce n’est pas le cas, de sorte qu’il faudra juste y faire attention pour éviter toute maladresse, un peu dommage.
