OnePlus 5 : 20 juin 2017, 18 heures, j’y suis

 

Après 3 mois d’attente, j’arrive enfin à la révélation : la présentation du OnePlus 5 par son créateur Carl Pei. Pas de bug sur le direct, la connexion avec le monde 2.0 est fluide, pas de lags. La bête est bien là… Aucune surprise, depuis un mois les fuites confirment le présent. La bête est une bête prête à manger la concurrence, facturée le double.

Après 18 mois passés avec mon OnePlus 2 et 30 mois depuis mon achat du OnePlus One, je clique et re-clique pour retrouver un mot de passe planqué dans cette foutue présentation. Après deux visionnages : le sésame est là. Hop, un petit copier/coller et c’est parti pour chopper mon précieux une semaine avant le reste du monde.

Deux versions s’offrent à moi, et je m’engouffre alors dans le futur pour 60 euros de plus. À ce prix, j’hérite de 64 Go de stockage en plus et de 2 RAM supplémentaires pour arriver un total de 8, score qui bat tous mes appareils maison sauf ma chère Xbox One. Arrive alors le moment de la traque au colis.

Commandé le 20, réception le 23 sur le lien du suivi DHL Express. Livraison gratuite, s’il vous plaît. Peut-être un cadeau pour les « P-One » comme moi qui ont poncé la vidéo pour retrouver ce putain de code. J’attendais donc avec impatience mon nouveau bébé, après une belle série de F5 frénétique.

 

 

Nous sommes le 23 juin et c’est donc le grand jour. Le bébé est bien pris en charge par DHL. Arrivé en Pologne le 22, il jump d’entrepôt en entrepôt. À mon réveil, il est à Leipzig en Allemagne, 3 heures plus tard Marseille. Allez, un petit SMS du coursier pour m’informer qu’il sera bien livré dans la journée avant 18h00… Ding dong à 11h30, c’est lui, enfin !

 

Livraison au travail pour ne pas perdre de temps, les collègues sont bien sûr au courant de ce grand moment pour moi. 18 mois sans nouveau joujou c’est presque un exploit. Mon premier téléphone a été un Nokia Xpress Music et avant, les téléphones pour téléphoner ne m’intéressaient absolument pas. Le jour où ils se sont transformés en mode « je sais tout faire », c’était fini, j’étais fan.

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Mais revenons à nos moutons. Boulot oblige, pas possible de le déballer dans la foulée. Une dernière petite mission avant d’ouvrir le petit colis et de faire mumuse. Les collègues, toujours aussi joueurs, me menacent de kidnapper mon précieux pendant ma brève mission. Ouf, cette fois ils ont été raisonnables et me laissent enfin le découvrir.

 

 

Franchement, plus que ravi et satisfait. Le bébé est classe, pas bordeless mais très fin. Hâte d’essayer son fameux double capteur pour immortaliser les moments de vie de tous les jours. Pour l’heure, la tâche est à la configuration de l’appareil. Et là, bonheur ! Google me demande si je veux récupérer ma configuration de mon adoré OnePlus 2 (qui finira maintenant entre les mains de ma femme). Une petite heure d’attente en 4G et mes 181 applications sont là, toutes à leur place dans leurs petits dossiers. Le bonheur en effet, car grâce à la charge rapide, le OnePlus 5 termine l’installation avec 100% de batterie.

 

 

 

Allez, c’est le moment pour les parties de scroll entre lui et moi. Et là, je sens qu’il va gagner. Après avoir encaissé mes 181 applications + la charge + ma navigation dans tous les paramètres de l’appareil + ma rédaction actuelle, le bébé est tout doux et surtout ne chauffe pas ! Une prouesse avec la canicule ambiante. Pas de comparaison possible avec mon cher OP2 qui a tendance à surchauffer très vite. La cause ? Son fameux mauvais processeur surpuissant que OnePlus a du brider pour éviter les brûlures aux mains. Une blague, évidemment, mais c’est un peu ça. Son processeur n’a jamais pu libérer sa pleine puissance, en tout cas, celui-ci est incroyable, couplé à mes 8 Go de RAM, je pense que nous allons nous plaire tous les deux.

Voyons maintenant sa fiche technique pour savoir ce qu’il a dans le ventre :

 

 

Pour plus de détails, c’est par ici. Rendez-vous en 2019 pour le OnePlus 7 ou en 2020, l’optique étant de garder le téléphone au moins 2 ans.