Démontage et analyse du boitier :
Sommaire
Nous pouvons commencer par enlever la vitre en verre trempé. Celle-ci est maintenue par quatre grosses vis disposant de tampons en caoutchouc pour éviter les vibrations. Le cadre qui l’entoure est plus foncé afin de dissimuler les éventuelles traces de doigts. La vitre n’est pas très teintée et laissera clairement apparaître les composants internes.
Intérieur du boitier
En ce qui concerne l’emplacement destiné aux composants, on y retrouve un ensemble des plus classiques. Sur la partie supérieure, nous avons suffisamment d’espace pour mettre deux ventilateurs de 140 mm, un radiateur de 120 mm ou 240 mm.
Pour fixer la carte mère, nous avons déjà les entretoises qui sont en place pour une carte mère ATX. Sur la droite, nous avons un compartiment amovible qui peut soit servir de cache-câbles ou bien de deux emplacements pour SSD 2,5″. En bas nous retrouvons un compartiment permettant de dissimuler l’alimentation et ses câbles.
Arrière du boitier
Pour ce qui est du rangement des câbles, le fabricant reprend la même recette que sur le Pure Base 500DX. Derrière un panneau doublé d’une matière insonorisante, nous accédons à l’espace dédié au rangement. Nous pouvons ainsi voir qu’il est possible de passer ses câbles sur la gauche et d’utiliser les nombreuses attaches pour serrer ces derniers. Cela permettra d’éviter de gêner la fermeture du panneau arrière.
Nous retrouvons en bas à gauche une baie pouvant accueillir deux disques durs de 3,5″ ou un disque dur et un SSD de 2,5″. Lorsque l’on reçoit le boitier, c’est dans cette baie que se trouve la boite qui contient toutes les vis et accessoires.
Hub PWM et ARBG
Une des nouveautés principales est la présence d’un hub pouvant accueillir six ventilateurs ARGB. Lorsque nous recevons le boitier, nous avons déjà les quatre light Wings qui sont connectés. Comme nous pouvons le voir sur la photo, il y a aussi un espace permettant d’installer un SSD 2,5″.